Mais si certains font une obsession sur la couleur d'Arielle, c'est que Disney fait une obsession sur la couleur de ses persos genre Triton qui a des filles de toutes les couleurs (ce qui n'est pas expliqué d'ailleurs) et la mère d'Eric qui est noire (encore un enfant adopté). Disney va finir comme la publicité : que des familles multi ethniques, ce qui existe très peu dans la vraie vie.
Les différentes ethnies des sœurs sont expliquées par le fait que chacune d'entre elle dirige un des sept océans.
Dans les dessins animés, les sœurs ont toutes des queues de couleur différente. Où sont les explications ? On attend aussi les explications concernant le fait qu'Ursula ait des tentacules alors que c'est la sœur de Triton (et c'était déjà le cas dans le musical). Dans Hercule, Zeus et Hadès sont frères et n'ont pas la même couleur, on demande les justificatifs de naissance ! Ou alors, on essaie de se souvenir que tout cela est fantaisiste, que ce sont des choix artistiques et qu'ils ne sont tenus de justifier que ce qu'ils estiment utile.
Disneyland Paris : déc. 1997/avr. 1998/juil. 1999/avr. 2005/aoû. 2005/oct. 2005/fév. 2006/avr. 2006 - Cast Member 2006-2011 - visites régulières jusqu'à aujourd'hui Walt Disney World Resort : nov. 2008/mai 2011/fév.-mars 2018/sep. 2019/oct. 2022 Disneyland Resort : sep. 2009/mai 2013/nov. 2015/août 2019/déc. 2023 Tokyo Disney Resort : juin 2015/avr. 2016 Hong Kong Disneyland Resort : mars 2016 Shanghai Disney Resort : mai 2016 / juin 2016 / juil. 2016 Disney Cruise Line : mars 2018 (Disney Dream) / sep. 2019 (Disney Fantasy) / oct. 2022 (Disney Wish) / nov. 2023 (Disney Magic) / sep. 2024 (Disney Wonder)
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Princess Meg Modérateur
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Perso je trouve ça aussi insensé que de se demander pourquoi un chat roux et une chatte noire donnent naissance à un chaton blanc.
Par exemple Mélodie à la queue rouge et les cheveux noirs et perso depuis tout petit je me suis que sa queue est rouge en rapport aux cheveux rouges de sa mère et ses cheveux sont noirs comme ceux de son père. Parfois il ne faut pas chercher l'explication trop loin.
La suspension d'incrédulité ne marche juste pas forcément ni exactement de la même manière entre deux œuvres ou entre deux versions qui en sont dérivées.
Exactement. Pour ceux qui souhaitent en savoir un peu plus sur le concept : https://fr.wikipedia.org/wiki/Suspension_consentie_de_l%27incr%C3%A9dulit%C3%A9
A titre personnel, j'attends un travail plus important sur des films en live action de ce point de vue là où je suis moins regardant sur des dessins animés. C'est pourquoi je pense que toute oeuvre DA n'est pas bonne à être adaptée en live action et pour moi, la petite sirène en est l'illustration même. D'autres moins regardant, n'auront pas ce problème mais pour moi la suspension d'incrédulité n'a pas fonctionné sur le live action de la petite sirène. Et la couleur de peau des sirènes est vraiment pour moi le moins pire de tous les trucs qui ne fonctionnent pas. La petite sirène qui prend sa respiration sous l'eau, l'oiseau qui bouffe un cousin de polochon mais c'est pas grave parce que lui ne parlait pas et qui ensuite tient une discussion parfaitement audible avec la sirène et le poisson sous l'eau, tout cela m'a complètement sorti de l'immersion alors que ça serait probablement passé dans un DA.
Attention cependant, si pour moi, la suspension d'incrédulité est un argument parfaitement valable pour se poser des questions sur les différentes couleurs de peau des différentes filles de Triton, de même qu'à la parenté d'Ursula et Triton, il est trop facilement dégainé dans le débat qui opposent wokes et antiwokes, en faveur des anti alors que je suis sûr que 80% n'en n'ont rien à carrer de la suspension d'incrédulité. C'est un peu l'argument facile pour eux.
Disney Orlando (2014, 2017, 2024) / Anaheim (2015, 2022) / Tokyo (2016, 2025 ?) / Hong-Kong (2018) / Shanghai (2024)
Exactement. Pour ceux qui souhaitent en savoir un peu plus sur le concept : https://fr.wikipedia.org/wiki/Suspension_consentie_de_l%27incr%C3%A9dulit%C3%A9
A titre personnel, j'attends un travail plus important sur des films en live action de ce point de vue là où je suis moins regardant sur des dessins animés. C'est pourquoi je pense que toute oeuvre DA n'est pas bonne à être adaptée en live action et pour moi, la petite sirène en est l'illustration même. D'autres moins regardant, n'auront pas ce problème mais pour moi la suspension d'incrédulité n'a pas fonctionné sur le live action de la petite sirène. Et la couleur de peau des sirènes est vraiment pour moi le moins pire de tous les trucs qui ne fonctionnent pas. La petite sirène qui prend sa respiration sous l'eau, l'oiseau qui bouffe un cousin de polochon mais c'est pas grave parce que lui ne parlait pas et qui ensuite tient une discussion parfaitement audible avec la sirène et le poisson sous l'eau, tout cela m'a complètement sorti de l'immersion alors que ça serait probablement passé dans un DA.
Je me fais une raison en imaginant que les sirènes se fondent dans leur environnement en arborant les caractéristiques des poissons et des humains de leur zone géographique, mais ça nécessite un effort supplémentaire que n'exigeait pas le dessin animé à l'origine.
Hormis ce point et sans forcément compter les invraisemblances du postulat de base avec les dialogues sous l'eau, je trouve que le film s'en sort relativement, peut-être laborieusement, pour ce qui est d'apporter des explications et un semblant de cohérence. S'ils ont voulu avoir une famille noire de peau pour Éric, ils établissent au moins le fait que c'est parce que leur Royaume fictif est situé dans un archipel des tropiques, avec beaucoup de passages de populations (quand tout va bien), où le racisme sur Terre n'est visiblement pas un sujet. Et cela leur permet par ailleurs de faire d'Éric un enfant du monde, adopté et donc particulièrement précieux aux yeux du Royaume, venu des mers qu'il veut explorer, ce qui en fait au final le parfait parallèle d'Ariel.
S'ils veulent s'assurer de rendre la relation entre les deux jeunes crédible alors qu'elle est si brève, ils établissent le fait que le chant de sirène est un attribut magique existant dans leur mythologie comme dans leur réalité, ce qui semblait auparavant être juste un talent inoffensif d'Ariel qu'Ursula pervertissait ensuite. Ici, après avoir déjà remarqué leurs similitudes en le voyant sur le bateau, Ariel utilise ce chant pour sauver Éric, ce qui a l'air de le rendre presque fou à son réveil (l'occasion d'avoir cette belle chanson qu'est Par-delà l'Horizon) et, bien que je me doute que Halle Bailey devait se les cailler sur son rocher, j'ai alors l'impression qu'Ariel aussi le dévore du regard lorsqu'elle le voit lui échapper dans la reprise de Partir Là-Bas, qu'elle est viscéralement liée à lui à tel point qu'elle frissonne comme pour lutter contre ses instincts de prédation. Quand Ursula prend cette voix au pouvoir envoûtant et ajoute la clause d'amnésie à son contrat, non seulement celle-ci montre qu'elle ne fait pas qu'un pari risqué pour elle-même en ayant simplement donné à Ariel la solution à son contre-la-montre, cela permet, comme d'autres l'auront observé avant moi, de rendre l'approche d'Ariel moins intéressée et plus sincère.
Il est aussi possible que les filles de Triton ne soient pas ses filles biologiques, mais simplement des élues à la naissance destinées à gouverner sur un océan et élevées/formées par Triton, et que seul Ariel qui est destinée à gouverner sur Altantica soit sa fille biologique.
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Dommage que disney a coupé la partie de Kiss the Girl où Ariel apprend à Éric son nom à partir des étoiles dans le clip youtube, c’est un de mes moments préférés du film.
Je regarde les clips en boucle et à mes yeux Part Of Your World et Under the Sea sont les meilleurs moments musicaux du film. D’ailleurs, de base en écoutant la version de Diggs, le jour de la sortie de la soundtrack, j’étais extrêmement déçu. Cependant, dans le contexte du film ce moment a pris une toute nouvelle forme surtout avec la séquence de danse aquatique et l’ajout d’une toute nouvelle séquence musicale. Je serais même prêt à dire que cette version d’Under The Sea, visuellement et musicalement est meilleure que l’original, l’ajout d’Halle aide également beaucoup. Ça montre qu’elle ne déteste pas l’océan mais souhaite juste voir plus.
Puis Part of Your World…que dire, parfait en tout point, même dans l’exécution filmique, les frissons à chaque parole, à chaque plan. Surtout que j’avais beaucoup de peur du coté de Rob Marshall qui est un réal très hit or miss.
Juste un peu déçu qu’il n’y ait pas de reprise avec un choeur pour Part of Your World à la fin…J’attends maintenant qu’ils postent For the First Time, Uncharted Waters et Poor Unfortunate Souls.
D’ailleurs PUS m’a un peu déçu comparé aux autres séquences musicales, c’était BEAUCOUP trop court même si vocalement Melissa se débrouille pas mal. Puis visuellement le retrait des mains démoniaques et de la bulle/placenta lors de la transformation d’Ariel qui étaient extrêmement symboliques m’a étonné. Là même lors de la transformation de Vanessa à Ursula qui est cachée par un rideau de fumée. Je pense que déjà que le budget pour les scènes sous l’eau était énorme ils ne pouvaient malheureusement pas tout faire. D’où la différence de qualité des VFX entre Under The Sea et Poor Unfortunate Souls par exemple…
Le livre "Guide to Merfolk" (produit officiel Disney sorti à l'occasion du film 2023) contient tout le lore établi pour ce live action et répond à bon nombre de questions restés sans réponses dans le film. Et le pire, c'est qu'il est la preuve que le film n'utilise même pas le lore a son avantage, et se permet même de se contredire! Tout d'abord, les filles de Triton sont bien ses filles biologiques, c'est précisé dans le livre, donc arrêtez de vouloir trouver une explication logique quand à leur apparence, c'est juste une question de quota à respecter. Cela dit, Triton serait carrément un Dieu d'après le livre, donc cela peut expliquer ces différences (et encore, je trouve ça très gros d'imaginer Triton se demander quelle origine ethnique aura son futur enfant avant de passer à l'action avec Madame). De plus, il est précisé via une carte du monde qu'à l'origine, l'histoire se situait dans un monde alternatif dont le relief était complètement différent du notre, et le noms des mers est inédits (Saithe, Carinae, Brinedive, Fracus, Piton, Chaine et Apneic). Le fait que dans le film, Eric parle de pays existants bien dans notre monde est une énorme incohérence avec ce qui avait été établi à la base! De plus, si on en croit la partie consacrée à Ursula, elle n'était pas censé mentionner les vents de la mer Caspienne comme dans l'originale, mais plutôt les vents de la mer Apneic.
Ce film était déjà un gros "Bof" pour ma part, il le devient encore plus une fois "Guide to Merfolk" en mains. Quel dommage de développer tout un univers aussi riche pour au final ne même pas s'en servir dans le live action lui-même...
Princess Meg Modérateur
Âge : 28 Messages : 12864 Localisation : Dans la citadelle de Vahla Ha'Nesh. Inscription : 07/06/2013
Tout d'abord, les filles de Triton sont bien ses filles biologiques, c'est précisé dans le livre, donc arrêtez de vouloir trouver une explication logique quand à leur apparence, c'est juste une question de quota à respecter. Cela dit, Triton serait carrément un Dieu d'après le livre, donc cela peut expliquer ces différences
Il m'a toujours semble logique que Triton soit un Dieu. Si on part du principe que son père est Poséidon, ça prend sens. Je ne comprends pas qu'on soit encore en train de parler de "quota à respecter" quand aux ethnies des sœurs d'Ariel. C'est un choix assumé pour montrer que chaque sœur dirige un océan différent. Dans Hercule, tous les Dieux sont de couleurs différentes, allant du bleu au rose en passant par le orange et le vert. Est-ce qu'on en fait toute une histoire ?
Les sœurs d'Ariel sont des créatures fantastiques tout comme leur père et leur tante. Elles sont de couleurs diverses et variées et ça n'a rien à voir avec des quotas à respecter.
Merci pour le partage de cette vidéo que j'ai pris plaisir à regarder et que tout le monde devrait regarder.
Pour ma part je pense sincèrement que Halle Bailey est la première actrice a autant correspondre au personnage qu'elle interprète (je parle notamment des princesses même si les autres personnages peuvent être inclus).
Ma préférée jusqu'ici était Elle Fanning que je trouve rayonnante dans le rôle d'Aurore. Mais si on prend en compte le fait que Maléfique (et sa suite) est une réadaptation très libre de La Belle au Bois Dormant du point de vue de Maléfique, on peut donc en conclure que la Aurore jouée par Elle Fanning n'est au final pas la même que celle du DA de 1959. Car si c'était le cas, on serait tous d'accord je pense pour dire que le personnage d'Aurore du remake ne ressemble que très peu au personnage animé. Après il faut dire que le personnage est si effacé qu'il aurait été difficile d'en faire une copie conforme en live sans l'étoffer en profondeur.
Les autres princesses de remakes (Cendrillon, Belle...) ne m'ont pas assez convaincus. Jasmine se démarque selon moi par son jeu/chant très juste et sa personnalité plus agréable que son personnage animé. Mais du coup son personnage se différencie quand même pas mal de la Jasmine de 1992.
Concernant La Petite Sirène, je trouve que Halle Bailey à magnifié le personnage d'Ariel en lui insufflant toute la joie, l'énergie et la curiosité d'Ariel tout en apportent sa propre touche (notamment sur le chant, où elle a pris quelques libertés dans Partir Là-Bas par exemple), mais sans pour autant dénaturer son personnage, contrairement à ce qu'a pu faire Emma Watson sur Belle.
Les autres personnages du film correspondent dans l'ensemble beaucoup à leur alter ego animé, mention spéciale à Éric. Je trouve que le travail sur le traitement et le respect des personnages du DA est quand même très bon comparé à ce qu'on a pu avoir dans les autres remakes.
Pour ma part je considère que les pires acteurs choisis pour interpréter un personnage animé dans les remakes sont les acteurs incarnant Jafar, Aladdin, Belle. Et potentiellement Balnche Neige mais je ne peux évidemment pas m'avancer sur cette dernière vu que le film n'est pas encore sorti. J'ai un mauvais feeling quand au casting de cette actrice mais j'espère que le temps me donnera tord et qu'elle correspondra à merveille à Blanche Neige (bon après ça va être dur car selon moi Blanche Neige est un personnage assez intouchable car cultissime à bien des égards, donc l'interpréter ne sera pas une mince affaire).
Mais j'espère vraiment que Disney continuera sur cette lancée en rendant hommage à nos personnages Disney préférés, non pas en trouvant des acteurs leur ressemblant physiquement à 100%, mais en engageant des acteurs qui sauront se mettre dans la peau de leur personnage.
Vous êtes certain qu’on a vu le même film ? Car pour moi ça ne se passe pas comme ça…
Pourtant, elle le fait frire, sans compassion.
Article d'IndieWire sur les effets spéciaux d'Ursula :
IndieWire a écrit:
Designing a Showstopping and Terrifying Ursula for ‘The Little Mermaid’
From "Poor Unfortunate Souls" to "Big Ursula" attacking the kingdom, the live-action "The Little Mermaid" delivered an iconic villain.
Always the musical showman, “The Little Mermaid” director Rob Marshall insisted that the most gestural parts of Melissa McCarthy’s live-action performance as Ursula were supported by eight puppeteered tentacles. This was especially vital during the Divine-inspired “Poor Unfortunate Souls” showstopper, where the sea witch lures Ariel (Halle Bailey) into a trap to become human.
“For Rob, performance is the most important thing,” MPC VFX supervisor Patrick Ledda told IndieWire. “And, in particular, the musical beats. For instance, ‘Poor Unfortunate Souls’ was built in layers. The first version that Rob shot, he was literally using a Disney Ursula doll, and the set was just made of simple cardboard boxes, and he would move the doll around to create the journey of Ursula in this world. Then we did a previs pass to visualize the whole sequence very roughly.”
This progressed to the eventual “dry for wet” shoot to simulate being underwater on a blue screen stage at Pinewood Studios in England. There, McCarthy was attached by a harness to a Tuning Fork rig on wheels, controlled and moved around by a couple of guys in blue suits. “It was all choreographed, and she was free to move her upper body and emote,” Ledda said. “Rob would then add that puppeteer performance of the tentacles, and they would match Melissa’s performance. Then once we got the plates with the puppeteers, we obviously replaced a lot of it and it became a digital performance.”
Then came the time-consuming part: animating eight independently moving tentacles. First, they looked at lots of octopus references and added plenty of controls so that the MPC animators could manipulate the performance. “And then there would be some software that would automatically add secondary dynamics,” added Ledda. “So you end up with all these little curls and twirls like when you look at a real octopus.”
“We had to figure out where to blend but, in the end, most of her body is digital,” he added. “We kept her hands and her face. That allowed us to take over just under the chest so we could have the stomach region and then blend that into the tentacles.”
McCarthy’s hair was CG as well, which was hard because it needed to behave as if underwater, which can get messy and ugly. That required advanced techniques to manipulate artistically to Marshall’s liking. “Rob was quite picky,” Ledda said. “It was started as a simulation, but then we modified certain poses. We also wrote some tools where we could start in one direction and make sure the hair wants to go in that direction without being forced. We had a first pass on ‘Poor Unfortunate Souls,” which I love, but Rob felt that the hair was too loose. Then we did a whole other pass and it was too stiff, and eventually we landed where we wanted to.”
The biggest decision was what to do about the underwater look of skin. Marshall wanted the look of the film overall to resemble “Blue Planet,” but he drew the line when it came to the facial performances of his actors, and opted instead for more appealing skin and eyes. “He wanted this more like the live-action portion where the actors were shot in a traditional way on a set,” Ledda said. “He didn’t want to modify the photography.”
Meanwhile, for the climactic battle with “Big Ursula” attacking the kingdom and the ocean turning into a giant whirlpool, MPC upped its animation. The studio rewrote its water simulation to have greater latitude and artistic control to set the right properties.
“Very early on, in very rough versions, Rob gave notes on the heights of the waves and the wind and all the other properties,” added Ledda. “And that was useful because we knew that we couldn’t wait until a proper final simulation for his notes. It took a long, long time. Rob had essentially no notes. On that sequence, once he saw close to the final image, he was very complimentary.”
The animation of the character had its own challenges because the first version they did was essentially Ursula, only 47 times bigger. First, they did a facial capture session of McCarthy with some markers, directed by Marshall, to deliver the performance that would be translated into a giant zombie version of Ursula.
“And that was the original idea, but it was difficult on that scale because it still looked like the same character. So it was a bit odd and some of the comments we got was that she wasn’t scary enough. It was going to be at night with complex water and the lightning, so we went through many rounds of concept work with our art department and Rob, and we landed on a version, to be honest, about three or four months before the delivery of the film.”
But then there were concerns that Ursula was too scary for young kids after applying more octopus skin all over her face and neck, changing her pupil design, and making her hair more scraggly and dirty. So they played with how much to see of her. “Rob always had this idea that we never see her very well,” Ledda said. “It’s like you see flashes of her, but it’s not quite clear what you’re looking at. And that was the mysterious language that we landed on.”
En résumé, le plus important pour le réalisateur Rob Marshall était la performance de l'acteur et le rythme de la musique. La première version de Pauvres âmes en perdition qui a été filmée était une poupée Ursula autour d'éléments en cartons afin de visualiser chaque étape de la scène (des prévisualisations plus poussées suivront). Par la suite, Melissa McCarthy a été filmée suspendue dans les airs, par des fils ou un diapason. Il y avait également des marionnettistes pour simuler les tentacules, même si elles ont quasiment toutes été recréées en CGI par la suite, mélange d'animation à la main et de simulations. Pour les cheveux, le réalisateur ne voulait pas quelque chose de trop souple. Si Rob Marshall souhaitait que les fond marins rappellent les documentaires de La Planète bleue, il a cependant voulu que l'aspect de la peau des acteurs reste au plus proche de ce qui avait été capté sur le tournage.
Pour la bataille final, le studio d'effets spéciaux MPC a dû revoir son logiciel de simulations de vagues et de vents pour pouvoir atteindre les amplitudes souhaitées par le réalisateur. Celui-ci ayant donné des indications très en amont, cela a été bénéfique pour le studio tant le travail était complexe. Rob Marshall n'avait pas énormément d'exigences et a été très élogieux sur leurs images finales. L'animation du personnage avait également ses propres défis. La première version n'était qu'une Ursula 47 fois plus grosse (McCarthy avait fait de la motion capture) qui a ensuite été jugée pas assez effrayante. Le personnage a alors été repensé avec le département artistique pour arriver à la version finale, avec la peau de pieuvre sur son visage et ses pupilles noires, 3 ou 4 mois avant la sortie du film. Mais ils ont ensuite craint qu'elle effraie désormais trop les plus jeunes, alors il a fallu alterner à quel point on pouvait la voir, entre l'obscurité et les flashs des éclairs. Rob Marshall ayant toujours eu l'idée qu'on ne puisse pas très bien la discerner.
Dans le monde, La Petite Sirène vient de franchir les 470 millions de dollars (257,9M US, 212,9M à l'internationale). En France, avec ses 1,356 millions d'entrées, La Petite Sirène vient d'arriver dans le Top 10 des films 2023. Avec Spider-Man: Across the Spider-Verse, le film se maintient plutôt bien, alors que les entrées de The Flash et Transformers chutent très vite. Au Japon, le film reste en tête pour le seconde semaine consécutive (il n'est sorti que le 9 juin), et a rapporté 10 millions de dollars. Toujours du côté de l'Asie, le film est également plébiscité aux Philippines, où il est actuellement le plus gros succès cinéma de l'année (la BO est en tête des écoutes et Wild Uncharted Waters a également été n°3 "VIRAL SONG" sur leur Spotify).
Top 10 : 1. US et Canada : 257,9M 2. UK : 28,2M 3. Mexique : 19,6M 4. Brésil : 14,8M 5. Italie : 12,3M 6. Australie : 11,8M 7. France : 11,1M 8. Japon : 10,4M 9. Espagne : 10,3M 10. Allemagne : 9,7M
Pour sa 4e semaine dans le classement Billboard, La Petite Sirène reste le second album le plus vendu dans la catégorie Soundtracks, derrière Metro Boomin Presents Spider-Man: Across The Spider-Verse après avoir passé 2 semaines consécutives à la première place. Tous styles confondus, la Bande Originale est désormais à la 64e place du Billboard 200 (sa meilleure position a été 21e, celle de La Petite Sirène (1989) était montée jusqu'à la 32e place en 1990).
Les extraits des chansons mis en ligne sur YouTube par DisneyMusicVEVO attirent également beaucoup. En quelques jours, Part of Your World est déjà à 4.3 millions de vues, Part of Your World (Reprise) à 1.4 M, Under the Sea à 3.4M, Kiss the Girl à 746 k (en ligne depuis 5 jours) et The Scuttlebutt est à 2M.
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L'extrait Vanessa's Trick est désormais en ligne !
Les vocalises d'Halle Bailey sont sublimes. Pour avoir écouté quasiment toutes les versions internationales, peu de chanteuses rivalisent avec sa voix. Et Jessica Alexander réussit à s'imposer malgré son peu de temps à l'écran.
Pas très convaincu par cette chanson non plus. Ils ont juste repris l'air de la scène de la tempête et ont mis des paroles dessus... Ils ont bien fait de l'enlever. En plus je trouve que l'acteur ne dégage aucune émotion donc une chanson sur lui non merci...
Je suppose qu’on peut espérer une sortie sur disney + pour la rentrée alors (hors France bien sûr). Si on suit le schéma des autres film Disney, Marvel, etc, c’est généralement 3 mois après la sortie en salle.
J’ignore si l’info est correcte, mais d’après certains médias aux États Unis le film commence à être rentable depuis vendredi, et tout ce qu’il va faire comme profit à partir de maintenant sera considéré comme bénéfice pour les studios. On serait actuellement à 20 millions de bénéfice et il devrait finir sa course autour de 50/70 millions de bénéfices. Ça reste un résultat plus que décevant, mais si l’info est vraie ça évite déjà au film d’avoir fait perdre de l’argent.
Pas convaincu également par Impossible Child. Je comprends pourquoi elle a été coupée. Cette chanson devait prendre place lorsque Triton demande à ses filles aînées de repartir à la recherche d'Ariel. Mais je trouve la version présente dans le film bien plus forte, avec Triton qui s'agace puis se rend compte de ce qu'il a provoqué quand son trident s'éclaire dans sa main, et qu'il le laisse alors tomber, ce qui le plonge dans l'obscurité. La mélodie d'Impossible Child ne me semble pas adéquate pour un tel moment, ni en adéquation avec le caractère bien moins colérique de cette version du roi. Mais réutiliser The Storm pour la chanson du roi des mers, qui provoquerait les tempêtes selon les marins, n'était pas dénué de sens.
Les paroles :
Ariel, you impossible child, This is an ocean too far Ariel, you impossible child, I'll find you wherever you are
All my fears, my warnings all these years
Don't say goodbye, answer me please, Are you lost or is this all my fault? Ariel, I will scour the seas 'til there's nothing But coral and salt
Hold my crown, I'll tear the shoreline down Run every ship aground, 'til they've drowned, And I've found you
In trying to protect you, I pushed you away Stay... impossible child, Impossible child
How can I go on if my youngest wandering Daughter is gone?
L'animation du personnage avait également ses propres défis. La première version n'était qu'une Ursula 47 fois plus grosse (McCarthy avait fait de la motion capture) qui a ensuite été jugée pas assez effrayante. Le personnage a alors été repensé avec le département artistique pour arriver à la version finale, avec la peau de pieuvre sur son visage et ses pupilles noires, 3 ou 4 mois avant la sortie du film. Mais ils ont ensuite craint qu'elle effraie désormais trop les plus jeunes, alors il a fallu alterner à quel point on pouvait la voir, entre l'obscurité et les flashs des éclairs. Rob Marshall ayant toujours eu l'idée qu'on ne puisse pas très bien la discerner.
Interessant tout ça. Je me demande ce que ça aurait pu donner une Ursula 47 fois plus grosse (précis comme chiffre) pas assez effrayante, donc j'imagine moins impressionnante que celle du grand classique (car moi perso je trouve encore aujourd'hui ce passage du grand classique effrayant). Je n'ai pas vu le live, mais quelques extraits sur youtube, et il me semble bien que Melissa a quelque chose quand même sur le visage, les rares moments ou il est éclairé.