Florida Road Trip Report > 16 février - 5 mars 2015 [WDW en solo, KSC, Everglades, Keys, Dry Tortugas, Miami, USO]

J'ai hâte de découvrir ton TR ! Petite question, c'est pas trop dur de partir seul, tu n'as pas trouvé le temps trop long ?

Le coup de l'émission m'a beaucoup fait rire ! Je travaille de nuit à l'hôpital et beaucoup de patient mettent cette chaine la nuit, parait que c'est plus efficace que les somnifères

A Disney World, l'environnement dans lequel j'étais était totalement nouveau, peu importe où je tournais la tête tout était à découvrir alors je n'ai pas trouvé le temps long. Puis je réalisais un rêve assez personnel donc cela ne m'a pas gêné, le cocon dans lequel nous plonge Disney aidant sans doute fortement.

J'aurai eu beaucoup plus de difficultés à faire la partie hors "Disney" seul car elle comportait plus de difficultés dans le sens où quasiment chaque jour il fallait changer de lieu et conduire parfois des distances importantes sur des routes soporifiques.

C'était la première fois que je partais à l'étranger seul. Socialement, j'étais par contre ravi le dernier jour de bientôt pouvoir faire des conversations de plus de 5 mots et de retrouver un visage familier ! 5 jours, c'était déjà un bon défi pour moi.

ravie que tu nous fasses un trip!!
waouh 20kg de valise pour un homme ça me fait peur lol !

J'imagine ton enthousiasme au réveil

Pour l'émission c'est très marrant comme programme...dès fois ils s'endorment sur le livre, butent sur tous les mots , bref de grands lecteurs!!

hâte de voir la suite du voyage!

Bienvenue liloo dans mon Trip Report. Je reconnais ne pas avoir voyagé léger.   En parlant de la suite, là voici !

Chapitre 2 - PNC aux portes, armement des toboggans

Les membres « Sky Priority » d’Air France piétinent désormais devant la file d’attente qui leur est dédiée. Ils savent qu’ils seront les premiers à embarquer mais ça ne les empêche pas de se battre pour être les premiers des premiers. Remarquez, quand on voit la taille de certains bagages cabine, on se demande effectivement s’il ne vaut pas mieux être dans les premiers à monter dans l’avion pour être sûr d’avoir une place pour y caser son petit sac à dos.

C’est enfin l’heure pour moi d’embarquer. Me voici à bord du premier avion !


Le vol sera très court pour rejoindre Paris, à peine le temps de prendre un bon petit chocolat chaud et un croissant (c’est que ça commençait à gargouiller là-dedans) que me voilà déjà prêt à atterrir à Roissy Charles-de-Gaulle.


Une fois arrivé, c’est tout simple, il suffit de suivre les panneaux « correspondances ». Même pas besoin de passer par un nouveau contrôle de sécurité, une simple présentation du passeport et de la carte d’embarquement suffira. Quelques minutes de marche et me voilà dans le gigantesque hall d’embarquement qui accueille la porte K43 qui sera la mienne.


J’aime beaucoup l’architecture de cet aéroport, je le trouve très chaleureux. Pas encore de membres « Sky Priority » en vue mais il faut dire qu’il est encore un peu tôt. Mes vols ont tous été prévus avec une marge de 3h entre chaque correspondance. J’en profite donc pour me balader un peu et passer les derniers appels aux proches avant que mon téléphone bascule en mode avion pour toute la durée du séjour. Skype prendra ensuite le relais et sera vraiment très pratique pour passer quelques coucous à la famille, parfois devant des paysages grandioses grâce au Wifi présent sur l’ensemble des parcs Disney.

Ce sont donc les dernières heures sur le sol Français. Je suis surexcité ! Bientôt un nouveau pays, une nouvelle langue et Disney World qui se rapproche. Enfin bientôt, c’est tout de même un vol d’une dizaine d’heures qui m’attend pour rejoindre Atlanta. Je profite de ces derniers instants, je les savoure car ils sont l’occasion de faire le vide. A partir de maintenant il faudra se débrouiller seul et sur un voyage comme celui-ci c’est pour moi un grand défi.


Mon avion est en préparation. Ce que je ne sais pas encore c’est que le vol à venir va être un véritable cauchemar…

Chapitre suivant : Chapitre 3 – Le pire vol de ma vie

OMG! Mais que s'est il passé!
Dit la personne totalement phobique des avions

Oulaaaa, je n'aime pas la dernière phrase Qu'a-t'il bien pu se passer ?

Quel suspens !!

On veut savoir ce qui s'est passé !!

Désolé de jouer avec vos nerfs mais bon toute fin de chapitre qui se respecte se doit de tenir son lecteur en haleine.

Ne t'inquiète pas kika ton vol se passera bien. Je vous écris la suite ce soir.

Le suspense !

quel suspense!!

Super un nouveau TR

Hè mais, moi aussi veux savoir!

Allez, on attaque la partie délicate !  

Chapitre 3 - Le pire vol de ma vie

Me voilà désormais dans un gros avion pour le vol principal avec comme voisine : une Américaine ! Parfait pour se mettre dans le bain. L’occasion d’échanger quelques mots et de me tester au niveau de la langue. Pour l’instant je m’en sors bien même si je vous avoue ne pas avoir fait de longues tirades. Elle est en tout cas très sympathique. Pour le reste, c’est un vol Air France donc aucun problème vis-à-vis du personnel. J’en profite pour me mettre à l’heure de la Floride, comme ça c’est fait.


A l’embarquement on vous remet le petit formulaire bleu qui devra être remis une fois arrivé sur le territoire des Etats-Unis. On vous précise bien qu’il ne faut faire aucune rature sinon le papier est refusé. Ça n’a pas loupé, dès la troisième ligne j’ai eu le mauvais réflexe concernant la date de naissance en oubliant d’inverser le jour et le mois (c’est pourtant bien écrit sur le papier). Je redemanderai un nouveau formulaire à bord de l’avion quelques minutes avant l’atterrissage.


Nous occupons, mon Américaine et moi   , une rangée de deux sièges. Elle a le hublot, j’ai le couloir. Devant nous se succèdent des rangées de 3 sièges. Pourquoi je vous raconte tout ça vous allez me dire… ?   L’avion propose pour chaque passager des écrans qui permettent d’accéder à toutes sortes de divertissements. Ces écrans sont incrustés dans l’assise du siège qui est devant vous. Cependant, les rangées qui ne comportent que 2 sièges ne sont pas alignées avec celles de devant mais plutôt centrées. Vous vous retrouvez donc avec votre écran qui n’est pas vraiment en face de votre siège. Rien de bien gênant mais c’est toujours bon à savoir. En contrepartie vous avez l’avantage de ne pas être trop gêné pendant le vol, car vous n’êtes que deux et d’avoir côté couloir un espace assez confortable.

Les écrans individuels sont identiques à ceux de 2008 lorsque j’avais visité la côté Ouest des Etats-Unis. Vous avez accès à une sélection de films récents, voire très récents car encore en cours d’exploitation dans les salles. Quelques jeux comme « Qui veut gagner des millions » qui vous donnera l’impression en 5 minutes d’avoir remboursé votre voyage et de pouvoir déjà en planifier un nouveau.



La fonctionnalité permettant de suivre sur l’écran l’état du vol ne marchera pas durant tout le voyage, donc pas moyen de savoir où je suis. Reste à surveiller la montre pour savoir combien de temps il reste.

A peine décollé qu’on vous sert déjà à manger. Dans un premier temps sont servis ceux qui ont un repas spécifique, sans doute en cas d’allergies ou de régimes particuliers. Ce sera le cas de ma voisine. Pour les autres, c’est au choix d’après le menu qu’on vous remet au début du vol.




Pour moi ce sera le poulet : un grand classique. Le repas est bon et il y a de quoi être rassasié (je ne suis pas non plus un gros mangeur). Les boissons sont à volonté, alcoolisées ou non. Sachant que l’alcool et moi en altitude ne font pas très bon ménage (on dit qu’un verre de vin à plus de 2 000 mètres équivaut à 3 verres pris au niveau de la mer) je me contenterai donc d’un verre de Coca-Cola : encore un classique.

Je garde en fait un très mauvais souvenir lors d’une visite du Pic du Midi où j’avais fini par tourner de l’œil après le pot d’accueil. Ce qui gâche, je vous l’accorde, quelque peu la visite...

Peu importe, mon Américaine se fera un plaisir de boire pour deux en commençant par une coupe de champagne et une première bouteille de vin. C’est lors du troisième, et dernier passage du chariot, que la voyant commander sa troisième bouteille me prend un élan de bravoure des plus stupides. Après tout, vu qu’elle se porte à merveille après tout ce qu’elle a ingurgité pourquoi n’aurais-je pas droit moi aussi à mon petit verre de rouge. Seulement voilà les organismes sont bien tous différents et j’aurai du me rappeler les épisodes d’« Il était une fois la vie » (la vie, la vie, la vie, la vie… )

Je demande donc à Michael, le steward qui s’occupe de nous, ma petite bouteille de rouge.


Quelques dizaines de minutes plus tard, cela n’aura pas loupé. Je commence à ressentir une très forte fatigue et à n’avoir plus aucune force dans tout le corps. Le temps d’appuyer sur le bouton d’appel intégré à la télécommande de l’écran, de prononcer difficilement les mots « je me sens mal » et ce sera le noir total. Je ne sais si c’est l’alcool, la fatigue, le stress du voyage ou un mélange de tout ça, mais pour la première fois de ma vie je venais de perdre connaissance.

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(Sinon je vous rassure mon TR devrait vous faire rêver à un moment ou un autre, c'est pas un truc glauque où chaque jour il se passe un truc bizarre... Que je ne perde pas mes fidèles lecteurs...)



Chapitre suivant : Chapitre 4 – Y a-t-il un médecin dans l’avion ?

Ballou a écrit:

A Disney World, l'environnement dans lequel j'étais était totalement nouveau, peut importe où je tournais la tête tout était à découvrir alors je n'ai pas trouvé le temps long. Puis je réalisais un rêve assez personnel donc cela ne m'a pas gêné, le cocon dans lequel nous plonge Disney aidant sans doute fortement.

J'aurai eu beaucoup plus de difficultés à faire la partie hors "Disney" seul car elle comportait plus de difficultés dans le sens où quasiment chaque jour il fallait changer de lieu et conduire parfois des distances importantes sur des routes soporifiques.

C'était la première fois que je partais à l'étranger seul. Socialement, j'étais par contre ravi le dernier jour de bientôt pouvoir faire des conversations de plus de 5 mots et de retrouver un visage familier ! 5 jours, c'était déjà un bon défi pour moi.

Oui j'imagine qu'on a pas le temps de s'ennuyer et effectivement au sein de WDW il est très facile de demander au CM si jamais tu as un soucis alors qu'en dehors c'est plus difficile !
En tout cas chapeau d'être parti seul, je crois que je suis trop bavarde pour l'envisager

jo1301 a écrit:

En tout cas chapeau d'être parti seul, je crois que je suis trop bavarde pour l'envisager

Les Américains sont très bavards aussi, et ils ont beau savoir que tu parles pas la langue ça ne les arrête pas ils continuent. J'ai trouvé ça génial. Tout est prétexte à discuter, même entre eux. Ils sont très chaleureux, surtout dans les Keys et à Disney World.

Ballou a écrit:

jo1301 a écrit:

En tout cas chapeau d'être parti seul, je crois que je suis trop bavarde pour l'envisager

Les Américains sont très bavards aussi, et ils ont beau savoir que tu parles pas la langue ça ne les arrête pas ils continuent. J'ai trouvé ça génial. Tout est prétexte à discuter, même entre eux. Ils sont très chaleureux, surtout dans les Keys et à Disney World.

Oui je suis déjà allée aux USA et effectivement ils le sont mais si je comprends bien la langue j'ai du mal à aligner 3 mots en anglais donc bon ^^

Sinon tu n'as vraiment pas eu de bol de perdre connaissance lors de ton second vol :/ J'espère que ça s'est vite arrangé !

Chapitre 4 - Y a-t-il un médecin dans l’avion ?

C’est allongé par terre, là où le personnel naviguant stocke la nourriture, la tête à moins d’un mettre de ce qui semble être la poubelle et les pieds tenus en l’air par Michael le steward, que j’ouvre de nouveau les yeux. (Moi je trouve cette phrase magnifique   )

Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé mais sans doute quelques secondes. Je vois flou et perçois mal les sons environnants mais cela s’améliore petit à petit. Le sol de l’appareil est glacé et ils finiront pas m’apporter une grosse couverture pour stopper mes tremblements. Je me souviendrai toute ma vie de la phrase « Y a-t-il un médecin dans l’avion ? » qui raisonne en français et en anglais dans les haut-parleurs de l’avion.



Michael et le chef de cabine qui l'a rejoint tentent de me faire parler pour me garder éveillé mais je suis encore bien dans le coltard. C’est là que débarque une personne se présentant comme médecin. (J'ai l'impression de vous raconter un feuilleton américain "Laissez-moi passer, je suis médecin"   )

C’est un Américain : moi qui voulais travailler la langue me voilà décidément servi, je vais pouvoir approfondir mon vocabulaire médical. Aujourd’hui j’en rigole mais je n’en menais pas large je vous assure. Imaginez la scène : allongé par terre, les hôtesses qui m’enjambent pour accéder à la partie « cuisine » (puisqu’il fallait bien continuer le service), les curieux qui vont aux toilettes et qui marquent une pause à mon niveau et voilà maintenant le fameux médecin américain qui se met à me poser tout un tas de questions, que même si j’étais à 100 % de mes capacités je n’aurai pas su y répondre.

Je bafouille quelques mots de français avec l’accent américain (le peu que pouvaient faire mes pauvres neurones à ce moment précis) pensant que la magie va opérer mais il ne faut pas trop rêver. Comme si cela ne suffisait pas, le chef de cabine demande au médecin de s’éloigner de moi, car pour autoriser une personne à prendre en charge un malade sur le vol, celui-ci doit présenter un papier prouvant qu’il est bel et bien médecin. Jusque là, même à morfle j'étais plutôt d'accord. L’Américain n’ayant pas sa carte sur lui on lui refusera donc de continuer notre passionnante conversation. Il se vexera, gueulera un petit coup et repartira sans doute à son siège. De toute façon je ne me souviens pas du tout de son visage, sans doute je l’ai revu après sans le savoir.

Moi, j’ai toujours Michael qui me tient les pieds en l’air, et d’après l’équipage je reprends des couleurs. L’hôtesse qui m’enjambera pour la troisième fois le confirmera d’ailleurs en penchant son visage au-dessus du mien.

J’arrive petit à petit à reprendre mes esprits et une conversation normale, ce qui permettra au chef de cabine de remplir sur sa tablette le rapport de ce qu’il s’est passé, demandant mon nom, prénom, adresse etc. Reprenant de l’énergie on décide de tenter progressivement la position assise : Michael est content, il va pouvoir se dégourdir les mains.

Je me retrouve alors sur les sièges où le personnel navigant s’installe pendant les phases de décollage et d’atterrissage. Je vois enfin les gens à l’endroit et je me sens un peu mieux, bien que forcément pas rassuré du tout. C’est là que je me demande si c’était une bonne idée de voyager seul car si le malaise persistait j’étais quand même bien embêté pour la suite : le vol n’était pas fini et il y en avait encore un autre après à enchainer...

Le retour à la normale aura pris un sacré temps, bien que toute notion temporelle dans ce genre de situation soit assez délicate à estimer. Je finirai donc par retrouver ma place, accompagné par le regard des passagers à proximité et les mots compatissants de mon Américaine.



Le temps de souffler un peu et voilà déjà qu’on m’apporte encore de quoi bouffer.  

L’équipage semble se relayer et Michael m’indique qu’une autre équipe prend le relais concernant le service. C’est donc un monsieur qui ressemble au serviteur de la famille Addams qui m’apportera mon deuxième repas. Plus qu’une heure avant d’arriver à Atlanta et j’avoue qu’après toutes ces émotions il me tarde de toucher la terre ferme.

Le repas ne me tente pas vraiment.  


Vous remarquerez en tout cas le grand retour du Coca-Cola ! L’espèce de truc sous papier aluminium est une sorte de crêpe fourrée au fromage. Pas vraiment appétissant à regarder mais pas mauvais. De toute façon je me dis qu’il faut que je reprenne quand même un peu des forces et décide de la manger. Pour continuer dans mes idées merveilleuses du vol AF 0682 je décide de manger en regardant un film pour me détendre. La liste est longue et je choisis de visionner « Labyrinthe ».

Alors… comment vous dire… La première scène du film « Labyrinthe » est un homme dans un ascenseur qui vomit tout ce qu’il a dans les tripes.   Conclusion j’ai fait l’atterrissage avec dans les mains le sac Air France et je n’attendais qu’une chose, que ce calvaire se termine.



C’est en sortant l’avion que j’ai retrouvé le chef de cabine, mon pote Michael et la fameuse hôtesse. Une occasion de plus de les remercier infiniment pour leur soutien. Ils ont vraiment été superbes et je ne les oublierais pas de sitôt. Je ne vous explique même pas le soulagement que cela fût de franchir le seuil de l’avion et de poser le pied sur terre. Pas n’importe quelle terre, j’étais désormais aux Etats-Unis, je débarquais à Atlanta.

Chapitre suivant : Chapitre 5 – Atlanta

Très bon début, j'aime beaucoup la façon dont tu racontes ton TR

Bon pour le coup du malaise, tu as fait fort

J'ai une question concernant tes repas dans l'avion, sont-ils gratuits où faut-il payer un supplément?

Eh bien! Pas de chance une telle réaction avec un verre d'alcool!
Enfin pas de chance, moi je veux bien boire une petite coupette et reprendre connaissance a Orlando

Ca commence fort, ça doit être un peu flippant quand même !

J'espère que pour la suite ça été !

Souchie a écrit:

Très bon début, j'aime beaucoup la façon dont tu racontes ton TR

Bon pour le coup du malaise, tu as fait fort

J'ai une question concernant tes repas dans l'avion, sont-ils gratuits où faut-il payer un supplément?

Merci

Oui je suis pas fier de mon malaise. Mais je crois que cette fois-ci j'ai compris la leçon...

Pour répondre à ta question, les repas dans l'avion étaient inclus dans le prix. Donc le petit-déjeuner dans le premier vol Air France et les deux repas du second vol Air France également. Pour le dernier vol de la compagnie DELTA il n'y aura rien de proposé à manger ni à boire.

Je ne sais pas s'il existe de vols longs courrier où ton repas n'est pas inclus. Cela me paraitrait étrange d'envisager un vol de plus de 6 heures sont qu'on me donne quelque chose à manger. Cela doit sans doute dépendre de la politique des compagnies aériennes. Aer Lingus par exemple pour aller en Irlande, tout était payant, mais la durée et l'heure du vol ne nécessitait pas spécialement de manger.

KIKA a écrit:

Eh bien! Pas de chance une telle réaction avec un verre d'alcool!

Je ne sais pas la contenance de leurs bouteilles, sans doute 2 verres. Pour ceux qui veulent en savoir plus sur le phénomène :

Pourquoi l'alcool affecte-il plus les gens en avion ?

shambles-x a écrit:

Ca commence fort, ça doit être un peu flippant quand même !

J'espère que pour la suite ça été !

Oui vous avez lu le plus dur !

Le plus flippant, c'était de savoir que le voyage était loin d'être fini, et forcement après tout ça ne pouvais qu’appréhender la suite. Je me serais bien glissé dans un lit douillet mais j'en avais encore pour facilement 6 bonnes heures. Il restait encore le passage à l'immigration, la prise d'un nouveau vol, la navette pour Disney pour enfin prendre une bonne douche et aller se coucher.

Eh ben, ça commence fort dis donc!

Je retiens de ne pas boire d'alcool! La frayeur que tu as du avoir...

Au vu de ton expérience je tenterai un verre pendant le vol du lundi soir Marseille/ Francfort. Si ça ne va pas une bonne nuit de sommeil sur place sera bienvenue et si je trouve le vol planant^^ je recommence le lendemain

Et ben dis donc !! Quand tu dis que le vol était horrible c'était pas une blague ! Je m'attendais à quelque chose comme "oh mon Dieu ! Pas de télé individuelle !!!" mais t'as pas fait semblant !!

Et grâce à toi, je vais avoir peur que ça m'arrive si je pars ! Pas la perte de connaissance, non, plutôt le "y a-t-il un médecin dans l'avion"  (en tant qu'étudiante en médecine je suis tenue d'y aller s'il n'y a pas de médecin )

J'espère que le vol suivant s'est mieux passé !