Je suis d'accord à propos des scènes coupées. En général, et surtout pour ces productions tous publics, je ne m'en soucie jamais trop mais je trouve qu'ici les prises retirées se seraient très bien incorporées avec le reste de l'histoire. Ce qui est vu dans la version cinéma est suffisant dira-t-on mais j'aurai aimé que l'on passe plus de temps à voir Ella chuter palier par palier.
Dans ses interviews, Branagh expliquait déjà combien sa démarche était, à raison, très différente de la norme des blockbusters actuels. Il est attaché au classicisme depuis toujours et c'est ce qui dénote dans la plupart de ses derniers films (Thor s'était fait critiqué pour ça justement) en dépit du fait que ça soit quasi-uniquement des commandes de gros studios.
On creuse le passé et les motivations de Lady Tremain mais le film a l'intelligence de la faire rester à sa place sans nous demander de prendre pitié pour elle ou changer les actions du personnage. Avant ou après la "révélation", nous gardons la même vision de la Marâtre. Et la réécriture de son background apporte un vrai plus à sa confrontation avec Cendrillon. Elle a du sens dans le combat moral du film.
Les adultes sont juste des enfants qui ont grandi.
En effet, le passé de Lady Tremaine sert surtout l'histoire en parallèle du personnage d'Ella, montrant ce que cette dernière aurait pu devenir. Comme l’héroïne, la marâtre a vécu des épreuves dans sa vie. Mais, à la différence d'Ella, celle-ci est devenue amère et haineuse, et d'autant plus envers la jeune fille qui est tout ce qu'elle n'est pas (ou plus). On peut aussi remarquer que lorsque leurs foyers sont en difficultés. Là où Ella travaille dur en restant optimiste et bienveillante pour essayer de sauver ce qui lui reste, Lady Tremaine préfère se plaindre et utiliser les autres pour parvenir à ses fins. Et, en définitive, Lady Tremaine ne parviendra pas à briser Ella malgré ce qu'elle aura enduré. Le "Je vous pardonne", qui peut sembler naïf, est le point final de cette lutte psychologique entre les deux femmes.
J'ai hâte de voir l'original dans ces conditions, peut être que les détails disparu sur BR réapparaîtrons.
Pour la version live, elle a été tourné en 35mm, mais masterisé en 2k, donc faudra pas s'attendre à un changement drastique
Certains ont pu l'avoir avant sa sortie. Le film a une VF sur le disque en Dolby Digital 5.1 (le même qu'en blu-ray). Le blu-ray est le même qu'en 2015.
My favorites heros: Winnie the Pooh, Simba, Buzz and Dumbo
Cendrillon est pour l'instant mon live action préféré et le seul que je préfére à l'original avec les 101 dalmatiens les décors sont magnifique j'adore Ella j'adorais déjà la Cendrillon original mais Ella à réussi à la surpasser Lily James ne fait qu'un avec sont personnage Kit est assez sympathique leur couple est plus développer et puis Richard Madden (oui je suis fan de got) sans parler de Lady trémaine que je trouve est là meilleur méchant d'un live action depuis la cruella de Glenn Close ils ont très réussi ce personnage que ce soit ses motivation sa personnalité sont plan pour se débarrasser d'Ella (d'ailleurs je suis fan des scènes où elles se confronte ) sans parler de l'interprétation de Cate Blanchette qui est magistrale sinon Anastasie et Javotte sont très drôle ,la marraine la bonne fée est sympathique bien que peu présente , les deux seul défaut selon moi sont : la scène où Ella se fait déchirer sa robe que je trouve pas assez violente et la scène de la transformation de la citrouille en carrosse que je trouve long pour pas grand chose .
C'est pas un remake, c'est une autre adaptation du conte. Comme la multitude de films sortis sur Blanche-Neige il y a quelques temps, ou ceux sur Tarzan, ou le Livre de la Jungle.
C'est dommage parce que c'est justement les réadaptations autres que Disney qui peuvent apporter des choses intéressantes vu qu'elles ne peuvent pas refaire le Disney. La preuve d'ailleurs qu'on peut avoir des tons très différents sur la même histoire, c'est que quand Blanche-Neige et le Chasseur, film de fantasy, sortait, on avait un autre Blanche-Neige qui sortait, qui était cette fois une comédie. Deux tons radicalement différents pour la même histoire.
Là où Disney a tendance à refaire la même chose (sauf quelques exceptions), les autres studios prennent plus de libertés et ça rend ces versions bien plus intéressantes qu'un bête remake de Disney (même si je les aime bien quand même, mais objectivement ça n'apporte pas grand chose).
Après évidemment, ça peut être réussi, comme ça peut être totalement raté. Blanche-Neige et le Chasseur par exemple, j'ai beau aimer ce film (surtout la prestation de Charlize Theron qui est géniale en méchante reine), ça reste pas folichon et sera un film probablement oublié d'ici quelques années, et ce malgré le fait qu'ils aient pondu une suite (très médiocre d'ailleurs) pour essayer de surfer sur le succès de la Reine des Neiges.
Personnellement je demande à voir ce que ça peut donner, je verrai avec les bandes-annonces ^^
Le problème étant qu'ils choisissent deux fois d'affilée des nanas que je n'encadre pas pour les ré-adaptations hors Disney. Et pour moi c'est rédhibitoire. Sinon, je comprends ce que tu veux dire et je suis d'accord mais voilà.
Blanche-Neige et le chasseur est gâché principalement par la présence de Kristen Stewart, actrice fade, sans la moindre expression faciale. J'ai vu plusieurs films avec elle, et non rien à faire, elle ne m'évoque rien de positif. Désolée pour ses fans. Par contre, Charlize Theron était une excellente méchante reine, et elle, je l'adore.
Ici, ils choisissent une chanteuse, où je m'empresse de changer la radio dès qu'elle passe.. du coup voir un film complet avec elle si elle a vraiment le rôle principal, c'est juste pas possible pour moi.
Le 13 mars 2015, Cendrillon sortait sur les écrans.
Vogue a écrit:
PAR FLORIANE REYNAUD 2 MARS 2021
Les secrets de la robe de bal de Lily James dans “Cendrillon”
C’est l’un des costumes les plus féériques jamais créés pour le cinéma. Jupons, corset, pantoufles de verre… Retour sur la création de la robe de bal enchantée portée par Lily James dans le live-action “Cendrillon”.
Un carrosse citrouille mythique, des souliers de verre, un bal enchanteur… Le soir où Cendrillon s’échappe des griffes de son horrible belle-mère pour retrouver le prince est gravé dans toutes les mémoires. Parmi les très nombreuses adaptations du conte de Charles Perrault, celle dont on se souvient évidemment le plus c’est la version animée des studios Disney. Une jolie blonde aux grands yeux bleus reçoit de sa marraine la bonne fée une robe scintillante et des pantoufles étincelantes. En 2015, dans sa frénésie des remakes, Disney s’attaque à son classique sorti en 1950 avec une nouvelle version en prises de vue réelles. Comme pour un mariage princier, le public attendait avec impatience de découvrir la robe choisie pour la fameuse scène de bal. Et encore une fois, les studios Walt Disney n’ont pas déçu.
Les inspirations Pour créer les costumes de son live-action de Cendrillon, Kenneth Branagh fait appel à la costumière triplement oscarisée, Sandy Powell. Victoria : Les Jeunes Années d’une reine, Le Loup de Wall Street ou encore Entretien avec un vampire… le CV de l’artiste est déjà bien rempli. Grande favorite de Martin Scorsese, Sandy Powell est une virtuose du costume de cinéma, passant d’un siècle et d’un univers à l’autre sans ciller. Pour Cendrillon, elle habille la très gracieuse Lily James, révélée au grand public grâce à son rôle de Lady Rose dans Downton Abbey. Taille fine, épaules délicates et port de tête altier, l’actrice britannique incarne la Cendrillon parfaite. Pourtant, malgré l’expérience et les multiples récompenses, cette robe de bal a été un véritable défi. « Le méchant est toujours le plus amusant à habiller », admet Sandy Powell . « Et le protagoniste bon et gentil est toujours le plus difficile. » Elle trouve son inspiration dans les robes sublimes des films hollywoodiens des années 1940-1950 et l’on ne peut s’empêcher de remarquer des similitudes avec les robes que l’on peut voir dans le Rebecca d’Alfred Hitchcock ou encore dans Vacances Romaines avec Audrey Hepburn. Parmi tous les costumes fabriqués pour le film, la robe de bal fut le plus long à imaginer puis à coudre. D’après Sandy Powell, l’exquise tenue bleu céruléen a été fabriquée en huit versions différentes, chacune coûtant environ 12 000 dollars.
Une robe de conte de fées Une fois Lily James officiellement castée pour interpréter Cendrillon, Sandy Powell s’est mise au travail. Pour trouver les bonnes proportions et les nuances de sa robe, il fallait à la costumière un modèle fiable. « Je savais qu’il devait y avoir beaucoup de volumes. Mais on ne peut pas complètement fabriquer un costume pareil sans savoir qui le porterait. » L’artiste étudie toutes les versions précédentes de la robe de Cendrillon et en particulier celle du film d’animation Disney. « Elle devait être différente de celles qui existent déjà sans s’éloigner de celle avec laquelle tout le monde a grandi. D'une certaine manière, je devais m'en tenir à certaines règles, comme le fait qu’elle devait être la plus jolie robe du bal, et devait représenter le rêve de chaque petite fille. Mais quand même, je voulais que ma création soit différente et un peu plus contemporaine » confiait-elle au magazine W. Pour créer sa robe de conte de fées, Sandy Powell travaille une jupe XXL composées de huit couches de soie fine bleue, turquoise et lavande, posées par-dessus la traditionnelle crinoline. Fabriquées en yumissima, un tissu synthétique extrêmement léger (et très cher), les jupons semblent flotter au grès des tournoiements de l’actrice dans les bras du prince. La couche supérieure de la robe est en crêpe de soie fine et très légère, brodée de plus de 111 000 cristaux Swarovski. Et pour rendre la robe de Cendrillon encore plus magique, Sandy Powell reprend l’encolure bateau de la tenue originale du film d’animation de 1950 et lui ajoute une touche de féérie. Sur un col cotonneux comme un nuage, la costumière brode des papillons bleus, symboles de renaissance pour l’héroïne qui prend enfin son envol.
Une taille de guêpe En contraste avec l’imposante jupe de la robe, la taille de Lily James paraît si fine que le prince, interprété par Richard Madden, pourrait la tenir avec une seule main. Si l’actrice britannique possède déjà une carrure plutôt menue, cette taille de guêpe est accentuée par un corset extrêmement serré qui lui a donné du fil à retordre. Forcée de consommer de la nourriture liquide lorsqu’elle le portait, l’interprète de Cendrillon a aussi souffert lors du tournage de la fameuse scène de bal. Dans un véritable décor de palais royal, Richard Madden et Lily James se retrouvent sur la piste de danse et entament une valse enchantée. Avec la taille étranglée dans un corset minuscule, les longues heures de tournage ont été un défi physique pour l’actrice qui peinait à respirer convenablement. Lily James a pu compter sur un partenaire de danse fiable qui a su la soutenir et rendre le tournage un peu moins difficile. Dans cette séquence au paroxysme du romantisme, Cendrillon et le prince semblent glisser sur le sol avec une aisance parfaitement maîtrisée.
Les pantoufles de verre Cendrillon serait-elle vraiment Cendrillon sans ses souliers de verre ? Pour recréer les légendaires pantoufles scintillantes, Sandy Powell a de nouveau collaboré avec Swarovski. Chaque chausson sur-mesure est composé de trois pièces de cristal assemblées avec soin et ornées d’un papillon. Environ 150 heures ont été consacrées au développement de la pantoufle parfaite, avec six versions réalisées avant que le modèle final ne soit décidé. Si les escarpins ont réellement été fabriqués pour être présentés au public, Lily James ne les a pas portés pendant le tournage. « Outre le fait que ces chaussures ont été fabriquées en véritable cristal et pesait chacune un kilo, il était impossible pour Lily James de mettre son pied dedans et de marcher avec. » racontait Sandy Powell au Vogue US. Pendant le tournage, l’actrice portait des chaussures en cuir spécialement conçues par la costumière, qui ont ensuite été transformées en pantoufles étincelantes par ordinateur. Par la suite, de nombreuses marques spécialisées dans la chaussure de luxe ont imaginé l’escarpin de Cendrillon à l’occasion de la sortie du film. Les modèles de Jimmy Choo, Christian Louboutin ou encore Nicholas Kirkwood ont été portés par Lily James aux différentes premières du film et exposés lors de divers évènements promotionnels.
Article à lire sur le site Vogue : Les secrets de la robe de bal de Lily James dans “Cendrillon”
MD35, MadEye, Naudirasley, MALEFIQUE91, Thumper, claire17, L'Oncle Walt et aiment ce message
Quand je pense que Lily James a fait des sacrifices énormes pour rentrer dans cette robe, dans un cadre professionnel et artistique, puis à coté tu as Emma Watson qui a réclamait de ne pas porter de corset car elle ne voulait pas être gênée durant la scène de danse...
C'est fou comme des années après les gens en parlent encore et les comparent toujours. D'un point de vue artistique justement, est-ce cohérant pour un personnage comme Belle, personnage qui ne prête pas attention aux apparences et qui rêve de liberté, de s'infliger un corset pour une petite danse intimiste et improvisée? Rien qu'au niveau de l'histoire, elle n'a même pas besoin d'avoir la robe la plus époustouflante. Surtout qu'elle déclare après "Peut-on être heureux sans être libre?". D'autant que la robe finale en garde tout de même l'esprit, et le bustier en V affine déjà visuellement la taille de l'actrice sans pour autant augmenter la taille de ses épaules. D'un point de vue technique également, là où Lily James devait danser avec Richard Madden (et d'après eux, ce fut déjà compliqué en raison de l'imposante et lourde robe), Emma Watson devait danser avec Dan Stevens (et ses doublures) alors qu'il portait un lord costume et marchait avec des échasses. D'où certains choix sur la robe. Les producteurs ont également demandé à Jacqueline Durran de ne pas proposer une robe trop similaire à celle Cendrillon par Sandy Powell (cf. le livre The Art of Disney Costuming: Heroes, Villains, and Spaces Between), qui ironiquement rappelait quelque peu la silhouette de la Belle du film d'animation.
Aussi, les nombreux articles ont fait de cette affaire de corset toute une histoire pour faire vendre, certains allant jusqu'à faire passer cette demande artistique pour un caprice de star. Articles qui pour la plupart quelques années avant critiquaient justement le corset très serré de Cendrillon qui donnait selon certains une mauvaise image du corps de la femme.
Pour rappel voilà le genre de question qu'on pouvait entendre à l'époque :
En revanche, personne n'a fait d'histoire sur le fait qu'Helena Bonham Carter a déclaré face à son costume de fée "Avez-vous déjà vu une fée dans ailes?" et à forcé la costumière à modifier le costume après être allé voir le réalisateur (cf. le livre The Art of Disney Costuming: Heroes, Villains, and Spaces Between).
ILoveDisney<3, claire17 et Frusci aiment ce message
La robe est magnifique, cela a dû être un travail titanesque. En revanche, je ne comprends pas qu'on vante le fait d'avoir demandé à une actrice (déjà fine, au demeurant) de porter un corset qui l'empêchait de respirer et de s'alimenter convenablement. La robe a été conçue après le casting de Lily James, la costumière connaissait donc ses mensurations et n'aurait pas dû utiliser des mesures si irréalistes. Je ne vois pas en quoi quelques centimètres de plus au niveau du tour de taille auraient pu gâcher le film (surtout qu'il existe toujours des moyens pour faire paraître une taille plus fine en trompe-l'œil). Un corset est censé "modeler" la silhouette, je n'ai aucun souci avec ça, mais un corset porté convenablement n'est pas censé comprimer ainsi. Je trouve dommage qu'on trouve cela normal, voire admirable.
Aussi, les nombreux articles ont fait de cette affaire de corset toute une histoire pour faire vendre, certains allant jusqu'à faire passer cette demande artistique pour un caprice de star.
Ne nous fourvoyons pas mais c’est exactement de cela qu’il s’agit. Trouver l’excuse qui stipule que cela donne du sens au personnage qui veut regagner sa liberté est une méthode de communication à peine voilée en plus de n’avoir aucun sens. Dans ce cas, pourquoi se prendre la tête à porter une robe (qui ressemble à un rideau sur un corps sans vie et nonchalant, surtout comparée à celle que porte Lilly James avec grâce, finesse et beauté) pour un simple dîner ? A croire que l’on a demandé à la Watson de courir un marathon les yeux bandés sans pouvoir s’hydrater.
Cendrillon prête encore moins d’importance aux apparences et la morale du film reste bien la préservation de sa pureté et de sa gentillesse. Est ce que ça l’empêche d’avoir une robe magnifique et de la porter divinement bien ? Non. Il faut arrêter de trouver des excuses sur la psychologie de comptoir des personnages pour justifier des choix artistiques mauvais.
Les scènes de danses dans les classiques Disney entre un prince et une princesse, ont toutes le même but : en mettre plein les yeux tant au niveau visuel qu’au niveau du non verbal. Les personnalités respectives des personnages ne sont pas mises en avant dans le seul but de laisser la magie et l’amour transparaître.
Les robes sont un accessoire qui participe énormément à la féerie des contes de fées et ont une symbolique non négligeable dans ces derniers. N’en déplaise aux pseudos féministes.
Pas besoin de me citer en si gros et de s'agacer pour si peu Le fait est que si cette info n'avait pas fait les gros titres, les 3/4 des gens n'en aurait même pas remarqué l'absence, de par la structure du bustier et la taille déjà fine de l'actrice. Ils auraient simplement rallé sur une robe trop simple et trop anachronique à leurs yeux. Le désormais fameux "Absence de corset" est juste devenu un étendard pour ceux qui n'apprécient pas l'actrice. Je reste d'ailleurs surpris de la virulence de certains contre cette actrice en particulier (alors qu'elle n'a jamais rien fait de choquant, même si être "féministe" semble être une horreur et une aberration pour certains). Comme quoi, lorsqu'une personne est très (trop) appréciée, le contraire semble arriver avec une force de la même intensité en face. Et on l'a bien vu récemment, un article avec Emma Watson, encore aujourd'hui, assure le buzz.
Entre les reproches sur le corset de Cendrillon peu avant, l'histoire et la réinterprétation du personnage dans cette nouvelle version (que l'on aime ou pas est un autre sujet, même si c'est la suite logique vu la manière dont Disney, Paige O'hara et Linda Woolverton parlaient du personnage pendant des années), son absence est cohérente, en symbolique notamment. Porter une robe dans la scène de bal est logique (et ne nous le cachons pas, fortement attendu), Belle cherchant à faire revivre certains sensations passées à la Bête, et la robe, si son aspect est sujet à débats et à l'appréciation de chacun, est loin d'être dépourvue des sens et de symboliques (oiseau, rose, liberté etc... en plus d'être dans un jaune qui est complémentaire au bleu porté par la Bête pour rappeler les couleurs de la Fleur de lys, emblème de la royauté française). Comme tu l'as dit, les éléments d'un conte ont généralement une symbolique, qui bien plus importante qu'une réalité historique. D'ailleurs, Emma Watson et la costumière Jacqueline Durran ont à nouveau travaillé ensemble dans Les filles du docteur March, et l'actrice y porte des corsets tout le long du film. Preuve que c'était bien un choix pour le personnage de Belle, qui est voulu comme indépendante (notamment pour éviter la critique autour du syndrome de Stockholm) et en marge de la société, ce qui n'est pas le cas du personnage de Meg (Jo March étant la sœur indépendante et en marge des attentes de la société dans cette histoire). Jacqueline Durran a d'ailleurs déjà déclaré que l'une des choses qu'elle préférait en tant que costumière était de travailler avec les acteurs afin de créer les personnages.
Cendrillon, de part son histoire, et sa robe créée par magie pour récompenser sa bonté, se devait d'avoir une tenue qui soit la plus impressionnante et majestueuse possible pour être le centre d'attention du bal. Robe qui apparait pourtant également plutôt simple pour correspondre à la personnalité de la jeune femme. Sandy Powell a vraiment fait un travail fantastique sur cette robe, sans doute la plus belle de toute les versions de Cendrillon.
On peut remarquer que les princesses "Live Action" sont souvent rattachées à un animal : Cendrillon au Papillon, Belle à l'oiseau, Jasmine à un Paon (et Mulan au Phénix). Seule Aurore est rattaché aux fleurs (qui se retrouvent sur ses costumes), même si Maléfique la surnomme "Beastie" (en VO).
La faute à mon téléphone pour la grosse citation lol. Je n’arrive pas à y pallier.
Du coup je ne vais pas te citer mais je rebondis sur certains éléments .
Le fait d’être féministe est loin d’être une aberration mais il y a une attitude foncièrement anti féministe qui consiste à faire du female bashing pour justifier des changements vides de sens. Une énorme preuve d’ambivalence qui dessert cette cause noble. Les justifications sont souvent de très jolies phrases accrochantes lors de la promo du film mais lorsque l’on creuse un minimum, on ne trouve rien derrière cette superficialité. Ce dernier mot résume très bien le résultat calamiteux du film.
Watson traîne beaucoup de casseroles et c’est un comble pour une personne qui s’autoproclame féministe.
Je ne sais pas où tu as lu que Belle cherche à faire revivre des moments passés à la Bête mais je te fais confiance . Les changements apportés à son personnage n’ont aucun sens et l’ont complètement dénaturés.
Concernant le film Little Women, la réalisatrice a sûrement demandé à ce que les actrices se contentent de jouer leur rôle sans qu’elles y ajoutent des modifications quant au scénario. On remarquera que Watson se contente de jouer dans des films assez safe car elle est incapable de porter un projet à elle toute seule.
Je vous en supplie arrêtez avec Emma Watson il existe tant d'autre actrices sur cet terre , pourquoi toujour tout ramenez à elle , il existe déjà 2 sujet qui sont centrer spécialement sur elle sur ce forum pas besoin de parler d'elle sur les autre sujet
J'adore ce remake! J'y trouve un magnifique kitsch esthétique qui colle parfaitement bien à l'univers de conte de fée. C'est naïf comme un conte de fée devrait l'être, sans tentative d'ajouter de la "noirceur" pour rendre le tout plus "mature". La fameuse robe frôle le mauvais goût mais est tellement réussie ! Cate Blanchett, sublime dans le rôle de la marâtre et sa garde robe... Lily James est excellente dans le rôle de la jeune ingénue. Ce film bénéficie d'un casting 5 étoiles à tous les niveaux.