Le Drôle de Noël de Scrooge [ImageMovers - 2009]

Alors je crois pas que tu ne sera pas deçu. Moi je n'aime pas vraiment le Noël de Mickey car je trouve que sa résume trop rapidement l'histoire et qu'on a pas le temps de resentir de la compatie pour les personnages, et surtout, on a pas le temps de voir Scrooge vraiment changer tellement c'est rapide et peu crédible. Et de plus, je n'aime pas vraiment l'interprétation de Dingo en fantôme. Je trouve pas la touche d'humour approprié à ce moment.

Je préfère largement Noël chez les Muppets, qui ait ma version favorite du conte, mais je doit dire que A Christmas Carol m'a vraiment surpris et je le compte maintenant parmis mes films de Noël préféré. Certain disent que ce n'est pas un bon film de Noël, mais la base de l'histoire est surtout de montrer l'importance de ne pas seulement penser à soi et l'importance de la famille.

Bref, je pense que tu va bien aimé disney75

Voici une critique de Télérama pour le film :

Citation :

Qu'allait faire Robert Zemeckis du célèbre conte de Charles Dickens ? Une grosse machinerie criarde et vulgaire - comme le suggère la bande-annonce ? Surprise : l'histoire d'Ebenezer Scrooge, vieux marchand acariâtre et avaricieux, confronté aux fantômes de ses Noël passés, présents et futurs, est un trip ténébreux et tourbillonnant. Zemeckis respecte le conte, jusque dans sa langue châtiée - une vraie ambition pour un Disney de fin d'année, censé ratisser large. Il n'édulcore ni l'austérité ni la cruauté du texte. Il n'a même pas peur d'effrayer : avec leurs lunettes 3D sur le nez, les tout-petits vont trembler devant la scène où le troisième spectre, cousin de la Faucheuse, poursuit Scrooge, réduit à la taille d'une souris minuscule.
Construit en lignes de fuite dans des décors de toute beauté, ce Drôle de Noël est un cauchemar qui va crescendo, à la manière d'un train fantôme qui s'emballe, avec la rédemption de Scrooge au bout du tunnel. Plus d'une fois, la technologie de « performance capture » (procédé qui restitue la gestuelle et l'expression des acteurs dans un film d'animation) renforce l'émotion. Lorsque Jim Carrey (qui incarne six autres personnages en plus de Scrooge) - hyperréaliste en vieille carne atrabilaire - plonge son regard dans celui, désespéré, de son comptable miséreux (Gary Oldman), on a presque la larme à l'oeil.

Guillemette Odicino

Il est sorti aujourd'hui chez nous. Je crois que cet aprèm je veux le voir car je ne peux plus attendre.

Micky Magic a écrit:

Winnie l'Ourson a écrit:

J'irai le voir à la fin de cette semaine. Espérons que je l'aimerai.

Si tu ne le compare pas au Noël de Mickey tout le long comme le font beaucoup de gens, tu devrais apprécier Bien sûre, si tu n'aime pas ce conte c'est autre chose.. Moi j'ai adoré car j'ai trouver que l'ambiance du conte de Dickens étais bien retranscrit à l'écran

en plus on retrouve la ville de Londres comme si on y est

Le roman "a christmas carol" est aussi super !!!

Dans son avis, Zuzu avait pointé le caractère effrayant de ce Disney de Noël.

Le Parisien de ce matin est du même avis puisqu'il titre "Un Walt Disney qui fait peur" :

Une adaptation d’un conte de Dickens, des effets spéciaux en 3D innovants, une grande star Jim Carrey à l’affiche… A priori, « le Drôle de Noël de Scrooge », qui sort aujourd’hui dans 508 salles, semble pourvu de tous les ingrédients du bon vieux Disney familial. Pourtant, on le déconseille fortement aux moins de 10 ans.

Car par moments, « Scrooge » file carrément les chocottes. Le personnage, vieil avare aigri et malfaisant, incarné à merveille par Carrey, suffit à en effrayer plus d’un. Si on y ajoute les fantômes qu’il croise dans l’histoire, et la manière dont ils vous sautent à la figure grâce au système de 3D relief… Même les adultes bondissent dans leur fauteuil !

Un sale type hanté par les fantômes

Pour apprécier ce film par ailleurs enchanteur et léger, il faut donc éviter de s’y rendre avec un petit enfant. Ce qui peut paraître surprenant pour un Disney. A ce détail près que le studio n’est absolument pour rien dans ce phénomène : aux Etats-Unis et en Angleterre, « Scrooge » est un film tout public, à voir dès 5 ans. Ils ne sont pas moins froussards que les bambins français, simplement beaucoup plus avertis. Dans les pays anglo-saxons, « Un chant de Noël », le conte de Dickens dont le film est adapté, fait partie des musts de la littérature jeunesse : les petits Anglais et les bouts de chou américains ont parfaitement intégré ce personnage de sale type hanté par des fantômes.
Pour preuve, le film, sur place, fait déjà un carton : 79,8 millions de dollars de recettes aux Etats-Unis, 1,4 million d’entrées au Royaume-Uni. En France, il devra donc se passer du très jeune public qui, de toute façon, va vite comprendre qu’il n’est pas concerné : point de peluche, de figurine « Scrooge » ou autre produits dérivés cette année dans les boutiques. Juste un jeu vidéo et la réédition du conte.

Voici d'autres critiques positives :

"LEXPRESS" :

Citation :

Scrooge reçoit les visites des esprits des Noëls passés, présents et futurs. Zemeckis respecte à la lettre le conte de Dickens dans un dessin animé en relief d'une grande beauté. Son utilisation de la 3D touche au génie lors des scènes gothiques.

OUEST FRANCE :

Citation :

Au générique il y a Jim Carrey. Il se répand à travers sept rôles, rien que ça. Mais vous avez peu de chance de le reconnaître, si ce n'est le deviner à travers mimiques et gestuelles, car il n'est là que pour de la « motion capture ». Ce procédé qui permet de saisir sa prestation pour alimenter ensuite les fantaisies des ordinateurs. Avec lui Gary Oldman, Colin Firth, Robin Wright Penn et Bob Hoskins notamment sont de la même partie, brillamment orchestrée par Robert Zemeckis. S'il s'est satisfait pour son scénario de quelques considérations un peu sommaires et attendues sur le bien et le mal, sur la solidarité et l'égoïsme et autres données du même genre, il fait la spectaculaire démonstration de son goût pour la technique des images les plus sophistiquées et inventives. Ca dure depuis Roger Rabbit en 1985. Il nous entraîne ici dans un tourbillonnant voyage dans les airs et dans les bas-fonds londoniens avec une caméra en perpétuel mouvement pour se nourrir de vues d'un réalisme saisissant. A travers la richesse des paysages et la palette des couleurs, l'atmosphère est souvent sombre et impressionnante. Elle écarte le plus jeune public (en-dessous de 8-10 ans) de ce Disney de fin d'année, mais l'ensemble a tout pour bluffer le spectateur plus endurci. Du grand art visuel.

EXCESSIF :

Citation :

Happée dès les premières minutes par l'austérité et la sècheresse de coeur du protagoniste principal, ce récit intemporel est d'emblée marqué par un visage irascible, une silhouette brisée et une voix caverneuse. Sous les traits d'Ebezener Scrooge, Jim Carrey (qui incarne en tout sept rôles différents) s'amuse à interpréter la vieil acariâtre avec délectation. L'acteur impose une gestuelle singulière et la posture d'un vieillard aigri par le temps. Sa performance fait totalement oublier l'incroyable technique de création artistique dont Robert Zemeckis tente de parfaire le réalisme depuis Le Pôle Express. Il manque quelquefois une âme dans certains regards de ces personnages animés, (celui du neveu Fred, Colin Firth, neutre et dénué de vitalité) mais la texture des carnations et la fluidité des mouvements ne réfrènent jamais la performance des comédiens sous le masque synthétique. Surtout, Le Drôle de Noël de Scrooge parvient avec brio à faire naître l'émotion sans se ternir de visions trop sages de ce classique de la littérature.

Robert Zemeckis ne triche pas avec son histoire de spectres et la construction rythmique de son long-métrage en fait un divertissement aussi adulte que calibré. Le cinéaste évite toute édulcoration du conte et parvient à faire aussi peur sans que ses séquences ne soient minées par un humour second degré. Hanté par trois Esprits omniscients, Scrooge embarque avec le spectateur pour une hallucination grandeur nature, volant au-dessus des toits londoniens avec pour guides trois êtres malicieux qui vont jouer avec les nerfs et les ressentis du protagoniste. Le réalisateur joue à fond la carte des lignes de fuite ahurissantes et de la profondeur de champ élastique, donnant à son oeuvre des airs de ressort désarticulé. Au premier comme au second plan, l'espace se distord et ne cesse de se réincarner. Robert Zemeckis, conscient de la noirceur de l'histoire originelle, propose un crescendo terrifiant, un gouffre de plus en plus obscur dans lequel semble plonger un Gripsou qui n'a plus que la solitude pour compagne. Sur la voie de la rédemption, il va vivre trois expériences bouleversantes qui se teinteront au fur et à mesure de pourtours ténébreux.

Submergé par des souvenirs douloureux, Scrooge retrouve sa bien-aimée et le bonheur d'autrefois. Haut comme un ogre, l'Esprit du Noël présent lui révèle la déchéance de son corps et le peu de temps qu'il lui reste. Enfin, un proche cousin de la Grande Faucheuse achève le travail dans une course-poursuite haletante où Scrooge devient un lilliputien ridicule. Minoré, apeuré et à bout de souffle, le personnage en finit avec un bad trip forcené où il a vécu en une nuit l'expérience de toute une existence gâchée. Esthétiquement fabuleux, doté d'une partition envoûtante (celle d'Alan Silvestri) et d'une mise en scène en forme de train fantôme, Le Drôle de Noël de Scrooge est aussi cruel dans ses visions de la vieillesse que plein d'espoir, car ce que chantonne ce conte universel, c'est qu'il n'est jamais trop tard.

20 MINUTES :

Citation :

Quand un classique de Charles Dickens rencontre les techniques de pointe d'Hollywood, ça donne Le Drôle de Noël de Scrooge, adaptation d'Un conte de Noël (1843), qui raconte comment un homme d'affaires cupide finira par retrouver le sens des vraies valeurs... Le réalisateur, Robert Zemeckis, rend parfaitement la féérie et les aspects plus sombres de ce texte peu connu en France - raison pour laquelle la promo a débuté il y a plus de six mois, par l'enneigement de la Croisette en plein Festival de Cannes.

Mais la vraie révolution, c'est la « performance capture », nouvelle technique d'animation consistant à dessiner sur les acteurs, après avoir enregistré leurs prestations. Ce procédé permet à Jim Carrey de pousser encore plus loin son physique d'homme caoutchouc. Il est épatant dans huit rôles, qui vont du businessman au coeur sec à différents âges de sa vie aux spectres venus le tirer par les pieds pour le remettre dans le droit chemin. Si les plus jeunes peuvent être impressionnés par les fantômes, ils se laisseront sans doute gagner par la poésie d'images dignes de tableaux, qui permettent d'avoir un avant-goût de l'esprit de Noël.

Caroline Vié

FRANCE SOIR :

Citation :

Le Drôle de Noël de Scrooge / ImageMovers Digital LLC. All R
Jim Carrey donne vie à sept des personnages d’Un chant de Noël dans un effrayant film en trois dimensions.


Aussi avare que riche, le vieil Ebenezer Scrooge dépense toute son énergie à détester Noël et toute la joie qui entoure cette fête. Un soir de réveillon, son défunt associé vient le hanter, lui annonçant la visite des trois esprits des Noël passés, présents et futurs. Au terme d’une nuit de terrifiantes hallucinations ponctuées de ses expressions de déni, « balivernes ! », Scrooge sera dans l’obligation de donner un nouveau sens à sa vie.

Le Disney de Noël sort aujourd’hui dans 600 salles, dont 150 en 3D relief. Tradition immuable de chaque fin d’année, le cru 2009, adapté d’Un chant de Noël, de Charles Dickens, fait exception. Réalisateur de Qui veut la peau de Roger Rabbit ? et Le Pôle Express, Robert Zemeckis a utilisé la technique « motion capture » (captation de mouvements) pour donner vie à la nouvelle écrite en 1843.

Jim Carrey prête ainsi son physique et sa voix à sept personnages, dont celui de Scrooge. Et mieux vaut se souvenir que c’est le clown de The Mask qui se cache derrière cet effrayant comptable pour ne pas en avoir trop peur. Car sous ses apparences de gentil conte, Le Drôle de Noël de Scrooge a de quoi impressionner les minots. Même les plus de 10 ans ne pourront s’empêcher un mouvement de recul au moment de l’apparition du premier fantôme.

Voici maintenant les critiques négatives :

LE FIGARO :

Citation :

L'adaptation d'Un chant de Noël de Dickens par Zemeckis, qui le métamorphose en conte très macabre, traité avec lourdeur, sans poésie et à grand renfort d'effets spéciaux et de motion, capture. Décevant et trop terrifiant pour les enfants de moins de dix ans.

LES INROCKUPTIBLES :

Citation :

Enième adaptation du Christmas Carol de Charles Dickens, Le Drôle de Noël de Scrooge raconte la mise à l’épreuve par trois fantômes d’un vieil acariâtre dans le Londres victorien, et prouve, une fois de plus, que Zemeckis est un drôle de cinéaste. Jamais en retard d’une trouvaille high-tech, le réalisateur de Forrest Gump s’est engagé depuis 2004 (Le Pôle Express, puis La Légende de Beowulf en 2007) dans la voie du “cinéma virtuel”, celle-là même que James Cameron promet de révolutionner avec Avatar dans quelques semaines. Soit la disparition de la caméra, remplacée par une batterie d’électrodes situées sur le corps et le visage des comédiens (performance capture), ainsi qu’une armée de processeurs traduisant leurs mouvements et les insérant dans un univers de synthèse, en 3D. Ce n’est donc plus la caméra qui filme le monde (réel ou sur fond bleu), mais le monde qui tourne autour du corps d’un acteur-roi, délié de toute contrainte spatiale et temporelle. Paradoxe : le jeu de l’acteur devient roi (contrairement à l’animation 3D classique) alors que lui-même disparaît sous un masque numérique. Un masque qui permet par exemple à Jim Carrey de jouer sept personnages, sans qu’un seul n’ait son “vrai” visage ; seules quelques expressions et mimiques – ainsi qu’une voix, évidemment gâchée par la VF – sont garantes que le cachet payé ne l’a pas été pour rien. Le star system est sauf, le spectateur rassuré.

Et alors, dira-t-on ? Alors, c’est bien à cet endroit que Scrooge fascine en premier lieu. Faisant fi du lissage artificiel de ses précédents films, Zemeckis a accentué les défauts de ses pantins de chair numérique. La peau est sale et crevassée, les yeux striés de veinules et les joues teintées de rougeurs disgracieuses, conférant aux personnages un aspect malsain (un monde peuplé d’alcoolos ?), qui contraste avec la mièvrerie de l’histoire. Au-delà, c’est le film dans son ensemble qui semble crevassé : les scènes, peu découpées et filmées dans des angles impossibles, se succèdent selon un rythme bancal ; le décorum ploie sous les ors de la 3D ; et les dialogues de Dickens, respectés à la lettre, rendent la compréhension ardue pour les enfants. Tout ceci concourt à faire de Scrooge un film très fragile dans une gangue de blockbuster Disney, un sommet de mièvrerie malade dont la beauté paradoxale ne se goûte qu’au risque de l’indigestion.

Peut-être faut-il avoir lu le conte pour mieu apprécier le film.. Et le film est beaucoup moins sombre que le conte. J'ai bien aimé les petits détails du conte ajoutté qu'on ne voit pas dans d'autre version, comme les enfants du Noël du présent.

Voici l'article consacrée au film dans JT de 13h de TF1 :

http://videos.tf1.fr/jt-13h/le-drole-de-noel-de-scroodge-quand-disney-revisite-dickens-5559770.html

Je sors de la séance est j'ai vraiment aimé.
Bon c'est vrai qu'il est pas trop fait pour les enfants, mais bon maintenant on sais que quand y'a marqué Disney ca veut pas toujours dire Winnie L'ourson.
L'animation 3D (avec les lunettes) a vraiment évolué ! J'ai été impressionner ! Avec déjà les Bandes Annonces d'Avatar et d'Alice au Pays des Merveilles, de 'Comment bien mettre les lunettes' et 'Haribo'.
Ensuite le film, l'histoire est pas mal, mais sans plus, c'est un peut long parfois, mais je me suis pas ennuyer pour autant.
Par contre j'ai eu peur moi même xD

Spoiler:

Bref, en gros le film est très sombre (plus que Taram et le chaudron magique) mais niveau visuel je suis sur que dans 5 ans y prefexionnerons encore mieux cette technique.

PS: le petit du début c'est pas le garçon de Spy Kids ?

Allociné consacre un dossier spécial au film et à ses origines : http://www.allocine.fr/article/dossiers/cinema/dossier-18488936

Stitch wish : attention aux spoilers.

Fresh a écrit:

A Nice, quand même 5ème ville de France aucun cinéma ne fait la 3D... Abusé... Ça se réglera en prenant la voiture et en allant jusqu'à Cannes Même si j'avoue que les critiques de certains m'ont refroidi... Mais vu que je ne connais ni le conte de Dickens ni la version Mickey peut-être que cela va faire que j'apprécierai...

Ah je corrige, le film est sorti en 3D au Pathé Lingostière (oui je prêche pour ma paroisse). Moyennant trois euros supplémentaires, tu as droit à de jolies lunettes 3D toutes neuves.

Sinon je n'ai pas encore vu le film, je suis seulement allée jeter un œil de temps en temps pendant mon service, histoire de tester les lunettes comme on dit et sincèrement je suis conquise. La netteté de l'image est impressionnante et la 3D permet de rentrer complètement dans le film.
Après j'avoue que le film est très sombre, la toute première scène est assez spéciale et beaucoup de personnes sont ressorties parce que cela effrayait les enfants. Mais bon je ne resterai pas sur des aprioris et j'irai le voir tranquillement pour me faire une meilleure opinion.

Floux a écrit:

Fresh a écrit:

A Nice, quand même 5ème ville de France aucun cinéma ne fait la 3D... Abusé... Ça se réglera en prenant la voiture et en allant jusqu'à Cannes Même si j'avoue que les critiques de certains m'ont refroidi... Mais vu que je ne connais ni le conte de Dickens ni la version Mickey peut-être que cela va faire que j'apprécierai...

Ah je corrige, le film est sorti en 3D au Pathé Lingostière (oui je prêche pour ma paroisse). Moyennant trois euros supplémentaires, tu as droit à de jolies lunettes 3D toutes neuves.

Sinon je n'ai pas encore vu le film, je suis seulement allée jeter un œil de temps en temps pendant mon service, histoire de tester les lunettes comme on dit et sincèrement je suis conquise. La netteté de l'image est impressionnante et la 3D permet de rentrer complètement dans le film.
Après j'avoue que le film est très sombre, la toute première scène est assez spéciale et beaucoup de personnes sont ressorties parce que cela effrayait les enfants. Mais bon je ne resterai pas sur des aprioris et j'irai le voir tranquillement pour me faire une meilleure opinion.

Ce qui est dommage c'est que tous les cinémas ne projette pas le film en 3D !!!

bonsoir!
ça y est j'ai vu le film et j'ai adoré! j'ai trouvé le film très bien fait et passé un super moment!
Bonne soirée à tous!

Vu cet après-midi. Globalement, je n'ai pas été convaincu mais j'ai trouvé ça moins pire que ce à quoi je m'attendais (j'ai détesté Le Pôle Express et La Légende de Beowulf).

Pour ce qui est du positif, j'ai trouvé l'introduction absolument magique avec son livre de contes, sa séquence un peu macabre avec le cercueil de Jacob Marley suivie du survol de Londres avec des plans magnifiques et une musique tout-à-fait convaincante.
Jim Carrey est convaincant dans le rôle d'Ebenezer Scrooge (et c'est bien son seul rôle du film qui m'a plu), la texture de sa peau, l'exagération de ses traits et la maîtrise de son animation en font un bon personnage qui, ça se voit, a été soigné.
La musique d'Alan Silvestri est très belle et réussit à soutenir toutes les scènes du film tout en faisant appel à quelques mélodies de Noël bienvenues dans un film se passant à cette époque de l'année.
L'utilisation de la Disney Digital 3-D n'a jamais été aussi justifiée. Certains plans sont hallucinants et s'immerger dans des décors d'une telle beauté est un véritable plaisir. La 3-D est un véritable atout pour ce film qui, du coup, me plaira sans doute encore moins lorsqu'il en sera privé en vidéo.

Et pour le reste... fiasco total !
Déjà, le rythme est beaucoup trop lent et les scènes s'éternisent sur des détails inutiles, la palme revenant au dialogue avec le fantôme de Jacob Marley.
Et quand vient le tour des scènes d'action, on est un peu surpris et on se demande pourquoi tant d'action ! Rien ne la justifie, on a l'impression que les fantômes s'éclatent à martyriser Scrooge le plus possible. L'explosion du Fantôme des Noëls Passés où Scrooge arrive limite dans l'espace est finalement plus ridicule et malvenue que divertissante. En gros, c'est d'un manque de subtilité navrant et ce n'est pas le seul aspect du film qui en souffre.
Le Fantôme des Noëls Passés est agaçant et dégage une sorte d'aura malsaine (probablement voulue) mais qui ne convainc pas. Le Fantôme du Noël Présent rit grossièrement pour un rien et, en lieu et place de s'évaporer magiquement, préfère le faire en se désintégrant en squelette au rire macabre tout en dévoilant deux personnages (l'ignorance et la misère) probablement beaucoup plus acceptables dans un roman que dans un film. Là encore, ça fait peur mais on ne sait pas pourquoi, le Fantôme semble rire des frayeurs qu'il peut procurer à Scrooge comme il donne l'impression de se la "péter" en faisant ses tours de magie. Quant au Fantôme des Noëls Futurs, c'est Jim Carrey aussi qui le fait ? Ah bon, ben c'est cool... Les chevaux semblent sortir d'une cinématique de jeu vidéo et l'humour provoqué par le rétrécissement de Scrooge et sa voix aigüe est totalement malvenu dans cette séquence. Ah oui, j'oubliais la mâchoire de Jacob Marley, complètement inutile et ridicule.
Au niveau de l'animation, j'ai trouvé ça mieux que dans les films précédents mais je ne suis toujours pas convaincu de l'apport réel de cette technique dans un film entier. J'attendrais plus un film d'animation 3D qui mélange à la fois la performance capture et l'animation par ordinateur de manière intelligente afin de profiter de la qualité des détails et du jeu d'acteur pour les personnages principaux ou certaines scènes mais aussi de la fluidité des mouvements que peuvent créer de vrais animateurs.

J'ai eu l'impression de voir un film mal calibré, pas subtil pour un sou et bien loin finalement de ce qu'aurait dû être l'adaptation "ultime" du Chant de Noël de Charles Dickens.

je ne sais pas si ça été mis , mais sur le site de imagemovers digital, il y a tout une gallerie de dessins du film , et ils sont superbes ! ! !

http://www.imagemoversdigital.com/#/projects_cc/

(attention aux spoilers dans les images)

Floux a écrit:

Fresh a écrit:

A Nice, quand même 5ème ville de France aucun cinéma ne fait la 3D... Abusé... Ça se réglera en prenant la voiture et en allant jusqu'à Cannes Même si j'avoue que les critiques de certains m'ont refroidi... Mais vu que je ne connais ni le conte de Dickens ni la version Mickey peut-être que cela va faire que j'apprécierai...

Ah je corrige, le film est sorti en 3D au Pathé Lingostière (oui je prêche pour ma paroisse). Moyennant trois euros supplémentaires, tu as droit à de jolies lunettes 3D toutes neuves.

Sinon je n'ai pas encore vu le film, je suis seulement allée jeter un œil de temps en temps pendant mon service, histoire de tester les lunettes comme on dit et sincèrement je suis conquise. La netteté de l'image est impressionnante et la 3D permet de rentrer complètement dans le film.
Après j'avoue que le film est très sombre, la toute première scène est assez spéciale et beaucoup de personnes sont ressorties parce que cela effrayait les enfants. Mais bon je ne resterai pas sur des aprioris et j'irai le voir tranquillement pour me faire une meilleure opinion.

Mea culpa, pour la première fois il était en effet diffusé en 3D à Lingostière... J'en sors... Et honnêtement je ne sais pas trop quoi en penser de ce film... L'animation 3D en jette, Londres est superbe mais j'ai vraiment eu du mal à m'attacher à cet homme sur le chemin de la rédemption et du changement... Je ne me suis pas ennuyé mais je n'en garderai pas un souvenir impérissable...

Enfin demain j'irai le voir.

Bon je suis allé le voir aujourd'hui ... et je dois dire que ça ma pas botter plus que ça. Malgré les passages au-dessus de Londres qui m'ont transporté, et la 3D bien faite, je ne le conseille pas. (Mon amie a eu peur à plusieurs moments, et devant le cinéma, il y avait marquer non-conseiller au enfants de moins de 10 ans, on ne retrouve pas l'esprit Disney, Dommage)

Désolé pour le hs:
Comment ça se fait que Le Noël de Mickey ne soit jamais sorti en dvd?
J'aimerais bien l'avoir...

Sinon je vais voir celui ci à 20h15 avis à suivre...

Fredd a écrit:

Désolé pour le hs:
Comment ça se fait que Le Noël de Mickey ne soit jamais sorti en dvd?
J'aimerais bien l'avoir...

Sinon je vais voir celui ci à 20h15 avis à suivre...

Il est disponible sur Mickey Les années en couleurs volume 2 et sur le volume 6 des intemporels.

Vu en 3D, et c'est un chef d'oeuvre qui respecte très bien le conte.
La 3D ne m'a pas bluffée, trop d'effets "tu la vois ma 3D" .... Rien à voir avec AVATAR, où j'ai trouvé ça absolument superbe et immersif.
Merci Zemeckis en tout cas, pour ne pas avoir édulcoré son film.

J'ai aussi été le voir en 3D.

Après les critiques incendiaires, je m'attendais pas à grand chose : finalement j'ai passé un très bon moment !

Voici quelques points positifs et négatifs :

Positifs :
-Les décors de Londres sont vraiment superbe !
-J'aime beaucoup l'ambiance globale du film, je suis pas fan de la motion capture mais ça contribue à une ambiance sympa pour ce film

Négatifs :
-Les scènes d'actions sont forcées, elles ne viennent pas du tout naturtellement dans le film
-Les esprits des noels (le passé et le futur) sont vraiment pas bien foutu je trouve
-J'ai trouvé le film trop violent, et surtout la violence est inutile et ne sert pas le film, surtout quand il y a pas mal de gosses dans la salle

Mais il en reste un très bon film, certes pas un chefs d'oeuvre mais quand on vient de voir 2012, ce film est vraiment très bon ! =)

Je l'ai vu aujourd'hui et j'ai adoré. Le film retranscrit bien l'ambiance générale du conte original de Dickens. Les décors sont fabuleux, notament les plans de Londres. On suit bien l'évolution de Scrooge tout au long du film à travers les différentes époques. Certes le film peut effrayer les plus jeunes, surtout dans les premières minutes et je comprend très bien qu'il soit déconseillé au moins de 10 ans. Par contre je trouve qu'il s'agit là d'une belle histoire de Noël avec une belle moralité à la fin, le film commence dans une atmosphère sombre à l'image de Scrooge et s'égaye à la fin lorsque Scrooge prend enfin conscience de ce que signifie Noël. Ce film nous montre que Noël est une fête qui est synonyme de générosité et de joie.
"Le drôle de Noël de Scrooge" est un film à voir pour sa belle moralité et la beauté des décor, il nous plonge dans les fêtes de Noël en nous rappelant ce qu'elle signifie.