[Trip Report Walt Disney World] First timers à Universal Orlando + Cruise Noël Disney Wish + Walt Disney World Décembre 2022

Bonjour à tous et bienvenue à bord du Disney Wish pour la suite et fin de notre TR nautique de 2022 (ne vous inquiétez pas les vacances ne sont pas terminées, on vous emmène à Walt Disney World ensuite) !

C’est à la nourriture et au merchandising que nous allons nous intéresser aujourd’hui ! Et pour cause, ce sont deux de nos centres d’intérêt favoris en vacances (surtout à Disney il va sans dire).

C’est au buffet Marceline Market que nous allons nous attabler pour commencer, puisque c’est le restaurant où la plupart des passagers prennent leur premier repas à bord. Pourquoi le nom Marceline ? La plupart d’entre vous aura sans doute la réponse; il s’agit de la ville où Walt Disney a passé une partie de son enfance dans l’état du Missouri. Comme le nom du restaurant peut laisser s’y attendre, la nourriture proposée est fraiche comme tout juste ramenée du marché, mais surtout variée et excellente ! Pour le repas du midi on y trouve les iconiques chicken tenders et frites, mais aussi des salades, et une variété de plats inspirés de la cuisine asiatique. Nous y avons également pris quelques petits déjeuners, presque toujours composés de pancakes ou gaufres, accompagnés de bacon et souvent de pommes de terre rôties !

Si vous avez déjà navigué sur l’un des quatre premiers bateaux Disney Cruise Line et êtes familiers de leurs restaurants, Marceline Market est le « nouveau » Cabanas.









Le restaurant suivant où nous vous emmenons est Arendelle, royaume de la reine des neige, et le dîner auquel nous vous convions est le repas de mariage de la reine Anna avec son fiancé Kristoff. Arendelle est l’entertainment restaurant du Disney Wish, et propose un diner spectacle qui revisite les chansons du film Frozen. Les plats proposés sont d’inspiration nordique, et comme tout ce qui est servi à bord du Wish, ils sont tout simplement délicieux. Vous devrez me croire sur parole en ce qui concerne la nourriture, mais pour ce qui est de la décoration et du niveau de détails du restaurant, vous pourrez vous faire votre propre avis sur photos !

















Le second restaurant de notre « rotation » (principe qui consiste à diner chaque soir dans un restaurant pré-déterminé) fut le magnifique 1923. Le nom de ce restaurant rend hommage à l’année de création de la Walt Disney Company, et deux salles (Walt et Roy) accueillent les passagers pour un diner placé sous le signe du cinéma d’animation des Studios Disney. En effet les tables sont entourées de vitrines remplies de fac similés de dessins d’animation et de props, qui font de 1923 un vrai musée dont on a envie d’admirer chaque détail ! Déjà lors de notre première croisière sur le Wish nous sommes tombées amoureuses de ce restaurant élégant à la cuisine éclectique et très finement préparée.





















… En parlant d’éclectisme, lors de notre premier diner au restaurant 1923 avec Flavzi et Romi, nous avons eu tellement de mal à faire notre choix parmi les plats au menu, que nous avons décidé… de commander à peu près l’intégralité de la carte !





Le troisième et dernier restaurant de notre rotational dining fut le magnifique et épique Worlds of Marvel, dont l’histoire est (subtilement) liée à celle de notre attraction Avengers Assemble: Flight Force à Avengers Campus Paris (un point bonus à qui peut m’expliquer en commentaire la nature de cette connexion hihi). Comme dans les restaurants précédents la nourriture y est variée et excellente, avec des touches d’inspiration asiatique mais aussi des clins d’oeil au MCU. Par ailleurs le petit show mettant en scène Ant-Man et Wasp est toujours aussi drôle et bienvenu. Si vous souhaitez le découvrir on le retrouve sur plusieurs chaines YouTube. Mention spéciale pour les décorations de Noël installées dans le restaurant, je suis particulièrement fan de l’ornement inspiré du gant de l’infini.















Si vous avez lu notre TR de septembre 2022, vous pourriez penser que notre tour d’horizon des restaurants du Disney Wish s’arrête là (parce que vous savez que la rotation du diner comporte trois restaurants), mais non ! En effet, en décembre pour marquer le coup de notre première croisière entre copains, et aussi la saison de Noël, nous nous sommes offert un brunch au restaurant Palo ! Le Palo est l’un des restaurants pour adultes de la Disney Cruise Line, et on le retrouve sur chacun des cinq premiers navires. Sa carte s’inspire de la cuisine italienne, et son nom fait référence à la longue rame des gondoliers vénitiens. Sur réservation uniquement, on peut y diner, bruncher, et même faire des dégustations de desserts. Zouzou et moi avons diné au Palo sur le Disney Wonder en 2019, mais cette fois-ci nous avons choisi de bruncher pendant notre journée en mer dans les Bahamas !











Ce brunch fut un moment extraordinaire, gustativement et visuellement. Dans un cadre magnifique et richement décoré de props rendant hommage à la gastronomie italienne, notre serveur Gaetano nous a servi un nombre incalculable de plats tous plus délicieux les uns que les autres. Le repas a commencé par des viennoiseries, pains spéciaux, et un assortiment de charcuteries et de fromages, puis nous avons partagé plusieurs entrées, plats et desserts. Je salive en revoyant les photos de ce repas mémorable, qui s’est classé dans le top de nos expériences gustatives les plus remarquables à Disney.















Petit fun fact, lorsque nous avons raconté à Gaetano que nous aimions voyager à Disney entre amis, il nous a répondu avec philosophie « Friendship is a journey » (l’amitié est un voyage), phrase qui nous a beaucoup fait rire sur le coup, mais qui est également pleine de bon sens (je médite encore régulièrement dessus) !

Pour les futurs passagers Disney Cruise Line qui nous lisent, vous savez peut-être déjà que les restaurants optionnels représentent un certain budget, mais après en avoir fait trois fois l’expérience je peux vous l’affirmer : si vous êtes comme nous des foodies et que vous aimez les belles expériences à table, foncez vous ne le regretterez pas.







Notre review des restaurants du Disney Wish est maintenant terminée (mais si vous avez encore faim vous trouverez des infos sur la nourriture de Castaway Cay, du room service, et des snacks gratuits du navire dans ce TR), aussi allons maintenant faire un rapide tour dans deux de ses bars avant de terminer par les boutiques !

Nous l’avions visité en septembre mais n’avons pas pu y boire un verre car il était toujours blindé, je parle bien sûr de l’Hyperspace Lounge, le « tech bar » inspiré de Star Wars ! En décembre nous avons eu plus de chance et avons pu profiter de son ambiance galactique très stylée avec Romitas et Flav, et avons dégusté des drinks plus ou moins in story (le cocktail « Moons of Endor » forcément c’est plus immersif qu’une Guinness).

L’Hyperspace Lounge – comme son nom l’indique – passe en mode hyper espace (grâce à l’écran situé derrière le bar) environ toutes les demi-heures si ma mémoire est bonne, et nous avons jubilé tels des jawas au salon de la pièce détachée à chaque saut du lounge pendant toute la durée de notre after dans le bar.














Le second bar dont je vais vous parler aujourd’hui est The Rose, un lounge inspiré du film live action de La Belle et la Bête situé au deck 12. Comme il se trouve près du Palo, nous l’avons d’abord traversé le jour de notre brunch, puis y sommes retournés pour boire un ultime verre avec vue sur l’océan à la fin de notre dernière soirée à bord.











Lors de notre première cruise sur le Wish nous avons également visité les bars The Bayou et Nightingale’s, vous pouvez retrouver notre retour sur ces derniers en cliquant ici) (vous commencez à avoir l’habitude) !

Nous terminons ce billet avec un (assez modeste) aperçu du merchandising vendu à bord. Si celui-ci n’est pas très exhaustif, je me rattraperai en fin de TR avec mon haul héhé…













C’est ainsi que s’achève la seconde partie de notre TR floridien de décembre 2022 ! La troisième et dernière partie sera consacrée à notre découverte de Walt Disney World Resort, en commençant par le parc Magic Kingdom ! Dépêchez-vous, le bus vous attend !

Bonjour tout le monde et merci pour votre patience !

Je suis de retour et motivée à attaquer le récit de notre découverte de Walt Disney World !!

Ce billet est le premier d’une série dédiée à Walt Disney World Resort à Orlando. Cette série couvrira les quatre parcs principaux de Walt Disney World en les abordant dans l’ordre dans lequel ils ont ouvert (Magic Kingdom, EPCOT, Disney’s Hollywood Studios, et Disney’s Animal Kingdom), ainsi que le parc aquatique Disney’s Blizzard Beach, et enfin l’hotel Disney’s Port Orleans Resort – French Quarter où nous avons logé pendant notre séjour.



(Admirez les tenues de Zozo et Romi à qui une Crew Member a dit ce matin-là en route pour le bus vers Walt Disney World qu’ils ressemblaient à Barbie et Ken)





Après avoir visité les parcs Universal, et avoir navigué quatre nuits à bord du Disney Wish, ENFIN nous avons découvert The Most Magical Place On Earth, et on vous emmène immédiatement le re-découvrir avec nous !



Avant de vous raconter notre visite dans le royaume enchanté de Floride, un peu d’histoire ! Le parc Magic Kingdom a ouvert ses portes le 1er octobre 1971, soit seize ans après le parc Disneyland en Californie. Bien que Walt ait été à l’origine de ce projet, il n’a jamais pu le visiter puisqu’il est décédé en 1966. C’est Roy Disney qui a ainsi porté ce projet jusqu’à son ouverture, afin de réaliser l’un des derniers rêves de son frère. L’idée initiale de Walt en achetant du terrain en Floride était beaucoup plus ambitieuse que l’ouverture d’un simple parc à thème (il s’était déjà illustré dans ce domaine en 1955), puisqu’il envisionnait également la création d’une communauté de vie innovante et révolutionnaire, qui a finalement évolué pour devenir le second parc à thème du resort floridien : EPCOT (mais nous y reviendrons plus tard) ! Magic Kingdom est très proche de Disneyland dans sa conception d’origine, mais chacun de ces resorts a beaucoup évolué au cours des dernières décennies, jusqu’à en faire deux destinations totalement différentes. Magic Kingdom est donc un « castle park« , et comme tous les autres parcs Disney il se divise en lands thématiques :

Main Street U.S.A.
Adventureland
Frontierland
Liberty Square
Fantasyland
Tomorrowland





Dans ce billet je vais partager avec vous nos impressions des trois premiers lands du parc Magic Kingdom, ainsi que les attractions que nous avons faites dans chacun d’eux. Dans un second billet, nous visiterons les trois autres lands, et dans un troisième billet je reviendrai sur les spectacles, les personnages que nous avons rencontré, la nourriture, et le merchandising !

Allez, on saute dans le bus, direction MK !







Avant même de fouler le sol de Main Street U.S.A. le jour de notre arrivée à Walt Disney World, nous étions tous les quatre fort émus et surexcités. Il faut dire que des galères de bus depuis le terminal Disney Cruise Line de Port Canaveral ont retardé notre arrivée sur le resort de quelques heures, aussi notre impatience était devenue intenable lorsque nous avons découvert la gare iconique de Main Street U.S.A. depuis les tourniquets. Découvrir un nouveau Main Street tous ensemble, décoré pour Noël qui plus est, et sous un soleil radieux, fut un moment il va sans dire magique et unique. Nous l’avons traversé avec beaucoup d’émotion, nous tordant le cou à chaque pas pour détailler les boutiques et décorations qui nous entouraient, jusqu’à ce qu’enfin nous débouchions devant le chateau de Cendrillon (spoiler alert, actuellement il est mon chateau favori).









Pendant notre première après-midi à Magic Kingdom nous avons eu la joie immense de voir chanter (même pour un court moment) l’iconique quatuor d’hommes « The Dapper Dans« . Nous avons aussi eu le plaisir de retrouver un Starbucks dans un parc Disney, on espère toujours en avoir un un jour à Disneyland Paris !







Partons maintenant à la découverte d’Adventureland ! Si à DLP c’est le land que j’apprécie le moins (je m’y perds toujours et on n’y voit rien la nuit !), aux États Unis j’en suis tombée amoureuse en Californie comme en Floride. Si la météo y est sans doute pour beaucoup, c’est aussi mais surtout pour la thématique de ses attractions et le dépaysement procuré par les classiques tels que Jungle Cruise et Walt Disney’s Enchanted Tiki Room. Même la mascotte locale Orange Bird est d’accord avec moi !



Saison de Noël oblige, c’est sur la version « Jingle Cruise » que nous avons navigué avec « the Jungle Navigation Company » sur les rivières Nil, Irrawaddy, Mékong et Congo (enfin, avec un peu d’imagination quoi). Après avoir découvert la version classique à Disneyland Resort en 2019, j’ai adoré pouvoir voir l’attraction avec sa parure de guirlandes et ampoules lumineuses. Cette attraction me fascine de plus en plus pour son histoire et son lore. Harper Goff, l’un des Imagineers de la première génération que j’admire le plus (et à qui l’on doit le design du Nautilus du film Vingt Mille Lieues sous les mers de 1954) en a été l’architecte. Si vous regardez l’épisode de le série Les Coulisses des Attractions dédié à Jungle Cruise vous apprendrez de nombreuses anecdotes captivantes à son sujet. Quand au lore, il relie l’attractions à d’autres classiques des parcs Disney via The Society of Explorers and Adventurers (ou S.E.A.), organisation fictive fondée en 1538 et dont les membres comptent Harrison Hightower III (pour l’attraction Tower of Terror de Tokyo Disney Resort), Henry Mystic (pour Mystic Manor à Hong Kong Disneyland), Barnabas T. Bullion (pour Big Thunder Mountain à Walt Disney World et Disneyland), Albert Falls (pour Jungle Cruise), et d’autres encore ! Par ailleurs, avec beaucoup de retard j’ai finalement regardé ce mois-ci le film inspiré de l’attraction et sorti en 2021, et je l’ai tout simplement adoré ! Il m’a rappelé les films d’aventure avec lesquels j’ai grandi dans les années 1990, je le reverrai avec plaisir !















Walt Disney’s Enchanted Tiki Room est l’une des attractions qui m’avait le plus marquée en Californie, et je suis de nouveau tombée sous le charme de la chorale d’oiseaux tropicaux menée par les perroquets José, Michael, Pierre et Fritz. Si vous ne connaissez pas cette attraction iconique je vous invite à aller regarder des vidéos sur YouTube. Outre le fait qu’elle était l’une des favorites de Walt, elle est aussi la première attraction à avoir intégré des audio-animatronics. De plus la musique de l’attraction fut composée par les frères Sherman, ce qui a contribué à en faire un classique absolu au fil des décennies.





Pendant notre séjour nous avons bien sûr ridé l’attraction Pirates of the Caribbean, que l’on ne présente plus, aussi… Je ne vais pas m’y attarder ! Je vais me contenter de dire que j’adore cette attraction, et surtout en découvrir des variantes dans les différents parcs Disney. Je suis particulièrement intriguée par celle imaginée pour le parc Shanghai Disneyland, qui a réinventé ce classique tant au niveau technologique que thématique puisqu’elle s’inspire des films Pirates of the Caribbean, eux-mêmes inspirés de l’attraction de Disneyland (ça rappelle un peu l’histoire l’oeuf et la poule vous en conviendrez).





Changement d’univers ! Nous nous rendons maintenant dans le grand ouest américain, à la découverte de Frontierland !

Ce premier voyage à Walt Disney World fut l’occasion pour nous de découvrir un nouveau classique des parcs Disney : Countrybear Jamboree ! Conçue par l’animateur et Imagineer de renom Marc Davis à qui l’on doit notamment les personnages des attractions précédemment citées dans ce billet (oui ça en fait un paquet), elle consiste en un spectacle hilarant d’ours audio-animatronics qui jouent de la musique country. J’ai trouvé ce spectacle non seulement irrévérencieux mais visuellement génial, malgré son âge cette attraction reste fraiche et vraiment drôle.





Nous n’avons bien sûr pas manqué de rider « The Wildest Ride in The Wilderness » à Frontierland, A.K.A. Big Thunder Mountain. Bien que cette attraction soit l’une de mes favorites à DLP, en Floride je n’en ai pris aucune photo, oops !

Enfin, nous avons fait un ou deux tours de Splash Mountain la bien nommée, avec un excellent timing puisqu’elle est peu de temps après notre visite partie en réhabilitation pour devenir une attraction centrée autour du film La Princesse et la Grenouille (et nous sommes vraiment très enthousiastes quand on y pense).







C’est ainsi que se termine ce billet ! On se retrouve très bientôt pour découvrir les autres lands du parc Magic Kingdom, et en attendant je vous souhaite un superbe week-end printanier !

Hello la compagnie et bienvenue dans notre second billet dédié à Magic Kingdom à Walt Disney World !

Aujourd’hui partons explorer les lands suivants :

Liberty Square
Fantasyland
Tomorrowland

Cela peut paraitre surprenant mais pour moi l’un des lands les plus dépaysants de Magic Kingdom fut… Liberty Square, zone rendant hommage à The Land of the Free (à la nation américaine quoi) !

L’attraction la plus emblématique de ce land est sans doute The Hall of Presidents, impressionnant spectacle rassemblant des audio-animatronics de tous les présidents des États-Unis autour du récit de la naissance de la Constitution américaine. Si cette attraction peut nous paraître démesurément patriotique à nous autre petits français, je l’ai trouvée vraiment intéressante et immersive dans un autre pan de la culture américaine. En général en voyage aux U.S.A. on s’immerge surtout dans Disney et la bouffe, alors cette attraction nous a rappelé d’où tout cela vient en quelque sorte !















L’autre attraction que nous avons ridée à Liberty Square est sans doutes l’une des plus iconiques de toutes, j’ai nommé la terrifiante (j’exagère un peu) HAUNTED MANSION ! Attraction soeur de celle conçue par les Imagineers Rolly Crump et Yale Gracey pour le parc Disneyland, elle présente une apparence extérieure différente de la première du nom, mais l’histoire de l’attraction est sensiblement la même. Sauf que pour Zozo, Flav et moi qui n’avions pu voir que la version Halloween / Noël inspirée de L’Étrange Noël de Monsieur Jack à Disneyland en 2019, faire celle de Magic Kingdom c’était finalement comme en découvrir la version originale ! Notez que l’attraction a une boutique dédiée, Memento Mori, dont je parlerai rapidement dans le prochain post.











Photos de l’attraction du site officiel de Walt Disney World :







Si vous êtes déjà allés à Walt Disney World, vous aurez peut-être remarqué que j’ai choisi de présenter les lands du parc en suivant le sens horaire sur la map héhé, et le land suivant sur notre route est le magique et incontournable Fantasyland ! Si ce land que l’on retrouve dans chacun des « castle parks » Disney autour du monde était ouvert dès l’inauguration de Walt Disney World, il a été agrémenté d’une nouvelle zone et donc de nouvelles attractions dès 2012 : « New Fantasyland« .









Commençons notre visite par New Fantasyland, et l’attraction Seven Dwarfs Mine Train ! Cette attraction s’inspire de Blanche-Neige et les Sept Nains (vous aviez compris) et ses sensations peuvent rappeler celles de notre Big Thunder Mountain parisien. Elle est l’une des attractions les plus populaires de Fantasyland depuis son ouverture en 2014, ce qui occasionne des temps d’attente assez costauds pour la rider. Par chance (ou pas !) à cause de notre arrivée tardive sur le resort au début de notre séjour, un Cast Member dévoué nous a donné un Lightning Lane pour cette attraction, ce qui fait que nous l’avons faite sans attendre cette après-midi là. Il s’agit d’un coupe-file payant, qui est venu remplacer les anciens Fastpass gratuits.

En tout cas, l’attraction est vraiment sympa et rigolote, mais ne voulant pas attendre des heures pour la refaire et encore moins payer, nous ne l’avons ridée qu’une fois ! J’aurais aimé vous montrer notre photo on-ride prise à bord, mais elle n’a pas été transférée sur notre Memory Maker (pack Photopass qui était inclus dans notre séjour) et on a oublié de la réclamer, tant pis !



La seconde attraction que nous avons faite à New Fantasyland est The Little Mermaid ~ Ariel’s Undersea Adventure, attraction jumelle de celle proposée à Disney California Adventure à Anaheim. C’est l’un de mes dark rides favoris, ses scènes sont soignées et superbes, et je ne vous spoile pas mais le début de l’attraction comporte un détail que je trouve malin et superbement réalisé. La Petite Sirène est aussi l’un de mes classiques animés favoris alors forcément je suis particulièrement fan de cette attraction.





Photos de l’intérieur de l’attraction du site officiel de Walt Disney World :











Passons maintenant au Fantasyland historique ! En commençant avec une attraction datant de… 1999, haha. Il s’agit de Many Adventures of Winnie the Pooh, qui est présente dans les tous les Fantasyland du monde… sauf celui de Paris. J’aimais beaucoup Winnie étant petite et ce dark ride est si adorable, rien que d’y penser j’ai envie de revoir l’un des films animés qui lui sont dédiés.

Photo de l’attraction du site officiel de Walt Disney World :



Alors là on attaque un gros morceau et surtout l’une des attractions chères à mon coeur, et que j’ADORE découvrir à l’étranger. it’s a small world bien sûr ! Surnommée « the happiest cruise that ever sailed« , l’attraction développée par WED (pour Walter Elias Disney – premier nom de WDI, Walt Disney Imagineering) en partenariat avec Pepsi Cola pour l’exposition universelle de 1964 à New York, est probablement l’une des plus emblématiques de toutes. Ses scènes cliché, ses décors en papier-mâché et paillettes, et ses petits animaux recouverts de fourrure fluo en font l’attraction la plus naïve et mignonne des parcs Disney, et j’aime détailler les variantes de chaque version en voyage. Si celle de DLP est pour beaucoup la plus belle de toutes de par ses scènes foisonnantes à la perspective ambitieuse, j’aime les trois que j’ai déjà eu la chance de faire (Paris, Californie, Floride) tout autant. La preuve, avec la tonne de photos que j’y prends à chaque fois. Enjoy, et si vous avez la chanson dans la tête à la fin de votre lecture, you’re welcome.



























La dernière attraction de Fantasyland dont je vais vous parler est The Barnstormer, petite montagne russe située dans la zone Storybook Circus ! Comme Goofy Sky School à Disneyland Resort, elle met à l’honneur le personnage favori de Zouzou : Dingo, alias The Great Goofini ici ! Si l’attraction en elle-même est sympathique mais un peu anecdotique, toute la zone Storybook Circus est superbement thémée et rend hommage à Mickey et ses amis. Storybook Circus est connu pour proposer des meet and greets de ces deniers dans des tenues inspirées de l’univers du cirque, mais malheureusement cette animation était suspendue pendant notre séjour suite à la pandémie, et n’y est revenue qu’après notre retour en France… Booouh !













Terminons notre visite de Fantasyland avec évidemment… LE CHATEAU DE CENDRILLON !! Je l’adore, parce qu’à l’image de Walt Disney World il est gigantesque et clinquant. J’assume totalement. OUI C’EST MON FAVORI (du moment, ces choses-là ça varie) !













Notre visite des lands de Magic Kingdom touche bientôt à sa fin puisque nous nous dirigeons vers le dernier land, qui est aussi l’un de mes favoris (je vais me faire taper je le sens)… TOMORROWLAND !! Et oui, j’aime le rétro-futurisme, la cinétique, et les grosses planètes multicolores, alors dans ce land je vibe complètement, n’en déplaise à certains hihi.













Nous commençons la visite par les deux attractions qui nous étaient totalement inédites. La première est Walt Disney’s Carousel of Progress. Tout comme pour it’s a small world, son développement s’est fait pour l’exposition universelle de 1964. Il s’agit d’un théâtre rotatif présentant des scènes de la vie d’une famille à différentes époques. On assiste à ces scènes racontées par des audio-animatronics dans des décors très détaillés. Aujourd’hui un peu datée et kitsch (certaines de ses thématiques sont vraiment devenues désuètes) elle m’a tout de même charmée et j’ai très envie de la refaire à ma prochaine visite. Elle se rapproche d’it’s a small world de par sa vision très optimiste du futur (là où it’s a small world l’est sur le thème de la fraternité entre tous les pays du monde) et le fait qu’elle témoigne des thématiques qui passionnaient Walt et qu’il voulait partager avec les visiteurs de ses parcs.

La chanson de l’attraction, There’s a Great Big Beautiful Tomorrow, est l’une de mes préférées composées par les frères Sherman, je trouve sa musique et ses paroles tout simplement incroyables, à écouter immédiatement si vous ne la connaissez pas.



Photo de l’intérieur de l’attraction du site officiel de Walt Disney World :



L’attraction suivante est The PeopleMover, et consiste en de petits véhicules qui font le tour de Tomorrowland. Elle offre un point de vue sur les autres attractions en hauteur, et selon l’heure à laquelle vous ridez certains paysages sont véritablement imprenables. J’étais d’ailleurs apparemment captivée lorsque nous l’avons faite, puisque je n’ai que peu ou pas de photos à partager, oups ! Mais j’ai absolument adoré cette balade, qui comporte un segment à l’intérieur d’un tunnel, dans lequel est exposée une maquette originale d’EPCOT réalisée pour l’exposition universelle de 1964 (encore et toujours).







Ces deux attractions m’ont laissé un souvenir rêveur et j’en suis très nostalgique, comme j’expliquais plus haut parce que je suis fan de cette vision naïve et optimiste du futur, ainsi que de l’esthétique de ces deux icônes du Tomorrowland floridien.

Pour achever la visite de ce land si cher à mon coeur, je vais vous parler de trois attractions classiques, que l’on connait avec quelques variantes thématiques à Disneyland Paris, ainsi qu’à Disneyland en Californie. La première est Tomorrowland Speedway, alias Autopia chez nous. Je suis tombée raide dingue de l’esthétique de la version Magic Kingdom, toutes ces couleurs et perspectives très graphiques m’ont fait frétiller d’excitation, limite plus que l’attraction elle-même. Mais ce petit ride est cher à mon coeur depuis des années car nous y avons une tradition avec Zouzou : nous conduisons notre voiture au son de la chanson Come Back To Me de Vanessa Hudgens (alias Gabriella Montez dans la saga High School Musical). Après Paris et Anaheim, nous avons vécu notre moment musical en voiture à Orlando également, un rêve qui s’est réalisé !











Notez que pendant notre séjour on pouvait voir le chantier de l’attraction Tron Lightcycle Run depuis la file d’attente de Tomorrowland Speedway. Tron Lightcycle Run a ouvert cinq mois après notre visite, c’était une torture de la voir si proche et inaccessible !

Faisons maintenant un petit tour d’Astro Orbiter, que les visiteurs de DLP connaissent dans sa version Orbitron. L’attraction à Magic Kingdom est surélevée sur une plateforme, ce qui donne à la balade en navette spatiale encore plus de hauteur, ce qui est un peu effrayant je l’avoue, mais assez grisant aussi et offre comme le PeopleMover des points de vue incroyables sur Tomorrowland.













Notre visite des lands de Magic Kingdom s’achève par un petit tour (ou deux) de Space Mountain ! Plus proche de la version californienne que de celle de Paris, elle est très drôle puisqu’elle consiste essentiellement à aller à toute vitesse dans le noir, ce qui est hilarant mais fait un peu peur aussi ! Je suis extrêmement fan de son look floridien tout blanc (même si j’adore le style vernien très détaillé et riche de notre attraction parisienne), et de ses graphics rétro-futuristes à l’intérieur et l’extérieur de l’attraction. Saluons au passage les inconnus qui sont montés dans nos fusées avec nous, comme les véhicules de cette version sont prévus pour trois passagers.











Et voilà, notre visite des lands (oui j’insiste bien là-dessus) de MK est terminée, MAIS un troisième billet sur ce parc arrive très prochainement, avec au programme les shows, personnages, l’offre food, et le merchandising ! Merci d’avoir lu, et à très vite (je me dépêche je vous assure) pour la suite !

Bonjour tout le monde et bienvenue dans notre troisième et dernier billet dédié au parc Magic Kingdom à Walt Disney World Resort !

Après avoir visité les six zones thématiques du parc, nous partons aujourd’hui à la découverte de certains des spectacles qui étaient proposés pendant notre voyage en décembre 2022, de la nourriture, et du merchandising !

Sans plus attendre, place aux spectacles ! Le premier que nous avons eu le plaisir de voir pendant notre séjour fut la Disney Festival of Fantasy Parade ! Cette dernière existe depuis 2014 et a été lancée en parallèle de l’ouverture de New Fantasyland à Magic Kingdom. J’avais vu de nombreuses photos de cette parade avant notre voyage, et étais déjà amoureuse de ses chars bariolés, et de sa sélection de personnages comportant certains de mes favoris. Mes chars préférés sont ceux avec Pinocchio juché sur Monstro, et la montgolfière de Mickey et Minnie (on en parle de la classe de Hyacinth avec son tutu turquoise, et de Mlle Upanova ?), je suis vraiment sous le charme. La parade est passée devant nous quelques dizaines de minutes après notre entrée dans le parc le premier jour du séjour, c’était vraiment magique, et nous l’avons revue passer de loin une ou deux autres fois plus tard lors du voyage.











Nous avons également croisé à plusieurs reprises la parade du 50ème anniversaire de Magic Kingdom : la Mickey’s Celebration Cavalcade, mais jamais vraiment en entier ou alors nous n’étions pas super bien placés. Nous n’avons pas réellement planifié nos visionnages des parades pendant le séjour, ce qui m’étonne rétrospectivement comme on adore ça, on s’est contenté de les regarder passer quand on les croisait. Peut-être à cause de ces conditions pas optimales je ne l’ai pas trouvée particulièrement remarquable, mais ça fait toujours un grand plaisir de voir passer les « Sensational Six » sur des chars et de pouvoir leur envoyer des coucous à grands mouvements de bras.





Pour ce qui est des spectacles, nous avons profité pendant notre séjours de deux shows joués sur le chateau. Le premier est la Mickey’s Magical Friendship Faire, un spectacle de jour sur la scène du chateau mettant à l’honneur Tiana et Naveen, Raiponce et Flynn, Anna / Elsa et Olaf, ainsi bien sûr que Mickey et ses amis. Nous avons également vu ce show plus d’une fois, notamment pendant notre premier jour, juste avant le coucher du soleil, debout sur le gigantesque hub de Magic Kingdom qui était complètement bondé. Pour cette raison je n’ai pas réussi à faire de jolies photos, mais j’ai emprunté celle-ci au site officiel de Walt Disney World.



Le dernier show que nous avons eu le plaisir de découvrir est le spectacle nocturne (attention nomenclature à rallonge) Disney Enchantment at Disney After Hours at Magic Kingdom. Ce show de mapping et feux d’artifices est venu remplacer pendant la saison du 50ème anniversaire le très populaire « Happily Ever After« , depuis revenu à Magic Kingdom. Nous l’avons admiré deux fois, depuis deux emplacements différents, et j’ai adoré ce spectacle que j’ai trouvé absolument magique. Première raison à cela, il était narré par Angela Bassett, l’une de nos actrices favorites à Zouzou et moi (à peine entendu sa voix déjà on avait la chiale). Elle est notamment connue par les fans Disney pour avoir joué le personnage de Ramonda, mère de T’Challa dans Black Panther, et pour avoir été la narratrice de l’excellente série The Imagineering Story. Entre parenthèse Angela Bassett sera sacrée Disney Legend lors de la prochaine convention D23 en Californie. Enchantment rendait hommage à certaines attractions iconiques du parc en intégrant des chansons telles que It’s a Small World (After All), Grim Grinning Ghosts (chanson culte de The Haunted Mansion), ou encore There’s a Great Big Beautiful Tomorrow (de l’attraction Carousel of Progress); avant de nous régaler les oreilles de certaines de nos chansons Disney favorites (dont Almost There de La Princesse et la Grenouille, et We Know The Way de Moana). Une fois de plus je m’appuie sur le site de Walt Disney World pour palier mon manque de photos (les shows nocturnes c’est au delà de mes skills de photographe), mais vous invite à aller regarder le show sur YouTube si ce pavé vous a transmis mon enthousiasme !



Pour clore la partie « entertainment » de ce billet, passons maintenant aux meet and greets ! Ou plutôt AU meet, puisque nous n’avons rencontré que Mickey à Magic Kingdom. Mais dans sa tenue du 50ème anniversaire s’il vous plait ! C’est à Town Square Theater sur Main Street U.S.A. que nous avons eu le plaisir de le retrouver (la fois précédente c’était sur Castaway Cay), mais aussi de faire notre première expérience (un peu troublante) de… Photopass automatique ! En effet, malgré la présence d’un Cast Member accompagnant le personnage dans la photolocation, c’est bien un boitier automatisé qui prend les photos. Nous avons eu l’occasion de réitérer l’expérience à Disney’s Animal Kingdom et Disney’s Hollywood Studios les jours suivants, et je ne suis vraiment pas fan. Mais ce fut bien sûr un honneur de prendre la pose aux côtés de Mickey.









Pour rester dans le thème des personnages, je partage avec vous les photos de quelques uns des cinquante personnages Disney mis à l’honneur sous la forme de ces statues dorées toujours dans le cadre du 50ème anniversaire du parc. Ces cinquante personnages ont été répartis dans les quatre parcs du resort, et sont interactif. En effet, si vous passez devant eux et avez un MagicBand+ au poignet, des sons se déclenchent à votre passage. Je parle au présent car il me semble que les statues ont été conservées après la fin de la saison anniversaire. J’adore l’idée d’avoir représenté tous ces personnages dans les parcs pour cette célébration, permettant à chacun de chercher son favori et de se prendre en photo à ses côtés (nous étions bien sûr ravies avec Zozo de retrouver Goofy et Pinocchio nos chouchous absolus).







Passons maintenant à l’un de mes thèmes favoris, la nourriture !! Tout comme en Californie, nous avons EXTRÊMEMENT bien mangé à Walt Disney World, et ce pendant tout notre séjour (sur onze jours sur place avec deux à quatre repas par jours je compte une poignée de déceptions seulement, cela vous donne une idée de la qualité de l’offre food là-bas). J’en profite pour dire à toutes les personnes qui ne seraient pas encore allés aux États-Unis et qui auraient des à-priori sur la nourriture américaine : Disney n’est clairement pas concerné par cette réputation que l’Amérique peut avoir, et je pense sincèrement que cette dernière n’est pas ou plus justifiée à bien des endroits à travers le pays.

Commençons avec un snack que nous avions hâte de goûter à Magic Kingdom, et qui fut notre premier repas dans le parc : la chicken waffle (gaufre au poulet frit) du point snacking Sleepy Hollow ! Servie avec sa garniture de chips fraiches et sa petite salade, recouverte de sirop, ce fut un délice absolu !! Il faut aimer le sucré-salé pour apprécier, mais personnellement je pourrais en manger tous les jours !





Nous n’avons fait qu’un restaurant à table à Magic Kingdom et je le réserve pour la fin du billet, aussi je vais détailler le reste des snacks que nous avons goûtés ! Le suivant dans l’ordre de notre voyage est : les eggrolls (ou pâtés impériaux) que nous avons achetés dans un kart à Adventureland, en fin de journée alors qu’il faisait nuit noire ou presque. Ce snack fit l’unanimité dans le groupe, je crois que le kart en proposait deux versions dont une au boeuf, Zouzou et moi avons partagé une pair de chaque et nous nous sommes régalées.





C’est dans un restaurant familier que nous avons dégusté notre snack suivant, puisque c’est chez Casey’s Corner que nous l’avons trouvé ! Ce fast-food de Main Street U.S.A. existe également à Disneyland Paris mais bien sûr l’offre y est un peu différente en Floride. Nous avons mangé des bouchées de corn-dogs et des frites un soir alors que nous étions ratatinés de fatigue, un délice qui nous a bien remontés !



Toujours dans la rubrique snacking, je me dois de parler du Starbucks de Magic Kingdom, où nous avons acheté de nombreux cafés et drinks rafraichissants lors du séjour. Starbucks dans les parcs c’est vraiment une idée de génie, je n’arrêterai jamais de le dire ! Nous n’avons pas gouté de gateaux ni de pâtisseries de chez Starbucks pendant le séjour (contrairement à notre séjour en Californie où nous avons pris tous nos petits déjeuners chez Starbucks à Disney California Adventure, et grâce à cela avons découvert des snacks délicieux) – certains d’entre-eux étaient pourtant thématisés – et je le regrette amèrement !











Pour terminer la rubrique snacking, voici quelques photos de CE QUE NOUS N’AVONS PAS TESTÉ. Faute de faim sur le moment ou d’envie de dépenser des sous. Oui, en regardant les photos j’ai envie de tout goûter.





… Et pour clore la partie « food » de ce billet, je vous emmène au mythique restaurant Be Our Guest !! Cet incontournable restaurant de Fantasyland est une réplique du château de la bête dans La Belle et la Bête, et est un lieu à visiter absolument lors de votre séjour. Son offre food varie au fil des années, il servait de la nourriture de fast food inspirée de cuisine française avant la pandémie, mais pendant notre visite c’était un service à table servant bien sûr… de la nourriture d’inspiration française ! Je parlais de quelques déceptions seulement concernant la nourriture à Walt Disney World, Be Our Guest en fait tristement partie. Entendons-nous bien, le cadre est absolument fabuleux, et si c’était à refaire pour un premier séjour je n’hésiterais pas une seconde. Mais la nourriture pour nous français fut un peu en dessous de nos attentes (surtout pour le prix). Nous avons mangé des escargots, des plats en sauce type boeuf bourguignon, et pour le dessert un assortiment de pâtisserie qui nous a fait sourire puisque parmi ces derniers se trouvait un petit gâteau inspiré de « the grey stuff » dans la scène « Be Our Guest » (« la cuisine au beurre c’est la meilleure » dans la version française, rien à voir avec la choucroute). Pendant le repas nous avons vu passer la Bête de loin, on ne pouvait pas prendre de photo à ses côtés mais c’est quand même un passage remarqué et qui fait plaisir ! Petits fun facts sur ce restaurant : il est divisé en trois salles thématiques : la salle de bal (oui, celle de la mythique scène de danse sur « Tale as Old as Time« , « The Rose Gallery » – où nous avons diné, et une réplique de l’aile ouest du chateau, où le portrait déchiré de la bête est exposé sur un mur. Second fun fact, les angelots peints sur le plafond de la salle de bal sont inspirés des bébés des Imagineers qui ont travaillé à la conception du restaurant. On adore non ?













Dernière partie de ce billet, le merchandising de Magic Kingdom ! Vous devrez-attendre la conclusion du TR pour découvrir ce que j’ai ramené, mais je peux vous dire que la tentation était PARTOUT pendant tout le séjour.







Mention spéciale pour le merchandising inspiré d’attractions, comme celui vendu à Memento Mori, la boutique de Haunted Mansion, que je vous laisse admirer ci-dessous :







… même chose pour la boutique Tomorrowland Launch Depot où nous avons fait quelques craquages (surtout Flavou) – et qui proposait des produits inspirés de l’attraction Tron Lightcycle Run, pas encore ouverte pendant notre séjour, ouiiin !







C’est ainsi que s’achève notre série de billets sur Magic Kingdom ! Le prochain billet nous emmènera à EPCOT ! Si vous avez des questions en rapport avec ce voyage, ou les précédents, n’hésitez pas à les poser en commentaires ! Merci d’avoir lu, et à très bientôt !!

Bonjour à tous et bienvenue dans la suite de nos aventures de décembre 2022 en Floride, et notamment à Walt Disney World !

Après avoir visité Magic Kingdom en long, en large, et en travers, nous vous emmenons aujourd’hui au parc EPCOT ! Probablement mon favori… encore qu’il soit impossible à mon avis d’établir un classement ou de choisir un parc parmi les quatre principaux de WDW, mais pour de nombreuses raisons, EPCOT m’a particulièrement marquée, vous le ressentirez probablement à la lecture des billets que je m’apprête à y consacrer !









Comme pour chacun des parcs que nous avons visités à Walt Disney World, je vous proposerai pour EPCOT des billets thématiques (et non du récit par journée comme je peux faire pour partager nos aventures en croisière par exemple).



Le concept du parc EPCOT remonte aux années 1960, quelques années après l’ouverture du parc Disneyland original en Californie. À l’origine, Walt ambitionnait d’en faire une communauté de vie à la pointe des dernières technologies et créations de l’industrie américaine. De l’urbanisme, aux axes de circulation, en passant par les lieux publics, EPCOT selon sa vision se destinait à devenir un innovant lieu de vie à la rencontre du futur, et en perpétuelle évolution. Mais cet ambitieux projet ne vit jamais le jour, et à la mort de Walt en 1966 il fut temporairement mis de côté, tandis que Roy travaillait à compléter l’entreprise d’implanter les parcs Disney en Floride afin d’achever le rêve de son frère. Lorsqu’EPCOT ouvrit finalement le 1er octobre 1982 (soit près d’une vingtaine d’années après que Walt en ait eu l’idée d’origine), c’est sous la forme d’un second parc à thème au sein du resort Walt Disney World à Orlando, mais toujours tourné vers le futur et les accomplissements de l’homme sur terre et dans l’espace.

Divisé en deux parties, EPCOT plonge ses visiteurs dans une variété de pavillons, à l’image d’une exposition universelle permanente. Dans une première zone autrefois appelée « Future World », on peut découvrir l’imposant « weenie » d’EPCOT (ou emblème vers lequel les visiteurs sont attirés, comme les châteaux Disney dans les parcs de type Magic Kingdom) – Spaceship Earth. Aujourd’hui plutôt rétro-futuriste que réellement avant-gardiste, cette zone est pour moi la plus emblématique du parc. L’autre zone thématisée qui tourne autour du lac est World Showcase, et vous emmène visiter une version très image d’Épinal de différents pays du monde.

Notez que notre visite date de décembre 2022 (c’est long de bloguer sur un si gros voyage, C’EST LONG), et que plusieurs changements sont survenus dans le parc depuis, notamment l’ajout de la zone d’activités Journey of Water, inspirée par Moana.





Aujourd’hui nous allons nous concentrer sur la partie « Future World » (je sais cette nomenclature est obsolète mais je la trouve parfaitement explicite donc je vais continuer à l’utiliser !), elle-même divisée en trois zones :

World Celebration
World Discovery
World Nature
Un second billet parlera de World Showcase, et un troisième des shows, des personnages, de la nourriture, et du merch !

Commençons donc notre visite par une promenade à World Celebration, et par les attractions que nous y avons ridées !

La première attraction de World Celebration dont je vais parler est sans doute la plus iconique du parc, il s’agit de Spaceship Earth. Sous la forme d’une sphère haute de 18 étages (parfois décrite comme ressemblant à une balle de golf), elle propose un parcours en omnimover qui retrace l’histoire de la communication dans l’humanité. Des hiéroglyphes aux ordinateurs, en passant par l’imprimerie de Gutenberg, le parcours scénique d’une certaine longueur présente de nombreuses inventions à travers des scènes un peu désuètes aujourd’hui, mais marquantes et il faut dire assez charmantes. Le thème de l’attraction étant la communication, elle a la spécificité d’offrir plusieurs langues différentes pour sa narration afin que les visiteurs puissent en profiter dans la leur. Actuellement l’actrice Judy Dench narre le texte de la version anglaise, et pour la version française c’est Évelyne Séléna – qui prête aussi sa voix à l’attraction Buzz Lightyear Laser Blast à Disneyland Paris, mais aussi à la Fée Bleue dans Pinocchio et à la soeur d’Alice dans les secondes versions de doublage de ces films (je suis sûre que vous vous représentez très bien sa voix !). Spaceship Earth se termine par un questionnaire interactif qui demande à chaque guest de répondre à des questions sur son mode de vie rêvé du futur, qui prend la forme d’une petite animation personnalisée à la fin du ride. La morale de l’attraction est en gros que nous sommes tous les passagers du gigantesque vaisseau spacial qu’est la terre, et véhicule comme les attractions de Tomorrowland à Magic Kingdom un message très optimiste et de paix. Comme pour Tomorrowland, j’ai été très sensible au charme et au message de cette attraction unique en son genre, et qui mérite complètement son statut iconique.







Photos de l’intérieur de l’attraction empruntées au site officiel de Walt Disney World :







La seconde attraction de World Celebration où je vous emmène est la non moins iconique Journey Into Imagination With Figment. Elle se situe dans « l’Imagination Institute », et plus précisément dans le laboratoire sensoriel du Dr. Channing (interprété par Eric Idle, connu pour être l’un des membres des Monthy Python). L’histoire de l’attraction nous emmène à la découverte du laboratoire, où le dragon facétieux Figment a bien l’intention de mettre le bazar dans les expérimentations du docteur Channing.



Avant ce voyage j’étais fascinée par cette attraction iconique et avais d’ÉNORMES attentes avant de la rider. J’avoue que je ne l’ai pas adorée autant que j’aurais cru, parce qu’elle a vieilli il faut dire, mais aussi parce qu’elle est à mon avis très orientée jeune public. Cependant elle regorge de détails et de petits Easter eggs trop sympa, comme le mur des inventeurs de l’année où l’on peut retrouver les professeurs Philip Brainard (créateur du Flubber) ainsi que Wayne Szalinski de Chéri, j’ai rétréci les gosses. Mais surtout elle possède la mascotte originale de parcs Disney que je préfère, Figment (vraiment trop mignon et sympathique), et l’une des chansons les plus chouettes composée par les frères Sherman : One Little Spark.















Photos de l’intérieur, avec le trop mignon et rigolo Figment, du site de Walt Disney World toujours (évidemment maintenant ça me donne trop envie de la refaire) :





Changeons d’univers en passant à la zone World Discovery, où l’attraction dont je m’apprête à parler est devenue ni plus ni moins que ma favorite tous parcs à thèmes visités confondus. Vous allez vite comprendre pourquoi. Il s’agit de… Guardians of the Galaxy: Cosmic Rewind !! L’histoire de Cosmic Rewind (comme nous allons l’appeler pour aller plus vite) s’intègre parfaitement au parc EPCOT puisqu’elle raconte que la planète Xandar a décidé d’installer le premier pavillon extra-terrestre dans le parc, en suivant la suggestion de Peter Quill qui avait eu l’occasion de le visiter étant enfant. Le pavillon, appelé Wonders of Xandar, comporte un portail permettant de se rendre sur la planète Xandar en effectuant un hyperjump dans l’espace. Malheureusement, tandis que nous nous apprêtons à prendre part au voyage, un Celestial pas très gentil entreprend de rebooter le monde, ce qui fait que nous nous retrouvons à devoir sauver la planète avec les Gardiens de la Galaxie, alias MA FRANCHISE PRÉFÉRÉE EVER.













Cosmic est le ride que j’ai fait le plus de fois pendant tout le voyage (quatre en tout, ça peut paraitre peu mais à l’époque il avait ouvert depuis quelques mois seulement et n’était accessible que par boarding group à réserver sur l’appli ou bien en payant un Lightning Lane), et je vous explique pourquoi je l’aime tant :

– Il est dédié aux Gardiens de la Galaxie
– Le pré-show est INCROYABLE
– Il est dédié aux Gardiens de la Galaxie
– Il possède le ride système le plus drôle que j’ai jamais ridé (j’en ai pleuré de rire)
– Il est dédié aux Gardiens de la Galaxie
– La musique est incroyable également
– La queue-line est trop belle
– Il est dédié aux Gardiens de la Galaxie

Lors de notre visite, la musique du ride était une version spéciale Noël sous la forme d’un medley de plusieurs chansons aux paroles un peu modifiées, que vous pouvez écouter (en qualité moyenne malheureusement) ici !



Cet overlay de Noël n’est pas revenu l’année suivante, les chansons habituelles sont au nombre de six et s’alternent de manière aléatoire, si vous ridez l’attraction vous pourrez entendre l’une des suivantes :
– September, du groupe Earth, Wind and Fire
– Disco Inferno, du groupe The Trammps
– Everybody Wants to Rule the World, du groupe Tears for Fears
– One Way Or Another, de Blondie
– I Ran (So Far Away), du groupe A Flock of Seagulls
– Conga, de Gloria Estefan

J’en profite pour partager avec vous l’affiche de l’attraction qui rend compte de l’ambiance de ce ride unique et vraiment jubilatoire.



Si vous êtes familiers de l’univers des Gardiens vous savez à quel point la musique est importante dans la saga, aussi je trouve l’idée d’avoir choisi une set list de chansons allant de la fin des années 1960 aux années 1980 géniale. Petit conseil de pro (reçu d’un Imagineer ayant travaillé sur l’attraction) : pour plus de sensations demandez à être installés dans le dernier wagon. Votre parcours fera quelques secondes de plus et vous profiterez d’une légère latence qui rend le ride encore plus rigolo.





Un point Photopass est disponible devant l’attraction, aussi on ne s’est pas privés de poser aux côtés du vaisseau des Nova Corps qui décore la place devant le pavillon xandarien.







Passons maintenant à une attraction… QUI PASSE OU QUI CASSE ! Mission: SPACE, adorée de certains, et redoutée ou haïe par d’autres, est je dois dire l’une de celles qui m’aura le plus marquée du séjour niveau sensation (et pour être honnête j’ai pas détesté). Mission: SPACE, alias la machine à laver, est un simulateur de mouvement centrifuge qui simule un vol en orbite autour de la Terre, ou vers la planète Mars, dans les chaussures d’un astronaute. Elle propose ainsi deux versions, la mission verte – autour de la Terre, et la mission orange, vers Mars. Chaque « navette » (qui constitue le véhicule de l’attraction) peut accueillir jusque quatre passagers dont chacun se voit confier une mission, un peu comme à bord du Millenium Falcon dans l’attraction Smugglers Run à Galaxy’s Edge. La mission consiste simplement à appuyer sur un bouton au moment demandé, mais la force centrifuge – notamment dans la version orange – est si forte, que je vous le garantis ce n’est pas de la tarte. Seuls Romi et moi avons testé Mission: SPACE, en commençant par la mission verte qui est assez soft. La mission orange en revanche est vraiment intense, au point qu’il est recommandé de ne pas fermer les yeux ni de les détourner de l’écran devant soi pour ne pas risquer un malaise ou un petit vomito. J’ai encore le souvenir de la sensation que ma mâchoire était attirée vers le sol par un kettlebell de 16 kilos et que mes avants bras tremblaient tellement pendant la mission orange que j’ai eu grand mal à appuyer sur mon petit bouton. Romi a juré qu’il ne referait jamais cette attraction, mais personnellement je serais capable de me laisser tenter ! L’astronaute Buzz Aldrin lui-même a ridé Mission: SPACE, j’aimerais bien savoir s’il l’a trouvée réaliste !

Sensations à part, je suis fan de l’esthétique extérieure comme intérieure de cette attraction. L’intérieur comporte de nombreux props hérités de films sur des missions spéciales, et la boutique propose des articles entre autres inspirés de la Nasa. Au début des années 2000 on y trouvait également du merch représentant Mickey et ses amis en tenues d’astronautes, laissez-moi vous dire que si cette ligne était encore vendue j’aurais pété mon PEL pour tout acheter.





















L’attraction suivante dans la zone World Discovery est Test Track, un simulateur de test de concept de véhicules Chevrolet. Il s’agit de l’une des attractions les plus populaires d’EPCOT. Le principe de son ride-system est similaire à celui de Radiator Springs Racers à Cars Land en Californie, la partie dark-ride en moins, et en gros est un parcours de vitesse sur piste. L’une des particularités de cette attractions est que sa queue-line propose de designer son propre bolide de course sur des écrans tactiles, comme si on allait les tester par la suite, et c’est vraiment très rigolo. Les amateurs de tuning y prendront un pied certain.















La troisième et dernière zone de l’anciennement nommé « Future World » est World Nature. Comme son nom l’indique, cette zone célèbre la beauté de la nature et nous incite à en prendre soin dans le cadre du développement de notre futur. Au sein de World Nature, le pavillon « The Land » regroupe deux attractions et deux restaurants, ainsi que d’autres activités que nous n’avons pas testées.



Nous avons fait trois attractions dans World Nature. La première est Soarin’, un simulateur de vol que l’on peut retrouver dans des versions légèrement à très différentes en Californie (où nous l’avons découverte la première fois), à Tokyo Disneyland et à Shanghai Disneyland. Elle consiste en un écran courbe haut de plusieurs étages qui diffuse un film simulant un voyage à travers le monde vu depuis une sorte de deltaplane. L’attraction est rendue immersive par le mouvement des sièges suspendus en hauteur, mais aussi par des parfums tels qu’une odeur d’herbe coupée ou d’eau de mer, le tout synchronisé avec l’image. J’ai beaucoup apprécié Soarin’ en Californie comme en Floride, et la referais avec plaisir car elle propose des sensations que nous n’avons pas à DLP. N’ayant pris aucune photo, il faudra vous contenter de celles du site de Walt Disney World !





La seconde attraction que nous avons faite à World Nature est Living with the Land, située elle-aussi dans le pavillon The Land. Living with the Land est une ballade en bateau au milieu de plantations utilisant des techniques innovantes, et dont les produits sont utilisés dans les restaurants du pavillon. Considérée comme désuète et un peu ennuyeuse par de nombreux guests, Living with the Land n’en est pas moins un classique témoignant de la direction originelle d’EPCOT, et est une agréable et reposante promenade qui vous accordera un peu de repos mérité au milieu d’une journée à avaler des kilomètres dans le parc !







La dernière attraction que nous avons ridée dans Future World est The Seas with Nemo & Friends. Ce petit dark ride très mignon mêlant décors réels et média pour nous donner l’impression d’être au fond de l’océan est un vrai plaisir. Le Monde de Nemo est l’un de mes films Pixar favoris aussi j’ai particulièrement apprécié, et le pavillon qui abrite l’attraction et en partage le nom est vraiment magnifique à toute heure.













C’est ainsi que s’achève ce premier billet sur le parc EPCOT, j’espère que vous l’aurez apprécié et que la suite vous plaira également. Merci à tous et à très vite !

Bonjour à tous et bienvenue à EPCOT, le second parc de Walt Disney World Resort qui a ouvert ses portes en 1982.

Je vous y emmène pour la seconde fois, après avoir visité la zone « Future World » dans le précédent billet. C’est à World Showcase que nous allons nous promener aujourd’hui ! World Showcase est composé de pavillons dédiés à onze pays du monde et constitue une sorte d’exposition universelle permanente. Les pays représentés à World Showcase sont les suivants :
– Le Mexique
– La Norvège
– La Chine
– L’Allemagne
– L’Italie
– Les États-Unis
– Le Japon
– Le Maroc
– La France
– Le Royaume-Uni
– Le Canada

Le Maroc et la Norvège ont rejoint les autres pavillons quelques années après l’ouverture, d’autres pays ont été envisagés mais pour différentes raisons (certaines racontées par l’Imagineer Marty Skylar dans son autobiographie Dream It! Do It!) leur implantation n’a pas abouti. Chaque pavillon représente de manière un peu romantique l’architecture et l’art de vivre de son pays et propose des boutiques, restaurants, et pour certains des attractions et du divertissement sous différentes formes. L’une des particularités de World Showcase est qu’il a inspiré la création du Cultural Representative Program, qui consiste à employer dans les différents pavillons des Cast Members issus de leurs pays respectifs. Ce programme avait à l’origine l’ambition de former les futurs diplomates et acteurs de la communication internationale. Si vous visitez EPCOT et le pavillon français vous aurez donc l’occasion d’entendre parler français tout autour de vous, un vrai dépaysement dans le dépaysement !

Dans ce billet je parlerai des pavillons en général, et des attractions que nous avons faites à World Showcase. Un troisième billet dédié à EPCOT se concentrera sur les spectacles, la nourriture et le merch du parc dans son ensemble.

Je repartage le plan d’EPCOT du premier billet afin que vous ayez un aperçu de comment ces différentes zones s’intègrent dans le parc, autour du lac World Showcase Lagoon.





Tous les pavillons ne disposent pas du même nombre d’animation, ce qui fait que nous avons passé plus ou moins de temps dans chacun pendant nos visites du séjour. Nous allons effectuer notre visite de World Showcase dans le sens horaire, tel que nous l’avons découvert lors de notre voyage.

Commençons notre tour du monde avec le pavillon du Mexique.

Le pavillon du Mexique est construit autour d’une reproduction de pyramide de style méso-américain qui abrite un restaurant, une boutique, et l’entrée de l’attraction Gran Fiesta Tour Starring The Three Caballeros. Comme je disais plus haut, tous les pavillons ne sont pas dotés d’une attraction, notre tour du monde a donc commencé en beauté avec ce petit dark ride inspiré de ma bande de piafs préférée. Gran Fiesta Tour est une sorte de it’s a small world mêlé de média qui vous emmène à l’aventure sur le Rio Grande en compagnie de Donald, Jose et Panchito, les héros du film de 1944.







Photo du ride empruntée au site officiel de Walt Disney World :



Nous n’avons pas testé la nourriture du pavillon ni ne nous sommes attardés dans ses boutiques (faute de temps bien sûr !), aussi nous pouvons nous diriger maintenant vers le pavillon suivant :

Le pavillon de la Norvège est depuis quelques années l’un des plus populaires de World Showcase, et vous allez vite comprendre pourquoi ! Il a accueilli en 2016 l’attraction Frozen Ever After, et cette dernière déchaine les passions (ainsi que les temps d’attente). Frozen Ever After est une re-thématisation de l’attraction précédente, le Maelstrom, qui rendait hommage depuis l’ouverture du pavillon aux légendes norvégiennes. Le succès de cette attraction fut tel qu’elle a été dupliquée pour le land World of Frozen qui a ouvert fin 2023 à Hong Kong Disneyland. Il se trouve justement que je reviens tout juste d’Hong Kong Disneyland, aussi j’attendrai de rédiger mon récit de ce voyage-ci pour partager des photos de l’attraction, puisque je l’ai nettement préférée à la version floridienne (un peu de patience, mais si vous êtes pressés vous trouverez votre bonheur sur YouTube).







Le pavillon de la Chine me rappelle des souvenirs tout aussi frais que l’attraction Frozen Ever After d’Hong Kong puisque… j’ai profité de ma visite d’Hong Kong Disneyland pour me rendre à Shanghai Disneyland à seulement trois heures d’avion de là ! Traversons donc sans plus attendre l’arche de type paifang qui sert d’entrée à ce pavillon coloré et richement thématisé !

Le pavillon de la Chine propose comme animation principale un cinéma à 360° ou « Circle-Vision » qui diffuse « Reflexions of China« , un film sur l’histoire de la Chine que… nous n’avons pas vu (onze jours à WDW clairement c’est trop court). Nous avons cependant profité de notre promenade dans ce pavillon pour rencontrer Mulan et goûter des snacks d’inspiration chinoise, mais je vous en parlerai dans le prochain billet.









... mais en attendant je vais vous parler de l’exposition « Inside Shanghai Disneyland » qui est également présentée au pavillon, et expose des concept arts, maquettes, prototypes et du merchandising développés pour le troisième parc Disney asiatique qui a ouvert en 2016. Cette exposition est surprenamment vaste et fournie, et nous avons passé un long moment à admirer ses vitrines ! Après avoir visité Shanghai Disneyland littéralement il y a quelques jours, c’est rigolo de revoir ces photos, et de me replonger dans mes souvenirs tout frais du chateau et des sculptures que j’ai depuis pu admirer en vrai.

















Vous avez remarqué que Duffy et ses amis n’ont pas été oubliés dans l’exposition, et c’est représentatif de leur popularité à Shanghai et Hong Kong Disneyland ! Là-bas, ILS SONT PARTOUT !

Continuons notre petit tour du monde avec le pavillon de l’Allemagne ! Si ce dernier devait originellement bénéfier d’un boat ride emmenant les visiteurs sur une petite croisière sur les principaux fleuves allemands, celui-ci n’a finalement jamais été construit. La thématisation de ce pavillon n’en est pas moins riche et regorge de détails. Ce pavillon fait aussi partie de ceux où j’ai trouvé que le merchandising était le plus remarquable, mais vous l’avez compris, il faudra attendre le prochain billet pour en découvrir plus !







C’est une honte absolue mais je n’ai pris aucune photo du pavillon de l’Italie. Une honte car l’Italie est mon pays de coeur, je m’y rends deux à trois fois par an, et sa culture est l’une de mes favorites au monde. Mais l’offre proposée par le pavillon étant assez light, on ne s’y est tout simplement pas attardés. Romi, Zizzi et moi y avons bu quelques Limoncello Spritzers avec l’un de mes collègues américains, c’est à peu près tout ce que nous y avons fait. Mais lors de notre prochaine visite c’est sur, je l’explorerai plus en détails ! J’ai emprunté des photos à deux sites officiels Disney pour que vous ayez au moins une idée de ce à quoi il ressemble !







Lors de notre visite du pavillon américain, nous avons assisté au célèbre Disney’s Candlelight Processional, une chorale de Noël traditionnelle des parcs Disney américains. C’est Walt lui-même qui a crée cet événement pour le parc Disneyland en 1960, et depuis il continue d’avoir lieu chaque année, à Disneyland et EPCOT (après un passage par Magic Kingdom). Ce qui fait la spécificité du Candelight est pour certains l’émotion procurée par les choristes chantant sur la nativité, pour d’autres ce sont les PRESTIGIEUX HÔTES qui se succèdent aux représentations année après année. En effet, chaque performance est présentée par une personnalité connue. En 2022 lorsque nous avons effectué notre voyage, Simu Liu, Josh Gad, Angela Bassett, et Whoopi Goldberg faisaient partie du line-up. Mais le soir où nous y avons assisté, c’est Daymond John qui se tenait debout derrière le podium (très connu certainement, mais inconnu au bataillon pour nous, oops).



Sur cette note, ikimashou, dirigeons-nous vers le pavillon japonais !

Le Japon a une place particulière dans ma vie puisque je suis passionnée par sa culture et sa langue depuis… plus de vingt ans. J’ai même fait une année de japonais à l’université (c’était l’époque où on s’inscrivait à moitié à la fac pour avoir le statut étudiant en faisant des petits jobs à côté), et ai fait des centaines de lignes de kanjis. Mais par une succession de non-événements (ou d’événements selon les cas), je n’y ai encore JAMAIS mis les pieds (il va sans dire que je projette d’y aller dès que finances et emploi du temps le permettront). Alors visiter le pavillon du Japon fut un bonheur autant qu’une frustration. Toujours est-il que nous avons passé des HEURES dans son espace d’exposition et sa boutique, assez captivants pour vous y absorber un certain moment.



Bijutsu-kan est une sorte de galerie qui propose des expositions de longue-durée sur différents thèmes de la culture japonaise. Pendant notre visite le thème était Kawaii Life, et je crois que c’est toujours le cas. Vous allez me dire, « heureusement que Duffy and friends vont de pair avec le thème, car ils ne sont pas japonais ». Et bien, quand j’arriverai aux billets dédiés à Hong Kong et Shanghai Disneyland, on reparlera de leurs origines, mais il est vrai qu’ils sont très populaires à Tokyo Disney Resort également.









L’autre activité qui a aspiré une bonne partie de notre temps au pavillon du Japon est le Mitsukoshi Department Store, une ÉNORME boutique qui propose des produits japonais répartis selon plusieurs thématiques, des souvenirs traditionnels au merchandising Nintendo, on a certainement trainé nos guêtres deux heures là-dedans à tout admirer (et on s’est délestés de quelques dollars au passage). Mais vous connaissez le principe, les photos de la boutique ça sera… pour le prochain billet hihi.



Flavie et moi avons diné dans le populaire restaurant de teppan-yaki, le Teppan Edo dans le pavillon, idem on en parle la prochaine fois !

Encore un pavillon rapidement traversé, et où je n’ai pris aucune photo (promis ce n’est pas le cas des trois derniers !), je remercie le site de WDW pour celle-ci ! Le pavillon du Maroc ça sera pour une prochaine visite, on marche vite on marche vite, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise !



ENFIN. NOUS Y SOMMES. À LA MAISON. Enfin presque. Qu’il est charmant et rigolo le pavillon de la France. J’imagine que tous les guests de Walt Disney World dont le pays a son pavillon à EPCOT doivent ressentir la même chose que nous lorsqu’on a découvert celui-ci. Un mélange d’étonnement, d’amusement (oui forcément on s’est gaussés et on a fait les andouilles), de critique mais aussi d’attendrissement ! On n’a pas osé gouter les croissants proposés à la Boulangerie Pâtisserie des Halles, mais on y a acheté de vrais cafés américains ! Il faut cependant noter que le restaurant du pavillon appelé Les Chefs de France qui a ouvert dès l’inauguration du parc, a été conçu avec les chefs français Roger Vergé, Gaston Lenôtre, et Paul Bocuse. C’est d’ailleurs le fils de Paul Bocuse qui dirige le restaurant depuis 1996. Il faut admettre que c’est assez classe d’avoir mis un restaurant Bocuse dans le pavillon de la France à EPCOT. Buget serré oblige, nous n’y avons pas mangé, on a du se contenter de fac-similés de macarons offerts par nos amies américaines rencontrées à bord du Wish, Marita et Alison.







Je vous parlais du Cultural Representative Program, or pendant notre visite du pavillon de la France nous avons pu croiser Imane et Mathilde, deux Cast Member de Disneyland Paris qui faisaient toutes les deux le programme à ce moment-là.

Nous avons enfin participé à l’attraction Beauty and the Beast Sing-Along, une projection style karaoké du film d’animation de La Belle et la Bête condensé, et en bons chauvins (non pas vraiment) on a évidemment chanté en français par dessus la version originale sur laquelle s’époumonaient les autres guests.

Pour quatre Parigots d’adoption (on doit bien cumuler une quarantaine d’années de vie à Paris à nous quatre) c’était particulièrement savoureux de visiter ce pavillon, on aimerait que le vrai Paris soit aussi propre et kitsch (mais on préfère garder les vrais croissants, désolée).



L’avant-dernier pavillon de World Showcase quand on le visite dans ce sens est celui de la PERFIDE ALBION. Euh pardon, du Royaume-Uni. Vraiment un adorable pavillon, avec des tas de chouettes recoins à explorer, dont une traditionnelle cabine téléphonique ! Nous y avons essentiellement visité les boutiques, mais nous avons été sous le charme pendant notre passage. J’aimerais tester son offre food lors d’un prochain séjour.











Le dernier pavillon est celui du Canada !! Dans ce pavillon également nous avons essentiellement visité la boutique et nous nous sommes promenés. Je regrette de n’avoir pas testé un des snacks proposés. Comme le pavillon de la Chine, son attraction principale est un Circle-Vision 360°, appelé Canada: Far and Wide. À tester la prochaine fois sans hésiter. Ce pavillon est très beau et nous a rappelé à Zizzi et moi notre très rapide passage à Vancouver avant notre croisière Disney en Alaska, avec ses totems et son « trading post » inspiré des traditionnelles maisons claniques. Je vous montrerai dans le prochain billet le merch que je n’ai pas ramené et ai immédiatement regretté de n’avoir pas acheté une fois rentrés en France.









Je dois reconnaitre qu’en rédigeant ce billet j’ai eu l’impression que nous avions seulement exploré une infime partie de World Showcase et de ses pavillons, et pourtant EPCOT est probablement le parc de Walt Disney World où nous avons passé le plus de temps. Si vous n’avez pas (encore) visité WDW, cela vous convaincra d’à quel point ses parcs sont GIGANTESQUES.

J’aimerais visiter une fois EPCOT pendant le célèbre International Food & Wine Festival, pendant lequel tous les pavillons proposent des plats de leur pays en format snacking, pour découvrir ou retrouver des plats emblématiques ou fusion. Cet événement annuel a d’ailleurs inspiré celui des Chalets Gourmands à Disneyland Paris.

Cette conclusion sera une transition parfaite pour la sortie du prochain billet, aussi je vous remercie d’avoir lu et vous dit à très vite !