Annonce des résultats de The Walt Disney Company

Je ne suis pas sûr d'être au bon endroit pour poster cette info mais je me lance
Voici un article de La Tribune datant du 31 juillet dernier sur les résultats financiers de la WD company (ça fait rêver !) :

Les chiffres du groupe de loisirs et de médias Walt Disney ont dépassé les attentes au troisième trimestre de son exercice 2007-2008. Les bons résultats de son réseau de chaîne télévisé et un effet de change favorable ont compensé le recul des bénéfices des studios de cinéma.
Avec un bénéfice net en hausse de 8,9% à 1,28 milliard de dollars (821
millions d'euros), soit un résultat pas action, hors exceptionnel, de 62 cents, Walt Disney a dépassé les attentes des analystes,
qui tablaient sur un bénéfice de 61 cents par action. Le chiffre d'affaires du groupe américain a connu une croissance plus modeste (+2%) et se monte à 9,24 milliards de dollars (5,96 milliards d'euros), contre 9,14 attendus.
Les chaînes de télévisions ont tiré les performances vers le haut. Leurs
recettes ont augmenté de 8% sur la période à 4,12 milliards de dollars. Et les câblées, la sportive ESPN en tête, font encore mieux : elles affichent un
chiffre d'affaires en hausse de 12%.
Du côté des parcs de loisirs, le chiffre d'affaires a progressé de 5%,
notamment grâce à la bonne performance d'Eurodisney à Paris, gonflée par
la baisse du dollar par rapport à l'euro.
Mais la déception vient des studios de cinéma. L'an dernier à la même époque, leurs recettes avaient été dopées par le succès du troisième volet de "Pirates des Caraïbes", mais lors des trois derniers mois, la suite des "Chroniques de Narnia" n'a pas connu le même engouement.
Le chiffre d'affaires de l'entité a donc reculé de 22% à 1,4 milliard de
dollars. La chute est encore plus dure du côté du bénéfice opérationnel, presque divisé par deux du fait des coûts de production de "WALL·E", le nouveau film d'animation de son partenaire Pixar qui vient de sortir sur les écrans.

Merci pour ces chiffres calvin7, il me semble que tu trouves bien dans la bonne section. Les chiffres du cinéma ne sont pas étonnants, Disney n'a pas eu de gros succès ces derniers mois (hormis Ratatouille, heureusement que Pixar est là pour les aider!), Bienvenue chez les Robinsons a fait un bide énorme, Il Etait une Fois... a plutôt bien marché mais pas assez quant aux autres productions... Ben c'était assez pauvre : Copains des Neiges, no comment, College Road Trip n'est sortie qu'aux USA (et c'est tant mieux d'ailleurs ) et Hannah Montana et Miley Cirus - Le Film Concert Evènement en 3D n'a rameuté que quelques adolescentes boutonneuses. Pas de quoi être fier donc...

Je pense que Wall E va faire remonter la courbe des bénéfices...

Bonjour,

Je viens de prendre connaissance du rapport du 2eme trimestre 2008 de la TWDC.

J'aurai une question :

Quel est la différence entre les intitulés : Revenues et Segment operating income



Autre question :

N'y aurait-il pas un tableau avec le total général (bénéfice) en fonction des actifs/ passifs comme le fait EDSCA ? (car le paragraphe revenu concerne le chiffre d'affaire des différents secteurs)

Accès au PDF

Merci d'avance

Time Warner n'est plus la première entreprise de média au monde. C'est Disney dorénavant !

Pas mal pour le petit dernier des grands studios de cinéma créé en 1923

Source : Bloomberg

Je n'ai qu'un mot à dire : Felicitations.
Franchement je trouve que Disney a la place qu'il merite depuis bien longtemps.

Le groupe américain Walt Disney a publié ce mardi 5 mai un bénéfice net
en chute de 46% pour le deuxième trimestre de son exercice 2008/09
(janvier-mars) à 613 millions de dollars, faisant toutefois un peu
mieux que prévu par les analystes.

"Nous avons eu un trimestre difficile, dû à la faiblesse de l'économie et à d'autres facteurs", a commenté le directeur général Robert Iger, cité dans un communiqué, sans avancer de prévisions pour la suite de l'exercice.

Le résultat net a souffert de coûts de restructuration à hauteur de 102
millions de dollars, de coûts de renouvellement de licences radio pour
108 millions et d'un investissement de 46 millions de dollars dans une
société de médias indienne.

En excluant ces facteurs exceptionnels, le bénéfice courant par action
a dépassé les attentes à 43 cents, alors que les analystes n'en
attendaient que 40. Le titre Disney gagnait du coup 3,11% à 23,87
dollars dans les échanges électroniques après la clôture de la Bourse
de New York.

Toutes les activités du groupe ont pourtant accusé une chute de leur
bénéfice opérationnel, atteignant 97% pour le cinéma et les DVD, tandis
que l'internet confirmait ses pertes. Pour ce qui est du chiffre
d'affaires, qui a globalement reculé de 7% à 8 milliards de dollars,
seule la plus grosse activité, celle des chaînes de télévision, a
réussi à voir ses recettes progresser (+2%, à 3,62 milliards de
dollars): le succès des chaînes câblées a plus que compensé les
difficultés des chaînes traditionnelles, handicapées par la chute des
recettes publicitaires et la hausse des coûts de production. Les ventes
de produits dérivés ont également progressé de 9% à 496 millions de
dollars.

En revanche, le chiffre d'affaires des films et DVD a chuté de 21% (à
1,4 milliard de dollars), tandis que les croisières et les parcs de
loisirs refluaient de 12% (à 2,4 milliards de dollars), la clientèle
limitant ses dépenses durant les vacances et sorties.

Source : http://www.tuner.be/actu.asp?id=142315&content=home

En cause, des revenus en baisse dans les parcs à thèmes malgré une fréquentation stable, et des revenus pub/cinéma/dvd en baisse. Bob Iger a également annoncé que le 4ème trimestre serait difficile, les réservations dans les Resort étant à la traîne par rapport à l'an dernier.


Disney profit falls 26% on theme park, advertising, DVD slumps


Though discounts again helped sustain attendance, Disney says future room reservations at theme parks are running behind last year's pace



Walt Disney World's attendance could be headed for a drop after months of staying afloat despite the deep global recession.

Executives at the Walt Disney Co., reporting financial results for the company's fiscal third quarter on Thursday, said fourth-quarter room reservations at their U.S. theme parks are running 7 percent behind last year's pace during the comparable time period.

"It's a challenging marketplace," Disney Co. Chief Executive Officer Bob Iger said during a conference call. "And we do expect that challenge to continue."

The comments came as Burbank, Calif.-based Disney reported results that showed the recession continuing to exact a toll across the company's vast media-and-entertainment portfolio.

Profit fell 26 percent during the three months that ended June 27, dropping from nearly $1.3 billion a year ago to $954 million. Revenue sank 7 percent for the quarter to $8.6 billion.

Excluding one-time charges, Disney earned 52 cents a share, narrowly topping Wall Street estimates.

Television advertising, DVD sales and merchandise royalties all suffered. And the theme parks continued to slump.

Operating profit at Walt Disney Parks and Resorts fell 19 percent to $521 million, while total revenue was down 9 percent to $2.8 billion, despite favorable timing of the busy Easter holiday.

Disney blamed the division's struggles in part on lower guest spending at Disney World, where widespread discounts eroded average hotel rates and average ticket prices. Combined per-capita guest spending at Disney World and Disneyland fell 6 percent during the quarter compared with a year earlier.

But the discounts again helped Disney sustain attendance levels despite the tough economic environment: Combined attendance at the company's U.S. parks rose 3 percent from a year ago, with Disney World flat and Disneyland up 10 percent.

Sponsorship income also fell at Disney World, though a spokesman attributed the decline to difficult comparisons from a year ago, when the company benefited from fees paid as part of a contract renewal with JP Morgan Chase for Disney-branded Visa credit cards.

Iger said Disney has commissioned research demonstrating the advantages of using promotions to stimulate park attendance. Among them: A "spike" in consumer's price-to-value perception of Disney that could encourage return visits.

Further, Iger said, the research showed that discounts have lured travelers who were not otherwise planning Disney vacations. Some stock analysts had expressed concern that the promotions were simply cannibalizing future theme-park business by persuading travelers who were planning to take trips later this year or in 2010 to travel immediately instead.

"We're attracting people today that would never have come before," Iger said.

Still, maintaining attendance levels in the months ahead will likely be challenging.

Although company executives said fourth-quarter room reservations are "slightly ahead" of last year's pace, that is because this year's fourth quarter includes an extra week, thanks to a quirk in Disney's fiscal-year calendar. Without that extra week included, combined reservations at Disney World and Disneyland are lagging last year's pace by 7 percent.

The company did not rule out extending its current discounts or introducing new offers. Consumers, Iger said, are "still out there looking for value. And that's a fact that we obviously can't ignore."

Michael Corty, an analyst who follows Disney for the stock-research firm Morningstar Inc., said the comments indicate that Disney management does not see an imminent recovery for its theme parks.

"I think they're really being cognizant of the fact that the economy is still soft, and I think they're staying flexible," Corty said. "I would assume they're taking things week-to-week at this point."

Beyond parks and resorts, Disney also reported continuing struggles for its movie studio, which swung to a $12 million second-quarter loss from a $97 million operating profit a year ago. Although the Pixar film Up was a hit during the quarter, DVD sales fell as titles such as Bedtime Stories and Confession of a Shopaholic fell far short of last year's National Treasure 2: Book of Secrets and Enchanted.

Operating profit at Disney's media networks, which include ABC television and ESPN cable, fell 13 percent because of lower advertising sales and a shift in the timing of revenue recognition from sports programming. Operating profit fell 37 percent in Disney's consumer-products division, though its new interactive-media unit reported a narrower loss compared with a year ago.

http://www.orlandosentinel.com/business/orl-bk-disney-earnings-073009,0,2353698.story

LOS ANGELES (Reuters) - Walt Disney fait état de résultats trimestriels en nette hausse, marqués par une amélioration de la situation dans la publicité et par la bonne tenue des activités dans le câble.

En après-Bourse, Disney gagnait 3,3% pour dépasser 30 dollars après avoir fini en repli de 0,82% à 29,05 dollars.

Le bénéfice net du quatrième trimestre fiscal clos le 3 octobre s'est établi à 895 millions de dollars ou 47 cents par action, contre 760 millions ou 40 cents un an plus tôt.

Le chiffre d'affaires a crû de 4,5% à 9,87 milliard de dollars. Le consensus établi par Thomson Reuters I/B/E/S faisait ressortir une attente de 9,28 milliards.

Hors éléments exceptionnels, Disney affiche un profit par action de 46 cents, contre 44 cents un an plus tôt et contre 41 cents attendus par le marché.

"Ils ont battu les prévisions, grâce à de très bons résultats dans le câble et un résultat supérieur aux attentes dans les parcs", résume David Bank, analyste chez RBC Capital Markets.

Le profit d'exploitation de la branche réseaux câblés a augmenté de 19%, en raison principalement de la hausse du chiffre d'affaires d'EPSN et de la croissance de la chaîne internationale Disney Channels.

Dans la branche parcs à thèmes, le bénéfice d'exploitation a reculé de 17%, soit moins que ce qu'attendait le marché, compte tenu de la morosité de la consommation.

Deux hauts dirigeants de Walt Disney, le directeur financier Tom Staggs et le président des parcs à thème Jay Rasulo vont échanger leurs postes fin 2009. (plus de détails )

Un article du Figaro publié aujourd'hui :

Le bénéfice net du groupe de médias et de loisirs américain a bondi de 55 % au deuxième trimestre de son exercice.


Walt Disney Company sauvé par le monde merveilleux d'Alice. Le groupe médias de Burbank a annoncé mardi un bénéfice en hausse de 55 % pour le second trimestre de son exercice décalé, à 953 millions de dollars. Sur la même période, le chiffre d'affaires dépasse les attentes, progressant de 6 %, à 8,580 milliards de dollars, contre 8,39 milliards attendus par le marché.
Incontestablement, c'est le film de Tim Burton, Alice au pays des merveilles, librement inspiré du chef-d'œuvre de Lewis Carroll, qui aura propulsé Disney ce trimestre au firmament des résultats financiers ; la nouvelle production 3D du studio a engrangé au box-office mondial pas moins de 962 millions de dollars. De quoi signer là le second plus grand succès de toute l'histoire de Disney après le deuxième épisode de Pirates des Caraïbes.
Cette performance a fait bondir le bénéfice opérationnel des studios de cinéma, ce dernier a été multiplié par 17, pour atteindre 223 millions de dollars au cours des trois mois. Et le groupe dirigé par Bob Iger ne devrait pas s'arrêter là, puisque les prochaines sorties de Prince of Persia et Toy Story 3 sont très attendues. «Plus que jamais, a expliqué Bob Iger, nous comptons mettre l'accent sur les films à franchise et produire les suites de nos films à succès afin d'augmenter nos profits.» Et d'estimer que «les suites de Cars, de Pirates des Caraïbes, et de Monsters Inc. offrent des débouchés extraordinaires pour les deux années à venir». Viendront s'y ajouter les bénéfices du rachat de Marvel pour 4 milliards de dollars, l'été dernier.
Pour l'instant, la firme de Mickey n'a pas pleinement profité de son investissement puisque c'est Paramount, encore titulaire de la licence, qui engrange la majorité des 334 millions de dollars réalisés au cours de ces deux dernières semaines au box-office mondial. Mais Bob Iger a déjà fait savoir que son groupe entendait rentabiliser l'acquisition de Marvel Entertainment et de ses 5 000 personnages de comics. Alors que les premiers personnages sont déjà présents dans ses parcs d'attraction, et que le groupe espère tirer à court terme les bénéfices des premières ventes on line des produits dérivés de Marvel, Disney développerait aujourd'hui deux séries télévisées à destination des préadolescents.


Les parcs de loisirs en baisse



Mais le ciel n'est pas complètement dégagé au pays merveilleux de Disney. Les parcs de loisirs ont, en effet, connu une évolution négative pour ce second trimestre, le bénéfice d'exploitation reculant de 12 % à 150 millions de dollars, alors que cette activité est la deuxième plus importante source de chiffre d'affaires du groupe (2,449 milliards de dollars, + 2 % sur un an), derrière les chaînes de télévision, dont le bénéfice est resté stable à 1,306 milliard pour un chiffre d'affaires de 3,8 milliards de dollars. Voulant rassurer le marché, Disney affirme que les réservations pour l'été l'autorisent à être optimiste. En revanche, pénalisé par la baisse des audiences en prime time de son réseau de télévision ABC, le groupe ne profite pas de la légère reprise du marché publicitaire américain.



Source : http://www.lefigaro.fr/societes/2010/05/12/04015-20100512ARTFIG00705--alice-au-pays-des-merveilles-tire-les-resultats-de-disney.php

Citation :

«Plus que jamais, a expliqué Bob Iger, nous comptons mettre l'accent sur les films à franchise et produire les suites de nos films à succès afin d'augmenter nos profits.»

Mouais.
J'espère que la qualité sera toujours au rendez-vous, et que les erreurs du passé ne seront pas reproduites. Je pense aux direct-to-video, et à plein d'autres choses pas forcément en rapport avec les franchises et les suites, comme l'arrêt des Treasures, qui fait je me méfie de cette phrase.

Ils misent sur le porte-feuille, et non plus sur la qualité.
C'est comme ça que j'interprète cette phrase...

Donc, les raretés de Disney = Placard
Et les Gros films de bourrins = Bénéfices.

Hum... (soupir)...

Je ne suis pas sûr qu'on en arrive là. Le Alice de Tim Burton était quand même un coup de poker, Prince of Persia reste un projet original. Les futures sorties Disney et Pixar comportent pas mal d'inédits, et puis pour faire des suites de film à succès, il faut toujours créer un premier épisode.

Enfin, suite ne veut pas forcément dire "mauvaise qualité", comme l'ont prouvé Toy Story 2, la trilogie POTC etc.

Et certes Disney mise sur la consommation de masse, mais de l'autre côté joue à fond la carte de la nostalgie chez ceux que ça intéresse, avec D23. Je trouve que l'équilibre est plutôt bon!

Grandmath a écrit:

Je ne suis pas sûr qu'on en arrive là. Le Alice de Tim Burton était quand même un coup de poker, Prince of Persia reste un projet original. Les futures sorties Disney et Pixar comportent pas mal d'inédits, et puis pour faire des suites de film à succès, il faut toujours créer un premier épisode.

Enfin, suite ne veut pas forcément dire "mauvaise qualité", comme l'ont prouvé Toy Story 2, la trilogie POTC etc.

Et certes Disney mise sur la consommation de masse, mais de l'autre côté joue à fond la carte de la nostalgie chez ceux que ça intéresse, avec D23. Je trouve que l'équilibre est plutôt bon!

Ouais. Vu comme ça, je suis ton avis.
Mais je reste quand même sceptique quant au sort réservé aux fans dans ce type de politique.

Grandmath a écrit:

Prince of Persia reste un projet original

Un copier-coller de POTC version Perse et sans pirates, je n'appellle pas cela un projet original.

Toy Story 3, jackpot pour Disney


Les bénéfices des héritiers de Mickey ont grimpé de 40 %


LOS ANGELES C’est avec les vieux contes de fées qu’on fait les meilleures recettes. Et avec les jouets usagés qu’on engrange le plus de dollars. Deux maximes qui ont permis à Disney de défier la crise mondiale et de réaliser des bénéfices sinon record, au moins tout à fait inattendus.

Les dirigeants du groupe viennent, en effet, d’annoncer une hausse spectaculaire de leurs bénéfices (plus 40 % !) au cours du troisième trimestre. Ils s’élèvent à 1,331 milliard de dollars contre 954 millions de dollars un an plus tôt. Pour un chiffre d’affaires de 10,008 milliards de dollars… rien que pour le trimestre. Un succès inespéré.

Qui s’explique notamment par le triomphe mondial de Toy Story 3 . Alors que les deux premières aventures de Buzz et Woody avaient rapporté, successivement, 358,8 et 485,7 millions de dollars, la troisième a explosé les plafonds et offert des recettes inespérées de 833,9 millions de dollars dans le monde entier. Comme Iron Man 2 ou Alice au pays des merveilles ont eux aussi fait un carton, les studios cinématographiques ont rapporté 30 % de recettes supplémentaires, pour se fixer à 1,6 milliard de dollars au cours du dernier trimestre.

Mais Disney ne se limite pas aux pellicules destinées au cinéma. Loin de là. Les produits dérivés ont rapporté à eux seuls 606 millions de dollars (+ 19 % par rapport à l’an dernier) et les jeux vidéo 197 millions de dollars (+ 74 %). Les parcs d’attractions ont eux généré 2,8 milliards de dollars (+ 3 %), tandis que la division télévision a rapporté 4,7 milliards de dollars (+ 19 %) grâce, principalement, à la chaîne sportive ESPN, aux programmes de Disney Channel, à la saison finale de la série Lost et au marché publicitaire.

À l’avenir, le directeur général Bob Iger compte sur l’iPad pour faire encore mieux : “Nous aimons ce produit car il nous donne une possibilité de monétiser d’une autre manière des programmes. ” On ne devrait peut-être plus parler des héritiers de Mickey mais plutôt de ceux de Picsou…

P.L.

© La Dernière Heure 2010 (13.8.2010)

Par latribune.fr : le 07 février 2012

Le groupe américains de médias a dégagé un bénéfice net de 1,5 milliards de dollars au titre de son premier trimestre. Pourtant, ses recettes au cinéma ont chuté.



Profits en hausse pour Walt Disney. Le groupe américain de médias et de parc de loisirs a publié mardi soir un bénéfice net de 1,46 milliard de dollars au titre du premier trimestre de son exercice décalé. Cela représente une progression de 12% sur un an. Par action, ce bénéfice ressort à 80 cents, soit 8 cents de mieux que les attentes des analystes.

En revanche, le chiffre d'affaires réalisé par le groupe est légèrement décevant. Il n'a progressé que de 1% sur la période, à 10,8 milliards, contre 11,2 milliards escomptés. Walt Disney a notamment souffert de la chute de 16% de ses recettes réalisées au cinéma. Les chaînes de télévision affichent, elles, une hausse de 3% de leurs revenus.

Dans les parcs d'attractions, les recettes ont bondi de 10%, portées par une hausse du trafic et par une progression du panier moyen de dépenses des touristes. Le chiffre d'affaires réalisé par la vente de produits dérivés a connu une hausse de 3% sur le trimestre. Les produits numériques et les jeux vidéo ont enregistré une chute de 20% de leurs revenus.

Les résultats de la Walt Disney Company pour le Quatrième trimestre et pour l'année fiscale 2013 ont étés annoncés hier par Bob Iger et Jay Rasulo.

Voici le rapport complet (15 pages) publié par TWDC : http://thewaltdisneycompany.com/sites/default/files/press-releases/pdfs/q4-fy13-earnings.pdf

Il est possible de réécouter, pendant quelques jours, la conférence téléphonique dans son entièreté (59 minutes) : http://edge.media-server.com/m/p/s5yu2w4k/lan/en

My Magic+, Avatar land, Hong Kong Disney Resort, Shanghai Disney Resort, Disney Store, Disney Cruise Line, ABC, ESPN, Disney Channel, Netflix, Star Wars, Pixar, Marvel et même Harry Potter y sont abordés durant la présentation des résultats ou la session Q&A qui a suivi.

The Walt Disney Company vient d'annoncer, via un communiqué de presse, l'arrivée de Jack Dorsey (co-fondateur de Twitter) au conseil d'administration de TWDC :



Jack Dorsey Elected to The Walt Disney Company Board of Directors

BURBANK, Calif.- The Walt Disney Company Board of Directors has elected Jack Dorsey, chairman of Twitter Inc. and CEO of Square Inc., as an independent director, effective immediately.

“Jack Dorsey is a talented entrepreneur who has helped create groundbreaking new businesses in the social media and commerce spaces,” said Robert A. Iger, Disney’s chairman and chief executive officer. “The perspective he brings to Disney and its Board is extremely valuable, given our strategic priorities, which include utilizing the latest technologies and platforms to reach more people and to enhance the relationship we have with our customers.”

“I am honored and humbled to join the Disney Board,” Mr. Dorsey said. “Disney is a timeless company, one we all grow up learning from and admiring.”

Mr. Dorsey is the co-founder of Twitter, the social networking and microblogging service that allows users to create and share ideas and information instantly via messages of 140 characters or less. Mr. Dorsey posted the world’s first Tweet--“just setting up my twttr”—on March 21, 2006, and since then Twitter has grown to include more than 230 million monthly active users worldwide who create about 500 million Tweets every day. Prior to becoming Twitter’s chairman in 2008, Mr. Dorsey was president and chief executive officer.

Mr. Dorsey is also chief executive officer of Square, a commerce company he co-founded in 2009. Headquartered in San Francisco, Square provides innovative products and services for local businesses including a mobile credit card reader, an iPad point-of-sale system, an online marketplace, and a wallet application that allows consumers to make payments using their mobile devices.

Mr. Dorsey attended New York University and Missouri University of Science and Technology.

Mr. Dorsey will stand for election along with the company’s other directors at the annual meeting on March 18, 2014. Pursuant to the tenure policy in the company’s corporate governance guidelines that limits board service to 15 years, Judith L. Estrin will not be standing for re-election.

“Judy has served Disney shareholders incredibly well during her 15 years of service, and we will miss having her on the Board,” Mr. Iger said. “Her insight and advice on technological innovation and our business, as well as her passion for excellence, have been invaluable to me.” Ms. Estrin, who has co-founded eight technology companies and served as chief technology officer and senior vice president of Cisco Systems Inc., is chief executive officer of JLABS, LLC, a privately held company focused on furthering innovation in business, government and nonprofit organizations.

The Walt Disney Company - 23 décembre 2013.  

Intéressant, merci !

Voici désormais un topic unique pour parler des résultats financiers de la Walt Disney Company et autres news sur la place de l'entreprise dans le monde.

D'ailleurs, voici les résultats du second semestre 2016:
"Il y a quelques jours, The Walt Disney Company a dévoilé les résultats de son deuxième trimestre sur l’exercice fiscal 2016. Malgré une hausse de 2 % des bénéfices nets (2,1 milliards de dollars) et des chiffres relativement stables, le bilan s’avère néanmoins en-dessous des attentes du groupe. Par exemple, le bénéfice net par action est de 1,36 milliards (il a grimpé de 11 %) alors que le groupe prévoyait 1,40 milliards.

Les ventes globales représentent, quant à elles, 13 milliards de dollars alors que l’attente était de 13,2 milliards de dollars. Ces résultats ont eu malgré tout des conséquences plutôt négatives, puisque l’action Disney a chuté immédiatement de 5,6 % suite à la publication de ces chiffres."

La suite ici: http://radiodisneyclub.fr/walt-disney-company-bilan-fiscal-deuxieme-trimestre-2016/
C'est le seul article disponible en français.
Malgré toutes les bonnes performances dans les différents secteurs, ESPN continue sa chute...

The Walt Disney Company a annoncé, via un communiqué de presse, l'arrivée de Michael Froman  (vice chairman and president, Strategic Growth Mastercard) au conseil d'administration de The Walt Disney Company :

Citation :

Disney Board Elects Mastercard’s Michael Froman as Newest Director

The Walt Disney Company Board of Directors today announced the election of a new director: Ambassador Michael Froman, Vice Chairman and President, Strategic Growth at Mastercard. The election of Mr. Froman to the Board is effective immediately.

“Given his broad experience and extraordinary career spanning both the public and private sectors, Mike brings a unique perspective that will be extremely valuable as we continue to build the future of Disney,” said Robert A. Iger, Chairman and Chief Executive Officer, The Walt Disney Company.  “In particular, his keen insights into finance, international trade, and government partnerships make him a great fit for our Board during this dynamic era of innovation and global growth.”

Mr. Froman said: “The Walt Disney Company is an iconic brand that has the power to inspire generation after generation. I am honored to join the Board and share my experiences and insights to help this great company explore new opportunities around the world.”

Mr. Froman was named Vice Chairman and President, Strategic Growth at Mastercard in April 2018. In this role, he is responsible for building and expanding strategic partnerships and advancing the company’s efforts to partner with governments, NGOs and other institutions to address major societal and economic issues. Mr. Froman also oversees Mastercard’s Center for Inclusive Growth, which works to ensure economic growth opportunities are extended to all segments of society.

Before joining Mastercard, Mr. Froman served as US Trade Representative from 2013 to 2017, negotiating major international trade partnerships and investment opportunities on behalf of the United States. Prior to taking that post, Mr. Froman served as assistant to the President and deputy national security advisor for international economic affairs under President Barack Obama. Mr. Froman’s previous private sector experience includes several leadership positions at Citigroup, including CEO of CitiInsurance and COO of Citi’s $50 billion alternative investments business. Earlier in his career, Mr. Froman served in the Clinton administration, holding positions both at the US Department of Treasury and the White House.

He currently serves as a Distinguished Fellow of the Council on Foreign Relations.

The Walt Disney Company - 13 septembre 2018.  

Les derniers résultats de TWDC sont tombés ce soir :
https://thewaltdisneycompany.com/app/uploads/2021/08/q3-fy21-earnings.pdf

Et pour écouter l'investor call dans lequel Bob Chapek révèle quelques informations intéressantes :
https://edge.media-server.com/mmc/p/qqdyu88v

Je poste ça la . Comme quoi la Disney Cie se porte pas trop mal .

L'empire du divertissement a aussi ravi les investisseurs avec 17 milliards de dollars de chiffre d'affaires et 923 millions de profits d'avril à juin, au lieu de la perte nette de 4,7 milliards de dollars à la même période l'année dernière, quand la crise sanitaire heurtait de plein fouet ses parcs d'attraction et croisières.

Au troisième trimestre de son exercice décalé, sa division "parcs, expériences et produits dérives" est enfin revenue dans le vert depuis le début de la pandémie, notamment grâce à la levée partielle des restrictions dans les parcs d'attraction en Floride et en Californie, même s'ils fonctionnent toujours avec des capacités limitées.

L'activité a engrangé 4,3 milliards de dollars de revenus, contre 1,1 milliard il y a un an. La propagation du variant Delta affecte néanmoins Disney, qui a ré-imposé fin juillet le masque à ses visiteurs dans les endroits fermés de ses parcs d'attraction.

La Walt Disney Company a annoncé sa prochaine réunion des résultats financiers trimestriels pour le premier trimestre fiscal de 2022. Elle aura lieu à le mercredi 9 février 2022.

Disney publiera également les résultats financiers trimestriels après la clôture des marchés réguliers le 9 février 2022.

L'événement sera diffusé sous forme de webdiffusion audio en direct sur www.disney.com/investors