TR summer 2016 in Orlando and DCL , greatest holiday ever... jusqu'à la prochaine visite!

TR Testing 4.0... car pour avoir l'espoir de finir, il faut bien commencer!

Alors je sais que certains d’entre vous risquent d’être ultra sceptiques et je le serai moi aussi à votre place… voilà donc le début de mon 4ème TR et celui-ci vient après mes 2 dernières tentatives avortées de 2013 et 2014… alors qu’est-ce qui pourrait vous faire penser que j’arriverai à terminer celui-ci?
Eh bien, rien, effectivement et je vous comprends…
Pourtant, je me relance à nouveau à corps perdu dans le récit de notre 4ème voyage Disney USA  (le 3ème pour la Floride et WDW) avec cette fois-ci l’envie d’en terminer et d’exorciser le sort de mes 2 derniers essais voués à l’échec.
Pour en rassurer certains, je dirai que j’ai réussi quand même à en achever 1 sur les 3 ! Bon c’était en 2012, c’était le 1er et j’étais plus jeune et plus opiniâtre. C’est vrai.

Cependant, cette fois-ci, plusieurs facteurs déterminants pourraient me permettre peut-être de réussir à reboucler la boucle :
-primo, et c’est le plus important, cette année, je ne pars pas, nulle part, aucune vacance, rien, une année de vaches maigres… alors ce TR ce sera en quelque sorte une façon de pouvoir revoyager dans ma tête en attendant 2018.
-deuxio, j’en ai assez de me voir comme la personne qui commence les trucs et qui ne les finit jamais et le changement c’est maintenant (mince ! c’était qui qui avait dit ça déjà ?)  
-tertio, notre dernier voyage ne date que de l’année dernière alors ce n’est pas si loin et surement encore potentiellement intéressant au niveau de l’expérience vécue.

Bon voilà, trêve de balivernes, je me lance sans garantie, un point c’est tout et advienne que pourra, qui vivra verra, j’ai envie de le faire alors qui aime Disney me suive !

Et puisque tout commence par …un commencement,  eh bien c’est en fait le voyage itinérant quelque peu raté de ma sœur et de sa famille en Floride en 2015 qui nous a donné le boost de la décision du départ.

Cette année-là, en 2015, je n’ai pas assez de sous pour repartir aux USA dans des conditions idéales alors je ne peux que me projeter à travers le trip de ma frangine (partie avec mari et enfants) en en grillant d’envie dans mon coin.
Quand par-dessus le marché, j’apprends que leur voyage n’a pas été satisfaisant et qu’ils n’ont pas réussi à apprécier la Floride à sa juste valeur, ni une ni deux, d’indignation, je me décide à nous relancer pour la 3ème fois dans l’aventure WDW + Orlando.

Ah ça mais !  je vais nous en faire voir des vacances de rêve en 2016 !!!

Alors c’est toujours en compagnie de mon équipe préférée : ma maman, mon fils Rayan (11 ans en 2016) et ma fille Shaden (7 ans) que je réserve grâce aux promos UK dining plan un séjour de 10 jours pour juillet 2016 et que je profiterai des 10% de remise onboard de ma précédente croisière DCL pour réserver une nouvelle croisière de 7 jours cette fois dans les Caraïbes !

Choix de l’hôtel : le Pop me tentait à fond mais comme c’est un value et que la promo n’est pas terrible sur les Value, je me reporte sur un autre hôtel qui me fait aussi bien de l’œil. : le Port Orleans Riverside que je peux facilement upgrader en DDP.

Choix de la croisière : Caraïbes Ouest ou Est ? Pas d’hésitation cette fois, même si l’Ouest était plus couteux, nous le choisissons car c’était un rêve de ma mère que de voir le Mexique dans sa vie.

Et cerise sur le gâteau : pour prévoir après le retour de la croisière, je réserve cette fois-ci  le Pop 2 jours pour y séjourner avant de reprendre l’avion (j’y tenais vraiment à celui-là !) cette fois sans offre particulière en nuits sèches.

Et puis comme j’adore fignoler le planning des vacances, je vais m’en donner à cœur joie de nous trouver pléthore de visites et d’activités pour la 1ère partie du voyage, la partie pré-WDW : visite du Kennedy Space center, Legoland, Universal, malls,  etc.
Voici donc notre belle planif (postée en pré-TR à l’époque)






Et de cette belle planif, d’après vous, est-ce qu’on a tout fait ? Ben ouais bien sûr !            
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Oups…ben non en fait  … mais on a quasiment tout fait… Ce qu’il nous a manqué ? C’est le diner au San Angel Inn au soir du 5 aout parce qu’il a fallu que ma fille s’explose l’arcade sourcilière 2 minutes avant le check in du resto (et H -12 avant le départ en croisière!) et que visiblement on a préféré passer la soirée a l’hosto pour réparer tout ça.  

Mais que voulez-vous, ce sont les aléas de la vie et comme toujours, on a su prendre ça avec philosophie surtout que finalement par miracle cela n’a eu que très peu d’incidence sur la suite du voyage. Tiens je vous raconterai aussi comment finalement on a réussi à faire le San Angel Inn à une autre occasion sans avoir réservé parce qu’il fallait bien y revenir pour conjurer le sort de la pyramide maya !  

Ah super un nouveau TR.

Je m'installe en espèrant que tu iras jusqu'au bout (même s'ils sont rares ceux qui vont jusqu'au bout). Peut être qu'il te faut définir avant pourquoi tu as laché? manque de temps? découragement parce que t'avais l'impression que pas beaucoup de monde lisait (enfin commentait)?

Merci pour ce nouveau TR.

le principal c'est d'au moins essayer

Coucou...merci de suivre!    

Pour les TR inacheves, c'etait par manque de temps : a chaque fois , je tenais vraiment a terminer le TR avant le prochain voyage a Disney comme pour celui de 2012 que j'ai termine in extremis juste avant le trip de 2013.
Mais si je n'arrive pas a terminer avant le voyage suivant, je me dis que le voyage d'apres efface quelque peu l'interet du TR precedent ... et qu'il vaut mieux repartir a zero sur un TR plus recent.
Bon la j'ai pris mon courage a 2 mains car je suis en vacances mais sans voyage, et etant donc libre, je me dis que j'ai plus de chance de terminer mon TR avant le voyage de l'an prochain (enfin...croisons les doigts!)

Fidèle au poste pour suivre ton récit .

Sylvia l'important c'est d'essayer

Pas top pour ta fille la pauvre !!

Je m'installe pour ton TR Silvia. Ta plannif me plait beaucoup et j'ai hâte de lire la partie Disney Cruise Line Caraïbes Ouest.

Pas cool pour ta fille de s'être blessée. Mais avec le recul, tu peux te vanter d'avoir visité les urgences américaines lol. Avec un peu de chance, il y avait un beau médecin comme dans les séries US

Je divague, je divague ... lol.

Merci de partager avec nous tes souvenirs de voyage et que la force soit avec toi pour arriver à le finir !

Merci de me rejoindre et pour tous vos encouragements...alors, c'est parti!

J1 : 18 juillet.
Un autre long voyage se profile…

On commence à prendre l’habitude de ne plus pouvoir faire le Caire–Orlando en 2 étapes alors ce seront à nouveau 3 avions qui se chargeront de nous mener à bon port (pas très sympa quand on n’est pas trop fan de ce moyen de transport mais on n’a pas le choix alors on ne se pose pas de question.)
Petite routine des grands départs d’Egypte : le mari (et papa) dépose son petit monde à l’aéroport 3 h à l’avance comme on nous l’a demandé.

Contrôle des passeports + 2 contrôles extrêmement poussés de tous les passagers à l’embarquement sur British Airways – fouille corporelle + fouille des bagages + déchaussement – tant mieux finalement – puis on s’installe et la 1ère partie du périple est super sereine.

Ce ne sont pas des visages rayonnants, ça ?






À dans un mois le Nil !




Sur les petits écrans, Sheldon de Big Bang Theory m’attend pour des inédits de la saison 9 que je ne connaissais pas encore à l’époque.






Arrivée à Heathrow… plusieurs heures de transit devant nous, alors on s’achète plein de cochonneries à grignoter et puis on visite un joli magasin de jouets de l’aéroport.

Qui veut un doudou british ?




Qui veut un doudou tout court ?






Pendant que ma fille va jouer dans l’aire de jeux gratuite réservée aux enfants (mon fils est maintenant trop grand de taille) nous patientons avec des magazines achetés sur place.

Petite photo dans un cadre Union Jack (bon impossible d’échapper au terrible contrejour).




Autre petite photo des Messieurs Mesdames cette fois-ci plus réussie.




On finit par finir de tuer le temps…




… direction embarquement dans notre 2ème vaisseau.

Là,  surprise, on nous demande de patienter sur le côté… un problème de places apparemment. Je commence à froncer les sourcils prête déjà à montrer mes crocs : comment ça un pb de places ? J’ai réservé les sièges la veille sur le site de la compagnie pour que l’on se retrouve 2 à 2 !  À ce moment-là,  j’ai le fantôme du mauvais souvenir de notre premier voyage British Airways transatlantique qui ressurgit du passé, quand j’avais été séparée de mon fils de 7 ans alors et qu’il avait fallu la bonne volonté d’un employé complaisant de la British pour que ma fille de 3 ans soit au moins à côté de ma mère… les traumatismes, ça marque !) Mais notre hôtesse d’embarquement enchaine tout de suite : «  Non mais ne vous inquiétez pas, du coup on vous a upgradés dans la classe supérieure, vous aurez plus d’espace et champagne à volonté ! En revanche il faudra que l’un d’entre vous s’isole car nous n’avons que 3 places à côté et 1 place sur une autre rangée. »

Bon là, je concède revenir à de meilleurs sentiments (et en même temps, avais-je le choix ?) et je me sacrifie donc pour la bonne cause et laisse maman et son glorieux verre de champagne au milieu de mes 2 poussins et je vais m’asseoir moi-même seule sur une autre rangée que l’on m’indique.

Bon me voilà côté hublot (je déteste être coincée cote hublot) et à 3 rangées  de ma famille mais au moins tout le monde aura plus de confort qu’en classe éco. Je grommelle un peu pour la forme et là, incroyable, la charmante jeune fille qui est à côté de moi et qui –coïncidence !-  vient d’Egypte aussi et est parfaitement francophone me propose d’échanger ma place du hublot contre côté couloir car elle s’en moque et en plus elle est assez dépitée également :  elle voulait voyager avec sa vieille maman et on vient de leur faire le même coup qu’à nous (à savoir les sortir de la classe éco et de les upgrader en les séparant.) Je me répands en remerciements (et toujours pour le principe en grognements contre la mauvaise organisation de la British Airways) quand j’entends ma mère (la mamie) me héler 3 rangées derrière !

Elle me demande de solliciter un jeune homme qui se trouve assis juste à côté de mon fils à  la 4ème place sur la rangée intérieure de l’avion pour échanger ma place avec lui et ainsi me retrouver avec ma famille complète tous ensemble sur la même rangée du milieu pendant qu’il irait se mettre près de la jeune fille.
Bon, là, j’ai un peu de mal à me lancer (timidité et puis je sais que certains passagers stressés ne supportent pas d’échanger leur place) mais comme ma mère insiste lourdement, j’ose enfin une requête avec force politesse et excuses à qui mieux  mieux. J’explique au jeune homme qu’il est en fait placé à côté des 3 membres de ma famille et que j’ai été isolée à cause de problèmes de places en classe éco.

Je ne m’attendais pas à grand-chose mais à mon grand étonnement (car ce n’est pas tous les jours que l’on rencontre des personnes aussi serviables) il accepte tout de suite en me disant qu’il comprend parfaitement ma demande. Béni soit-il ! Moi je me dis que quelque part, justice est faite pour le nombre de fois où j’avais pris l’avion seule dans ma vingtaine et que  j’avais toujours accepté d’être deplacée pour etre mise à côté de femmes voyageant seules avec bébé quand personne ne le voulait … je me disais qu’un jour, j’aurais surement des bébés un jour et que je serais peut-être à leur place.

Du coup, enfin totalement sereine, je prends place auprès des miens dans des fauteuils extra confortables et coule le champagne à nouveau (enfin pour maman car moi beurk je suis allergique).








Ce qui est drôle , c’est que constatant la grande sollicitude du jeune homme, la jeune fille va lui faire la même requête pour qu’il aille se mettre encore 3 autres rangées plus loin à la place de sa mère à elle qu’elle pourra ainsi enfin retrouver pour la durée du voyage. A nouveau, notre bon samaritain s’exécutera avec grâce et reprendra pour la dernière fois le jeu des chaises musicales de la British Airways. Vraiment, ce jeune homme qui a changé 3 fois de places était extraordinaire de bienveillance et il a été d’ailleurs récompensé dans la suite du voyage de la manière la plus insolite (ce que je vais vous raconter dans quelques instants.

Enfin voilà notre avion pour Philadelphie décolle et on peut enfin s’épancher dans le luxe et le confort.




C’est alors qu’à la fin de la phase de décollage, mon fils qui est maintenant assis juste à côté de moi se tourne vers moi blanc et en panique : «  Maman, je me sens mal ! »
En soi, ce n’est pas quelque chose d’inhabituel, Rayan a toujours eu le mal des transports (et on a toujours des sacs hygiéniques imperméables pas loin) mais ce à quoi je ne m’attendais pas c’est que ça se passe au décollage alors qu’on est encore complètement harnachés et  que fébrile à mon tour je n’arrive pas à mettre la main sur le satané sac qui devrait se trouver dans la pochette du siège avant.

Et arrive ce qui devait arriver : mon Rayan renvoie à tout vent toutes les cochonneries avalées à Heathrow avant que j’ai le temps de dire ouf. Enfin si, quand même, j’ai juste eu le temps de lui jeter ma couverture en plus de la sienne qui était sur sa poitrine et ses genoux et d’éloigner mon sac qui était sous le siège avant cet arrosage bien particulier.

Bon ben nous voilà bien… un peu comme si quelqu’un avait métamorphosé votre hôtel 5 étoiles en décharge publique. Je suis un peu gênée pour les passagers qui ont assisté à la scène d’anthologie mais qui par chance étaient de l’autre côté du couloir. Ne sachant pas quoi faire, j’appelle l’hôtesse et je lui montre l’étendue des dégâts (et encore heureux que ma couverture s’en est pris la moitié).

Elle a l’air jeune et ne sait pas trop comment réagir (en même temps, j’admets que la scène est peu ragoutante et demande un temps d’adaptation)… je lui demande si elle a des serpillères jetables. Elle me répond par l’affirmative. Le temps qu’elle arrive je remballe LA couverture et je me lève (tant pis pour le signal ceinture) et j’emmène Rayan aux toilettes pour un débarbouillage. Heureusement, rien n’est tombé sur lui. Au retour, je retrouve la jeune hôtesse en train de nettoyer le sol, la pauvre. Elle se relève dès que j’apparais : elle a le visage qui a viré au vert et se confond en excuses en me disant qu’elle se sent mal aussi et qu’elle ne peut plus continuer (ce que je peux comprendre). Je lui dis qu’il n’y a pas de problème et que je peux prendre les choses en mains (enfin, façon de parler) et je termine donc le sale (doux euphémisme)  boulot pour faire regagner à notre place l’aspect 5 étoiles qu’elle avait auparavant.

Mon Rayan lui est à nouveau en forme même si un peu pâlot et je lui dis : «  C’est la diète jusqu’à Orlando, hein, parce qu’on aura un 3ème avion à prendre demain! »

Sinon le reste du voyage s’est très bien passé avec de bons repas et snacks  (bon la mamie avait moyennement faim après tout ça car elle a l’estomac fragile à la vue de certaines choses mais ma fille et moi, on en a vu d’autres et ça ne nous a pas du tout stoppé !)






Les heures de voyage s’égrènent lentement et alors que toute la famille plonge dans un sommeil quasi comateux, je reste éveillée, comme d’hab, sans pouvoir jamais dormir dans un avion.

Ah…ami Sheldon, après ce petit intermède, je te retrouve pour de nouveaux inédits ; saperlipopette, si ça continue, je vais finir par voir l’intégrale de la saison 9 avant d’avoir les DVDs !




La famille marmotte…






On  atterrit bien à l’heure et à la sortie de l’avion, on revoit le jeune homme à qui je dis en souriant à quel point il l’a échappée belle de ne pas être resté assis à côté de Rayan ! Il en est tout soulageureux !

Il est environ 7h du soir local time et je me sens donc moyennement gaillarde mais heureusement tout va baigner dans l’huile dans les heures qui vont suivre : contrôle des passeports simples et rapides avec un policier fort sympathique, récupération express des bagages et alors que je n’avais que fort peu étudié le plan de l’aéroport de Philly, on sort à peine le nez dehors que l’on se retrouve nez-à-nez avec l’arrêt des navettes des hôtels de l’aéroport et 2 minutes après c’est la navette gratuite de notre hôtel qui apparait (le Microtel) : trop cool !

Même pas 10 minutes après, nous voici au check in !






La chambre est jolie et accueillante, elle a un vis-à-vis mais une super jolie banquette sur la fenêtre. En même temps on n’est vraiment pas exigeant, j’avais juste pris le moins cher des hôtels du coin pour les quelques heures qu’on allait y passer.












C’est l’estomac vide et apaisé que Rayan se rendort et que nous l’imitons avec l’esprit serein et la quasi-certitude que dès le lendemain nous pourrons à nouveau toucher notre rêve du bout des doigts (même si j’avoue que comme toujours mon sommeil de voyage n’a été qu’extrêmement partiel !)

Ah oui je me souviens de tes anciens TR, j'adore la façon que tu as de raconter. Tes loulous ont bien grandi. Ils sont toujours aussi beau et quels magnifiques sourires.

Par contre la réaction de ton fils me file un peu les jetons. Moi aussi je suis très malade en avion. Mais au décollage c'est impressionnant.

Quand tu as dis que le jeune homme avait accepté de changer avec toi j'ai pensé de suite que la jeune femme aurait dû lui demander de rechanger pour être avec sa mère, et deux lignes plus bas c'est ce qu'elle a fait ! Heureusement pour lui qu'il avait changé, il aurait été puni de s'être accroché à son siège

La première chose que je fais quand on s'installe dans un avion, juste après s'être assises, c'est de mettre tout devant les sachets vomi au cas où ma fille dépasserait le stade mal au coeur. Heureusement pour nous ça n'est encore jamais arrivé.

Très jolie chambre d'hotel

Je m'installe ! Je n'ai pas eu la chance de découvrir tes précédents Tr mais j'ai déjà hâte de lire la suite de celui-ci !

En plus, tu as fait la même croisière que celle que nous faisons l'année prochaine donc je suis vraiment curieux !

Je m'installe aussi pour suivre votre périple !
Tes enfants ont bien grandi !

Et surtout avec une DCL à la fin... faut le finir ce TR !

Merci pour les nouveaux arrivants et les nouveaux anciens    ! , je vais tout tenter pour le boucler car ce serait un rêve de pouvoir raconter cette DCL, qui restera pour nous la plus topissime de toutes les étapes de tous nos périples confondus.

A tous ceux qui n’ont jamais fait de DCL, j’ai envie de dire qu’il faut le faire , que c’est vraiment le plus beau des souvenirs qui combine à la fois la magie et le dépaysement celui qui nous reste en tête (et même plutôt en cœur) à chaque fois… et en même temps j’ai envie de vous dire : non , ne la faites jamais car une fois qu’on en a fait une, c’est fichu pour la vie, il devient très difficile -voire impossible pour nous- de concevoir un trip sans et c’est franchement un gouffre financier mais un gouffre dans lequel on se laisse tomber avec délices et inquiétude à la fois…inquiétude de se demander comment on va pouvoir en refaire une après, et une après, et une après, et une après, …

Pour le cas de Rayan, qui depuis toujours est un enfant ultra-sensible au niveau gastrique dès que de grandes émotions sont mises en jeu  – stress, excitation, …  - c’est une négligence d’euphorie de ma part… une fois partis, on est tous tellement gais et à fond que je zappe totalement le côté pratique… enfin ce qu’il y a de bien avec ce genre d’incidents c’est qu’on apprend un peu plus et qu’on devient plus prévoyants et sages  au fur et à mesure des voyages.

J2 : 19 juillet
On y est, on l’a bien mérité !

Petite nuit (il est 4h00 du mat) mais grand réveil : nous voici levés aux aurores déjà au taquet pour prendre notre dernier avion, celui pour Orlando.

On a droit à un petit déj gratuit même à cet horaire pourtant extrêmement matinal et c’est Byzance !  Bon ce seront uniquement quelques gouttes de jus de pomme pour Rayan (chat échaudé craint l’eau froide) et de toute façon, avec maman, on a maintenant à notre disposition toute une batterie de sacs variés que nous nous sommes rigoureusement entrainées hier soir à dégainer plusieurs fois plus vite que notre ombre au cas où.








En revanche, on me demande ma CB et mon passeport a la réception au check out (on ne m’avait demandé que le passeport au check in) et je dois avouer avoir eu une sensation de malaise quand j’ai vu le monsieur disparaitre avec les 2 vers une photocopieuse. Je n’ai pas pu voir s’il photocopiait la CB – je dirais oui a priori- mais je n’étais pas super rassurée, même si je tentais de me réconforter en observant qu’il faisait la même chose avec tous les clients du check out… mais quand même, c’était la 1ère fois qu’on me faisait ce coup-là, et heureusement que depuis j’ai changé de CB et que rien d’anormal ne s’est passé entretemps… le moins que l’on puisse dire c’était zarbi. Ma mère me rassure : selon elle,  il ne peut rien arriver car il y aurait forcément des plaintes, etc.

Enfin tout ça est déjà derrière moi lorsque le monsieur de la navette –qui nous avait dit la veille qu’il faisait des tours toutes les demi-heures- est déjà là pour  un départ à 4h30. Nous sommes plusieurs voyageurs à l’intérieur et ça discute à fond élections présidentielles à venir. Le chauffeur me demande quel est notre terminal de départ et je ne sais que lui répondre car ce n’est pas du tout indiqué sur mon billet. Je lui dis que c’est American Airlines pour Orlando alors il va nous déposer devant un terminal qu’il prévoit être le bon…et il aura raison !

Je lui laisse son 2ème bon pourboire en 10 h et nous nous dirigeons vers le comptoir American Airlines avec nos bagages. Petits moment de flottement par rapport au poids de nos valises : un bagage à enregistrer un peu trop lourd que nous devons quelque peu délester… ça, c’est maman, qui dès le 2ème jour a été prise de la frénésie de re-répartir les affaires et commence à bourrer un seul gros ballot pour n’avoir qu’une seule énorme valise car chaque bagage en soute est payant. Une utopie irréalisable… du coup on est obligé de refaire basculer certaines choses dans nos bagages à main en nous asseyant comme ça un peu à même le sol avant que la jeune femme de la compagnie ne prenne pitié de nous et dise ok ok d’un ton très légèrement excédé même si on est toujours légèrement au-delà du poids autorisé. Ouf, nous n’aurons donc qu’un seul bagage à payer.

Nous voilà délestés de la grosse valise  avec en revanche des bagages à main gonflés comme des baudruches et nous nous dirigeons vers les contrôles prochains.

Nous patienterons ensuite jusqu’à l’heure de l’embarquement en visitant les petites boutiques de l’aéroport. Les goodies pour la présidentielle sont très sympas et certains hilarants surtout le casse-noisettes Hillary !






Une petite expo artistique façon ombre chinoise…




Et nous voici installés à l’heure dans notre dernier moyen de transport. C’est enfin chouette de prendre un avion de moins de 3h !






Cela passe assez vite et comme nous suivons la côte Atlantique, je m’amuse sur la fin du voyage à changer de place -vu que l’avion n’est pas rempli- pour prendre quelques photos de notre survol.






J’essaie de repérer en vain Cap Canaveral où nous devrons nous rendre le lendemain. Mais en revanche ces fumées d’usine sont bien impressionnantes !




Ces ponts immenses jetés par-dessus les bras de mer me font justement penser à Port Canaveral, alors je prends la photo mais plus tard, grâce à une comparaison Google Earth, je m’apercevrai qu’il s’agit en fait de la ville de Sainte Augustine plus au nord.



(Comparaison avec Google Earth, c'est bien la meme!)



On sent que l’on est bien en Floride grâce à cette ile en forme d’alligator (en revanche impossible de la retrouver sur Google Earth).




Toujours pas de Cap Canaveral en vue et l’avion prend un virage vers l’intérieur des terres pour atterrir!




C’est bon signe, nos coeurs battent tres tres fort et nos gorges se serrent ,on y est presque, on reconnait l’aéroport d’Orlando pour la 3ème fois !!!




La photo finish traditionnelle au débarquement !




Orlando…et de 3 !!!
C’est chouette, il est encore tôt le matin et on sent que la journée est à nous !!!





Ça y est Rayan a totalement la pêche et on prend la petite navette qui nous emmène du terminal de débarquement au hub de l’aéroport !
Et comme la dernière fois, on n’a qu’une envie : BOUTIQUES !!!

Mais woh woh woh, relax, on se calme !!!   Cette fois-ci, nous sommes devenus raisonnables et oublier nos bagages comme la fois précédente, on ne la refera pas aux vieux briscards plein de sagesse que nous sommes devenus.

Nous voilà donc au tapis roulant, ça y est, Shaden a chaussé ses oreilles de Minnie égyptiennes pour nous porter chance et ça marche : notre valise apparait peu après.




Visiter les superbes boutiques de l’aéroport avec une grosse grosse valoche , c’est pas la panacée, mais on est quand même tous d’accord pour dire que c’est mieux que d’aller faire du lèche-vitrines les mains dans les poches, pour s’apercevoir ensuite que notre bagage principal s’est carapaté du tapis roulant et qu’on n’a aucune idée de l’endroit où il se trouve ou s’il est encore sain et sauf (ahem… 2014 …ahem…)

Et c’est la grande boutique Magic of Disney sur laquelle on va se faire les dents en premier.




Ô joie ô ravissement des yeux, en particulier les goodies Star Wars qui par rapport à la fois passée envahissent le lieu grâce au film 7 sorti en décembre de l’année précédente.

suite bien sympa . Ma plus grosse crainte pour la DCL de l'année prochaine, c'est effectivement de ne plus pouvoir m'en passer après ^^.

Elles sont vraiment magnifique tes photos vu du ciel. Super original cette ile en forme d'aligator.

Allez, tu peux le faire, et je vais suivre ce TR avec grand plaisir

Coucou a toi isajeanpc!   Je suis bien dans le rythme la, pourvu que ca dure!

Pierrot, en plus le piege de la DCL qui se referme sur toi c'est que tu as droit a 10% de remise si tu en reserves une autre (a faire dans les 2 ans qui suivent ta croisiere)  sur le bateau avant le debarquement (avec en bonus une credit cadeau de 100 $ ou 200$ pour les croisieres de plus de 7 jours a depenser onboard ...) et c'est la que tu mets le doigt dans l'engrenage!

Ker mary, on a eu un temps super clair ce matin la et on a bien vu que l'on suivait la cote Atlantique tout le long en revanche j'ai eu beau chercher cette ile alligator (enfin techniquement je pense que c'est une presqu'ile) sur Google Earth : pas trouve ...elle a du etre bati recemment.

Voici la suite du 19 :

Et maintenant on passe à la boutique Universal… Hello Kitty, Marvel, Jurassic World, y en a pour tous les gouts.












Les goodies de la nouvelle attraction King Kong sont de sortie…




Et puis bien sûr, quelle famille de sorciers comme nous ne craquerait pas devant le stand Harry Potter ?






Un petit tour maintenant à Sea World (ou nous n’irons pas cette année)…de beaux doudous mais globalement moins de choix qu’il y a 2 ans.






Et là, c’est la boutique que la mamie attendait le plus, celle dont on est fous à chaque fois qu’on passe au MCO : le Kennedy Space Center.

On a une excursion prévue pour le KSC le lendemain… alors justement à quoi bon aller faire la boutique aujourd’hui puisqu’on la verra pour de vrai demain? Eh bien justement, vous rétorquera la mamie, parce que le nec plus ultra de la classe et  de la coolitude c’est de visiter le Kennedy Space Center habillés avec des tee-shirts du Kennedy Space Center ! En tout cas, c’est l’idée fixe de maman et justement au milieu des centaines de goodies astronautiques et spatiaux, il y a une promo sur des t-shirts !!!

Malheureusement, la couleur du t-shirt que veut ma mère n’est pas à sa taille, du coup la caissière nous conseille d’aller faire un tour de l’autre côté du terminal à la 2ème boutique du Kennedy Space Center.
Wait … what ? Y a une autre boutique ? Waouh !

Avant d’y aller on va quand même farfouiller d’avance dans les petits goodies et gadgets spatiaux de la première boutique histoire de faire un pré-choix pour demain.
















Shasha et les doudous de l’espace!








Roger…. Pour mes 2 spationautes en herbe.




Enfin, après en avoir pris plein les mirettes on décide d’aller voir si on ne trouve pas la bonne taille et la bonne couleur dans les t-shirts en promo de la boutique du côté est de l’aéroport. On le contourne par l’hôtel Hyatt qui se situe à l’intérieur même de l’aéroport devant lequel on fait une petite pose photo …






… et de l’autre côté de l’hôtel… c’est comme si on avait la berlue et qu’on y voyait double !!! On découvre les mêmes boutiques que l’on vient de visiter du côté ouest. Elles sont un peu différentes ceci dit et certaines enseignes sont plus petites comme le KSC mais pour nous c’est tout bonus ! Dire qu’il nous a fallu une 3ème arrivée à Orlando pour découvrir cela !
Une petite carte pour illustrer…




Ce 2ème KSC donne l’occasion à mes loulous d’essayer de nouvelles coiffes d’astronautes comme le couvre-chef ballon de football (c’est presque dommage que Rayan ne se soit découvert une passion pour le ballon rond que 3 mois après ce voyage.)




Shaden en profite pour tripatouiller un fragment de météorite.




Malheureusement, point de tee-shirts en promo de la couleur désirée dans cette boutique non plus et la mamie devra se résoudre à repartir bredouille non sans faire un petit tour par la 2ème enseigne Disney de l’aéroport pour se consoler : le Disney Earport.








Ça y est, il est maintenant aux alentours de 11h et on se dit que ce serait bien de commencer à nous diriger vers notre hôtel bien aimé : le Super 8 sur American Way au début d’International Drive pour lequel nous avions eu un énorme coup de cœur 2 ans auparavant.

D’ailleurs pour faire un pèlerinage parfait, nos décidons de suivre les mêmes pas qu’en aout 2014 et de nous y rendre via le même moyen de transport qui nous avait séduits également à savoir le bus de ville Lynx pour la modique somme de 2$ par personne.

Le numéro du bus, c’est toujours le même, le 42, et l’arrêt, maintenant nous maitrisons bien sa localisation.
Manque de bol -et nous ne nous doutons pas encore que cette malchance des autobus nous poursuivra pendant toute la durée de notre séjour- nous regardons les horaires et nous nous apercevons qu’il vient juste de passer à quelques minutes près…

Patienter 1h de plus stoïquement fait partie de nos grandes qualités et nous ne serions pas si décontenancés sans la présence d’un personnage louche, légèrement aviné et très lourdingue qui va jouer le parasite avec nous pendant une grande partie de notre attente.  J’essaierai de ne lui répondre que par onomatopées d’un ton poli mais circonspect afin de feindre ne pas comprendre grand-chose à la langue de Shakespeare pour qu’il nous lâche un peu. Rien à faire, il s’accroche et je dois dire que je garde en permanence l’œil sur nos sacs/valises en ayant bien rangé mon appareil photo et mon portefeuille dans ma ceinture pour ne pas exciter davantage sa convoitise. Peu charitablement, je verrai avec soulagement ce personnage se jeter avidement sur des jeunes touristes d’origine asiatique qui attendent le même bus que nous et qui n’auront pas eu la présence d’esprit de faire comme si elles ne comprenaient rien. Ouf, que chacun porte un peu sa croix à son tour…

L’attente est néanmoins très longue à cause de ce monsieur et c’est avec un grand soulagement que nous voyons enfin apparaitre notre moyen de transport salvateur ! Flûte, c’est également avec déconvenue que nous observons que le bonhomme en question va monter dans le même bus que nous  soi-disant pour aider les jeunes filles (qui me semble-t-il lèvent fréquemment les yeux au ciel d’agacement devant son empressement) à poursuivre leur itinéraire sans embuche.

Zut, l’attente était déjà  longue mais maintenant le trajet lui-même va nous paraitre tout aussi long car de temps en temps, notre importun va réengager la pseudo-conversation à une voie avec nous comme si nous étions de vieilles connaissances pour justifier d’un certain statut auprès de ses nouvelles proies   … et quand c’est la poisse, c’est la poisse, elles ont prévu de descendre après nous sur I-Drive du coup on va se le coltiner pendant tout le voyage ! C’est finalement un pèlerinage un peu écorné que nous faisons mais que diable c’est un pèlerinage tout de même et c’est avec une joie nostalgique indicible que nous voyons pointer la tour du Sheraton 4 points qui indique l’arrêt où nous devons descendre !    

Nous voilà à terre et nous avons à peine le temps d’admirer la tour avec des ooooooh ! et des aaaaah ! sortis du passé que soudainement un déluge tropical intempestif.




On a tout juste le temps de se réfugier sous l’abribus, il se met à tomber des hallebardes… comme d’hab nous restons tous –surtout les enfants- totalement époustouflés devant ce spectacle torrentiel atypique et exotique pour des habitués au climat désertique.    

Oups...le monsieur aviné... bon tant que tout c'est bien passé.

C'est sur la pluie ça doit vous changer...

La vendeuse aurait peut-être pû appeler l'autre boutique pour savoir s'il y avait le t-shirt, ça vous aurait permis de ne pas avoir à traverser tout l'aéroport (et donc de prendre un bus plus tôt et d'éviter le personnage trop collant). Mais ce qui est fait...

coucou ma sylvia adoré. je découvre avec bonheur ce nouveau tr et je suis sur que celui la tu vas le finir hihihi. je t'adore tu le sais, je te taquine. en tout cas, il commence merveilleusement bien et j'ai eu le temps de le lire une traite en une matinée (oui je sais je suis fan de tes tr).

ça fait plaisir de revoir ta famille, ta maman et tes loulous (qui ont bien grandit il faut le dire).hate de savoir la suite de vos aventures.

moi et ma maman on se prépare pour 2022 et oui ça y est la décision est prise.

Surtout cette pluie-là ! Elle est particulièrement impressionnante même pour moi qui ai vécu à Bordeaux jusqu'à mes 18 ans!

Pour la vendeuse, franchement, je ne me rappelle plus si elle a même eu le temps et la volonté ou pas de nous proposer d'appeler la deuxième boutique...je crois que dès qu'on a entendu le mot 2ème boutique, on a tout simplement arrêté de réfléchir  (avons-nous d'ailleurs réfléchi à quoi que ce soit ce jour-là hormis de ne pas oublier de récupérer la valise cette fois?     ) Mais c'est vrai qu'on a eu les boules pour le bus qui venait de passer et en plus ça a été la guigne – souvent par ma faute en organisation -  avec les autobus de ville pendant tout le séjour cette fois. Quand ça veut pas...

Ah Karine   , ça fait trop trop trop trop puissance mille plaisir de te lire ici!    Je suis très heureuse de ton nouveau projet WDW Universal que j'ai découvert l'autre jour dans la section des pré-TR pour les resorts étrangers! 2022 c'est encore tellement loin et en même temps, c'est super chouette car c'est une année paire et a priori, les années paires, ce sont les années où on y va aussi     (après peut-être que vous choisirez une autres saison que l'été pour y aller...nous on n'a pas le choix c'est soit juillet soit aout obligatoires.)

ohhhhhh ma Silvia ça me fait trop plaisir de te revoir ici. je t'adore trop. et oui, tu as réussi à me convaincre d'y aller. ce sera mon premier séjour (dans cinq ans mais ça va vite hihihi). on y va en plus pendant trois semaine le top. je compte sur toi pour m'aider dans la préparation ok? nous on y va pas l'été hélas. on y va pour halloween et noel donc en gros fin octobre début novembre. hate de lire la suite de ton tr... j'adore trop.

Vivement la suite !! Quel déluge :s !

karine2961 a écrit:

je compte sur toi pour m'aider dans la préparation ok? nous on y va pas l'été hélas. on y va pour halloween et noel donc en gros fin octobre début novembre. hate de lire la suite de ton tr... j'adore trop.

Compte sur moi ma belle! Ah la la y aller entre Halloween et Noel, ca doit etre trop le pied. En plus vous y serez pour les 50 (51) ans de WDW!!!

Pierrot voici la suite et fin du 19 juillet :

Le déluge du siècle est l’occasion pour Shaden de porter sa cape de Jasmine  pour ne pas être entièrement trempée.




Au bout de 20 minutes, alors qu’à nos petons se forme déjà un ruisseau de taille respectable dans lequel s’imbibent allègrement nos baskets et chaussettes, tout s’arrête. La mamie est méfiante mais je décide qu’il est grand temps de renouer avec notre Super 8 adoré qui n’est qu’à 3-4 minutes de marche maximum.

Le Congo River Golf qui fait juste le coin de la rue (et duquel on avait pu faire la sérénade aux alligators 2 ans plus tot) …




Nos chaussures font floc floc sur le trottoir mais c’est d’un pas décidé que nous parvenons enfin à l’accueil de notre hôtel sans subir de nouvelle trombe.
Nous allons devoir attendre quelque temps dans le lobby car il est encore tôt et notre chambre n’est toujours pas prête… Or il n’est plus question pour nous d’aller nous promener à droite ou à gauche sans nous être posés enfin dans notre chambre sweet chambre.

Au bout d’une petite demi-heure, on nous indique enfin que le ménage est terminé et nous allons inaugurer notre home pour les 4 nuits à venir. La chambre est exactement la jumelle de celle d’il y a 2 ans (sauf qu’elle se trouve au rez-de-chaussée que ma mère préfère toujours) même si les couleurs et les meubles sont un peu plus passés et érodés. Mais elle est restée bien mignonne quand même et ce n’est pas une raison pour ne pas lui faire la fête qu’elle mérite !










Baptême des lits par les enfants.






On se sèche un petit peu (oui j’avais omis de vous dire que l’abribus était tout sauf imperméable latéralement) et comme tout bon pèlerinage qui se respecte, nous nous préparons a sortir le bout du nez pour les rituels de notre arrivée : rituel déjeuner au restaurant fast food de l’enseigne IHOP à 5 minutes de chez nous puis rituel promenade shopping au Walgreen du coin (à 1 minute du IHOP.)

On a maintenant l’estomac dans les talons et on en salive d’avance… même Rayan dont tous les soucis gastriques appartiennent désormais au passé.

Petite photo devant l’accueil du Super 8.




Nous voici en route avec devant nous un beau panorama depuis l’extérieur du lobby de l’hôtel vers le début d’International Drive avec de gauche à droite : les toits bleus de IHOP, les rides aquatiques de Wet’n Wild, le bâtiment clair du Walgreen et la forme caractéristique bleu et rouge de l’immense ventilateur du saut en chute libre indoor iFLY (que je rêve toujours autant d’essayer !)




Pour nous le premier arrêt ce sera le géant du Pancake et des Waffles à l’américaine : IHOP.




Comme il y a 2 ans, on nous installe comme des princes. Et c’est la même super serveuse d’il y a 2 ans qui nous refait un même super service !




En attendant nos plats, une petite visiteuse qui a du apprécier plus que nous les cordes d’eau qui sont tombées tout à l’heure, nous fait un petit coucou. Bien entendu, d’un commun accord, nous la baptisons Tiana.




Miam miam notre premier vrai fast-food américain depuis des lustres. Mon pèlerinage est complet avec mon sacro-saint cheeseburger au bacon.




Shaden va s’entrainer a la waffle locale en attendant les mickey waffles à venir !




Rayan fait ses premières armes sur des mozzarellas frites.




La mamie elle a préféré un sandwich chicken filet.




Bref, vous l’avez compris c’est la définition du bonheur.






Et c’est ce que j’explique à notre serveuse en la remerciant pour ses 2 super prestations en 2 fois en 2 ans. Elle est très étonnée et toute contente qu’on l’ait reconnue et elle sympathise avec nous en nous disant qu’elle nous attend également d’ici 2 ans parce qu’elle a priori, elle sera toujours là !

On a le ventre plein et tout ragaillardis après avoir laissé encore un généreux pourboire à notre hôtesse, nous nous dirigeons vers la dernière étape de notre pèlerinage : le supermarché Walgreen.




On comptait beaucoup plus se lâcher question shopping cette fois-ci qu’il y a 2 ans, car les articles sont tellement modiques comparés à WDW que l’on aurait tort de se priver mais il y avait quand même moins de choix qu’en 2014… enfin, on s’est quand même un peu lâché, je vous rassure !

Rayon modes… filles ... et garçons






Des porte-clés chinois par centaines.




Des ventilateurs sans hélice…




Le rayon jouet et papeterie.




Le rayon des gift cards : j’adore ! Ah si seulement…. !




Mais en fait, on va plutôt se lancer dans l’achat de spray anti moustique (à cause de Zika pour notre croisière) et de bracelet et comprimés anti nausées pour Rayan (par rapport à ses maux de transport.)

Mais bon, je reste à l’affut d’une grande découverte gustative, style chips au cappuccino de 2014 prête à me lancer dans une nouvelle grande aventure gastronomique expérimentale, et je vais donc prospecter aussi du côté des snacks.




Bon. Point de chips au cappuccino (apparemment son merchandising a été assez infructueux, ce que je peux comprendre aisément) mais ma curiosité culinaire est à nouveau piquée avec ce nouveau cocktail improbable : Lay’s aux Biscuits et gravy (=jus de viande)… haha que voilà quelque chose à tenter !



J’achète !


Et puis je me laisse aussi séduire par des chips aux petits points -qu’un de mes élèves m’avait rapporté après son voyage au Canada : ça, c’est sûr, j’achète car pour le coup, aucun doute, je suis certaine d’adorer.




Les enfants vont eux essayer de me faire pencher côté sucreries avec des Oreo et des M&M’s originaux mais finalement on préférera se rabattre sur des compotes et des yaourts car IHOP est encore tout récent pour nos estomacs.








Un tee-shirt génial que j’ai failli acheter à mon fils (il aurait trop aimé le porter) mais comme il porte l’uniforme à l’école donc pas de bol, ce serait vraiment un achat cool mais inutilisable.




Comme il y a 2 ans, on revient assez tôt à notre cher petit hôtel… on veut se détendre avec une bonne douche mais mince : la baignoire est totalement bouchée. Ni une ni deux, je contacte la réception. En 1minute chrono, ils nous envoient leur homme de maintenance qui arrive avec un super aspirateur et qui nous débouche ça ultra rapidement. On est assez ébahis de la réactivité de l’hôtel…

Une demi-heure plus tard : rebelote , je découvre que la porte du coffre-fort ne peut pas fermer car il est bloqué avec un code probablement utilisé par les clients précédents (drôles de zozos ceux-là : ils ont bouche une baignoire et rendu un coffre hors d’usage ) et son verrou est sorti. Or je vais en avoir besoin de mon coffre moi notamment pour ranger la pochette des papiers des différents hôtels/activités du voyage et le laptop de ma mère.

Je contacte à nouveau la réception et c’est le même scénario : un homme de maintenance différent du précédent arrive en moins d’une minute et fait un reset du coffre en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ! Y a pas à dire, il est super le Super 8.

Bon allez, ça y est, c’est le dernier snack diner avant le dodo car demain il faut être tous en forme pour la visite du KSC !
Rayan en mode Doritos et compotes.




Moi je vais me risquer en mode Chips 2016 aux biscuits et jus de viande.
Test.
Test.  
Test.
Pooooooouuuuuaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !    

No comment, ce sont des chips 2014 au cappuccino bis mais au moins cette fois je m’étais préparée psychologiquement à une éventuelle très mauvaise surprise. A moi avis, je ne les reverrai pas dans 2 ans celles-là ! En revanche, j’ai vu dans ma boule de cristal que l’an prochain, je me laisserai surement tenter par des Chips 2018 au hamburger au Nutella.

Je me délecterai donc de mes chips aux petits pois à la place et pour dessert un yaourt aux myrtilles. Ah mais mince, on a oublié d’acheter des couverts : on fait l’inventaire de ce qui pourrait nous servir et les Mac Gyvers que nous sommes vont finalement se servir des pailles de rab du IHOP pour s’en faire des cuillères.




De bonheur, Shaden tente d’imprimer une trace d’ange dans le lit du Super 8.




Allez, il faut se coucher maintenant - même si le soleil lui est toujours de sortie- pour bien récupérer de ce premier jour de pèlerinage bien riche en émotions !  

Elle a l'air vraiment chouette cette chambre et spacieuse.

Morte de rire les chips... tu es une aventurière du gout