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| Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] | |
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Ballou
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| | | | sosso
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| | | | Ballou
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Dim 13 Déc 2015 - 20:06 | |
| Chapitre 47 – On the road againC'est une longue route qui nous attend pour rejoindre Miami. Si à l'aller nous avions pu l'entrecouper de différentes pauses et visites nous ferrons ici le trajet d'une traite. Nous aurons ainsi tout le temps de dire au revoir aux Keys, repassant devant des lieux désormais chargés de souvenirs. Cet « après-midi voiture » sera l'occasion de découvrir de nouvelles spécificités liées à la conduite sur le sol américain. Voici donc ici un complément au Chapitre 36 – On the road. En empruntant l'unique route reliant Key West à Miami vous passerez à coup sûr devant bon nombre d'écoles. Et avec les écoles, aux Etats-Unis, ça ne rigole pas. Comme nous n'avions pas envie de nous retrouver la joue droite contre le bitume et la joue gauche avec l'empreinte des rangers du sheriff nous avions donc lu attentivement les conseils de notre guide avant de partir. L'importance donnée aux règles de conduite à proximité des écoles était tellement mise en avant que nous en étions venus à redouter le moment où nous croiserions l'un des fameux bus jaunes. Mais finalement rien de bien compliqué, comme pour tout le reste, il s'agit là d'une affaire de bon sens. La vitesse autorisée est drastiquement réduite à l'approche de tout établissement scolaire. Un panneau est là pour le signaler. Ces panneaux comportent un feu de signalisation. Ce feu est allumé aux horaires stratégiques, c'est à dire principalement lors de l'entrée et la sortie des élèves. Lorsque ce feu est allumé la vitesse autorisée est alors réduite de nouveau, comme précisé sur les panneaux. En ce qui concerne les « school bus », il est interdit de les doubler lorsqu'ils sont à l'arrêt et font monter ou descendre leurs passagers. A partir de là, pas de soucis à se faire. Il suffit de faire comme toute le monde, d'attendre derrière et de regarder le paysage. Nous avons été une fois de plus très impressionnés par l'organisation de ces moments de vie de tous les jours. Le sheriff est de sorti avec sa voiture toute propre garée sur le bord de la route et chaque personne sait ce qu'elle a à faire pour faciliter le balai des voitures des parents et celui des bus. Nous apercevrons également sur notre chemin des panneaux indiquant des voies d'évacuation en cas de passage d'un ouragan. On peut en effet vite imaginer la saturation de cet axe si l'état d'alerte est déclaré. Nous franchirons le dernier des ponts pour nous retrouver de nouveau entourés par les marécages des Everglades. Nous découvrirons également notre premier portique de péage « sans arrêt » appelé « toll-by-plate ». Pas besoin de ralentir, il suffit de poursuivre tranquillement sa route tandis qu'une série de caméras situées au dessus des voies se charge d'identifier le véhicule via sa plaque d'immatriculation. Le paiement est alors directement transmis à l'agence de location. C'est un peu déstabilisant quand on approche du portique car il n'y a finalement pas d'autre choix que de passer dessous, aucune autre voie ne proposant un paiement par carte ou par espèce comme c'était le cas jusqu'à présent. Alors forcément on se dit « Mince, l'agence de location ne nous a rien dit à ce sujet », « heu... on devrait pas avoir un badge sur le pare-brise pour que ça marche ? », « Ça va nous coûter un bras », ou encore « Mince on va se retrouver la joue sur le bitume une fois de plus... ». Toutes ces informations seront transmises au loueur qui avait pris, lors de la remise des clefs, l'empreinte de notre carte bancaire. Cependant le paiement sera débité bien plus tard sur notre compte. C'est donc deux, voir trois semaines après notre retour que nous verrons de temps en temps des prélèvements liés à ces péages en fonction de la date à laquelle nous les avons empruntés. Soit dit en passant les sommes sont vraiment raisonnables par rapport aux tarifs pratiqués en France. Nous n'avons eu aucune mauvaise surprise de ce côté là. Le plus stressant reste cependant à venir... l'arrivée sur Miami. Car quand vous venez de passer 3 jours paisibles dans les Keys à regarder des tortues, manger des coquillages et barboter dans l'eau turquoise l'arrivée à Miami est une étape quelque peu délicate... Chapitre suivant : Chapitre 48 – Welcome to Miami (à bien dire avec l'accent)
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| | | arwen2407
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| | | | Ariel Zombie
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| | | | Meril06
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| | | | KIKA
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| | | | Ballou
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Lun 14 Déc 2015 - 19:44 | |
| Chapitre 48 – Welcome to Miami (à bien dire avec l'accent)Changement d'ambiance... Nous quittons progressivement notre voie unique de circulation pour nous retrouver sur une six voies avec des panneaux de signalisation de partout. Nous serons alors très contents de pouvoir compter sur notre GPS, suivant ses indications sans trop chercher à comprendre, tellement impressionnés par la densité de circulation et par ces énormes gratte-ciel qui, au détour d'un virage, semblent sortir de nulle part. Nous voici aux portes de Miami ! Et Miami à le sens de l'accueil car nous voilà dans un magnifique bouchon où nous retrouverons le doux bruit des klaxons. C'est dommage on avait presque fini par oublier que cela existait... Bref, la grande ville... très grande ville. Nous prenons petit à petit la direction de Miami Beach et passerons tout près du port de Miami. Nous nous armerons donc de patience et essayerons de canaliser au mieux notre stress en nous disant qu'une fois arrivé la voiture ne bougera plus pendant les 3 prochains jours. Nous serons hébergés pour les trois prochaines nuits au James Hotel de Miami Beach. L'hôtel est très bien situé : seulement à quelques pas de la plage et à moins de 10 minutes à pied du quartier Art Deco. Nos nuitées nous reviendront à $387. Cerise sur le gâteau, l’hôtel propose un parking gratuit. Mais là c'est : premiers arrivés, premiers servis car le fameux parking ressemble à un tetris géant où le gérant passe son temps à enlever et rentrer les véhicules des clients. Cela à le mérite d'offrir un rapport qualité prix très intéressant mais si votre voiture se retrouve garée tout au fond, c'est alors un vrai casse tête qui commence pour enlever une à une toutes celles qui ont été garées devant. Ayant pris connaissance de ce point en lisant les commentaires sur booking nous avions décidés d'opter pour la solution la moins contraignante et nous nous sommes directement dirigés vers l'un des parkings de la ville le plus proche. Cela nous garantissait plus de libertés de mouvement et surtout une certaine tranquillité d'esprit vis à vis du véhicule loué. Il faudra en revanche compter une vingtaine de dollars par 24h de stationnement et penser à sortir et rerentrer la voiture du parking avant que ces 24h ne soient écoulées, cette durée étant la maximale autorisée. Une gymnastique un peu contraignante mais finalement nous ne regretterons pas notre choix. Pas besoin de voiture à Miami, le système de bus et de metro permet largement de voir du pays, surtout pour un peu moins de 3 jours de visite. Une fois le problème du stationnement réglé et le grand « ouf » de soulagement expulsé nous découvrirons un hôtel très agréable, pleins de couleurs et à la décoration pour le moins « originale »... La chambre, dont la porte d'entrée semble avoir été peinte par l'école primaire du coin, est correcte même si évidemment, pour le prix, on pourrait s'attendre à bien mieux. Mais bon, nous sommes en plein cœur de Miami Beach ! Qui se sent d'aller récupérer sa voiture ? Après nous être remis de nos émotions nous partons à la découverte de la ville, du moins sa partie touristique vu que nous nous dirigeons tout droit vers Ocean Drive. La nuit est désormais tombée et c'est un spectacle tout en lumière qui nous attend. Nous prendrons le temps de longer cette rue pleine d’effervescence. Restaurants, boutiques, voitures... se dégage ici une atmosphère très particulière. Ça sent le bling bling, le concours de chirurgie plastique, le culte du corps et de l'argent. Bref tout est étrangement fidèle à l'image que la télévision pouvait jusqu'à présent nous donner de cette partie de la ville. Le discret n’existe pas et les excentriques semblent mettre la barre très haute pour attirer les regards. Nous nous sentons bien loin de l'univers que nous avons quitté il y a seulement quelques heures. Nous sommes en plein quartier art deco et les bâtiments que nous longeons sont très beaux. Nous passerons la soirée à descendre et remonter cette rue, alternant entre le côté "rue" avec ses terrasses et le parc, bien plus calme. Non loin se trouve l'océan bordé de gigantesques complexes hôteliers. Nous terminerons notre soirée par une "petite" pizza avant de retourner à l'hôtel avec juste ce qu'il faut d'images pour être impatient d'en découvrir plus, demain, une fois que le soleil se sera levé. Chapitre suivant : Chapitre 49 – Vizcaya
Dernière édition par Ballou le Mar 22 Déc 2015 - 17:52, édité 1 fois |
| | | arwen2407
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| | | | Ballou
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| | | | KIKA
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| | | | Ballou
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Mar 15 Déc 2015 - 18:19 | |
| Meril, peut-être le concepteur de ce jeu avait séjourné ici avant d'en avoir l'idée.
En tout cas le réceptionniste avait l'air de vraiment galérer avec les demandes des clients pour récupérer leur voiture. Moi j'aurai pété un câble. Entre la responsabilité vis à vis des voitures et le casse tête pour contenter tout le monde. J'espère que les clients étaient au moins généreux.
De toute façon, nous on avait eu notre dose de voiture avec cette arrivée stressante à souhait, donc hors de question de la sortir du parking public pour la remettre ici. |
| | | Ballou
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Mar 22 Déc 2015 - 17:51 | |
| Jour 12 - MiamiChapitre 49 – VizcayaLe soleil vient de se lever, encore une belle journée et il va falloir aller le chercher... notre petit déjeuner. L'hôtel ne proposant pas ce service, c'est vêtus de nos shorts et t-shirt que nous partons, en ce vendredi 27 février 2015, à la recherche d'un endroit pour nous restaurer. Le guide du routard nous fera faire quelques kilomètres vers un « endroit d'exception » dont je ne pourrai pas vous venter les mérites car, une fois devant, l'établissement était fermé pour cause de travaux . Tant pis, nous trouverons sans aucun mal un autre lieu a proximité pour prendre un petit déjeuner très complet. Nous sommes restés dans le classique mais l'établissement proposait également toutes sortes de « croissants » fourrés de diverses garnitures. Repus, la deuxième étape de la matinée consistera à faire l'acquisition d'une « Easy Card » permettant d'utiliser de manière illimitée les transports de la ville. Nous perdrons beaucoup de temps pour acheter ces cartes car le premier revendeur de ma liste avait cessé de les distribuer. Nous finirons, quelques kilomètres plus loin, dans une sorte de droguerie. On nous indiquera à l'entrée que ce type de produit s'achète auprès de ce qui semblerait être un pharmacien... Cela nous paraît un peu étrange mais nous avançons au fond du bâtiment et nous nous mettons dans la file quelque peu perplexes. Beaucoup de médicaments sont en vente libre dans les grandes surfaces comme nous l'avions vu lors de notre visite du Wall Mart Chapitre 41 – American Life. Pour les médicaments moins accessibles ils semblent être donnés en quantité très précise par la personne en blouse blanche qui nous fait face. Sans doute juste ce qu'il faut pour le traitement prescrit. C'est à notre tour de passer lorsqu'une personne tentera de se faire servir avant nous. Le « pharmacien », qui visiblement a retenu l'ordre d'arrivée de ses clients, nous redonnera la priorité. Au vu de la brochure que je tiens dans mes mains depuis le début de matinée il comprendra vite que nous ne sommes pas venus chercher notre traitement et nous sortirons enfin, quelques minutes plus tard, avec nos 4 billets « 1 jour ». Voilà une bonne chose de faite, nous allons pouvoir reprendre le programme de la matinée déjà bien entamée. Nous quitterons Miami Beach en direction du Vizcaya Museum and Gardens. Pour cela nous emprunterons un premier bus, appelé Métrobus, puis l'un des métros aériens de la ville. Pour éviter de perdre trop de temps une fois sur place nous avions quelque peu étudié le plan des transports de la ville avant notre départ. Si pour le métro c'est relativement simple, pour les bus c'est toujours un peu plus compliqué, mais nous nous en sortirons finalement assez bien. Le métro de Miami porte le nom de Métrorail. Il est payant et nécessite donc un titre de transport. Il est composé de deux lignes qui traversent la ville du Nord au Sud. Il ne dessert pas Miami Beach. Une ligne est « verte », l'autre est « orange ». Elles partagent les mêmes stations dans leur section « Sud », c'est dans leurs parties « Nord » qu'elles empruntent des directions différentes. Face au Métrorail se trouve le Metromover. Lui est gratuit et est composé de 3 lignes qui se concentrent principalement dans le quartier d'affaire de la ville. Les véhicules sont beaucoup plus petits que le Métrorail. C'est le moyen de transport idéal pour découvrir cette partie de la ville mais nous y reviendrons dans un prochain chapitre. Le Métrorail ne dessert pas non plus Miami Beach. La seule solution pour rejoindre la ville même est donc d'emprunter un Métrobus à partir de Miami Beach. Sur les deux dernières photos, des Métromover. Gratuits et petits ils se déplacent essentiellement dans le centre d'affaire de Miami. Il est 12h45 quand notre Métrorail nous dépose à la station Vizcaya. Quelques kilomètres plus loin, après avoir traversé une magnifique partie boisée nous arrivons enfin à destination : le Vizcaya Museum and Gardens. Cette maison a une histoire assez originale et vaut vraiment le coup d'être visitée. Il est interdit de filmer et de photographier à l'intérieur donc vous ne verrez rien des magnifiques pièces de la bâtisse mais je peux vous assurer que ce qu'elle renferme est de toute beauté ! Si vous vous retrouvez un jour face à cette demeure, n'hésitez pas une seconde à vous munir d'un audio-guide. Il est bien fait et devient captivant à l'intérieur de la maison. Laissez moi tout d'abord vous présenter James Deering, propriétaire des lieux. Enfin, anciennement propriétaire car il nous a quitté depuis quelques temps. Cet homme d'affaire américain voulait se faire construire une luxueuse maison. En 1914, Miami ne comptait que 10 000 habitants. James Deering en réquisitionna 1 000 pour construire ce qui allait devenir la Villa Vizcaya. Mais M. Deering ne voulait pas une simple maison, il voulait que celle-ci, une fois construite, ait l'air d'avoir déjà un vécu, une histoire. En quelque sorte un peu comme quand chez Disney ils nous livrent une attraction toute neuve mais dont on a l'impression qu'elle a été là depuis des années. Avant même la construction de cette maison James Deering avait acheté aux quatre coins du monde tout le mobilier et les éléments de décoration de son futur lieu de vie. Tout cela était bien soigneusement entreposé et il ne restait plus qu'aux architectes à faire en sorte que ces objets, la plupart de très grande valeur, s'intègrent parfaitement entre les futurs murs de la Villa. Le chantier dura 3 ans et, comme vous allez le voir, Deering s'inspira grandement des jardins à la française et de l'architecture italienne. La demeure fait face à l'océan, où au loin se dressent aujourd'hui les gratte-ciels de Miami. Face à la villa semble amarré un « vaisseau de pierre » où l'hôte aimait accueillir ses visiteurs lors de grandes soirées. Il y avait ici, à l'origine, un banc de sable qui permis la construction de ce bateau. Il a ensuite fallu creuser tout autour pour que l'eau vienne s'y répandre et donner l'illusion que ce « vaisseau de pierre » est là depuis des siècles. James Deering était un amoureux des orchidées et avait demandé à ses jardiniers de consacrer une section entière du jardin à ces fleurs. Seulement à l'époque leur culture et acclimatation était quelque peu difficile. Les jardins offrent aujourd'hui un magnifique espace dédié à la passion de l'ancien maître des lieux, face à la piscine et au bar de la maison. Après avoir parcouru les vastes jardins, le visiteur est invité à entrer au cœur même de la villa. Et nous voilà en quelques secondes plongés dans une autre époque. Il se dégage ici une ambiance à la « Downton Abbey ». La cuisine est assez impressionnante et les pièces de vie nombreuses et luxueuses, toutes disposées autour d'une cour centrale faisant office de patio donnant sur l'océan et le « vaisseau de pierre ». Tout est d'époque et pourtant James Deering aimait être à la pointe de la technologie. Il était l'un des rares dans les années 1916 à disposer d'un téléphone et même de son propre ascenseur. Un système ingénieux de grilles permettait aux airs interprétés par le pianiste de se répandre dans d'autres pièces comme la salle à manger située à l'étage. Un peu comme l'on diffuse du chauffage en ouvrant ou fermant une trappe. Vous trouverez dans cette villa une salle à manger pour le petit déjeuner, une autre pour le déjeuner et vous le voyez venir... une autre pour le repas du soir... Finalement on apprend que le propriétaire n'en utilisait qu'une pour tous ces repas. C'est le cas pour beaucoup d'autres pièces et de parties du jardin qu'il utilisait rarement voir jamais. Le personnel n'était pas en reste et disposait de sa propre plage privative. Deering ne profitera malheureusement pas longtemps de son rêve. Il meurt en 1925, à l'âge de 66 ans. Seulement 9 ans après la fin de la construction de la villa. Depuis, la villa Vizcaya a été choisie pour accueillir la rencontre entre le Président Ronald Reagan et le pape Jean-Paul II lors de sa visite de septembre 1987. La reine d’Angleterre y a également séjourné lors d'une visite d’État. Elle sert aussi à l'organisation de soirées privatives. Chapitre suivant : Chapitre 50 – Downtown
Dernière édition par Ballou le Jeu 17 Mar 2016 - 22:18, édité 2 fois |
| | | sosso
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| Sujet: Re: Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO] Mer 23 Déc 2015 - 12:47 | |
| Merci pour vos retours et d'être fidèle à ce périple. - sosso a écrit:
- Oh My God....ce jardin est immmmmeeeeeeense! Je suis amoureuse de la piscine et du bord de mer!!! Magnifique!!
C'est très étrange cette histoire de carte vendue chez le pharmacien! mdr Oui c'est un pharmacien polyvalent. La piscine est semi couverte et vraiment jolie même si elle a besoin d'une bonne restauration car elle est assez abimée. Ils faisaient d'ailleurs des travaux ce jour là. Elle semblait peu profonde je ne sais pas si le proprio savait nager. Mais apparemment il voulait beaucoup de choses sans forcement pour autant s'en servir... C'est dommage que nous n'ayons pu photographier à l'intérieur car cela vaut vraiment le coup. On trouve quelques photos sur le net : - arwen2407 a écrit:
- Et elle est où ta ricoree,? Lol
Finalement il y avait bien mieux sur place, encore heureux que l'ami ricorée ne livre pas à Miami. - Ariel Zombie a écrit:
- Super beau comme endroit! Je me rends compte qu'on a vu 5% de Miami en fait lol
On pense tous ça quand on lit les TR des autres. Mais c'est vrai qu'il y a tellement à voir qu'il faut bien faire un tri.
Dernière édition par Ballou le Mer 23 Déc 2015 - 23:02, édité 1 fois |
| | | Fgth Modérateur
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