Infos et Bons plans :Conseils à chaud (que je relirai si un jour j’ai le bonheur de repartir).
Au risque de me répéter, je commencerai par dire qu’un voyage à WDW ne s’improvise pas. J’avais la grande chance d’y avoir déjà été deux fois et j’étais donc bien drillée pour préparer un voyage en dernière minute mais si on n’y avez jamais été, il vaut mieux prendre son temps et surtout ne pas se précipiter. La lecture des comptes rendus de ce forum et de guides divers, ainsi que les infos drainées sur les groupes FB apportent des tonnes d’informations et permettent de préparer au mieux son voyage. Il est vrai que trier toutes ces infos n’est pas chose aisée mais en dormant et redormant dessus on finit par y trouver son idéal.
Quand partir ? L’été est une période privilégiée car elle offre souvent la possibilité de plus longs séjours mais l’été floridien est très chaud et particulièrement humide sans parler des pluies tropicales qui vous tombent dessus en moins de temps qu’il ne faut pour le dire et vous réduisent à l’état de soupe encore plus vite ! Sans oublier le risque d’ouragan, plus facilement en août et septembre qu’en juillet, et de tornade. Les meilleures périodes restent donc la fin de l’automne, le début de l’hiver et le début du printemps.
Voici deux sites pouvant aider à prendre la décision du moment du départ :
https://www.ou-et-quand.net/partir/quand/amerique-du-nord/floride/
https://www.quandpartir.com
Les
dates ? S’il n’y a pas de contraintes particulières, il vaut mieux voyager en semaine. En effet, les prix des billets sont plus avantageux les jours plus creux. Mais bon, ce n’est pas chose aisée, surtout quand on travaille full time.
La
durée du séjour ? Question piège. Tout dépend de ce qu’on veut faire. Road trip ? WDW uniquement ? Universal ? Dans mon idéal, il faudrait consacrer huit jours à WDW en prévoyant deux visites par parc et des moments de farniente quotidiens pour profiter du soleil de Floride. En fonction du reste, prévoir de l’ordre de 3 jours pour Universal, et, de manière générale, au moins un jour plein sur place pour quelque destination que ce soit. Pour l’avoir expérimenté lors de notre Road-Trip dans l’Ouest, arriver la veille et repartir le jour même, c’est trop court. On ne profite pas de l’instant avec le risque de voir une activité ou une visite nous passer sous le nez du fait d’un horaire incompatible.
Le
vol ? L’idéal est bien entendu le vol direct.
Impossible au départ de Bruxelles, possible au départ de Paris mais pas tous les jours ce qui complique un peu la donne.
On en revient donc aux vols multiples pour lesquels il vaut mieux éviter les longs transferts et les escales multiples, au risque d’arriver à destination en miettes. Au départ de l’Europe, le transit en Irlande est un bon plan car les formalités d’immigration s’y font AVANT d’embarquer dans l’avion pour les USA ce qui évite l’attente à l’arrivée mais nécessite de prévoir une escale suffisante en Irlande ! Ces formalités appelées « Preclearance » fonctionnent également dans les grands aéroports canadiens et à Abu Dhabi.
Pour avoir fait le trajet Bruxelles–USA quatre fois, deux fois en faisant escale aux USA et deux fois en Europe, hormis l’option via l’Irlande, je serais plutôt enclin à privilégier une escale aux USA. Pourquoi ? Car je trouve qu’il n’y a rien de plus éprouvant que d’attendre pour passer l’immigration surtout quand, après cela, il faut encore attendre pour récupérer la voiture de location. La première fois que nous sommes partis à Orlando, nous avons fait escale à Washington. Arrivés à Orlando nous avons dû prendre un bus puis attendre plus d’une heure pour récupérer la voiture mais ça ne nous a pas trop pesé. Il y a deux ans, nous avons fait escale à Munich. Arrivés à Los Angeles, après une attente interminable pour passer l’immigration, nous avons du refaire une file tout aussi longue et pesante pour récupérer la voiture. Au final, ayant atterri à 15h, après plus de 12h de vol et le décalage sur le dos, nous avons quitté l’aéroport à 18h30. Nous n’en pouvions plus !
Tant qu’à faire, autant prévoir l’escale aux USA. Cela divise le temps d’attente sur deux endroits et, à mon sens, le rend plus « gérable ». En plus, à l’allée, lors de l’escale, il y a l’euphorie d’être aux USA, et, on peut déjà se prévoir un petit arrêt buffet en attendant le vol suivant question de faire son premier repas US. Le seul (petit) inconvénient est le fait qu’il faille récupérer ses bagages et les redéposer pour le vol suivant. Mais ça, ça se passe super vite et bien. J’admets qu’il y a toujours un petit stress : et si l’avion a du retard ? Est-ce que mon escale sera assez longue ? Idéalement il faut prévoir une escale d’au moins 3 heures à l’allée. Au retour, par contre, comme les bagages ne sont pas à récupérer, une escale plus courte peut sereinement être envisagée.
Il est clair que le choix des trajets est totalement dépendant du budget et c’est d’ailleurs lui qui m’a fait choisir Lufthansa et l’escale en Europe les deux dernières fois. Oui, vous avez bien lu, Lufthansa, aussi pour ce voyage-ci, mais on a volé avec Edelweiss à l’aller et United Airlines au retour.
L’avantage de s’y prendre à l’avance est aussi important pour l’achat des vols. En effet, au plus on se rapproche de la date de départ au plus les prix montent et sont inversement proportionnels à la durée du trajet. En clair, par exemple, un mois avant le départ, il est encore possible de trouver des vols à des prix raisonnables voire intéressants mais qui comporteront souvent une arrivée le lendemain du départ à l’aller et le surlendemain au retour.
A mon sens, il est très utile de passer par un comparateur de prix pour faire son choix mais il me semble plus judicieux d’ensuite passer directement par le site de la compagnie choisie pour la réservation finale. En effet, les compagnies sont généralement plus facilement joignables en cas de souci et le choix des sièges n’est parfois pas possible via les sites de comparaisons. Concernant les sièges, leur réservation est payante jusqu’à 24h du départ et il est important de rappeler que les jeunes enfants ne sont jamais séparés d’un adulte.
Passons aux choses sérieuses !
Pour l’
hôtel, les deux options, on-site ou hors site, sont envisageables. A mes yeux, les avantages à loger sur le site sont, la magie Disney, les EMH et la facilité des transports. Mais je peux comprendre que la balance du budget puisse inciter à prendre une villa avec piscine en dehors du Resort et d’aller aux parcs en voiture. Ceci dit je crains que cela soit au final très fatigant et très chronophage en aller-retour, sans compter les longues marches pour aller du parking au parc et vice-versa. Je dirais que c’est une option à envisager si WDW n’est pas le but du voyage et qu’on y va juste un jour ou deux « pour faire plaisir aux enfants ».
Le choix de l’hôtel dans le complexe de WDW, n’est absolument pas « stratégique » comme il pourrait l’être à Paris où il peut dépendre de certains facteurs comme la distance de l’hôtel au parc ou la possibilité d’avoir un accès privilégié, un FP par jour voire un VIP FP.
A WDW, les choses sont différentes. Le choix se base uniquement sur le degré de confort désiré des guests. Ce n’est donc qu’un choix tout ce qu’il y a de plus personnel basé sur les goûts de chacun et aussi, malheureusement, sur le budget car il y a des logements vraiment hors de prix !
WDW offre des hôtels de trois catégories : Value, Moderate et Deluxe.
Hôtels Value:
- Disney's All-Star Movies Resort
Disney's All-Star Music Resort
Disney's All-Star Sports Resort
Disney's Art of Animation Resort
Disney's Pop Century Resort
The Campsites at Disney's Fort Wilderness Resort
Hôtels Moderate:
- Disney's Caribbean Beach Resort
Disney's Coronado Springs Resort
Disney's Port Orleans Resort - French Quarter
Disney's Port Orleans Resort - Riverside
The Cabins at Disney's Fort Wilderness Resort
Hôtels Deluxe:
- Disney's Animal Kingdom Lodge
Disney's Beach Club Resort
Disney's BoardWalk Inn
Disney's Contemporary Resort
Disney's Grand Floridian Resort & Spa
Disney's Polynesian Village Resort
Disney's Wilderness Lodge
Disney's Yacht Club Resort
Ici aussi, il est primordial de faire une étude approfondie du marché afin de ne pas louper une promotion qui pourrait drôlement changer le poids du budget. Je pense surtout au Disney Dining Plan qui est parfois offert et qu’il ne faut louper sous aucun prétexte. Fut un temps où les hôtels offraient des nuitées supplémentaires, même en concierge level, parfois déjà pour des séjours à partir de 3 jours. Je n’en ai plus vu passer mais c’est une option que je garde à l’esprit.
Certains hôtels étant plus vieillots que d’autres, une petite enquête préliminaire n’est pas superflue afin de repérer, avant de choisir ou dans l’hôtel choisi, le meilleur building, la meilleure chambre ou la meilleure situation, par exemple, par rapport à l’arrêt des bus menant aux parcs, ou encore par rapport à la piscine. Surtout pour s’en éloigner car c’est généralement un endroit relativement bruyant.
Par ailleurs, les distances sont telles, entre les hôtels et les parcs, ou entre les hôtels entre eux, qu’au final, question distances, cela revient strictement au même quel que soit l’hôtel choisi. La situation de l’hôtel dans le complexe n’est donc pas à prendre en compte dans le choix. Déjà une belle épine hors du pied !
En effet, en Floride tous les guests sont égaux devant les
transports L’hôtel choisi sera toujours plus près d’un parc et plus loin d’un autre.
WDW offre plusieurs
moyens de communication : un réseau de bus, des ferries, le monorail et, depuis peu, le skyliner.
Les
bus commencent à circuler 45 minutes avant l’ouverture des parcs, à thème ou aquatiques, et arrêtent une heure après leur fermeture.
Ils se présentent environ toutes les 20 minutes pour les parcs à thème et toutes les 30 minutes pour les parcs aquatiques.
Les horaires en temps réel sont consultables via une
application mobile disponible sur
My Disney Experience. La cadence de toutes les 20 minutes est rarement respectée et il vaut mieux se fier à l’application que sur un calcul rigide basé sur le départ présumé du premier bus.
En effet, les bus ont souvent du retard voire beaucoup de retard mais que ce soit sur les écrans ou sur l’appli, les infos sont corrigées en temps réel. En effet, quand nous comparions celles des écrans à celles publiées sur l’application, il fallait parfois attendre une à deux minutes pour que les changements coïncident, pas plus.
En outre, à chaque station de bus, un écran indique les heures d’arrivée des bus.
De tous les hôtels partent des bus vers tous les parcs et Disney Spring.
Le
monorail assure des trajets suivant trois lignes et ne dessert que trois hôtels.
La
ligne Resort fait une boucle autour du Seven Seas Lagoon entre le TTC (Ticket & Transportation Center) et Magic Kingdom en faisant halte au Grand Floridien, ou Polynesien et au Contemporary. La
ligne Express relie directement le TTC à Magic Kingdom et la
ligne Epcot, relie le TTC au parc Epcot.
Les ferries : depuis le Grand Floridien, le Polynesien et le Wilderness il est possible d’aller à Magic Kingdom en bateau, de même que Epcot peut être rejoint en bateau depuis le Boardwalk, le Beach club, le Yacht club et les Swan et Dophin.
Au départ du Port Orleans Riverside, où nous logions, ainsi qu’au départ de l’Old Key West et du Saratoga Spring il y aussi un charmant petit ferry qui mène à Disney Spring.
Depuis septembre 2019, WDW dispose d’un nouveau moyen de transport : le
Skyliner Lui aussi, dispose de trois lignes différentes. La
ligne Epcot, la plus longue des trois, relie le Carribean Beach au parc Epcot en passant par le Riviera, la
ligne Hollywood Studios relie le Carribean Beach au parc Holywood Studios et la
ligne Art of Imagination and Pop Century, relie les hôtels du même nom au Carribean Beach.
Pour l’achat des
billets d'entrée, l’option Hopper me semble indispensable pour une bonne organisation des visites et au moins pour pouvoir profiter de dîner et/ou passer la soirée dans un autre parc que celui visité en journée.
Pour bien planifier le séjour il est utile de s’aider d’un
crowd-calendar qui montre les estimations d’affluence dans les parcs aux dates choisies. En voici deux qui pourront déjà bien vous aider :
- https://www.undercovertourist.com/orlando/crowd-calendar/
- https://magicguides.com/wdw-crowd-calendar/
Avant de choisir les parcs à visiter, se pose la question des
EMH. Alors EMH ou pas ?
Quand les FP pouvaient être utilisés sans horaire précis au cours de la journée et qu’il fallait courir à l’arrivée au parc pour obtenir le premier avec la fenêtre la plus proche possible de l’heure d’arrivée, l’idée d’aller dans un parc le jour où il n’offrait pas d’EMH tenait la route car on s’attendait à ce que ce jour-là, il serait moins occupé.
Mais pour l’avoir testé, si on associe EMH et bon choix des FP+, on fait largement le tour du parc en question en une bonne matinée laissant ensuite le temps pour flâner, faire des photos avec les personnages ou aller profiter de la piscine des hôtels.
Donc, si vous êtes du type lève-tôt et que vous êtes capable de tenir un horaire, pas d’hésitation selon moi : on fonce sur les EMH et on adapte les FP+ sur la matinée. Mais ce n’est que ma stratégie
Si par contre, vous n’êtes pas du matin, optimisez votre journée par un choix attentif des FP+ et dans ce cas, peut-être serait-il, en effet, plus judicieux de choisir les parcs à visiter quand ils n’offrent pas d’EMH.
Dans l’organisation du planning, ce que je trouve le plus difficile c’est la
réservation des FP+. Il est donc super important de faire toutes les simulations possibles et de bien définir l’ordre dans lequel on va visiter les parcs car certains FP+ disparaissent de l’offre le jour même de leur apparition. Donc, une fois les dates choisies pour chaque parc, il faut s’y tenir sinon c’est le « bazar » (j’ai bien un autre mot, mais il est moins joli
) garanti avec le risque de perdre la possibilité de faire les attractions phares les plus prisées.
Il y a aussi les dilemmes dus au « Tiers ». Prenons l’exemple de Pandora où il n’était pas possible, du moins au moment de ma visite, de prendre des FP+ pour Flight of Passage ET Na’vi River Journey. Alors, oui, Na’vi River Journey, c’est très beau mais sincèrement, pas de quoi se taper 45 minutes de file. Certains diront que c’est gâcher un FP que d’en prendre un pour Na’vi River, mais pour ma part, je me sentirais moins frustrée d’attendre 45 minutes pour Flight of Passage en ayant pris un FP pour Na’vi River que le contraire. Ici, aussi, tout dépendra des priorités de chacun.
Pour les
restaurants, tout dépend d’où on part. Si l’on dispose du Dining plan, on est bien entendu tenté d’utiliser tout ça au mieux. Il en existe de 4 types. Toutes les infos s’entendent par
nuit réservée et non par entrée achetée.
- - le Quick service Dining Plan : 2 crédits repas comptoir
- le Disney Dining Plan : 1 crédit repas comptoir et un crédit repas à table
- le Disney Dining plan Plus : 2 crédits repas (comptoir ou à table)
- le Deluxe Dining Plan : 3 crédits repas (comptoir ou à table)
Chaque plan prévoit un mug ainsi que 2 snacks et une boisson par jour. Tous les crédits sont directement disponibles sur le Magic Band et utilisables sans limitation en ce sens qu’ils ne doivent pas l’être à une date précise. En effet, certains restaurants, les Restaurants Signature, de standing plus élevé, nécessitent deux coupons par repas.
Il faut savoir que ces coupons sont plafonnés. Il arrive donc que, pour certains plats des cartes, des suppléments soient requis.
Tarifs 2020 :
- - Quick service Dining Plan : 55$/adute 26$/enfant (3 à 9 ans)
- Disney Dining Plan : 78$/adute 30,50$/enfant (3 à 9 ans)
- Disney Dining plan Plus : 94,60$/adute 35$/enfant (3 à 9 ans)
- Deluxe Dining Plan : 119$/adute 47,50$/enfant (3 à 9 ans)
Ici aussi, d’expérience, je dirais que c’est le genre de plan à ne prendre que s’il est offert. En effet, quand on compare les prix des plans (qui ne prennent en compte ni les éventuels suppléments ni les tips !) aux budgets généralement prévus pour le point repas, le calcul est vite fait ! Voici, en guise d’exemple, mes propres dépenses :
- pour notre séjour de six jours et six nuits si j’avais pris un plan repas je serais partie sur le DDP. Sans le moindre extra, il m’en aurait au final couté, en partant sur des tips de 20% : 12x(78$*120%) ce qui nous fait un total de 1123$.
- nous ne nous sommes privées de rien et, au total, sur tous le séjour à WDW j’ai dépensé : 919,45$.
Dont tous mes petits déjeuners (non compris dans le plan repas), un repas Signature (pas piqué des hannetons, mais bon, on ne vit qu’une fois) et un repas avec Personnage. Ce qui aurait nécessité des suppléments. Au final, je m’en sors avec, au moins, 200$ de gagné, et bien plus si je tiens compte de mes petits-déjeuners ou si je zappe le restaurant signature.
Pour le choix des restaurants, qui reste avant tout un choix personnel, mais aussi pour toute une série d’info sur les parcs floridiens et californiens ainsi que sur la DCL je vous renvoie vers ce site, déjà maintes fois conseillé sur ce forum: https://allears.net. On y trouve, entre autre, le détail et les prix de tous les menus de WDW.
Et les
soirées spéciales? To do or not to do ?
Ici aussi, c’est une question de goût et de budget.
Je ne peux parler que de ce que j’ai expérimenté, la MNSSHP et l’After Hours à Animal Kingdom. Ces soirées After Hours sont saisonnières. Elles offrent la possibilité de profiter du parc « après les heures d’ouverture » dans le calme sans faire de file aux attractions, il en existe également à Magic Kingdom et à Holywod Studios. A Magic kingdom il y a aussi les soirées dédiées aux méchants de Disney, les Disney Villains After Hours at Magic Kingdom Park. Sans oublier les soirées de Noël, les Mickey's Very Merry Christmas Party.
Mickey Not So Scary Halloween Party.
Halloween est la fête américaine incontournable lors d’un séjour fin octobre. Il est donc difficile de ne pas recommander d’assister aux MNSSHP en cette période malgré la foule et la cohue. A faire au moins une fois ne fut-ce que pour voir les déguisements des américains et les distributions de bonbons.
After hours at Animal Kingdom
A posteriori, je ne conseille pas vraiment de dépenser des sous pour acheter des billets pour cette soirée, qui n’est pas donnée, sauf si c’est au cours d’un très court séjour et que ce serait la seule occasion d’aller à Animal Kingdom.
Par contre, si le temps n’est pas (trop) compté, je conseille plutôt de bien profiter des EMH et de, soit passer toute la journée au parc pour voir le spectacle aquatique, mais ça va faire une journée épuisante, soit d’y revenir un autre jour en fin de journée pour voir le spectacle et éventuellement refaire l’une ou l’autre attraction