Netflix [Plateforme de streaming - 2007]

Ah, il font une suite aux Chroniques de Noël ?

Hé oui, Olikos! En espérant qu'il soit aussi bien que le 1.
(C'est toujours ma crainte avec les suites. )

Il y a également Un Noël tombé du ciel qui est sorti aujourd'hui et Un Noël extra qui devrait sortir le 20 et qui semble être un film d'animation autour d'un alien.
La plateforme a également sorti Holidate, il y a quelques jours. Parfait pour Noël et les autres fêtes.

Alors j'ai vu le nouveau film Bob l'éponge qui vient enfin de sortir sur Netflix après des mois de retard et d'annulation. Je garde quand même le grand regret de n'avoir pu le découvrir au cinéma...

J'ai vraiment aimé.
Evidemment il n'atteint pas le niveau du chef-d'oeuvre qu'était le premier film mais je pense aussi qu'il est meilleur que le deuxième film (que j'avais bien aimé aussi après revisionnage)

Le point noir pour moi c'est l'histoire qui est beaucoup trop simpliste, on a plus l'impression de regarder un gros épisode de la série plutôt qu'un vrai film avec de vrais enjeux, c'est un peu dommage.

J'ai beaucoup aimé le style d'animation, je suis un amoureux du 2D mais là pour l'expérience c'était vraiment sympa et joli (même si Sandy fait un peu peur   )

La musique de Hans Zimmer ressort particulièrement à certain moment.

J'ai très souvent souris aux blagues et même ris de bon coeur plusieurs fois.
Il se dégage une atmosphère feels good au film.

Mais personnellement ce qui m'a particulièrement marquée dans ce film, ça va peut-être vous paraître étrange, mais c'est le doublage.
Alors oui c'est les mêmes voix Françaises que d'habitude mais là franchement j'ai trouvé qu'au niveau de leur jeu ils se sont vraiment surpassés et ont vraiment embelli le film. Mention spéciale à Sébastien Desjours qui double Bob qui maitrise vraiment son personnage de bout en bout d'une main de maître.
Profitons aussi pendant qu'on le peu encore de Michel Bedetti qui double Mr.Krabs et Plankton et qui malheureusement n'est plus tout jeune.

Bref très sympa pour moi, relativement réussie, c'est un film qui tient ses promesses, du rire bob l'éponge sans prise de tête.

L'ultime preuve pour moi que c'est réussi, c'est que j'ai envie de le revoir.

*choupinette* a écrit:

La plateforme a également sorti Holidate, il y a quelques jours. Parfait pour Noël et les autres fêtes.

J'ai regardé Holidate et c'est pas mal du tout.

Netflix va désormais déclarer au fisc français ses revenus en France. Dans le but d'améliorer son image afin de garder un coup d'avance face à la concurrence grandissante ?

capital a écrit:

Le service de vidéo-à-la-demande, qui jusqu’à présent déclarait aux Pays-Bas le chiffre d’affaires généré par ses abonnés français, va désormais le faire en France. L’impôt sur les bénéfices correspondant sera donc dorénavant encaissé par Bercy.

Lorsque vous vous abonnez à Netflix, vous ne prêtez sûrement pas attention à ce détail. L’entité avec laquelle vous signez est Netflix International BV, une société néerlandaise. Mais, à partir de janvier, un changement presque imperceptible sera effectué dans les conditions de vente du service de vidéo-à-la-demande. Selon les informations de Capital, les nouveaux abonnés signeront désormais un contrat avec Netflix Services France SA, une société immatriculée dans l’Hexagone. Ce changement, en apparence anodin, aura d’importantes conséquences fiscales. Le chiffre d’affaires généré par les abonnés français sera déclaré, non plus aux Pays-Bas mais en France. Et ce chiffre d’affaires est conséquent. Il peut être estimé à 800 millions d’euros, en se basant sur les 6,7 millions d’abonnés annoncés en janvier par Netflix, et en supposant que ces abonnés choisissent principalement l’offre de milieu de gamme à 11,99 euros TTC par mois, comme l’avait montré une étude du cabinet Park Associates. Jusqu’à présent, le Californien déclarait en France un chiffre d’affaires microscopique de seulement 26 millions d’euros… Cette évolution aura lieu simultanément pour d’autres abonnés européens, qui passent eux aussi par la filiale néerlandaise. Netflix l’a d’ores et déjà confirmé pour ses abonnés espagnols.

Lorsque Netflix déclarera son chiffre d’affaires en France, il paiera aussi au fisc français un impôt sur les bénéfices, bien supérieur à la somme symbolique versée jusqu’à présent (564.174 euros l’an dernier). Mais l’estimation de ce futur impôt est plus difficile à faire. En théorie, on pourrait se baser sur la marge opérationnelle avant impôt globale de Netflix (10%). Alors le bénéfice avant impôts réalisé en France s’élèverait à 80 millions d’euros. Avec un taux de 33,3%, le site de vidéo à la demande s’acquitterait alors d’environ 25 millions d’euros d’impôts sur les bénéfices.

En réalité, la somme sera sans doute bien inférieure. La marge devrait plutôt être proche de celle réalisée par Netflix International Holdings BV, la filiale néerlandaise qui chapeaute les activités hors des Etats-Unis. En 2019, elle s’est élevée à seulement 3,1%, indiquent ses comptes consolidés. On aboutirait alors à une petite dizaine de millions d’euros d’impôt sur les bénéfices.

Explication : la filiale néerlandaise doit rémunérer la maison-mère américaine pour moults services rendus, à commencer par l’utilisation de sa propriété intellectuelle : programmes, brevets, marque… Cette rémunération, qui a représenté 71% de son chiffre d’affaires consolidé l’an dernier, pèse lourdement sur la rentabilité, et explique la faible marge. Toutefois, Netflix assure que le montant de cette rémunération ne se décide pas au doigt mouillé, mais respecte les principes édictés par l’OCDE sur les prix de transfert entre filiales d’un même groupe. En pratique, la rémunération est fixée en fonction des prix pratiqués sur le marché pour des services comparables, ce que les fiscalistes appellent le principe de pleine concurrence.

Ce schéma va encore se complexifier à partir de janvier. L’accord de licence entre la maison-mère américaine et la filiale néerlandaise restera en place. Mais s’y ajoutera un accord de distribution entre la filiale néerlandaise et la filiale française, qui deviendra un revendeur du service.

Sur son long chemin vers la vertu fiscale, Netflix avait déjà renoncé l’an dernier à un montage d’optimisation fiscale encore plus sulfureux, même s’il était lui aussi légal. Historiquement, les activités hors des Etats-Unis étaient détenues par Netflix Global Holdings CV, une société installée aux Pays-Bas mais résidente fiscale aux îles Caïmans. Mais une réorganisation a eu lieu l’an dernier. Désormais, les activités internationales sont détenues directement par la maison mère américaine, sans plus passer par les îles Caïmans.

Explication : ce détour par un paradis fiscal exotique est devenu inutile depuis une nouvelle loi adoptée par Donald Trump fin 2017. Désormais, les entreprises américaines paient au fisc américain l’impôt sur leur seules activités américaines, et non plus sur leurs activités étrangères. Dès lors, les profits réalisés à l’étranger n’ont plus à être stockés dans des paradis fiscaux pour échapper au fisc américain.

Pour mémoire, Netflix s’acquitte déjà en France de très nombreuses obligations. Il paye la TVA de 20% sur les services en ligne, TVA qui est depuis plusieurs années versée au pays de consommation du service. Il verse aussi au Centre national du cinéma (CNC) une taxe de 5,15% sur son chiffre d’affaires engrangé en France. Enfin, le gouvernement va prochainement publier un décret l’obligeant à investir 20% à 25% de ses revenus hexagonaux dans des productions européennes, dont 85% dans des productions françaises, soit une manne estimée à près de 200 millions d’euros par an.

Contacté, un porte-parole de Netflix a confirmé : “nous apportons des modifications à notre structure d'entreprise pour mieux refléter la croissance de nos activités en France. A compter de 2021, les revenus générés par nos abonnés français seront déclarés en France, et nous paierons l'impôt sur les sociétés en conséquence. Après l'ouverture de notre bureau à Paris en janvier 2020 et le lancement de plus de 20 films et séries réalisés localement, cette évolution confirme notre engagement de long terme aux côtés des industries créatives françaises.”

J'ai essayé de regarde la série Netflix Snowpiercer mais je l'ai trouvée très décevante. J'avais adoré le film mais la série…j’ai lâché au bout de 3 épisodes. C’est toujours pénible de voir un tel potentiel narratif gâché par un scénario faiblard et de plus en plus wtf.

Cela me fascine comme Netflix peut produire des séries comme celle-ci et d’autres qui sont de vraies perles comme The Crown (la saison 4 est magistrale).

Toujours sur Netflix, j’ai récemment regardé la série Le Jeu de la Dame que j’ai vraiment a-do-rée. J’ai voulu me précipiter sur le livre sorti dans les années 80 mais la version française est épuisée depuis plusieurs années…mais je pense qu’on aura droit à des nouveaux tirages en 2021 au vu du grand succès de la mini-série.

Snowpiercer n'est pas une série Netflix mais TNT, Netflix est juste le distributeur international

Et perso j'ai adoré cette saison 1 je l'ai trouvée très bien construite et assez différente dans son enchainement, c'était frais et j'attend la saison 2 avec impatience !

J'ai fini "locke & key" (bof) et Vikings 'saison 1) ; je vais essayer le snowpiercer pour voir.

Olikos a écrit:

Ayant résilié depuis un moment, quelqu'un sait ce que devient la suite de Désenchantée ? La saison 1 partie 2 avait été lancée en août l'an dernier. Mais à partir une bande annonce en fin d'année dernière, on en entend plus du tout parler.

Ce sera pour le 15 janvier 2021

J'ai hâte j'adore cette série et cette saison 3 s'annonce encore fort intéressante !!!

isanka a écrit:

*choupinette* a écrit:

La plateforme a également sorti Holidate, il y a quelques jours. Parfait pour Noël et les autres fêtes.

J'ai regardé Holidate et c'est pas mal du tout.

J'ai adoré !

Il n'y a pas à dire, Netflix est vraiment très fort dans sa com :

Je corresponds vraiment pas du tout au profil. Je me suis abonné un mois il y a déjà plusieurs mois, regardé ce qui m'intéressait et puis ça s'est arrêté là. Mais il y a quelques nouveautés et, surtout, parce qu'il y aura Désenchantée en janvier, donc je me laisserai tenter une fois de plus... juste un mois de nouveau.

Ça fait du bien de retrouver Désenchantée ! Déjà vu 7 épisodes sur les 10... y'en a pas assez, il en faudrait plus. J'adore Elfo ! Je sais pas si c'est parce que le personnage est dépravé, ou bien parce que Thierry Wermuth le rend encore plus dépravé qu'il ne l'est. Excellent aussi la scène des "vers à drogue" et le long monologue de Bean qui l'accompagne. Je me demande ce que réserve les 3 derniers épisodes, avant l'interminable pause...

PS : Ah, mais non, ils peuvent pas terminer le dernier épisode sur un tel cliffhanger !!!! Raaaah, va falloir attendre je sais pas combien de temps !

Je ne savais même pas que ça avait repris

J'avais énormément aimé la première saison mais vraiment alors beaucoup moins la seconde.
J'espère que celle-là cera à la hauteur.

Au cours d'une interview, Reed Hastings, fondateur et co-PDG de Netflix, a admis que le succès de Disney+ était "super impressionnant. C'est un incroyable pivot pour une telle firme... donc c'est super. Et cela montre que les abonnés sont intéressés et sont prêts à payer plus pour plus de contenus, parce qu'ils ont faim de grandes histoires. Et Disney en a.".
Et que  "Cela nous motive beaucoup pour augmenter le nombre d'adhérents, pour augmenter le budget de nos contenus et ce sera bon pour le monde que Disney et Netflix soient en compétition série par série, film par film. Nous sommes vraiment motivés pour les rattraper sur le terrain de l'animation familiale - peut-être finalement les dépasser, nous verrons, un long chemin à parcourir juste pour les attraper - et maintenir notre avance sur le divertissement de manière globale."

Il a tout de même profité du succès de Bridgerton pour ajouter "Je ne pense pas que vous allez voir quelque chose comme ça sur Disney de si tôt". Et Spencer Wang n'a pas manqué de rappeler que sur les 86 millions d’abonnés à Disney, 30% ont été récoltés grâce à Hotstar en Inde, et que ce n'est pas tout à fait le même service mais que cela permet à Disney gonfler ses chiffres.

Deadline a écrit:

Netflix Execs React To Disney’s Streaming Momentum: “Super-Impressive” But No ‘Bridgertons’ In Forecast

Netflix executives offered some of their most extensive comments to date on Disney’s intensifying streaming efforts during their quarterly earnings interview.

They spoke during the company’s discussion of results, which is moderated each quarter by a single Wall Street analyst and posted to YouTube, after the company reported strong figures for the fourth quarter. Despite mounting competition, Netflix added 8.5 million subscribers in the period and 37 million in 2020, well ahead of forecasts. That brings it to 203.7 million, well ahead of the 86.8 million for Disney+, but nevertheless executives were a bit more forthcoming than usual about seeing mouse ears in the rear-view mirror.

“It’s super-impressive what Disney has done,” founder and co-CEO Reed Hastings said. “It’s incredible execution for an incumbent to pivot … so that’s great. And it shows that members are interested and willing to pay more for more content because they’re hungry for great stories. And Disney does have some great stories.”

Inside the company, he continued, “It gets us fired up about increasing our membership, increasing our content budget and it’s going to be great for the world that Disney and Netflix are competing show by show, movie by movie. We’re very fired up about catching them in family animation — maybe eventually passing them, we’ll see, a long way to go just to catch them — and maintaining our lead in general entertainment that’s so stimulating.” An example, he added, is the Shonda Rhimes-created Bridgerton, “which I don’t think you’re going to see on Disney anytime soon.”

Hastings’ reference to the Rhimes breakout had a little extra mustard on it since Rhimes decamped from Disney-owned ABC, her home for Grey’s Anatomy and other series, to sign a blockbuster deal at Netflix. The show appears to be on the verge of a renewal and was reportedly watched by 63M households in its first 28 days, ranking as the No. 5 all-time original series launch on Netflix.

Moderator Kannan Venkateshwar, an analyst with Barclays, drew sustained reactions from four of the five executives participating in the earnings interview when he asked about Disney. The nature of the response had plenty to do with the way he framed the question. “It almost feels like Netflix is underachieving versus its potential and has to work a lot harder to get to comparable scale,” the analyst asserted. “Are there any reasons why the Disney numbers are not a benchmark for Netflix and why the company can’t get there?”

Founder and co-CEO Reed Hastings, though he was smiling, repeated the word “underachieving” with mock-astonishment and displayed a bit of his well-developed tech-founder backbone. He figuratively pointed to the scoreboard, noting the 40% annual rate of return to Netflix shareholders since the company went public in 2002. “If that’s underperformance, we’ll do more of that,” he said with a tight-lipped smile.

“When you talk about it in competitive terms, you think about Christmas Day 2020,” co-CEO Ted Sarandos said of the increasingly crowded streaming scene. On the holiday, due to Covid-19 theater closures, Wonder Woman 1984 and Soul debuted on streaming services HBO Max and Disney+, respectively, with WW84 also getting a small amount of theatrical play. Viewing for both films was healthy, on top of strong Netflix consumption through the holiday, Sarandos said, proving that customers’ supplementing Netflix with extra subscriptions is a “super-healthy dynamic.”

Spencer Wang, who heads investor relations and also takes part in the quarterly earnings interviews, added his own perspective. “Not to take anything away at all from what Disney’s done because it’s been amazing and I’m a happy customer myself, but 30% of their 87 million paid subscribers were Hotstar [in India], which I think we all recognize is a different service,” he said. He went on to stress other competitive edges for Netflix, including its higher penetration globally and revenue per user that is more than twice Disney’s, based on recent quarterly numbers.

Breaking in with a garrulous laugh, Sarandos teased Wang as a way of diplomatically redirecting the conversation. Along with COO and chief product officer Greg Peters, who also noted the “virtuous cycle” created by Netflix revenue, Wang had notably departed from Hastings’ “super-impressive” start to the Disney portion of the interview. “You took the bait!” the co-CEO chided. “Kannan was trying to get us to chest-pound some more.”

Prior to the interview, it had been striking to see the company’s stance on rival services in its quarterly letter to shareholders. Historically, the document has made sly references to Netflix’s main competitors being the video game Fortnite or even sleep. This time, it acknowledged media competitors by name and even accentuated Disney’s progress with an exclamation mark. “It’s a great time to be a consumer of entertainment,” the letter raved.

Quel est le pire film que vous avez vu sur Netflix?
Pour l'instant je dirais Open House
0.5 étoiles sur Allociné...

Je regarde The crown, je vais attaquer la saison 4, j'aime beaucoup

Fredd a écrit:

Quel est le pire film que vous avez vu sur Netflix?
Pour l'instant je dirais Open House
0.5 étoiles sur Allociné...

The Wandering Earth pour ma part. Beaucoup de mal à aller jusqu'au bout.

La nouvelle saison de Brooklyn Nine Nine débarquera le 8 février

La saison 5 de Sabrina est disponible (une série de sorcières, mais ça ne fait pas peur).

frodon69 a écrit:

La saison 5 de Sabrina est disponible (une série de sorcières, mais ça ne fait pas peur).

Ce n'est pas la saison 4 ?

J'ai trouvé les deux premières saisons passables mais les suivantes sont d'une nullité sans nom .

Tomb Raider revient sous la forme d'une série d'animation sur Netflix apparemment :
https://deadline.com/2021/01/netflix-legendary-television-skull-island-tomb-raider-anime-series-1234681149/

J'espère que ce sera pas de la même qualité qu'une certaine colo du crétacé.

J'aime beaucoup Netflix qui offre un large contenue, du neuf et de l'ancien.

La joie de pouvoir regarder Peau d'âne, ce chef d’œuvre de Jacques Demy et de découvrir de vieilles séries comme "The IT Crowd" ou encore "Community" (très peu ou pas diffusée en France).

Heureuse découverte également d'une série récente "Julie and the Phantoms", remake d'une série brésilienne, avec de belles chansons réussies et en réalisateur principal le talentueux Kenny Ortega qui vient des studios Disney (High School Musical, Descendant, Hocus Pocus).

Moi qui n'aime pas beaucoup les créations française, je suis agréablement sur par Lupin!

J'ai dévoré Marseille, j'ai adoré cette série et je suis dégoûtée qu'elle soit arrêtée...

Sinon j'ai regardé Lupin et j'ai bien aimé aussi.
Je vais commencer Khalifat.