Coucou, me revoilà… pour une SUITE !
Je sais que plus personne n’y croyait mais moi j’y croyais toujours à fond (enfin un tout petit peu
)!
Alors merci à toutes et à tous ceux qui ont laissé des petits messages touchants sur le TR
…pour plein de raisons, j’ai l’esprit beaucoup plus en paix qu’à la fin des vacances d’été et du coup un renouveau de courage pour mon TR.
En tout cas, merci merci merci d’être restés ou d’être arrivés et par votre présence de m’avoir encouragée à poursuivre!
Journée du 3 juillet : Houston, on a un des problèmes : doudou en détresse, fifille en détresse, mamie en détresse et gift card -à moitié dépouillée par un gang de nœuds Minnie- en détresse!Nous voici réveillés pour notre 2ème grande journée de parc(s). Pour aujourd’hui, on a choisi une formule dont nous ne sommes pas coutumiers et avec laquelle contrairement à beaucoup d’autres visiteurs nous ne sommes pas forcement à l’aise
: à savoir faire 2 parcs différents dans la journée avec une grande pause à l’hôtel en milieu de journée… En général, ce que notre famille préfère, c’est faire un seul parc toute la journée à notre allure piano pianissimo pour nous en imprégner totalement et tenter d’en extraire la substantifique moelle.
C’est ça notre kiff à nous.
Mais pour aujourd’hui, on déroge à notre modus operandi : en effet, j’ai réservé pour ce soir la super soirée patriotique du Magic Kingdom : la Fireworks Dessert Party spéciale 4 juillet.
Alors oui, il y a de quoi être perplexe : on fait la soirée du 4 juillet…mais en fait, on n’est pas le 4 juillet.
Bon ça, ça vient de moi et de ma petite parano personnelle : j’avais bien réservé la soirée du 4 juillet pour le 4 juillet (logique me direz-vous
) mais en allant fureter sur les forums américains, j’ai découvert que si un parc était trop bondé, on avait le droit de nous en refuser l’entrée même si on a une réservation de type ADR !
J’ai un peu -beaucoup!-psychoté sur le fait que Magic Kingdom serait peut-être hyper bondé le 4 juillet au soir et que l’interdiction d’y entrer tomberait comme une malédiction sur notre pomme comme par hasard après le passage et l’autorisation du dernier visiteur qui serait place dans la file à la sécurité juste devant nous
: donc j’ai pas voulu prendre le risque et du coup, comme il y a la même soirée spéciale programmée le 3 juillet (qui sert en quelque sorte de galop d’essai pour la soirée suivante), j’ai préféré avancer ma réservation de 24h.
De ce fait, je me suis dit qu’on écourterait notre visite prévue à Epcot le jour-même et que comme nous sommes de toute façon fans de ce parc, nous pourrions y batifoler à un autre moment du séjour pour finir d’en extraire la substantifique moelle.
Pour aujourd’hui le plan est donc de se cantonner à Future World et aux 3 FP+ que nous y avons réservés.
Pourtant cette matinée qui aurait pu démarrer sereinement, commence par un petit drame qui, avec le recul sur le bilan de la journée, aurait pu être annonciateur des quelques petits déboires rencontrés par un autre membre de la famille quelques heures plus tard.
Au réveil des enfants, cri de détresse de Rayan au moment de l’appel général des doudous. Il manque le doudou. Lequel ? Ben LE doudou, le SUPREME quoi. Son doudou de naissance, alias Teddy, qui fait absolument et obligatoirement tous ses voyages avec lui (et c’est sans concession)… s’il y en a un qu’il ne faut pas perdre, c’est celui-là. Mais là, pas de Teddy.
Pas d’affolement, c’est un doudou de petite taille donc qui se faufile volontiers malicieusement entre les draps… mais là, force est de constater que Teddy n’est pas en train de nous embobiner avec une partie de cache-cache surprise. Rayan finit tout de même par repérer le petit ours en détresse : dans l’agitation de la nuit, il est tombé entre la tête de lit et le premier battant du châlit dessous… le problème c’est qu’on ne peut pas y accéder car le lit est a priori fermé au niveau des pieds et du cadre et ne peut pas être déplacé. Teddy se retrouve donc coincé.
On n’a même pas la place d’y glisser la main car l’espace par lequel le petit ours est tombé est très très très réduit et ça coince à partir du poignet. Bref on ne peut qu’assister impuissant au désarroi de Teddy tout en lui prodiguant moult encouragements afin qu’il ne se sente pas abandonné.
Mais c’est sans compter que nous avons parmi nous…une Shaden
, alias la bienfaitrice de tout doudou dans la panade. Elle se lance à la rescousse et grâce à la finesse de son petit bras, elle parvient à chopper le petit ourson. Elle le tient !!! Hourr…
Non pas encore, malheureusement le chevet de ce lit est construit comme un casse-tête et on n’en sort pas comme on y est entre : à savoir qu’elle n’arrive pas à trouver un angle pour faire ressortir son bras. Je l’encourage comme je peux en lui disant que scientifiquement si elle a réussi à faire passer le bras à l’aller, ça devrait pouvoir le faire au retour mais elle tire et tire encore sans résultat. Maintenant de longues minutes passent et elle commence à s’affoler
, nous dit que ça serre trop (pendant que Rayan peu dans l’empathie fraternelle lui dit : « Surtout, quoi qu’il arrive, tu lâches pas Teddy !!! »
) Avec la mamie, on essaie de l’enduire de savon, de trouver un nouvel angle à son bras et tirons un peu (trop) mais elle nous dit qu’on lui fait mal …alors au moment où je me résous à devoir appeler le 911 et l’armée des bûcherons de Floride pour venir scier le cadre du lit et libérer ma fille
, MIRACLE : le casse-tête se résout grâce a un nouveau mouvement de sa part (sais pas lequel) et on voit le bras de SuperDoudette ressortir victorieux avec à son bout un petit Teddy bien soulagé ! Hip hip hip hourra, cette fois !
Rayan pour le coup est hyper reconnaissant
prêt à lui décerner la légion d’honneur de Super Héroïne des Doudous et toute la journée, il sera aux petits soins pour elle.
C’est donc tout détendus de l’issue heureuse de notre petit drame que nous finissons de compter les doudous, de nous préparer et de nous réconforter grâce à un autre de ces petits déjeuners délicieux à base de grande Mickey Waffle et de muffins dont le French Quarter a le secret.
Nous avons donc totalement oublié le petit incident du matin lorsque nous embarquons à bord de notre bus pour Epcot. (Shaden est déjà aux couleurs du 4 juillet.)
Epcot en vue avec le début du chantier pour le coaster Guardians of the Galaxy !
On reconnait avec félicité notre bouboule d’Epcot
:
A la descente du bus, des hordes d’oiseaux qui tournoient autour de nous…non sans nous rappeler à la mamie et moi le film éponyme d’Hitchcock.
Mais ceux-ci sont inoffensifs et après un très long passage à la sécurité, c’est l’heure d’aller voir la bouboule de plus près.
Franchement, on était à l’affut d’un photographe du photopass mais on n’en a pas trouvé un seul…alors on a géré seuls comme des grands…
En face de l’entrée devant les monolithes Leave a Legacy qui ont été démoli cette année.
Puis juste devant la fontaine de la sphère.
Direction alors notre premier fastpass : Soarin’, bien sûr, attraction fétiche de la famille : on aurait pu croire que notre passage à Flight of Passage hier lui aurait donné un petit coup de vieux… mais enfin, pour nous vieux = vintage
donc pas d’inquiétude quant à notre amour intact pour Soarin’.
Nous voici arrivés devant le pavillon où se trouve l’attraction, The land.
On entre à l’intérieur et en fait, Soarin’ se trouve au sous-sol donc on doit descendre en passant devant le restaurant Garden Grill, restaurant qu’on a adoré en 2016 grâce à sa plateforme tournante avec vue sur l’attraction Living with the land en bas, son menu All You Care to Enjoy et la visite personnalisée des personnages Disney pour un moment privilégié a notre table.
On n’aura pas réussi à le replacer dans notre planif 2018 mais ce n’est que partie remise, on aimerait vraiment le refaire (il est dans la liste réduite à 25 des restos encore en lice pour notre futur séjour 2020) On aperçoit avec nostalgie les personnages de Pluto et Tic (ouT) qui font coucou aux guests du restaurant.
Nous voici a l’entrée de Soarin’, il y a déjà foule alors heureusement qu’on prend la file des FP+.
Enfin, nous entrons… Soarin’ on l’a déjà faite un peu dans toute les positions, rangée 1, 2 ou 3, position centre, gauche ou droite, alors on laisse un peu le hasard faire et c’est pas grave si on est plutôt droite et rangée 2 (l’idéal étant centre, rangée 1). Je décide de prendre mon appareil-photo dans l’attraction même si cela met un petit coup de stress à Rayan qui me voit déjà le lâcher et le casser en écrasant la tête du CM en-dessous obtenant un bannissement à vie du parc pour toute la famille.
Mais je ne résiste pas…
Alors décollage !
Comme toujours on se laisse emporter par l’euphorie flottante de ce voyage merveilleux dans les airs et par la beauté des paysages merveilleux de notre planète !
Shaden est fière d’avoir atteint l’Everest et l’amoureuse des doudous qu’elle est ne résiste pas à caresser un vrai Teddy (polaire celui-ci…)
De Sydney aux safaris africains en passant par la muraille de Chine, on finit par se retrouver…chez nous !!!
Petit moment de flottement au moment où l’on ne sait pas si l’on réussira à franchir le canyon !
Et de fil en aiguille, en rencontrant notamment une Tour Eiffel ultra flexible
, notre nacelle nous reposera en douceur à… Epcot !
Quel beau voyage nous venons de faire là, cette attraction nous plait toujours autant et même la claque Flight of Passage n’aura pas réussi à la démoder !
C’est donc avec encore des étoiles plein les yeux que nous décidons –un petit peu comme à chaque fois que nous faisons Soarin’ d’ailleurs d’enchainer avec l’attraction qui se trouve juste à côté: Living with the land où il n’y a quasiment jamais aucune attente. Elle est certes infiniment moins sophistiquée que Soarin’ mais nous on l’adore à chaque fois, la visite en barque des petites serres du parc.
Cela commence par la visite des différents types de paysages de la planète : jungle, mangrove, désert, prairie, campagne, …
Et puis au détour d’un tunnel tout au bout, on aperçoit véritablement la fabuleuse petite serre ensoleillée du parc avec toute sa variété de fruits/légumes/fleurs et ses techniques de cultures expérimentales et modernes.
Ça commence par la visite de la serre tropicale avec ses fruits du dragon, ananas, cacao, bananiers, etc.
Puis on passe à une partie –qu’on aime un peu moins il faut le dire- avec l’aquaculture. Heureusement qu’il y a un Hidden Mickey facile à repérer.
Puis c’est la visite de la serre tempérée avec coton, fleurs comestibles, canne à sucre, …
Un bel Hidden Mickey végétal cette fois :
On arrive enfin à la culture verticale de plantes classiques mais qui bizarrement ne poussent pas dans le sol à l’horizontale mais à partir de formes d’arbres, le plus célèbre étant l’arbre à tomates (dernière photo).
Et la dernière partie de la serre est consacrée à l’agriculture du futur avec des types de technologie de culture tels qu’il pourrait y en avoir un jour dans l’espace.
On quitte enfin la serre en repassant sous un tunnel : cette visite est un petit havre de paix qui est à la fois ludique, intéressant et suscite une certaine curiosité. Disney propose la visite des coulisses de la serre pour une heure pour un certain prix : c’est le
Behind the Seeds tour. Je pense le faire un jour, qui sait, peut-être l’an prochain maintenant que Shaden a grandi et peut tout comprendre au niveau explication.
Nous quittons à présent le pavillon The land…non sans un un petit pincement au cœur car la petite attraction de cinéma familiale Circle of Life (le petit film écologique sur le roi lion) que nous appréciions franchement bien a définitivement fermé en début d’année
: c’est la première fois que nous ne la ferons pas et d’ailleurs que nous ne la ferons plus tout court. Je sais bien qu’elle ne payait pas de mine mais on adorait les passages avec des images superbes de la nature montées sur la chanson Circle of Life, c’était encore un autre beau moment en famille.
En sortant, on marche sur des dalles sur lesquelles on n’avait jamais trop tilté auparavant : elles sont circulaires, formant elles-mêmes un cercle : c’est le Cercle des Inventeurs qui rend hommage aux grands inventeurs du passé : je prends en photo de manière assez aléatoire d’ailleurs Gutenberg et Pasteur (Je me demande si pour la rénovation du futur Epcot on ne les a pas déjà enlevées …)
En attendant, on est toujours assez loin de l’heure de notre prochain FP+ (pour Spaceship Earth) alors on décide de patienter en allant voir s’il y a beaucoup d’attente au Character Spot de Baymax et de Joie et Tristesse.
Autant pour les 2 filles de Vice Versa, il y a une file dingue
(c’était la même chose quand on y était allé en 2016) et on abandonne d’avance, autant l’attente pour le petit assistant de bien-être gonflable semble plus humaine…on décide donc de s’y coller, étant donné que l’on est 3 fans de Baymax
(la mamie ne le connaissant pas, elle, on lui explique juste que c’est un super infirmier qui soigne le corps mais surtout le cœur et l’âme) et l’on patiente donc les 20 bonnes minutes qu’il faut pour arriver jusqu’à lui.
Même s’il ne signe pas d’autographes et ça se comprend vu l’ergonomie de sa main !
, la rencontre n’en en pas moins magique, en particulier pour les enfants et surtout pour Shaden qui disparait dans un câlin gonflable gigantesque.
Cela se corse un peu plus lorsque je veux moi aussi lui faire un câlin : je suis surement un peu trop emportée par mon enthousiasme et j’oublie totalement le côté CM du personnage
et du coup je manque de renverser Baymax à l’arrière les 4 fers en l’air
, je le retiens de justesse par le bout de son enveloppe gonflable qui n’est d’ailleurs pas pratique et glissante et il s’en faut d’un cheveu pour qu’il ne se transforme par ma faute en tortue condamnée sur sa carapace retournée
. Baymax reprend son équilibre en reculant précipitamment et je me confonds en excuses
en préférant imaginer que c’est le vrai Baymax qui me pardonne mon impétuosité
plutôt qu’un CM furibard me maudissant pour ma maladresse
. Nous faisons quand même la photo de groupe mais je constate que Baymax a quand même préféré reculer un peu… au cas où !
Nous sortons présent et nous avons toujours une dizaine de minutes à tuer avant notre prochain FP+ …alors il fait chaud, presque lourd donc pourquoi pas se rafraichir ?
Se rafraichir devant la Fountain of Nations ?
Beuh non, ça suffit pas pour le gosier…
C’est plutôt vers Club Cool ...et son stand de Coca Colas internationaux gratuits qu’il faut aller.
Allez, la famille se lance dans des tests…qui ne seront pas tous concluants vu les têtes (et encore zavez pas vu la mienne !)
Shaden encore pleine d’espoir…
Décidément quand ça veut pas….
On finira pourtant tous par trouver un gout qui nous convienne à chacun et finissons notre dose
de rafraichissement de sucre avant de nous lancer dans le furetage de la boutique Coca-Cola et de son joli merchandising. Plaisir des yeux seulement, car nous avons prévu de retourner à la grande boutique de Disney Springs beaucoup plus achalandée même s’il y a déjà des jolis articles sur lesquels je craquerais volontiers.
Avant de sortir, les enfants repèrent sur une jolie table /guéridon le nom Coca Cola avec une graphie arabe qui nous est beaucoup plus familière !
Mais c’est maintenant l’heure de notre prochain FP+ alors vite sus à la sphère et a son attraction dans laquelle nous pouvons nous engouffrer après quelques minutes d’attente.
Nous nous plaçons 2 par 2 dans le petit train qui va nous emmener à travers les époques en nous hissant tout en haut de la sphère avant de nous en faire redescendre.
On nous photographie dans la montée pour un futur petit montage qui sera utilisé dans la descente et le post-show et c’est parti pour notre fabuleux voyage temporel d’abord en traversant un tunnel d’étoiles scintillantes…
Le thème du ride est la chronologie de la communication humaine et c’est ainsi que la première scène nous envoie directement à l’époque préhistorique de Lascaux avec les premiers formes d’art humaines.
Puis nous faisons un bond en avant dans le temps en arrivant à l’Antiquité…chez les Egyptiens, youhou !!!
... Ce sont ensuite les Phéniciens et leur premier alphabet que nous croisons.
Puis nous quittons le Proche orient pour revenir en Europe avec l’Antiquité gréco-romaine…
…avant que l’effondrement de cette culture ne plonge l’Europe dans une ère plus sombre …et les progrès dans les sciences et les arts seront heureusement pris en relai par la culture arabo-musulmane du début du Moyen Age.
Pendant ce temps en Europe, les copistes essaient tant bien que mal de préserver les connaissances…
Jusqu’au moment où l’invention de la presse à imprimer par Gutenberg va enfin révolutionner la sauvegarde et le rayonnement des informations.
..Et c’est la fabuleuse époque de la Renaissance qui est représentée avec comme point d’orgue, Michel-Ange au travail sur son échafaudage de la chapelle Sixtine.
Les scènes suivantes nous transportent maintenant en Amérique du Nord où l’on peut suivre le développement des communications et des télécommunications de masse : les journaux, le télégramme, le téléphone, la radio, le cinéma, la télévision (avec l’atterrissage en direct d’Apollo 11 sur la lune) et c’est avec l’avènement de l’ordinateur et des micro-technologies informatiques que nous parvenons à l’apogée de notre fantastique voyage (on peut seulement y regretter l’absence de mention des civilisations américaines précolombiennes et extrême-orientales, ce qui est logique au niveau de la vision d’époque historique de cette attraction déjà ancienne, mais qui va profiter d’un relifting de qualité avec je pense une nouvelle vision d’ici 2021) et nous parvenons aussi au sommet de la sphère…
… ce qui nous permet d’observer notre belle planète de loin avant de redescendre et de revenir à notre époque et notre lieu en repassant au milieu des étoiles !
Sur le chemin du retour, le petit écran tactile devant nous nous propose de répondre à un petit questionnaire sur nos gouts avant de nous montrer un petit film décrivant notre futur basé sur les réponses que nous avons faites et les photos que nous avons prises en début de ride.
A l’atterrissage final, lorsque nous sortons enfin de notre petit train, nous accédons à une immense salle au design futuriste avec un globe central sur lequel passent les photos des visiteurs de l’attraction. On peut même voir sur de grands écrans géants au-dessus de nous des cartes postales du futur qui nous a été bâtis…et d’ailleurs on peut s’envoyer nos cartes postales sur notre adresse mail à partir de petits écrans situes de part et d’autre du globe.
Bien sûr qu’on va le faire !
Avant de partir, les enfants veulent absolument jouer à une petite partie de jeu: en effet, il y a une aire d’exposition avec plusieurs petits jeux interactifs (Project Tomorrow) et les enfants vont en faire un : Power City sur la gestion et le transport de l’énergie (qui ressemble en fait à une partie de hockey avec un palet virtuel). En parlant d’énergie, je ne les ai jamais vus en dépenser lorsqu’on leur met un balai dans les pattes pour aider au ménage de la maison…
et pourtant à les voir s’éclater autant sur un manche, cela me donne des idées de passage de serpillère pour l’avenir.
Après une ou deux parties, on laisse la place à d’autres guests pour le jeu et c’est donc heureux que nous sortons de la sphère car il est désormais l’heure de notre prochain FP+ !
Les enfants sont détendus, complices
… sans se douter que les minutes qui vont suivre vont bientôt sceller le destin d’un autre membre de la famille.
Et le destin, justement, on s’y dirige tout droit nul ne pouvant échapper à la fatalité.
Et ces époustouflants percussionnistes au loin, les Jammitors, dont la musique résonnante et entrainante donne le rythme aux battements de nos cœurs réjouis ne sont-ils pas en fait déjà en train de sonner le glas ?