Malgré mon désamour pour la saga Indiana Jones, j'avoue que je ne pensais pas qu'il allais se planter comme cela au box office. Surtout comparé à la Petite Sirène, il se fait martyriser : 89 millions US en 6 jours, la ou la sirène était à 138 millions, malgré une sortie en nombre de cinéma plus importante. Et les chiffres quotidien sont déjà en baisse.
Comme quoi, les polémiques en tous genres sur la petite sirène ne concernent que ceux qui ne vont pas voir du Disney au ciné de toute façon
DLP: Mars 1996, Mars 2022, Octobre 2022, Décembre 2022, Février 2023, Mars 2023, Mai 2023, Octobre 2023.
Les plans d'un Harrison Ford rajeuni sont impressionnants, et c'est grâce à une équipe de plus de cent artistes d'Industrial Light and Magic, qui a passé trois ans à travailler sur les effets visuels du film :
Citation :
‘Indiana Jones 5’: It Took 100+ VFX Industrial Light and Magic Artists to De-Age Harrison Ford
Before “Indiana Jones and the Dial of Destiny” even opened, the Disney adventure tentpole sparked intrigue with a de-aged Harrison Ford, who, in his fifth film playing the whip-cracking archaeologist, is now 80 years old.
The shots of a young Ford look impressive, and it’s thanks to the team of over 100 artists at Industrial Light and Magic, who spent three years on the film’s visual effects, which also included enhancing and developing their existing de-aging technology to create ILM FaceSwap.
Photorealism de-aging was nothing new to the team. After all, technology such as Flux existed and had been used on films such as “Ant-Man and the Wasp: Quantumania” and “The Irishman.”
But when Whitehurst and Robert Weaver, VFX supervisor at ILM, first took on the James Mangold-helmed “Dial of Destiny,” they knew this was going to be the biggest project they had undertaken.
“We knew we would have to use all of the tools we already had and develop some new ones,” Whitehurst says. So they developed ILM FaceSwap.
This new set of tools allowed the team to blend a full computer-generated 3D head, combine elements that had been extracted from on-set photography and, as Whitehurst explains, use “machine learning-based reference material from previous ‘Indiana Jones’ films.” Once the artists had that reference material, including a raw clay model in the shape of Ford’s Indy, they went to work making the actor look like a younger version of himself on a shot-by-shot basis.
But the process didn’t end there.
Weaver explains that while the machine learning aspect gave them a 2D replica of what they needed, there was still a full 3D CG asset that needed to be built.
“That involved putting Harrison through the process of recording all the facial performances and all its extremes, and the marrying of various technologies by the artists to blend between one and the other to get the final performance that you’re looking for,” Weaver explains. “The important aspect is that there’s not a single recipe that was cooked up that could be done for all shots.”
Whitehurst worked on the film for over three years, and one of the first things he did was “scan Harrison’s head so we had a current cast.” Once they had that, he and his team began building the 1944 CG head and used other elements from the Lucasfilm archives to help build that out.
While they were doing that, they also storyboarded the film’s prologue sequence to get an idea of the shots they needed. When it came to filming, Whitehurst says, “We made sure we were shooting with extra cameras attached to the main unit camera so we could get as much reference as we possibly could.”
That included capturing lighting references for every single setup so they could replicate it in the CG process.
Weaver says, “On the ILM side there were a few hundred artists involved in the process from start to finish, working on the various shots. They were working on every nuance in every shot. But we were able to achieve that because the reliance on the performance of Harrison was of utmost importance. He was the major driving force of what we needed to do for that opening act and make a younger act of that exact performance.”
Mangold was also key. Whitehurst calls it an “intense collaborative process” that began early, with the director laying out creatively how the sequence would play and “the action beats that would have to be featured within it.” Once the film got to post-production, Whitehurst says Mangold was “so open to hearing ideas from others.”
As to Ford, Weaver says, “We were just in awe as to what he is able to deliver, how fit he is and how much we could rely on him driving every aspect of the performance.”
Vu hier, j'ai passé un très agréable moment et c'était tellement mieux que le 4ème opus, le seul qui ne trouve pas sa place pour moi dans la saga. J'ai aimé l'intrigue et les nombreuses références à la saga. J'ai eu l'impression de voir un Indiana Jones avec tous les codes de la saga et un film qui clôturait la période Harrison Ford. La nostalgie a parfaitement fonctionné pour moi.
Tiens ? Ils ont republié la vidéo sur John Williams ? Pas grand chose ne semble avoir changé, mis à part quelques secondes de musique et d'extraits en plus à 1:40, le "Now Playing" final et le "Tickets on sale now" qui est désormais absent.
Un autre spot VO:
Indiana Jones et le Cadran de la Destinée cumule désormais 247,9 millions de dollars. La France est actuellement le 3ème marché mondial.
1. US & Canada : 121,2M$ 2. UK : 16,8M$ 3. France : 11,4M$ 4. Japon : 9,5M$ 5. Australie : 7,5M$ 6. Allemagne : 7,4M$ 7. Espagne : 7,2M$ 8. Corée du Sud : 6M$ 9. Italie : 4,5M$ 10. Mexique : 4,2M$
Vu hier, j'ai passé un très agréable moment et c'était tellement mieux que le 4ème opus, le seul qui ne trouve pas sa place pour moi dans la saga. J'ai aimé l'intrigue et les nombreuses références à la saga. J'ai eu l'impression de voir un Indiana Jones avec tous les codes de la saga et un film qui clôturait la période Harrison Ford. La nostalgie a parfaitement fonctionné pour moi.
Pareil, même avis. Je l'ai vu hier soir et la nostalgie a parfaitement fonctionné pour moi aussi. J'ai regardé quelques recaps avant car je n'ai pas eu le temps de revoir les 4 premiers films. Mais j'ai bien retrouvé tous les ingrédients que j'attends d'un film d'aventuriers : mystère, aventure, trahison, la petite touche de "magie" de la franchise, etc. L'histoire d'Indy, un coincé dans le passé qui n'arrive à s'intéresser au futur car ses meilleures aventures sont derrière lui et aussi parce que
Spoiler:
son fils est mort
est touchante je trouve.
On retrouve aussi un bon méchant qui ne tue pas juste pour tuer et qui a un vrai objectif.
Spoiler:
et qui comme d'habitude, ne meurt pas de la main d'Indy mais plutôt de sa lubie envers le pouvoir convoité
Les scènes d'action sont bien chorégraphiée (mention spéciale pour la scène du pendu) quoiqu'un peu trop longues à mon goût (la course poursuite ou le train par exemple). Le Indiana Jones rajeuni est super réussie.
Globalement, j'ai passé un moment agréable.
Spoiler:
Par contre j'ai trouvé un peu con l'erreur de naviguer à vue vers l'ouest pour des gens si intelligents, ils auraient au moins pu penser à feinter avant de prendre la bonne direction
En tout cas, le flop US s'est confirmé au Box office ! J'avoue que je suis surpris, non pas du flop en lui-même mais de la comparaison avec les autres films Disney à l'affiche, en particulier la Petite sirène qui lui marche dessus !
Je ne suis même pas sur qu'il atteigne les 200 millions US, ce serait une sacrée claque; a voir dans le reste du monde, mais les chiffres ne sont pas tellement meilleurs
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Au box office, Indiana Jones et le Cadran de la Destinée a dépassé The Flash et Élémentaire et se place maintenant en dixième position des succès de l'année 2023.
De beaux résultats ce weekend pour Élémentaire et Indiana Jones et le Cadran de la Destinée qui leur permettent de dépasser Creed III au box office de l'année.
Élémentaire est maintenant neuvième avec près de 312 millions, Indiana Jones et le Cadran de la Destinée maintient sa dixième place avec plus de 302 millions et Creed III est dorénavant onzième avec 275 millions.
Citation :
'Indiana Jones and the Dial of Destiny' Finally Breaks Even at the Global Box Office
Indiana Jones and the Dial of Destiny might not be doing so bad at the worldwide box office as of this morning, the sequel directed by James Mangold has earned $302 million, finally matching the estimated $300 million it cost to be made.
2 millions de français sont allés voir la dernière quête d'Indiana Jones :
C'est d'ailleurs assez important à souligner, la France est le seul pays dans toute l'Europe ou Indiana Jones est devant La Petite Sirène au nombre d'entrées !
Le box office worldwide est très surprenant d'ailleurs , comme les 33 millions de dollars en Grande-Bretagne pour la Petite Sirène contre 20 millions seulement pour Indiana, je pensais qu'il ferait mieux sur le box office mondial mais c'est un échec cuisant là aussi.
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