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| Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] | |
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Auteur | Message |
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Mr Mouse
Messages : 557 Inscription : 07/01/2011
| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Sam 11 Avr 2015 - 12:33 | |
| Ah quelle découverte!! C'est toujours un plaisir de lire ton TR, et tes photos magnifiques ! Ah ce Welcome Show, ça doit bien mettre dans l'ambiance et rendre le début de journée exceptionnel ! Nous N'avons pas fait le train et envoyant tes photos, je le regrette un peu, c'est une super idée de découvrir le parc de cette façon. Tu as fais une super description de Haunted Mansion, ça me donne vraiment envie d 'y retourner... Ton souvenir est super original c'est comme si tu ramenais un petit bout de l'attraction, personnalisé en plus de ça! On voyage une nouvelle fois avec toi, Merci beaucoup ! |
| | | Rockncroll
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| | | | Meril06
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| | | | shambles-x
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| | | | Souchie
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| | | | Ballou
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Dim 12 Avr 2015 - 2:11 | |
| Oui je suis content de mon achat. Ça devrait faire une super déco pour halloween avec une petite musique d'ambiance qui va bien . Le cadre reprend les gargouilles présentes dans l’ascenseur du manoir, de toute beauté. Après c'est plus difficile à caser chez soi que dans la boutique ou forcément tout est sur le même thème. Le cadre n'est pas prévu pour un affichage au mur mais conçu pour être posé sur un meuble. Généralement on a les deux possibilités. Cette boutique est en tout cas un vrai régal, bourré d'humour et de second degré comme cette version dérivée du jeu "Destins" ou "Life" en vo : Je n'ai malheureusement quasiment pas pris de photo ni de vidéo dans cet endroit. La boutique n'est pas immense non plus mais regorge de surprises à découvrir. A ne pas manquer ! |
| | | Ballou
Âge : 39 Messages : 714 Localisation : Gap Inscription : 28/05/2010
| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Jeu 16 Avr 2015 - 19:20 | |
| Chapitre 15 – La croisière s'amuseC’est sous un ciel tout bleu que je franchis les portes d’Adventureland. La végétation luxuriante se charge de m’immerger dans une nouvelle ambiance où l’aventure rode à chaque tournant. Je passe à proximité de l’arbre des Robinsons et me retrouve ensuite sur une petite place où tournoient entre les palmiers une flopée de tapis magiques. Quelques pas plus loin, se tient l’entrée d’une attraction encore inconnue et qu’au vu du peu d’attente affiché je vais m’empresser de découvrir. Jungle CruiseSur un principe similaire aux Kilimanjaro Safaris, une compagnie propose ici aux visiteurs d’embarquer pour une croisière en empruntant le cours d’eau d’une rivière au beau milieu d’une jungle hostile. A peine le temps d’observer les détails de la file d’attente que je suis déjà invité à prendre place à bord du bateau. C’est une sorte de grosse barque dont l’imposant moteur, situé au centre de l’embarcation, ronronne déjà, prêt à s’engager dans la jungle qui lui fait face. La barque est couverte et les passagers sont installés sur le pourtour du bateau, se faisant face. A la proue se situe le pupitre de commande, c’est ici que la Cast Member prendra place. L’attraction est sympathique et la végétation nous emmène une fois de plus à l’autre bout du monde. Je vous laisse admirer les rayons du soleil qui passent à travers les branches et la brume qui est diffusée le long du parcours : magnifique ! La guide et « conductrice » du bateau se chargera de l’animation à bord. Une grande partie de l’attraction repose sur elle et son interaction avec l’environnement qui l’entoure. La barque évolue dans différents tableaux et l’on se retrouve dans des décors soignés et immersifs. La maitrise de la langue est incontestablement un plus mais se plonger dans l’ambiance demeure assez facile. Cette attraction est agréable et a le mérite de proposer une expérience totalement nouvelle pour moi. Ce ne sera cependant pas un véritable coup de foudre et me contenterai d’un seul tour durant mon séjour. Ayant échappé de justesse aux attaques de ce monde hostile, je retrouve la terre ferme et continue mon exploration du land pour me retrouver face à un grand classique des parcs Disney. Pirates of the CaribbeanPas de grande forteresse délabrée où le temps semble s’être arrêté, ici c’est une entrée à l’ambiance portuaire qui accueille les visiteurs. Quelques tonneaux et malles sont disposés de part et d’autre d’une grande allée menant à l’entrée de la file d’attente. C’est une fois dans celle-ci que l’on retrouve une ambiance familière bien que moins impressionnante et détaillée qu’en France. Très peu d’attente là encore avant de me retrouver à nouveau sur les flots, cette fois-ci plus agités. Si l’attraction comporte quelques passages inédits et une ligne narrative quelque peu différente, notamment pas la présence du Capitaine Jack Sparow en personne, j’ai trouvé l’ensemble un peu plus fade que chez nous. Peut-être moins de personnages ? La scène où l’embarcation fait face au grand bateau de pirates reste cependant impressionnante. On se croirait vraiment dans un livre où l’action prend vie. Je garderai un bon souvenir de ce passage. Seul faux pas, et pas des moindre : l’immonde tapis roulant coincé entre deux murs de pierres qu’ils sont allés foutre à la sortie de l’attraction. Je n’ai pour l’instant toujours pas utilisé de Fast Pass. Les premières heures de la journée sont vraiment calmes et c’est l’idéal pour enchainer les attractions sans trop attendre. Je continue ma visite et entre maintenant dans Frontierland. Sur ma gauche se situe une étrange montagne dont la base est pleine de ronce : Splash Mountain. L’entrée se situe un peu plus loin. Je retrouve ici la gare où s’est arrêté mon train en début de journée. Juste en dessous le panneau indiquant 5 petites minutes d’attente pour Splash Mountain. J’avais prévu un Fast Pass quelques minutes plus tard pour cette attraction, peu importe, ce sera l’occasion de la faire deux fois. Splash MountainLe décor est grandiose et je passerai une bonne dizaine de minutes à observer les buches qui dévalent les pentes de l’attraction. Splash Mountain fait partie de ces curiosités que je ne voulais manquer pour rien au monde et me voilà, en cette belle et chaude matinée de février (je ne pensais pas écrire ça un jour), prêt à entrer dans la file d’attente. Je me lance donc dans la visite de ce qui semble être un terrier et après quelques tours et détours j’arrive au quai d’embarquement, joliment blotti entre les murs de petites habitations. Des panneaux indiquent à plusieurs reprises que l’on peut ressortir mouillé de l’attraction mais voyant que peu de passagers de ma buche sortent les ponchos je décide de garder le mien dans le sac et embarque tout fier… au premier rang. Alors comment vous dire… Splash Mountain, au premier rang et sans poncho c’est la garantie de sortir de là complètement trempé. Mais cela n’empêchera pas, bien au contraire, de faire de cette expérience mon deuxième coup de cœur de la matinée ! Déjà la durée de l’attraction : une fois à bord vous avez de quoi vous occuper pour un bon petit moment. Le parcours est plein de surprises et ponctué par de nombreuses chutes. Comme d’habitude on en vient à se demander comment ils ont conçu une telle attraction avec ce souci du détail et cette impression d’être vraiment dans un arbre gigantesque. Le parcours offre par endroit de jolis points de vue sur le reste du parc jusqu’à la fameuse chute finale qui vous donnera de bonnes sensations et rafraichira les journées les plus chaudes. Le tout est entrecoupé de scènes plus calmes avec tout un tas d’audio-animatronics qui s’animent au rythme d’une musique pleine d’entrain que peux désormais rajouter à la liste des mélodies qui restent en tête pendant un bon moment. Totalement trempé, je profiterai du soleil Floridien pour faire sécher mes vêtements et me poser un peu car la matinée a été bien chargée. Il sera ensuite temps d’utiliser mon premier Fast Pass de la journée pour dévaler les pentes de Big Thunder Mountain. Chapitre suivant : Chapitre 16 – Il y a un serpent dans ma botte
Dernière édition par Ballou le Mar 22 Déc 2015 - 20:09, édité 2 fois |
| | | buzz3633
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Jeu 16 Avr 2015 - 20:56 | |
| Splash Mountain a été pour mes enfants et moi un véritable coup de coeur. 1er séjour : 3jours/2nuits au SQL (Montana), Avril 2012 ; 2ème séjour : 3jours/2nuits au NY, Novembre 2012 3ème séjour : 3jours/2nuits au SQL (Honeymoon), Mars 2013 ; 4ème séjour : 4jours/3nuits au NY (Empire State Club) du 12/03/2014 au 15/03/2014 Passeport Dream depuis mai 2015 : Séjour de 4 jours en mai 2015 ; Séjour de 3 jours au Santa Fé en juillet 2015 Séjour de 3 jours en novembre au cheyenne en novembre 2015 Séjour les 21/22 et 23 février 2016 au Sequoia Lodge. 1er séjour USA : WDW - 30/04/2014 au 09/05/2014 à l'Old Key West Resort - studio deluxe - Disney Dining Plan - billets Ultimate. 2ème séjour USA : de début août 2018 à fin août 2018 - WDW - 16/08/2018 au 23/08/2018 au Caribbean - DDP - billets Ultimate. |
| | | Mr Mouse
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Jeu 16 Avr 2015 - 22:00 | |
| Merci beaucoup pour cette superbe suite ! Comme toujours c'est un vrai moment de plaisir de te lire. Surtout que tu nous offres de très belles photos de détails dont je ne me souvenais plus du tout, et c'est un pur bonheur de les redécouvrir. C'est là où je me rend compte qu'il y a plein de choses que je n'ai pas pris le temps de photographier et je le regrette un peu ! Heureusement qu'il y a des visiteurs comme toi pour combler cette négligence ^^ ! Je rejoins complètement ton avis pour POTC, j'ai tiqué sur le mot " fade" c'est précisément ce que j'ai ressenti. Je constate en tout cas que les files ont l'air bien vides, quel chanceux. Qu'as-tu pensé d'Adventureland dans son ensemble? Conquis? Encore merci !! |
| | | Ballou
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Jeu 16 Avr 2015 - 22:30 | |
| - buzz3633 a écrit:
- Splash Mountain a été pour mes enfants et moi un véritable coup de coeur.
Très belle surprise effectivement et je comprends que les adultes aussi bien que les enfants y trouvent leur compte. - Mr Mouse a écrit:
- C'est là où je me rend compte qu'il y a plein de choses que je n'ai pas pris le temps de photographier et je le regrette un peu !
J'avais d'un côté l'appareil photo et de l'autre le caméscope ce qui fait, une fois regroupées, un paquet d'images. Certaines des photos postées sont en fait des images extraites des vidéos d'où des détails que je n'aurai pu prendre en si peu de temps de visite avec uniquement l'appareil photo . - Mr Mouse a écrit:
- Qu'as-tu pensé d'Adventureland dans son ensemble? Conquis?
Je l'ai trouvé étonnement "urbanisé". Je ne m'attendais pas à tant de bâtiments et de "civilisation". Forcément je suis amené à chaque fois à comparer avec ce que je connais déjà. C'est une autre approche différente du parc parisien et je me demande si je ne préfère pas notre version, plus sauvage. En tous cas nos pirates remportent la bataille haut la main ! |
| | | KIKA
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| | | | Rockncroll
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| | | | Ballou
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| | | | Meril06
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| | | | Ballou
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Lun 20 Avr 2015 - 20:37 | |
| Chapitre 16 – Il y a un serpent dans ma botteDes ronces de Splash Mountain aux cactus du Big Thunder Mountain il n’y a qu’un pas. Bon ok, il y en a en fait un peu plus mais à l’échelle du parc on va dire qu’il n’y en a qu’un… Big Thunder MountainL’attraction est un peu isolée, se trouvant en fait dans un cul de sac. C’est assez surprenant quand on sait que chez nous l’attraction occupe une place de choix en étant au centre de Frontierland. L’entrée Fast Pass de l’attraction bouchonne un peu et il me faudra faire une petite file d’attente pour accéder à la file d’attente elle-même. Là encore c’est bien organisé. Un cast member est là pour indiquer le début de la file et l’organiser afin qu’elle gêne le moins possible la circulation dans le reste du land. Les visiteurs, respectueux, se mettent ainsi gentiment les uns derrières les autres. De toute façon si quelqu’un tente de s’incruster on le lui fera vite comprendre. Ce respect de l’autre et des règles ne peut laisser qu’admiratif quand on voit comment cela fonctionne en France. On y prend très vite goût et cela est très agréable. Quel plaisir de pouvoir prendre une photo sans que les gens passent à moins d’un mètre de l’objectif. Ici les gens sont à l’écoute des autres et la plupart trouvent tout à fait normal de s’arrêter l’espace d’un instant pour que vous ayez le temps de prendre la jolie photo qui va bien. Lorsque vous disposez d’un Fast Pass vous devez scanner votre Magic Band à l’entrée de la file d’attente dédiée et le scanner de nouveau un peu plus tard dans celle-ci. J’imagine que c’est pour éviter que des petits malins changent de file en cours de route et passent de la file d’attente classique à celle dédiée au Fast Pass. Prévoyez donc toujours un peu de marge au cas où l’accès à la file Fast Pass soit saturée comme c’était le cas à ce moment-là pour moi. En tout cas le système fait vraiment ses preuves. J’économiserai ici près de 50 minutes ! Voici un joli décor 100 % Far-West qui s’offre à moi, certes pas de santiag géante mais de belles montagnes aux couleurs chaudes. C’est sous un grand bâtiment en bois que serpente la file d’attente qui m’emmènera assez rapidement aux quais d’embarquement se situant à l’étage inférieur. Me voilà installé dans les derniers wagons du train : parfait ! Le parcours est totalement différent de chez nous, laissant place à de nouveaux décors et sensations. Certaines parties du parcours sont moins enclavées qu’en France, offrant l’image d’un train filant à toute allure dans le désert. J’en garde un bon souvenir et le grand air des montagnes arides aura permis d’accélérer un peu le processus de séchage. A noter l’absence de photo prise durant le parcours. A peine descendu que mon deuxième Fast Pass peut être utilisé. C’est donc l’occasion de retourner à Splash Mountain. Cette fois-ci j’enfile mon poncho jaune : je ne me ferai pas avoir deux fois ! La file d’attente classique s’est bien remplie depuis mon premier passage et je suis bien content d’user du Magic Band pour, en quelques minutes, me retrouver de nouveau dans ma buche. Je serai cette fois-ci en compagnie d’un américain qui me demandera toutes les 5 minutes quand est-ce qu’il y a la grosse chute. Je prendrai autant de plaisir que lors de ma première visite et en sortirai bien moins trempé car situé vers l'arrière de la buche. Après toutes ces aventures je me rends compte que le temps est passé à toute allure. Tant pis pour ma méthode « manger plus tôt pour attendre moins », je l’appliquerai une prochaine fois. Il est déjà 13h30 et je pars à la recherche d’un endroit pour manger car le ventre commence sérieusement à réclamer. Je suis en tout cas très satisfait du programme de ma « matinée ». J’ai pu faire beaucoup d’attractions sans attendre plus de 5 minutes à chaque fois. Je décide d’abandonner cette partie du parc et, c’est en repassant devant le château, que j’entre dans Tomorrowland. Chapitre suivant : Chapitre 17 – J’ai acheté une machine à laver à ma femme, elle est ravie
Dernière édition par Ballou le Mer 22 Avr 2015 - 13:44, édité 2 fois |
| | | KIKA
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| | | | Beldelen
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| | | | Ballou
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| | | | Ballou
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Mar 21 Avr 2015 - 13:03 | |
| Chapitre 17 – J’ai acheté une machine à laver à ma femme, elle est ravieBienvenue à Tomorrowland ! Le futur. Voilà un domaine où l’imagination peut s’en donner à cœur joie. Seulement voilà, l’instant « T » est éphémère et le décrire revient à essayer de dessiner un sablier dont le sable ne cesse de s’écouler. On se retrouve forcément à un moment ou un autre avec une vision depuis longtemps dépassée. Tomorrowland ressemble donc plus à un musée dédié au futur tel que nous pouvions l’imaginer il y a quelques décennies qu’à une vision actuelle de notre futur. Mais attention, n’y voyez pas forcément un côté négatif car ce point de vue offre bel et bien au visiteur un voyage dans le temps. Ce n’est cependant peut-être pas celui auquel on pourrait s’attendre au premier abord, mais cette drôle d’expérience pourrait bien avoir un certain charme. L’entrée du land ressemble à une longue avenue donnant au loin sur une grande place circulaire. Au milieu de cette place tournoient les avions de l’Astro Orbiter, attraction qui, surélevée par rapport au niveau du sol, donne un peu de dynamisme à l’ensemble lorsque les avions sont en vol. Autres éléments en mouvements : les véhicules du PeopleMover qui sillonnent le land offrant à leurs passagers une vision surélevée de l’ensemble. Tout est assez aseptisé. Le métal semble être le matériau du futur et la palette de couleur est assez limitée. Une dominante de bleu et quelques teintes ici et là en fonction des attractions mais rien ne se démarque réellement. On retrouve finalement l’aspect des films de science-fiction de la fin des années 70. Une fois cette première impression passée, ne vous attendez pas à beaucoup d’originalité. Les enseignes des attractions sont assez discrètes et permettent tant bien que mal de distinguer les différentes aventures proposées ici. Seule l’architecture de Space Mountain au loin semble se démarquer un peu. Pour le reste tout se ressemble beaucoup et semble se fondre dans un seul et unique décor. Il me faudra attendre encore un peu avant de découvrir ce que renferme ce land, la priorité étant désormais donnée à la pause repas. Je rejoins la fameuse place centrale. C’est ici que je dégusterai un délicieux hot dog. L’occasion de me réconcilier avec les expériences gustatives offertes par le parc. Le parc s’est en tout cas bien rempli et je comprends vite que je ne vais plus pouvoir enchainer les attractions aussi facilement que ce matin. Me reste tout de même un Fast Pass en poche. Par chance, je trouverai rapidement une place où m’asseoir et déguster mon repas au milieu de la foule. Une fois le repas terminé, je me remets en route. Il est grand temps de reprendre ma visite de Tomorrowland. Je me dirige vers le bâtiment circulaire de l’attraction Walt Disney’s Carousel of Progress situé non loin de là. Walt Disney’s Carousel of ProgressLes portes du bâtiment sont grandes ouvertes et la file d’attente, très courte, me garantit une entrée immédiate. Je passe à proximité du parking à poussettes et entre dans l’inconnu. La salle est composée de sièges dont les rangées sont légèrement incurvées pour faire face à une scène cachée à cet instant par un grand rideau. Je m’installe confortablement et les portes de l’attraction ne tarderont pas à se fermer. Je n’ai finalement rien vu de l’attraction de l’extérieur et ne sait vraiment pas à quoi m’attendre. Je serai donc très surpris de voir la partie où le public est assis effectuer un mouvement de rotation autour de la scène qui, elle, reste immobile. Imaginez en fait une tarte aux pommes géante (vous avez le droit de changer le fruit si cela vous aide) comme scène centrale. Cette tarte a été découpée en plusieurs parts. Chaque part représente une scène, séparée des autres parts par des cloisons, un peu comme un jeton de Trivial Pursuit géant. Tout autour de cette scène, se trouve un prolongement de ces cloisons mais sur une structure indépendante où est assis le public. Un peu comme une sorte de donut géant qui effectue un mouvement rotatif autour de cette partie centrale. Le public bouge donc autour de la scène et passe ainsi de tableaux en tableaux. Cela implique que chaque scène dure la même durée et que l’introduction et la fin de chaque tableau soient identiques (d’où l’utilisation d’une chanson pour la transition). Chanson que vous pouvez rajouter dans la liste des mélodies entêtantes. L’entrée et la sortie du public ne doivent également pas dépasser un certain temps afin de ne pas créer de temps mort pour les spectateurs qui sont déjà engagés dans l’attraction. Bref, l’effet est pour le moins surprenant, original et j’ai trouvé cela très bien fait. Voilà pour la partie technique. L’attraction nous plonge au cœur d’une famille américaine. Chaque rotation de la salle sera un bon dans le temps où nous pourrons suivre l’arrivée des technologies et leurs impacts sur la vie de tous les jours. L’attraction datant des années 70, autant vous dire que la hiérarchie familiale y est très marquée. Monsieur restera la plupart du temps assis sur chaise à lire le journal et à fumer sa pipe, pendant que madame se chargera des tâches ménagères. Elle aura tout de même droit à chaque tableau à un nouvel appareil électroménager, la comblant de joie. Côté technique les audio-animatronics ont un charme d’antan et je ne peux m’empêcher de penser à ces vidéos où Walt Disney présente lui-même l’attraction et les techniques de programmation et de synchronisation des mouvements. Je me dis que je suis face à une véritable pièce de collection. En sortant de l’attraction je prendrai quelques minutes pour observer la salle de l’extérieur. C’est assez marrant de voir la structure bouger, accueillir les nouveaux visiteurs et lâcher ceux qui viennent de terminer leur tour. Non loin de la sortie de l’attraction se trouve l’embarquement du PeopleMover mais celui-ci semble être en panne. Ce sera donc pour plus tard. Je continue mon chemin et décide d’aller à la rencontre d’un célèbre extraterrestre. Stitch's Great EscapeJ’avais lu quelques avis mitigés sur cette attraction mais je tenais absolument à la faire. Imaginée à l’origine autour de la saga Alien, cette attraction, jugée trop effrayante, avait été ensuite modifiée pour accueillir un extraterrestre à la bouille plus sympathique : Stitch. Fan de la saga initiée par Ridley Scott, j’aurai bien aimé participer à cette première version de l’attraction mais au vu du potentiel de celle-ci je comprends qu’elle ait pu « terroriser » plus d’une personne. Mais comme on ne se débarrasse pas d’un Alien si facilement, sachez que l’audio-animatronic utilisé à l’époque a été recyclé dans l’attraction The Great Movie Ride aux Hollywood Studios. Après une petite introduction sympathique (pendant laquelle je me ferai copieusement engueuler par une cast-member pour avoir sorti mon caméscope), le public est amené à entrer dans une grande salle où les sièges sont positionnés en arcs de cercle autour d’une sorte de tube géant. Il y a certaines attractions où il ne vaut mieux pas être le premier devant les portes d’accès. Stitch's Great Escape en fait partie. Vous vous retrouvez à devoir avancer jusqu’au bout de la rangée ce qui n’est pas forcément la meilleure des places. C’est d’autant plus vrai lorsque l’attraction propose une projection (mais ce n’était pas le cas ici). Donc un conseil : même si vous êtes le premier de la file à entrer, laissez passez une partie de la foule devant vous pour avoir une meilleure place. Une fois assis des harnais descendront sur vos épaules, un peu comme si vous vous apprêtiez à enchainer une dizaine de loopings. Mais il n’en est rien. Ils sont essentiellement là pour éviter que tous les gamins se barrent en pleurant parce qu’ils ont peur. Ils pleureront donc assis sans bouger… Plus sérieusement, ces harnais accentuent le côté oppressant de l’attraction et vous réservent aussi quelques surprises. Je ne sais pas trop si j’emmènerai mon enfant là-dedans. L’ambiance est assez stressante, plongeant le visiteur dans l’obscurité totale pendant une bonne partie du show. Quelques effets sont bien trouvés mais, assis au bord de la rangée, je serai écarté du centre de l’action et ne pourrait en profiter pleinement. Dans l’ensemble j’en ressors moyennement satisfait. L’attraction a du potentiel mais je trouve le tout mal exploité. On passe une partie du temps à entendre des bruits et à essayer de regarder un peu partout sans qu’il ne se passe grand-chose. Dommage… De retour sous le soleil de Floride, je prendrai lentement la direction de Fantasyland pour utiliser le dernier Fast Pass de la journée. Chapitre suivant : Chapitre 18 – Joyeux, dormeur, simplet et les autres...
Dernière édition par Ballou le Ven 15 Mai 2015 - 17:04, édité 3 fois |
| | | LaCasaCactus
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| | | | Ballou
Âge : 39 Messages : 714 Localisation : Gap Inscription : 28/05/2010
| | | | Meril06
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| | | | stephanie25
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| | | | Héra
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Mar 21 Avr 2015 - 19:15 | |
| Hey Ballou, je viens de ratrapper tout mon retard, trois chapitres d'un coup, quel regal!!!
Coup de coeur pour la maison hantee, ca fait partie de mes preferees a Paris, alors j'ai vraiment hate de tenter celle la, le decor a l'air tellement bien realise!
J'etais curieuse de savoir ce que Stitch's great escape donnait mais j'avoue que de savoir que c'etait un alien traditionnel avant... ca doit quand meme enlever un peu a l'attraction, c'est sur.
En tout cas encore une fois merci de partager tout ca avec nous! "And I'll rise like the break of dawn" |
| | | LaCasaCactus
Messages : 995 Inscription : 09/10/2014
| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Mar 21 Avr 2015 - 19:26 | |
| Comme Merilo6, je regrette que çà ait changé car c'était bien fichu, légèrement flippant la première fois... De ttes façons, Stitch s'en va de là, j'ai lu, non? Blue Valet, parking aéroport/gare, parrainage (-10euros pour 1ère réservation): JYU12 |
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