Mickey et les Ravenswood Partie 3 : Affrontement

Bonsoir tout le monde, j'ouvre ce sujet pour vous dire que Mickey et les Ravenswood Partie 3 arrive bientôt, et le scénario spécialisé sur un personnage aussi, étant un personnage assez complexe, ce projet me prendra du temps, mais je suis sûr qu'il vous plaira, bonne nuit et à demain pour la fin des aventures des Ravenswood !

Bonjour, voilà le début du dernier opus de Mickey et les Ravenswood, mais pas de Mickey ou d'un certain Ravenswood... Bonne lecture !

Mickey et les Ravenswood

Affrontement  

Dans une prison, un prisonnier est recroquevillé dans un coin de sa cellule.

Un homme masqué apparait à la porte.

Sbire : Alors ? Décidé à parler ? Tu vas nous dire où sont Mélanie et sa mère !

Le prisonnier ne bouge pas.

Sbire : parle !

Le prisonnier reste allongé dans son coin.

Sbire : parfait.

Une onde électrique s’abat sur le prisonnier.

Sbire : tu vas parler maintenant ?!

Le prisonnier se lève.

Mickey : jamais !

Sbire : bien.

Une onde de choc se prépare à s’abattre à nouveau, Mickey ferme les yeux en soupirant.  

21 juin 2047, Elisabeth et Mélanie arrivent dans le parc Disneyland.

Mélanie à l’air fatiguée, sa grand-mère est absente.

Mélanie : alors, ce tunnel il est où ?

Elisabeth : attend, je dois parler à un technicien pour nous ouvrir le passage dans la montagne, d’habitude c’est Tigron, mais vu qu’il est absent.

Elisabeth sort un portable de sa poche.

Elisabeth : allo ? Oui, est que je pourrais avoir l’assistant de Tigron ?

Elisabeth patiente pendant 2 minutes.  

Elisabeth : oui ? Bonjour Monsieur, nous sommes dans un état critique, oui Mr Mouse est impliqué, nous avons besoin d’un mode 101 dans Big Thunder Mountain. Quand ? Maintenant.

Mélanie et sa mère arrivent vers Frontierland, où elles voient que le manoir se délabre de plus en plus, la zone est barricadée de clôtures vertes « nous réhabilitons cet endroit pour votre plus grand confort ». Elisabeth semble énormément inquiète.

Mélanie : il faut qu’on se dépêche.

Elles arrivent devant la montagne, l’attraction est fermée, des guest râlent contre les cast-members.

Mélanie : il vaut mieux passer par la sortie.

Elles arrivent à la sortie, et prennent un train qui part dans les tunnels de la mine. Elisabeth et Mélanie ont un frisson en même temps (sûrement le contact de la mine).

Et d’un coup le train s’arrête dans la montée des rochers qui s’affaissent.

Elisabeth : nous sommes arrivés.

Elles descendent du train avec prudence pour éviter de tomber.

Mélanie : par où on va ?

Elisabeth pousse un chariot de mine sur le côté.

Elisabeth : par là.

Elisabeth se faufile dans le petit tunnel.

Mélanie : le tunnel est comme ça tout le long ?

Elisabeth : mais non ! Le tunnel prend une taille normale quand on arrive sous le lac.

Mélanie et Elisabeth rampent pendant 3 minutes, et arrivent dans une grande salle, avec une table, des chaises, ainsi que de la nourriture et des boissons.

Mélanie : c’est pour qui tout ça ?

Elisabeth : je pense que c’étais pour ceux qui traversaient le tunnel, donc Henry.

Mélanie prend un morceau de pain.  

Elisabeth : je te déconseille, ça fait plus de 70 ans que c’est là.

Mélanie jette le pain, infesté d’insectes.

Elisabeth : c’est incroyable, toute l’âme de Thunder Mesa, la vraie, à été transposée ici, esprits, et humains, c’est incroyable.

Mélanie : comment ça ?  

Elisabeth : Et bien, les fantômes, tes grands-parents, Henry, et même ce tunnel, ils ont tous été transposés ici, dans ce parc de France, mais Mickey n’a jamais voulu révéler sa technique…

Elles marchent dans le tunnel sombre, elles s’éclairent avec des torches.

Mélanie : hm, maman ?

Elisabeth : oui ?

Mélanie : je me suis toujours demandé, tes parents sont des fantômes non ? Enfin, étaient.

Elisabeth semble étonnée de la question.

Elisabeth : oui et donc ?

Mélanie : comment as-tu réussis à être une véritable humaine ?

Elisabeth reste immobile, et déglutit.  

Elisabeth : je… Je ne sais pas. Je n’ai jamais su, Tigron m’a dit que c’était un mystère, et d’après lui malgré les pouvoirs de Mickey, mes parents ne pouvaient pas avoir d’enfants…  

Mélanie : Mais alors… es-tu humaine ?

Elisabeth reste silencieuse.

Elisabeth : je ne sais pas…

Mélanie : moi je suis bien humaine, mais toi ? Et Papa il savait ?

Elisabeth échappe un gémissement, et s’assoit par terre.

Mélanie : Maman, qu’est-ce qu’il est devenu Papa ?

Elisabeth reste silencieuse, elle prend ses genoux dans ses bras, Mélanie semble anxieuse.  

Mélanie : s’il te plaît, répond moi.

Elisabeth : il est partit.

Mélanie semble s’énerver.

Mélanie : ça, c’est ce que tu nous dis depuis des années, c’est quoi la vraie version ?

Elisabeth : je ne préfère pas en parler Mélanie.

Mélanie : tu m’as mentis pour mes grands-parents, pour le reste de la famille, alors je veux savoir.

Elisabeth soupire, et se met à se souvenir.

Elisabeth : je l’ai rencontrée à l’époque où j’étais célèbre avec mon livre…

Elisabeth écrit des autographes à ses fans.

Fan : merci, je suis vraiment fan de votre livre !

Elisabeth : merci !

Elle pose son stylo et soupirant de fatigue, un homme arrive à côté d’elle.

Manager : on à une autre séance de dédicace dans 5 minutes on doit y aller.

Elisabeth : oui, j’arrive.

Elle part en voiture, et une fois sur l’autoroute, elle tombe en panne-seiche.

Elisabeth : oh non, pas maintenant !

Une lueur survient au dessus de la voiture.

Elisabeth : qui est là ?

Mickey tombe du toit de la voiture, et se lève immédiatement, manquant de se prendre la fenêtre.

Elisabeth : Mickey ? Qu’est-ce que tu fais là ?

Mickey : réunion d’urgence, au manoir.

Mickey touche Elisabeth, et se téléporte avec elle.

Ils arrivent au manoir.

James et Emilie les attendent dehors.  

Elisabeth : alors, qu’est-ce qu’il se passe ?

James R : c’était juste que nous voulions te féliciter pour ton succès.

Elisabeth râle.

Elisabeth : c’est ça la « réunion d’urgence » ?  

Emilie : a vrai dire, non.

Elisabeth : alors, qu’est-ce que c’est ?

Mickey arrive à côté en sautillant.

Mickey : on accueille un ami aujourd’hui !

Elisabeth : un ami ? Qui ?  

James R : un ami de ton petit frère. Il passe la nuit au manoir avant le mariage.

Elisabeth écarquille les yeux, et se tape la tête.

Elisabeth : mince ! Le mariage, j’avais complètement oublié.

Mickey lève les yeux au ciel.

Mickey : tu arrives à oublier le mariage de ton frère ? Je n’imagine même pas le tien…  Tu arriveras habillée normalement, et tu diras « oh mince, j’avais oublié ! »

Elisabeth regarde Mickey dans les yeux en râlant.

Elisabeth : ce n’est pas parce que tu es mon parrain que tu dois me faire la morale. Toi je te rappelle qu’en je ne sais pas combien d’années, tu ne t’ais jamais marié avec Minnie.

Mickey recule.

Mickey : euh… Ce n’est pas pareil, tu sais toujours attaquer les points sensibles…

Emilie sépare Elisabeth et Mickey.

Emilie : arrêtez de vous chamailler, on doit accueillir notre invité dans tout le confort…

Elisabeth : d’un manoir hanté.

Mickey glousse.

Mickey : c’est pas faux, comment on va faire pour les fantômes ?

James R : ça, c’est une autre histoire.  

Elisabeth : et pourquoi vous m’avez appelé ?

James R : et bien, on aimerait que tu nous aide à cacher les fantômes, et nettoyer la maison.

Elisabeth : vous savez que j’ai plusieurs séances de dédicaces ?

Emilie : tu peux bien reporter.

Elisabeth : je ne sais pas si je pourrais…

Emilie : ce n’était pas une question, écoute ton arrière-grand-père.  

Elisabeth soupire.

Elisabeth : mais, Emilie !  

Emilie : y a pas de mais Elisabeth !

Elisabeth soupire.

Elisabeth : d’accord.  

Emilie : on s’y met, maintenant.  

Ils se mettent à nettoyer la chambre de leur invité, mais sans trop nettoyer, parce que le manoir est encore visité par les visiteurs du parc.

Elisabeth : ouf, j’ai finit !

Mickey attrape Elisabeth, et la traîne vers l’arrière.

Mickey : mais tais-toi !  

Elisabeth se rend compte qu’elle est en pleine attraction, et non dans la partie maison du manoir.

Elisabeth : oh mince…

Mickey la tire vers la partie maison.

Mickey : non mais ça va pas ? Comment tu crois que les visiteurs vont réagir s’ils voient que des gens vivent dans le manoir, je ne l’ai pas conçu pour que ça devienne un hôtel…

Elisabeth : désolé, je n’ai pas fait exprès.

Mickey soupire.

Mickey : c’est pas grave.

Elisabeth : il arrive quand l’invité ?

Mickey : dans deux heures, en attendant, tu peux te reposer.

Elisabeth s’assoit sur un canapé, et s’assoupit pendant un temps.

Plus tard, Mickey accueille le visiteur à la porte du manoir.

Mickey : bonsoir ! Euh… Comment-vous appelez-vous ?  

Marc : Marc, enchanté.

Mickey sert la main de Marc.

Mickey : oh oui, enchanté.

Marc : je n’arrive pas à croire que je vous rencontre en vrai Mickey Mouse.

Mickey : oh pas de vous-voit-ment avec moi.

Marc : bien sûr, bien sûr.

Mickey l’amène dans la maison.

Mickey : James et Emilie devraient arriver dans quelques minutes, profite de la maison en attendant.

Marc visite la maison, et tombe sur une pièce où quelqu’un est endormi sur le canapé.

Marc : qui ça peut être ?

Marc s’approche, il voit que c’est une femme aux cheveux châtains.

Marc : elle est belle…

Elisabeth semble entendre quelqu’un, elle se réveille au fur et à mesure, elle voit un homme près d’elle qui semble la regarder avec interrogation.

Elle se réveille en sursaut.

Elisabeth : qui êtes-vous ?!

L’homme sursaute et tombe par terre.

Marc : oh excusez-moi, je m’appelle Marc, je suis invité ici.

Elisabeth se lève et s’époussette un peu.

Elisabeth : enchanté, je m’appelle Elisabeth, je suis la sœur de James.  

Marc : content de te rencontrer.

Elisabeth : Mmh, oui moi aussi.  

Elle lui serre la main.

Marc : je suis désolé de t’avoir observé alors que tu dormais.  

Elisabeth : c’est pas grave, mais d’ailleurs, pourquoi tu m’observais ?

Marc : euh, pour rien.

Elisabeth : je ne te laisserai pas sortir si tu ne me dit pas ce que tu faisais ici.

Marc recule en voyant Elisabeth s’approcher.

Marc : et bien, je suis étonné de voir une si belle fille ici. Manoir hanté tout ça…  

Elisabeth reste muette.  

Marc : bon euh, je te laisse, Mickey doit m’attendre.

Marc descend les escaliers.

Elisabeth soupire heureuse.

Mickey apparait derrière elle.

Mickey : toi, tu es amoureuse.

Elisabeth sursaute.

Elisabeth : quoi ? Pas du tout !

Mickey : alors pourquoi tu rougis jeune fille ?

Elisabeth : je suis plus une gamine ! J’ai plus de 20 ans !

Mickey : pour moi tu restes une petite fille, mais franchement, tu viens de le rencontrer, tu n’as pas vu la Reine des Neiges ou quoi ?

Elisabeth ignore la dernière remarque de Mickey, et le regarde en souriant.

Elisabeth : quel âge as-tu ?

Mickey : on ne demande pas ça à un toon !

Elisabeth : pourquoi ?  

Mickey : tu le sais très bien, nous durons tant qu’on croit en nous, notre âge n’est pas déterminé.

Elisabeth : allons, je te taquine.

Elisabeth descend avec Mickey au salon.

James et Emilie sont rentrés.

James R : ah Elisabeth ! Tu connais déjà Marc.

Emilie : je compte sur toi pour lui montrer sa chambre.

Elisabeth : ah, euh… Oui bien sûr.

Elisabeth et Marc montent au premier.

Marc : alors, James se marrie enfin avec Angelina.

Elisabeth : oui, il était temps.

Marc : permet moi de te dire qu’il a une très belle grande-sœur.

Elisabeth rougie.

Elisabeth : merci, enfin on est pratiquement jumeaux…  

Elisabeth ouvre la porte de la chambre, les affaires de Marc sont déjà arrivées.

Elisabeth : bon, passe une bonne nuit.

Elisabeth se sauve.

Marc : oui, bonne nuit…

Tom apparait à côté de Marc.

Tom : va falloir qu’on parle l’ami.

Elisabeth marche dans le couloir encore rougissante.

Mélanie secoue sa mère.

Mélanie : il faut continuer.  

Elisabeth se lève.

Elisabeth : désolé, je rêvais un peu.

Elles marchent dans le tunnel, qui semble s’étendre de plus en plus.

Mélanie : et ensuite, qu’est-ce qu’il s’est passé ?

Elisabeth : et bien, le soir même, j’avais envie de le revoir.

Tom regarde Marc en mangeant un cookie.

Marc : qui êtes-vous ?

Tom : à vrai dire, je suis un cousin éloigné d’Elisabeth, mais bon passons, on va avoir besoin de ton aide ma sœur et moi.

Nouveau perso ! J'attends de voir comment il va tourner, il m'intrigue énormément

Hey franchement, j'adore...
Les coups de théâtres que tu fais sont géniaux on ne peut jamais prévoir à l'avance la suite de l'histoire.
Au niveau suspence tu es au top.

Tout simplement j'adore....

Merci la suite arrive bientôt

Et voilà la suite !

Elisabeth marche dans le couloir, vers la chambre de Marc, qui est ouverte.

Elisabeth : où est-ce qu’il est ?

Elisabeth entend un cri, elle se précipite dans la partie attraction.

Elle arrive à Phantom canyon, les habitants ont attrapé Marc.

Mayor : alors, un humain ?

Pharmacien : un intrus donc, je le prends pour test pour mes nouveaux médicaments !

Barman : eh oh, calme-toi, il faut savoir ce qu’il fait là, et depuis quand on écoute le Maire ?

Elisabeth pousse les habitants.

Elisabeth : c’est notre invité.

Mayor : Hm… D’accord, lâchez-le.

Les habitants lâchent Marc.

Marc marche doucement vers Elisabeth.

Marc : est-que tu peux m’expliquer ?

Elisabeth : plus tard, vous tous, rentrez chez vous !

Les habitants se séparent et rentrent dans leur maison.

Lana et Tom arrivent, et voient que Marc est parti.

Lana : oups.

Tom : il a pas pris la bonne sortie en fait…

Elisabeth et Marc marchent vers la maison.

Elisabeth : évite de faire des promenades nocturnes, les habitants du manoir sont très hostiles vis-à-vis des intrus.

Ils repartent vers la partie maison, et arrivent devant la chambre de Marc.

Marc : alors, y’a vraiment des fantômes ici ?

Elisabeth : et bien, oui.

Marc : c’est… traumatisant.

Elisabeth rigole un peu.

Elisabeth : quand on y ait habitué, ce n’est plus tellement traumatisant.

Marc : Je ne pense pas pouvoir me rendormir.

Elisabeth : Ah bon ? Alors vient avec moi.

Elisabeth le prend par la main.

Elle l’emmène à la bibliothèque.

Prudence dort dans un coin de la pièce, un prototype de faire-part de mariage sur les genoux.

Elisabeth : vient, par-là.

Ils arrivent devant une grande pièce.

Henry est en train de ranger des livres, il en garde un avec un titre plutôt insolite : « Être Papa en ayant plus de 3 siècle : Mode d’Emploi », et un autre « Mariage à la Ravenswood ».

Elisabeth : Bonjour Henry.

Henry se retourne, visiblement étonné, ses yeux violets pétillent.

Henry 1er : Elisabeth ! Ça me fait plaisir de te voir !

Il la prend dans ses bras.

Henry 1er : et tu as amené un ami !

Henry entraîne Marc pour lui serrer la main.

Henry 1er : content de te voir Marc.

Marc : mais, comment…

Henry 1er : oh, chacun a ses secrets. Quand quelqu’un fait parti ou fera parti de la famille, je le sais.

Il fait un clin d’œil à Elisabeth, qui semble un peu gênée.

Henry 1er : Combien de temps restes-tu Marc ?

Marc : jusqu’au mariage de James, dans deux jours.

Henry 1er : hm, je vois. Encore un mariage que je vais rater.

Henry s'assoit sur son fauteuil, déprimé.

Elisabeth : mais vous savez que c’est pour votre bien Henry.

Henry 1er : je sais… Mais j’aimerai au moins assister au mariage d’un de mes petits enfants.

Elisabeth : on trouvera un moyen un jour.

Henry se racle la gorge, et fouille dans ses livres.

Henry 1er : alors, un livre contre l’insomnie ? J’ai quelque chose pour vous.

Il sort un gros livre de sa bibliothèque, et le tend à Elisabeth en souriant.

Henry 1er : tenez.

Elisabeth retourne le livre, la rencontre de deux âmes sœur.

Elisabeth : Henry !

Henry rigole dans son coin.

Henry 1er : aller, ouste !

Elisabeth et Marc repartent, Henry soupire.

Henry 1er : ils grandissent trop vite.

Prudence arrive vers lui, lui embrassant la joue.

Prudence : tu sais, nous avons notre mariage à préparer aussi.

Henry serre Prudence dans ses bras.

Henry 1er : oh mais je n’ai pas oublier.

Elisabeth et Marc rentrent dans la chambre de Marc, et se mettent à lire le livre.

Marc : le début est bien, j’espère que le reste sera pareil.

Un jeune homme et une jeune femme se rencontrèrent devant un beau manoir, construit par le père de la jeune fille, le jeune homme était cheminot dans une très grande mine. Un jour par un simple hasard, ils se rencontrèrent devant une boutique, et immédiatement ils se plurent. Ils se donnèrent rendez-vous devant le manoir, la nuit. Ils se déclarèrent leur amour réciproque. Mais le père de la jeune fille voyait ça d’un mauvais œil, dans sa folie colérique et vengeresse, il commit des crimes irréparables, et tua les deux amants. Mais des années plus tard, ils se rejoignirent malgré la mort, grâce à l’esprit de l’imagination, et deux beaux enfants naquirent de cet amour. Et eux aussi auront des enfants nés de leur amour.

Elisabeth referme le livre.

Elisabeth : je crois que cette histoire ressemble à celle de ma mère.

Marc : ta mère ?

Elisabeth : oui, c’est clairement son histoire.

Marc : où est-elle ?

Elisabeth prend une mine sombre.

Elisabeth : elle est morte, depuis longtemps.

Marc : ah…

Elisabeth : en tout cas, en parlant d’enfants qui connaîtront l’amour, ça ne marche que pour James.

Marc : mais non, tu trouveras bien quelqu’un, une fille aussi jolie que toi.

Elisabeth le regarde timidement.

Elisabeth : merci, tu es gentil.

Les deux reste timide l’un de l’autre.

Soudain, Lana apparait avec Tom.

Lana : eh toi, on t’attend je te rappelle !

Elisabeth : attendre ? Comment ça ?

Marc : ah oui, c’est vrai…

Elisabeth regarde Tom avec colère, il ne semble pas comprendre.

Elisabeth : quelqu’un pourrait m’expliquer ?

Tom s’assoit sur une chaise, un cookie à la main, que sa sœur s’empresse de reprendre.

Lana : Arrête de manger, on a besoin de lui pour s’occuper de Panthère, à nouveau.

Elisabeth : Panthère ?!

Tom et Lana amènent Marc et Elisabeth dans la mine, des rubis sortent de partout, l’Oiseau Tonnerre est endormi dans un des trains.

Marc : euh… Qui c’est lui ?

Tom soupire, sa sœur semble rigoler dans son coin.

Tom : mon idiot de patron…

Tom monte à bord du train, et s’approche de l’Oiseau Tonnerre dormant à poings fermés.

Tom : FIRE IN THE HOLE !!!

L’Oiseau Tonnerre sursaute, et se lève immédiatement, un éclair effleure Tom, qui ne bouge pas plus.

OT : Tom bon sang, ne me fait pas une peur pareille !

Tom : est-ce normal que vous dormiez en dehors de la mine ?

L’Oiseau Tonnerre semble honteux.

OT : ma cousine a pris le contrôle, et vu que je recharge mes batteries depuis la dernière bataille…

Lana : ça s’est passé il y a plus de 10 ans, vous vous êtes juste ramolli.

L’Oiseau Tonnerre soupire.

OT : peut-être.

Elisabeth : bon, comment on fait pour se débarrasser de Panthère ?

Tom sourit à Elisabeth.

Tom : c’est très simple, il faut deux adultes « purs », pour la repousser dans sa prison de rubis.

Elisabeth : purs… Tom !!

Tom et Lana se tordent de rire.

Marc : est-ce qu’il veut dire…

Elisabeth plaque sa main sur la bouche de Marc.

Elisabeth : ne marche pas dans leur jeu.

Lana reprend son calme.

Lana : j’avoue c’est drôle.

Elisabeth sourit vers Lana, qui déglutit.

Elisabeth : peut-être devrais-je révéler à tout le monde celui dont tu es amoureux depuis quelques années ?

Lana se met à rougir.

Lana : n…non ! Tu as promis !

Elisabeth rigole.

Elisabeth : tu vois ce que ça fais ?

Tom glousse.

Tom : bon, il faudrait y aller.

Mickey : aller où ?

Tom et Lana sursautent, Mickey vient d’apparaitre, il porte son costume de magicien sans le chapeau.

Mickey : salut Lana, ça faisait longtemps.

Lana reste muette, elle semble rougir.

Lana : oui... c'est...euh, bien de te voir...


Tom : ah Mickey… Euh, cette tenue… ?

Elisabeth : c’est son pyjama.

Mickey roule des yeux.

Mickey : il n y a vraiment que toi et Minnie pour le savoir… Enfin, que faites-vous ici ?

OT : Et bien, ces enfants sont venus pour m’aider à renvoyer Panthère.

Mickey regarde Elisabeth et Marc, et soupire.

Mickey : je vais vous laisser gérer ça les jeunes, moi je suis fatigué.

Elisabeth : mais attend Mickey !

Mickey : bonne nuit !

Mickey se téléporte.

Marc : bon, je suppose qu’il faut y aller…

Le groupe entre dans la mine, presque impraticable à cause de rubis.

OT : je suppose qu’elle se cache dans les profondeurs, c’est son endroit de prédilection.

Le groupe descend dans les profondeurs de la mine, les rubis commencent à briller.

Lana : si vous voulez mon avis, elle est assoupie.

En marchant en dessous de la première montée, une forme se déplace dans l’obscurité.

Panthère : Voyons, voyons.

Panthère descend vers le groupe, et les téléporte près d’elle.

Panthère : mes amours, vous êtes idiots d’être venus.

OT : Panthère, je te préviens une dernière fois, laisse la mine !

Panthère sourit de ces crocs de rubis, et projette l’Oiseau Tonnerre contre le mur.

Panthère : qu’il est têtu.

Panthère arrive vers Lana et Tom.

Panthère : ma petite traîtresse et son rejeton de frère, ça faisait longtemps.

Elle paralyse Tom et Lana, et s’approche finalement d’Elisabeth et Marc.

Panthère : que vais-je pouvoir faire de vous… ?

Panthère tente d’approcher Marc, mais recule immédiatement en grognant.

Panthère : tient….

Elisabeth s’interpose entre Panthère et Marc.

Panthère : toi, tu m’embêtes depuis ta naissance !

Elle projette Elisabeth, qui se retient grâce à une pierre.

Panthère : écoute-moi.

Marc se tourne vers Panthère, et recule, effrayé.

Marc : que… que me voulez-vous ?!

Panthère : je vais te proposer un marché.

Elisabeth peine à se tenir, la distance avec le sol est assez conséquente.

Elisabeth : Marc !

Marc se retourne, Panthère le suit du regard.

Panthère : tu peux vivre une vie éternelle avec moi, ou aller la sauver et mourir sur le champ.

Marc semble hésiter, mais finalement se précipite vers Elisabeth pour l’aider à remonter.

Panthère : sombre idiot.

Panthère se précipite vers Marc, et le fait chuter.

Elisabeth : Marc !!

Elisabeth se précipite pour voir Marc, qui est toujours debout, Panthère enchaînée par des émeraudes.

OT : des émeraudes…

Marc remonte, et enferme Panthère dans sa prison de rubis, qui se referme sur elle.

Marc : je ne sais pas ce qu’il s’est passé…

Elisabeth regarde Marc, ses yeux verts brillent, et une émeraude sort de sa main.

Elisabeth : mais… qui es-tu ?

Marc : je…

OT : je vais répondre.

L’Oiseau Tonnerre s’approche de Marc, et regarde l’émeraude.

OT : il est comme Tom et Lana, sauf qu’il est beaucoup plus puissant, il sert l’Ours de Vie.

Lana et Tom écarquillent les yeux, et s’inclinent.

Elisabeth : Ours de… ?

OT : je vous donnerai les explications plus tard, allez vous reposer en attendant.

Le groupe sort de la mine, Lana et Tom se téléportent.

Elisabeth : bon, je suppose qu’il ne reste plus que nous…

Marc : oui, effectivement.

Ils rentrent au manoir, et arrivent à la chambre de Marc.

Elisabeth : au fait… merci de m’avoir sauvée.

Marc : ah euh oui, je ne pouvais pas te laisser tomber.

Elisabeth : on peut dire que tu es en quelque sorte mon héros.

Marc : héros, quand même…

Elisabeth : je dois te récompenser.

Elisabeth s’approche de Marc et l’embrasse.

Elisabeth : oh euh, désolé.

Elisabeth s’apprête à repartir, Marc l’attrape par la main et lui rend son baiser, l’entraînant dans la chambre.

Je commence à apprécier Marc... Mais je ne sais pas pourquoi, j'ai le pressentiment qu'à un moment je vais beaucoup moins l'aimer x)

Ah ça ! Voilà la suite !

Mélanie : Maman ! T’est pas obligée de rentrer dans les détails !

Elisabeth : tu m’as demandé de tout te raconter ! Alors je continu, le lendemain…

Elisabeth se réveille, Marc est à côté de lui, toujours en train de dormir.

Elisabeth : il est mignon même quand il dort…

Elle se tourne vers la gauche, Mickey est à côté d’elle, il semble contrarié.  

Elisabeth sursaute.

Elisabeth : qu’est-ce que tu fais là ?

Mickey s’approche d’Elisabeth, il est vraiment en colère.

Mickey : notre invité est là depuis un jour, et tu flirtes avec lui ?

Elisabeth se lève.

Elisabeth : mais non, il ne s’est rien passé !

Mickey soupire.

Mickey : mais oui, à d’autre.

Mickey se lève et part en dehors de la chambre.

Mickey : le déjeuner est prêt.

Elisabeth regarde sa montre.

Elisabeth : quoi, il est si tard ?

Mickey : vous avez dormi jusqu’à 14h !

Mickey repart dans le manoir en tapant du pied.  

Elisabeth : j’ai jamais dormi autant que ça !

Marc : et bah,  c’est une première.  

Elisabeth : ah, tu es réveillé.

Elisabeth embrasse Marc.

Marc : oui, Mickey est très fouineur je trouve.

Elisabeth : il est très protecteur c’est tout, c’est quand même mon parrain.

Marc : bon, j’ai un peu faim, on descend ?

Elisabeth : bonne idée.

Ils descendent dans la salle à manger, où James et Emilie les attendent.

James R : Bonjour Elisabeth.

Ils semblent préoccupés.  

Emilie : Elisabeth, est-ce qu’on peut parler toutes les deux ?

Elisabeth : euh, oui bien sûr.

James R : Marc, vient t’assoir.

Elisabeth et Emilie marchent dans le manoir, qui semble plus grand qu’il n’en a l’air.

Emilie : tu te rends compte de ce que tu as fait hier ?  

Elisabeth : mais il s’est rien passé entre lui et moi !

Emilie : ah oui ? Tu es sûre ?

Elisabeth reste muette.

Emilie : je sais que tu es amoureuse, mais tu le connais à peine !

Elisabeth : je sais, mais il est tellement gentil…

Emilie : est que tu es sûr que c’est le bon ? Tu as 23 ans, une femme d’affaire efficace, est-ce que tu crois que cet homme, simple fonctionnaire est fait pour toi ?

Elisabeth regarde Emilie avec un regard noir.

Elisabeth : si ma mère avait résonné comme ça, je ne serai jamais née.

Emilie reste silencieuse.

Emilie : tu as raison.  

Elisabeth : je sens que c’est lui.

Emilie : si tu le pense.

Mélanie : et tu avais raison ?

Elisabeth : à ton avis ? Bien sûr que oui.

Mélanie tente de regarder devant elle, le tunnel semble interminable.

Mélanie : on ne verra jamais le bout de ce tunnel !

Elisabeth : je me rappelle l’année d’après, c’était le jour de notre mariage…

Elisabeth enfile sa robe de mariée, Minnie et Emilie l’aident.

Elisabeth : c’est… un peu serré.

Minnie : Cendrillon a dit que les souris ne pouvaient pas faire mieux.

Elisabeth soupire.

Elisabeth : tomber enceinte avec de se marier, décidément…

Emilie : oui en parlant de ça, comment vas-tu l’appeler ?

Elisabeth semble hésiter.

Elisabeth : vu que c’est une fille… Peut-être Elisabeth aussi ?

Emilie rigole.

Emilie : je ne sais pas, honnêtement, les Elisabeth Ravenswood ont tendance à poser problème.

Elisabeth glousse en regardant Emilie.

Elisabeth : ha ha ha, enfin bref, je pensais à Mélanie sinon.

Minnie : ça peut être bien.

Emilie et Minnie finissent les finitions, et sortent de la pièce.

Emilie : on se revoit à la cérémonie.

Elisabeth se retrouve seule, face à son miroir, elle pensait à qui allait l’accompagner à l’autel.

Elisabeth : après tout, mes parents sont morts…

Mickey arrive en costume pour mariage, il toc à la porte.

Mickey : toc toc.

Elisabeth se retourne.

Mickey : je ne t’ai jamais vu aussi belle.

Elisabeth sourit.

Elisabeth : merci Mickey…

Mickey s’assoit face à Elisabeth, et reste muet, en soupirant.

Elisabeth : qu’est-ce qu’il y a Mickey ?

Mickey : c’est juste que… Je ne t’ai pas vu grandir, je m’en rappelle comme si c’était hier quand je m’occupais de toi à tes 10 ans…

Elisabeth rigole.

Elisabeth : tu veux dire quand tu m’as embarquer dans le UpsideDown World ?

Mickey rigole.

Mickey : j’avoue c’était pas très malin, enfin, on a vécu beaucoup de choses…

Elisabeth étreint Mickey, qui semble pleurer.

Mickey : regarde ça, je me ramolli dans mon vieil âge.  

Elisabeth : je serais toujours la petite fille que tu aimes.

Mickey sourit.

Mickey : bon, je t’attendrai à l’autel.

Elisabeth : hein… ?

Mickey : tu as bien besoin de quelqu’un non ?

Elisabeth : oui, merci Mickey.

Mickey ressort, James arrive.

Elisabeth : mon frérot.

James et Elisabeth s’étreignent.

James : alors maintenant c’est ton tour.

Elisabeth fanfaronne.

Elisabeth : ah ah, tu vois, même moi je me suis laisser passer la bague au doigt.

James s’approche de sa sœur.

James : Papa et Maman seraient fiers de toi.

Elisabeth : peut-être…

James : allez, vient, c’est l’heure.

James et Elisabeth sortent de la pièce.

Mélanie : ça devait être un mariage somptueux !  

Elisabeth : oh oui, même l’Oiseau Tonnerre a fait le déplacement, ça a été vraiment le plus beau jour de ma vie.

Mélanie : j’aurais voulu voir ça !

Elisabeth prend une mine sombre.

Elisabeth : je me rappelle que quelque années après votre naissance, c’est à partir de ce moment que les choses se sont gâtées.

Mélanie : comment ça « gâté » ?

Elisabeth : il est mort cette année-là.

Mélanie : et comment ?

Elisabeth : une femme, avide de pouvoir, et voulant le pouvoir de ton père…  

Mélanie déglutit.

Mélanie : comment elle s’appelait ?

Elisabeth semble trembler.

Elisabeth : Maria.

Encore elle ! Mais du coup, je n'ai aucune raison de ne pas aimer Marc ?

Tant mieux !

Et voilà la suite !

Mélanie tremble, le simple fait d’évoquer ce nom lui fait peur.

Elisabeth : je me rappelle que c’était un jour normal…

Elisabeth  parle avec Marc, elle semble inquiète.

Elisabeth : Marc, j’ai vraiment peur pour toi, les attaques et menaces de la semaine dernière me font penser que tu ne devrais pas y aller.

Marc prend les mains d’Elisabeth.

Marc : Ne t’inquiète pas Elisabeth, je vais juste voir Mickey pour lui parler de cette horrible femme, ensuite je reviens, et je pourrais préparer le repas pour nos 2 ans de mariage.

Elisabeth : je sais… Mais fait attention, je t’en supplie.

Marc : ne t’inquiète pas, je reviens ce soir.

Elisabeth : reviens-moi vite.

Marc embrasse Elisabeth.  

Marc : je te le promets.

Il part, des heures passent, Mélanie regarde ces dessins-animés préférés, ceux de Mickey.

Marc arrive au manoir, Mickey l’attend sur un fauteuil.

Mickey : alors Marc, il parait que tu as aperçu Maria Ravenswood.

Marc : oui, elle menace notre famille.

Henry 1er arrive, visiblement fatigué.

Henry 1er : j’ai guetté toute la nuit, pas de trace d’elle, elle se cache sûrement.

Un cri vient de la bibliothèque.

Henry 1er : Lana !!

Marc, Henry et Mickey se précipitent au sous-sol, Maria vient d’attraper Lana, et l’étrangle en rigolant.

Henry 1er : Maria !

Maria se retourne.

Maria : TOI !!!

Maria serre encore plus la gorge de Lana.

Mickey : Lana !

Mickey se précipite vers Lana, et arrive à l’extirper de son étreinte.

Maria : je me suis juré… de te tuer quand je reviendrai !!

Prudence arrive, enceinte.

Prudence : Henry ?

Henry se retourne.

Henry 1er : Prudence, retourne vite en haut.

Maria se retourne en gigotant, ses yeux virent au rouge sang.

Maria : une femme… ENCEINTE en plus ??!! Alors que tu as osé me voler ma fille… Ma petite Leota !!

Maria sort un pieu de bois, et fonce vers Prudence, soudain quelqu’un s’interpose, Prudence ouvre les yeux, Marc vient de s’interposer.

Mickey : non… Marc !!

Maria enfonce le pieu une fois de plus, et s’acharne, Marc l’attrape par le bras, ses yeux verts brillent.

Marc : Moi serviteur de l’Ours de vie, te promet que face à mon enfant, tu seras faible, la justice ne te sera jamais rendue avec cette violence.

Marc tombe à terre, ensanglanté, Maria disparait avec ses yeux virant au vert.

Mickey : Marc !

James et Emilie arrivent, et voient le corps sans vie de Marc.

James R : il faut appeler Elisabeth.

Le soir venu, Elisabeth fait les cents pas.  

Elisabeth : mais où est-il ?

Mélanie : Maman ? Il est où Papa ?

Elisabeth : attend ma chérie, maman va appeler papa.

Elisabeth prend son portable.

Elisabeth : Allô ? Marc ?

Vous êtes bien sur le répondeur de Marc, laissez moi un message, je dois être avec ma petite fille et ma femme adorée !

Elisabeth : Marc, répond-moi s’il te plaît, je suis très inquiète.

Quelqu’un décroche le téléphone.

James R : vient nous voir.

Elisabeth prend Mélanie et part vers le manoir, quand elle arrive, Emilie lui ouvre.

Emilie : vient.  

Elisabeth : qu’est-ce qu’il se passe ?

Angelina : je vais m’occuper de Mélanie.

Angelina prend Mélanie dans ses bras, et part vers une autre pièce.

Emilie : Elisabeth, soit forte surtout.

Mickey apparait près d’Elisabeth.

Mickey : nous sommes avec toi.

Elisabeth arrive dans la salle à manger, James et Henry sont accroupis autour de quelqu’un.

Elisabeth : poussez-vous !

James et Henry se retirent, sur le sol Marc git avec les une trace de pieu dans le ventre.

Elisabeth : non… Dites-moi que c’est pas vrai !!

Elle pose sa tête sur le torse sans vie de Marc.

Elisabeth : non, pourquoi ?! Qui a fait ça ?!

James : c’est Maria.

Emilie : vient Elisabeth.  

Elisabeth : non !!! Non !!!

Elle pleure dans les bras d’Emilie.

Henry 1er : on ne peut pas le laisser là.

Mickey recule, il ne supporte pas la vue du corps.

James R : il faut le porter… Autre part.

James et Henry portent le corps de Marc.

Elisabeth : non !

Elle se précipite vers le corps, Mickey la retient par le bras.

Elisabeth : laisse-moi, laisse-moi, ne me l’enlevez pas, je ne veux pas perdre quelqu’un d’autre !!! Marc !!!

Elle tombe par terre, Mickey la retenant.

Mickey : là, là.

Elisabeth reprendre ses esprits et sèche ses larmes, sa fille la regarde.

Mélanie : Donc c’était Maria…

Elisabeth : cette femme…

Mélanie : qu’est-ce qu’elle est devenue ?  

Elisabeth : aucune idée, enfin, depuis elle est de retour.

Elles continuent de marcher dans le tunnel.

Mélanie : ça fait combien de temps qu’on marche là-dedans ?

Elisabeth : facile 1 heure.

Mélanie semble étonnée.

Mélanie : comment un tunnel qui rejoint la montagne au manoir peut être aussi long ?

Elisabeth : Henry à fait des détours pour ne pas être repéré facilement.

Mélanie : de sacrés détours.

Elles continuent de marcher, jusqu’au moment où elles arrivent sur du bois.

Mélanie : on est presque arrivé je pense.

Elisabeth : fais attention, là où nous allons,  il va falloir être sur nos gardes.

Elisabeth arrive devant une vieille porte en bois.

Elisabeth : c’est ici.

Magnifique... J'adore!!! J'ai hâte d'avoir la suite...
Pauvre Elisabeth... Elle n'a vraiment pas de chance.
Où mène cette porte en bois?? A une mort fatale?!? Plus il y a de mort mieux c'est....

Plus il y a de morts, mieux c'est ? Eh ben on pense pareil
C'est dans ces moments que je me dis que j'aimerais bien que BTM soit thématisé aussi dans les parties sombres, comme ça on pourrait découvrir de nouveaux détails pendant les évacuations... *Rêve de dérangée mentale*

Alors, vous qui appréciez la mort, j'ai commencer à écrire la fin, et je peux vous dire que 2 personnages importants vont mourir, lesquels ? Je vous laisse parier sur le funeste destins de chaque personnage, bonne nuit

Elizabeth et Mélanie, hématome cérébral après s'être faites assommer par la ou les personnes qui guettaient de l'autre côté de la porte, pas de soins apportés assez vite, donc couic ! C'est marrant on dirait un Cluedo x)

Je peux dors et déjà vous dire que vous serez sûrement surpris

Et voilà une suite un peu plus petite  

Mélanie essaye de l’ouvrir, mais elle reste fermée.

Une voix s’élève venant de la porte.  

Mot de Passe ?

Elisabeth : un mot de passe ? Mince Henry ne m’a rien dit sur ça.

Mélanie : je peux essayer quelque chose ?

Elisabeth : oui bien sûr.

Mélanie : mot de passe : la clef du mystère est dans les livres.  

La porte s’ouvre.

Elisabeth : comment tu as deviné ?

Mélanie : il le dit souvent.

Elisabeth : ah, je vois, donc c’est bien Henry 1er qui a trafiquer le tunnel, bien que je ne l’ai jamais entendu dire ça…  

Elles rentrent, une petite pièce se trouve juste derrière.

Elisabeth : c’est aménagé.

Mélanie : mais comme tout à l’heure, c’est vieux et poussiéreux.

Des bruits de pas viennent de l’étage au-dessus.

Phantom : où en est le prisonnier ?

Sbire : aucune idée.

Phantom : et les deux autres ?

Sbire : disparues dans la nature.

Elisabeth : il faut aller aux cachots, et ensuite on va essayer de régler le compte de Phantom.

Mélanie : d’accord.

Elisabeth et Mélanie montent l’escalier, et arrivent dans la salle de bal.

Mélanie : la salle de bal est vide.

Elles se dirigent vers les cachots, ils sont cachés dans un sous-sol.

Mélanie : il y a sûrement des gardes.

Elisabeth : sûrement.

Elisabeth entre dans les cachots, une personne les surveille.

Sbire : tu vas parler oui ?!

Mickey : jamais !

Une onde de choc s’abat sur lui.  

Mickey : achevez-moi, je m’en fiche, je ne vous dirais jamais où elles sont.

Elisabeth arrive derrière le sbire, et l’assomme avec une planche.

Elisabeth : heureusement qu’on est là.  

Mickey se lève difficilement.

Mickey : vous n’auriez pas du venir.

Mélanie : on est venus te sauver.  

Mickey : ils vont essayer de vous attraper.

Elisabeth : déjà, on te sort de là.

Mickey sort, et immédiatement il reprend des couleurs et ses pouvoirs.

Mickey : ça fait du bien.

Elisabeth : où sont les autres ?

Mickey : ils sont cachés dehors.

Mélanie : et Phantom ?  

Mickey : aucune idée, il se déplace sans arrêt.

Une ombre apparait près du groupe.

Phantom : et j’ai toujours un coup d’avance.

Elisabeth : hein quoi….

Phantom attrape Elisabeth par la gorge.

Phantom : toi ! Tu n’a pas finit de me causer des ennuis !

Elisabeth : John ! Je sais que tu es encore là ! Combat ce monstre !

John : pourquoi je le combattrais ? Il ne m’a apporté que du bien ces derniers temps !

Mélanie : il te détruira !

Les yeux de Phantom semblent tourner au rouge et doré.

Phantom : mais non. Elisabeth, je vais t’amener à une vieille amie.

Elisabeth : comment ça ? Lâche-moi !!

Phantom : quant à toi Mélanie, je te réserve un sort différent.

Mickey : oh non, je ne pense pas.

Mickey se téléporte dans une chambre avec Mélanie.

Mélanie : Comment on va faire pour ma mère ?

Mickey : déjà, il faut libérer les autres !

Mélanie : Et comment ?

Mickey : J’ai mes astuces.

Ils descendent dans la bibliothèque.

Mélanie : logiquement, il y a un sbire.

Mickey : attend, je vais m’en occuper.

Mickey se téléporte au dessus du sbire, qui se rend compte de sa présence.

Sbire : toi !

Elle lui donne un coup dans le nez.

Mickey : Attend, ne me dit pas que tu es…

Il attrape le sbire, et lui enlève son masque.

Mickey : Kate !

Mélanie : Kate ?

Kate se relève face à Mélanie.

Kate : qu’est-ce que tu fais là ?

Mélanie : et toi ? Comment as-tu osé le rejoindre ?!

Kate : il a le pouvoir, et le pouvoir me plaît.

Mélanie la gifle.

Mélanie : espèce de folle !

Mickey assomme Kate.

Mickey : on ne peut rien y faire.

Mickey commence à détruire le mur de briques, Prudence et Emilie sont assises face à face, Laura est dans un coin de la pièce, à moitié endormie.

Prudence : Mickey…

Mickey s’approche des deux femmes.

Mickey : Emilie, Prudence…

Emilie ne lève pas les yeux, elle est dénuée d’émotions.

Laura s’approche de Mickey, en sanglotant encore un peu.

Laura : Maman… Et Emilie… Elles ne peuvent plus parler…

Mickey : calme-toi Laura…

Laura : mais tonton Mickey… Elles sont comme mortes !!!

A ces paroles, un mur se détruit.

Mickey : non, Laura, calme-toi, regarde-moi, calme-toi.

Laura se remet à pleurer.  

Laura : mais Papa… Et maman…. JE NE VEUX PAS LES PERDRE !!!

Un autre mur tombe.  

Mickey : allons, allons.

Mickey prend Laura dans ses bras, elle semble se calmer.

Laura : Ton…tonton Mickey…

Mickey : là, là, ça va aller.

Laura se calme, et s’assoupie dans les bras de Mickey.

Mickey : bon, bah, elle vient avec nous.

Mickey porte Laura, et se met à monter les escaliers.

Mélanie : où a été amenée ma mère ?

Mickey déglutit.

Mickey : elle est chez Maria.

Henry 1er : oh non ! Il faut vite aller la chercher, direction le fond du manoir.

Mélanie et Mickey sursautent.

Mélanie/Mickey : Henry ?!

Henry se retourne.

Henry 1er : bonjour vous.

Ils courent vers le fond du manoir, et arrivent devant une pièce avec une porte rouge.

Henry 1er : c’est ici, mais je vous préviens, Maria fera tout pour vous convaincre qu’elle ne vous veut que du bien ! Elle ment évidemment, et elle n’hésitera pas à vous tuer.  

Des cris viennent de la pièce.

Mélanie : Maman !

Mickey : fait attention Mélanie, Maria sait créer des illusions, elle est dangereuse.

Mélanie hoche la tête.

Henry 1er : préparez-vous.

Il ouvre la porte, ils entrent tous dans la pièce obscure.

J'adore l'arrivée de Henry 1er en mode "coucou c'est re-moi, je vous ai manqué ?" xD

Je veux la suite ! C'était trop court ! ^^

Ah bah on ne change pas, Henry a toujours été comme ça ^^ J'ai pratiquement terminer d'écrire, et honnêtement les personnages morts me donnent des remords... Mais bon ^^

Et voilà la suite !

La porte se referme subitement.

Mélanie : Henry ? Mickey ?  

Mélanie cherche partout autour d’elle, les autres ont disparus.

Mélanie : où êtes-vous ?!

Une personne apparait au fond de la salle.

Marc : Mélanie ? Ma chérie c’est moi ton papa !

Mélanie se met à sangloter.

Mélanie : Papa…

Elle court vers lui, et se rend compte de quelque chose, ses yeux virent au rouge sang.

Mélanie : non, vous n’êtes pas mon père !

Marc : mais voyons, c’est moi Mélanie ! Ton frère John nous attend !

Mélanie s’énerve de plus belle.

Mélanie : non ! Mon père ne savait pas que maman était enceinte de John avant de mourir ! Et en plus, John est Phantom maintenant, alors arrêtez de me mentir !

Marc se transforme en Maria.  

Maria : bien, tu es très perspicace, voyons voir si tu résisteras à cette illusion.

Mélanie se retrouve au milieu du manoir, devant sa chambre.

Mélanie : qu’est-ce que c’est ?  

Dans le couloir, sa grand-mère (dans sa jeunesse) en train de courir.

Mélanie : Grand-mère ?

Mélanie coure avec elle, et essaye de la rattraper.

Minuit sonne, elles arrivent dans la salle qui s’étire, un homme est pendu.

Mélanie : non, pas ce cauchemar !!

Mélanie tape contre un mur, et se retrouve dans la pièce sombre.

Mélanie : arrêtez maintenant !

Maria : oh mais ma chère, toi et ta mère vous allez mourir ici !

Quelqu’un lui saute dessus.

Maria : lâche-moi !!!

Léo : va chercher ta mère, et vite !

Mélanie coure vers le fond de la pièce, et voit sa mère allongée sur le sol.

Elisabeth : Mélanie ?

Mélanie : Maman ! Dépêche-toi, il faut qu’on s’en aille !

Mickey et Henry les rejoignent.

Mickey : attendez, je vais chercher Laura !

Henry : Qui ça ?

Mélanie s’arrête.

Mélanie : attendez, Maria ne connait pas le nom des enfants d’Henry !  

L’illusion se détruit, Mélanie fait face à Maria.

Maria : tu es assez coriace.

Mélanie : tu n’as même pas idée.

Maria : tout n’était pas une illusion, effectivement tu es sortie avec les autres, mais grâce à mon illusion, tu es rentrée ici toute seule.

Mélanie : mince….

Maria : personne n’a jamais réussis à vaincre mes illusions !

Mélanie : comment ça ?

Maria : à ton avis ? Comment Henry a-t-il trouvé Leota ? Qui lui a montré la pièce pleine d’or ?

Mélanie reste abasourdie.

Mélanie : ah vous êtes sûr que personne ne peut vous battre ?

Maria : comment ça ?

Mélanie : vous projetez une illusion sur un miroir depuis quelques minutes.

Maria : quoi ? Non !

Mélanie sort de la pièce.

Maria : non ! Je n’arrive pas à m’arrêter !

Mélanie referme la porte.

Mickey : tu as réussis à sortir !

Mélanie : oui, elle est coincée dans ses illusions.

Elisabeth : allons chercher les autres.

Ils partent en direction de la sortie du manoir, et aperçoivent les autres.  

James : on vous attendait !

Mélanie : le tunnel était très long, et Maria…

James : et tu t’en ai sorti ?

Mélanie : et bien, oui.

James : et bien félicitation !

Elisabeth : elle l’a coincé dans une de ses illusions, en se regardant dans un miroir.

James : je n’aurais pas pu trouver mieux !  

Elisabeth vacille contre James.

Elisabeth : j’ai dû lui refaire face… Je…

James la prend dans ses bras.

James : je sais, je sais.

Mélanie : tante Angelina !

Angelina : ça me fait plaisir de te revoir ma chérie.

Elisabeth : bon, maintenant, il va falloir trouver un moyen de sauver John des griffes de Phantom.

Mélanie R : vous aurez besoin d’aide.

Mélanie : Grand-mère ?

Mélanie vient d’apparaitre à côté de sa petite-fille.

Elisabeth : comment ça grand-mère ?

Mélanie  : c’est une longue histoire.

Thomas : et bien, personne ne m’a attendu on dirait !

Elisabeth: Papa?

Thomas : Bonjour Elisabeth.

Elisabeth avance pour étreindre son père.

Elisabeth : je n’ai pas eu assez de temps avec toi et maman…

Thomas : je sais, mais tu es une grande personne maintenant.

Elisabeth : vous me manquez tellement…

Thomas : ne t’inquiète pas, nous avons veillé sur toi pendant tout ce temps.

Mélanie R : nous avons été là pour ton frère et toi.

Mélanie : Elle dit qu’elle a toujours été là pour ton frère et toi.

Elisabeth : Maman, j’aimerai te voir.

James : ça devrait être possible.

Mélanie : Tonton James ?  

James : Oui, il y a un moyen.

James avance vers Mélanie.

James : où est-elle ?

Mélanie : juste à côté de moi.

Un rayon blanc sort des mains de James, il rapproche ses mains de Mélanie.

Un éclat brillant survient juste à droite de Mélanie, et sa grand-mère apparait.

Mélanie R : Les enfants !

Elisabeth : Maman, tu m’as manquée !

Elle coure étreindre sa mère.

Elisabeth : tu me manque tellement… J’ai du me passer de vous deux, pendant tellement d’années…

Thomas : nous savons, mais tu savais que tes parents n’étaient plus tous jeunes.

Mélanie : je ne voudrais pas vous déranger, mais ça serait bien d’y aller !

Mickey : elle à raison, allons-y !

Ils repartent vers le manoir, la garde commence à être renforcée, Henry s’éclipse vers sa bibliothèque.  

Henry range ses livres dans la bibliothèque, Kate est attachée à un siège.

Kate : hein, quoi, qu’est-ce que je fais attachée ?!

Henry 1er  : tu resteras attachée ici pour le moment.

Kate : Phantom te tueras, comme tous les autres !

Henry 1er : et il finira par se tuer lui-même crois-moi !

Kate : comment ça ?

Henry se tait, et continue son rangement.

Prudence arrive vers la pièce.

Prudence : Hen… Henry !!

Henry se retourne, et part embrasser sa femme.

Prudence : je pensais que tu… Je…. Henry…

Henry 1er : chut, allons.

Il étreint sa femme, et s’assoit face à Kate.

Henry 1er : laisse-moi te raconter un petit morceau de ma vie, tu veux bien ?  

Henry se rappelle, il venait de s’émanciper de sa famille, les Flinwoods.

Henry marche dans une rue, il est habillé chiquement, il n’a plus les cheveux gris.

Henry : alors, mon rendez-vous doit être vers…

Il regarde sa montre.

Henry : mais c’est que je suis en retard !

Il se met à courir dans toute la rue, et enfin arrive devant une grande maison.

Henry : pile à …. L’heure….. !

Il hoquète un peu, et entre.

Une personne l’accueille.

Watson : Henry ! Nous t’attendions.

Henry rentre dans la maison, trois autres hommes sont assis autour d’une table.

Winston : Henry, nous devons te parler de quelque chose d’important.

Henry 1er : c’est-à-dire ?

Wilbur : Pour être honnête, ta femme devient étrange depuis peu.

Henry semble s’énerver.

Henry 1er : nous ne sommes pas ici pour parler des agissements de Maria, mais du déroulement des mines de charbon.

Winston : oui, bien sûr.

Le soir venu, Henry rentre chez lui.  

Henry 1er : je suis rentré !

Toby : papa !

Henry 1er : fiston, alors l’école aujourd’hui ?  

Toby : Instructif, si on peut dire.  

Henry : où est maman ?

Toby : elle fait de la couture dans le salon.

Henry va vers le salon, et voit sa femme en train de fabriquer une sorte de costume.

Henry : chérie ?

Maria ne bouge pas.

Maria : bonsoir mon cher.

Henry : que se passe t-il ?

Maria : j’ai eu vent de ta supposée réputation.  

Henry déglutit.

Henry : ma chère, vous savez bien que ces accusations sont infondées…

Maria : Comment pourrais-je vous croire ?! Je ne sais rien de vous, et pourtant nous avons deux enfants ensemble !

Henry : je sais mais…

Maria : et moi Henry, pense à moi ! à chaque rencontre avec des amies, elles craignent qu’un démon ne surgissent, et ce démon c’est toi !  

Henry : penses-tu que j’ai envie d’être comme ça ?!

Maria : à quoi bon vivre dans notre situation !

Henry reste muet, et s’assoit sur un fauteuil.

Henry : Si vous pensez ça ma chère, alors nous n’avons plus rien à nous dire.  

Henry monte à l’étage, et voit une petite fille en train de dormir.

Henry : ma petite Leota…

Il sort de la maison, et semble pleurer.

Henry : pourquoi ai-je fais ce choix…

Il marche dans la rue, il semble très mélancolique.

Henry : si je n’étais pas devenu un démon…

Soudain quelqu’un l’attrape et le plaque contre le mur.

Winston : je sais que vous êtes un démon.

Henry : Winston, mais…

Winston : je ne vais vous laisser qu’un choix, soit vous vous rendez à notre « cercle », soit nous allons prendre votre fille pour en faire une des nôtres.

Winston lâche Henry, et disparait dans l’obscurité.

Henry : mon passé me rattrape…  

Une voix semble rigoler dans la tête d’Henry.

Henry : non, laisse-moi, je ne t’ai pas scellé pour que tu reviennes…

Henry retourne chez lui, un de ses yeux est en partie violet.

Youpi, on va en savoir plus sur Henry ! <3 J'aime ce programme !

Je suis bien content que ce programme te plaise, je suis en train de préparer quelque chose pour après ce scénario, vous n allez pas être déçus

Bonsoir ! Je suis là pour donner quelques nouvelles, mon ordinateur étant tombé en panne à cause d'Henry (il a pensé qu'il était judicieux de boire au dessus du clavier) enfin passons, mon scénario est en stand by en attendant que les réparations soient faites (Tigron est surbooké voyez-vous), les aventures de Mélanie et Mickey reviendront bientôt bonne nuit !

Bonsoir tout le monde, ayant récupérer mon scénario (après quelques problèmes) je suis heureux de vous annoncer que Mickey et les Ravenswood reviennent dès demain après-midi, alors à demain !

Et voilà la suite et la fin de Mickey et les Ravenswood partie 3, j'espère que vous aimerez autant que moi, bonne lecture !

La maison est sombre, Maria est partie se coucher.

Henry : ma… ma potion, c’est ça !

Il ouvre un tiroir, et sort une fiole dorée et rouge.

Henry : voilà, c’est parfait !

Henry en boit le contenu, son œil redevient marron.

Henry : heureusement… que…

Soudain il se met à convulser, ses yeux reviennent au violet.

Henry : non, pas encore !!

Il tombe à terre, et regarde au-dessus de lui, il voit des chaussures cirées noires devant son visage.

Henry : non, pas toi…  

Phantom : Si, moi.

Phantom sort de la maison, laissant Henry inconscient.

Le lendemain matin…

Quelqu’un tape la joue d’Henry, il n’arrive pas à se réveiller.

Leota : papa ?

Henry entrouvre les yeux, sa petite fille aux cheveux argentés la regarde, étonnée.

Leota : qu’est-ce que tu fais par terre papa ?

Henry tente de se lever, mais son mal de crâne le cloue au sol.

Leota : maman !

Maria arrive en courant.

Maria : mon dieu, Henry !

Elle se précipite vers Henry, et l’aide à se relever.

Maria : que t’est-il arrivé ?

Henry : il a recommencé…

Maria caresse la tête d’Henry.

Maria : chut, repose-toi, repose-toi.

Henry s’assoupit, Maria semble avoir un rictus.

Henry se réveille, il est assis dans son fauteuil.

Henry : quelle nuit…

Il tente de s’agiter, il est enchaîné.

Henry : hein, pourquoi… Maria !

Henry aperçoit une conversation entre Maria et un homme en blouse blanche.

Maria : Docteur, j’aimerai que vous guérissiez mon mari, il recommence… sa démence.

Le docteur s’approche, un sourire narquois sur les lèvres.

Docteur Hatchaway : alors, comme ça on a recommencé ces crises Mr Flinwood ?

Henry tente de se lever, un œil virant au rouge.  

Henry : ceci… n’est pas mon nom.

Docteur Hatchaway : aux dernières nouvelles, vous vous êtes émancipé, mais votre nom reste le même.

Henry essaye de se débattre, le docteur le plaque contre son siège.

Docteur H : allons, ça va passer vite, une petite concoction vous remettra sur pied.

Henry arrête de se débattre, et sort sa montre à gousset.

Henry : quel… Quel jour sommes-nous ?

Doc H : Mercredi, vous avez dormit deux jours.

Henry semble paniqué.

Henry : deux jours, non, pas deux jours, pas déjà !!

Le Docteur tient la bouche d’Henry, et lui verse un liquide noir.

Doc H : voilà, c’est fait.

Henry convulse, ses yeux alternent le rouge, le marron, le violet.

Henry : ça fait deux jours… Ils vont prendre ma fille…  

Maria : que vient-il de dire ?

Le Docteur empêche Maria d’approcher.

Doc H : un délire dû à sa démence, ne faites pas attention.

Henry se met à bouger frénétiquement.

Henry : Leota… Leota !!!

Henry aperçoit une ombre monter à l’étage, il brise ses chaînes d’un coup, et court à l’étage, poursuivis par sa femme et le docteur.

Henry : Leota !!

Une femme souriante se retourne, et prend la petite Leota.

Panthère : coucou toi.

Panthère disparait avec Leota.

Henry : Non, laissez-la !!!

Le docteur le plaque d’un coup contre le sol, et le force à ne plus bouger.

Henry : non, lâchez-moi !!!

Maria arrive devant la chambre, horrifiée.

Maria : ma petite fille… Qu’as-tu fais Henry, qu’as-tu fais ?!

Henry se fait assommer par le docteur.

A son réveil, il est dans la rue.

Henry : hein… Maria… ?

Il se lève, et rentre chez lui, Maria est debout dans le salon, les yeux vides.

Maria : notre petite fille Henry, ta nature  a causé l’enlèvement de notre fille !!!

Henry s’approche encore dans les vapes.

Henry : ma nature… Mais c’est ton docteur et TA folie qui a causé ça !

Maria court vers Henry et brandit un couteau.

Henry : Maria, fait attention à ça, surtout, fait attention.

Maria : tu vas chercher notre fille, et tu vas la ramener, sinon je te jure que je te taille un sourire d’une oreille à l’autre !

Henry part en courant de chez lui.

Henry : Mais je ne sais pas où elle est…

Il marche dans les rues sombres de Londres, et d’un coup, il a un rictus répété sur le muscle de sa bouche.

Phantom : tu sais, je peux la retrouver.

Henry : non… Tu vas me causer des ennuis.

Phantom : de nous deux, c’est moi le plus lucide sur notre personnalité.

Henry se pose contre un mur.

Henry : bon, vas-y.

Phantom : parfait !

Henry change d’apparence, et prend la forme d’un homme au costume violet et rouge, avec un masque de squelette et un chapeau haut-de-forme.

Phantom : bon, je crois sentir sa présence deux rues plus loin.

Phantom se précipite à toute vitesse deux rues plus loin, et tombe sur un vieux bâtiment, la porte est entrouverte.

Phantom : si la fille de cet avorton est ici, je pourrais enfin me reposer tranquille…

Phantom pousse la porte pensant être triomphant, il voit plusieurs personnes masquées, à l’effigie d’une Panthère, et d’un Ours, ils sont tous en cercle autour de la petite Leota.

Panthère : tient ! Notre cher invité à bien daigner venir !

Le groupe se met à rire, Phantom replace sa cape d’un air hautain.

Phantom : écoutez, bande de fanatiques, je suis là pour ramener la petite à son père, alors vous allez me la rendre, et aucun mal ne sera fait.

Panthère pouffe de rire, et tend la main vers la petite Leota, qui d’un coup se met à crier de douleur.

Leota : papa !!! ça fait mal !

Les yeux de Phantom tournent au rouge sang.

Phantom : que lui faites-vous ?!

Panthère se retourne avec un sourire maléfique aux lèvres.

Panthère : je fais le lien avec l’Ours de vie.

Les yeux de Leota se remplissent de vert, quand soudain Phantom attrape sa fille, et la lance plus loin.

Leota : pa…papa…

Phantom sourit, un de ses yeux devient vert, il est prit de douleurs immenses.  

Phantom : c’est…insoutenable…

Un homme habillé de vert s’avance vers lui, dans une lumière éclatante.

Ours de Vie : Henry, mais que penses-tu faire en me retirant mon subordonné ?

Phantom lève la tête, l’homme est à peine distinguable.

Phantom : je veux sauver… sa fille…

Ours de vie : Mais Phantom, c’est ta fille.

Phantom écarquille les yeux.

Phantom : nous… nous ne sommes pas la même personne, voyons.

L’homme rigole.

Ours : tu as tellement de choses à apprendre, ta fille doit rester seule maintenant, elle vient d’hériter d’un pouvoir incommensurable.

L’apparition disparait, Phantom tombe dans les pommes.

A son réveil, Phantom est toujours dans le bâtiment, Leota est accroupie à côté de lui.

Phantom : Leota…

Leota : père, je comprend votre venue, mais maintenant, ce pouvoir qui m’a été offert doit être préservé, alors je pars, adieu.

Leota quitte le bâtiment, Phantom se retransforme en Henry.

Henry : Leota…

Henry regarde Kate, qui semble soporifique.

Henry : dit donc !

Kate se réveille.

Kate : hein, ah désolé, ça durait un peu longtemps, qu’est devenue Maria ?

Henry prend une mine sombre.

Henry : sa folie la mènera en prison, un jour elle a évadée, et s’en ai suivit différents évènements…

Prudence s’approche d’Henry.

Prudence : chéri, il faut aller aider Mickey.

Henry inspire un coup.

Henry : promet-moi une chose ma douce.

Prudence : oui Henry ?

Henry embrasse Prudence et lui prenant la main.

Henry : laisse-moi choisir la bague.  

Prudence : mais Henry…

Henry se lève, se transforme en Phantom, et part dehors.

De leur côté, Mickey et Mélanie sont rentrés dans le manoir.

Mickey : bon, la salle occupée par Phantom est juste à côté, alors ne fait pas de bruit surtout.

Mélanie : d’accord.

Ils avancent doucement vers la salle, mais elle est vide.

Mickey : mais où est-il ?  

Phantom : juste ici.

Phantom l’attrape, et le propulse à l’extérieur, en brisant la vitre principale du manoir.  

Phantom : alors tu pensais vraiment te débarrasser de moi comme ça ?

Mickey se relève difficilement.

Mickey : je pensais oui.

Phantom : alors, maintenant, qu’allons nous faire ?

Mickey : à mon avis, tu vas me tuer, ensuite tu t’occuperas des autres.

Phantom : très perspicace.  

Phantom 1er débarque à la porte du manoir.

Phantom 1er : je vais m’occuper de lui.

Il allume ses flammes à partir de ses mains.

Phantom 1er : Ta décision est prise Henry ?

Henry : oui, c’est irrévocable.

Il fonce vers Phantom, et se met à se battre contre lui.

Les acolytes de Phantom débarquent derrière lui.

Mickey : alors laissez moi deviner, Georges, Maria, et…

Le dernier n’est pas reconnaissable.  

Mickey : qui es-tu ?

Maria : aucune idée, il apparu, comme ça.

Georges : et si on s’occupait de ses deux là ?

James apparait derrière Mickey.

James : bien, nous on va s’occuper de vous.

Les yeux de James deviennent bleu azur, une aura blanche émane de lui.

Les trois acolytes foncent vers James et Mickey, mais le 3ème se détourne, et se retourne vers Georges et Maria.

Maria : que fais-tu ?!

??? : Je rejoins ma famille.

Il enlève son masque, c’est John, le frère de Mélanie.  

John : et je m’occupe de vous deux.

Il sort un sceptre qui se finit en lame.

Maria sourit, sa main se transforme émeraude.

Maria : j’aime ça.

Elle fonce vers John.

Georges : toi, infect erreur !

John combat Georges, et le plaque à terre.

Georges : lâche-moi !

John : retourne en enfer !

Il lui enfonce le sceptre dans le ventre, Georges disparait.

John : Mickey !

Mickey : John, depuis quand tu es là ?

John : quelques semaines, je t’expliquerai plus tard.  

John se retourne vers les Phantom.

John : Mickey, ne t’approche pas de Maria, elle est dangereuse.

Mickey : pourquoi ?

John : ne t’approche pas, c’est tout.

Mélanie coure se cacher dans un coin de Frontierland, mais se fait attraper par Maria.

Maria : tient, tient, que fais-tu là jeune fille ?

Mélanie : lâchez-moi !

Maria : oh, qu’elle est mignonne quand elle est effrayée !

Maria s’approche d’elle, faisant passer sa lame sur sa joue.

Mélanie : laissez-moi….

Mickey : laisse la tranquille !

Il frappe Maria, et récupère Mélanie.

Mélanie : Mickey !

Mickey : cours !

Mélanie part vers le manoir.  

Mickey : pourquoi es-tu comme ça Maria ?!

Maria : Oh, un certain petit avorton qui m’a voler ma vie !!

Mickey : et tu oublis Toby.

La lame de Maria se rétracte, elle déglutit.

Maria : mon petit garçon…

Mickey : tu sais ce qu’il est devenu sans père, ni mère ?

Maria se retourne, les yeux toujours écarquillés.

Maria : que lui est-il arrivé ?!

Mickey : il a eu une belle vie, mais il a marché sur les pas de son père et de sa mère, meurtres et horreurs !

Maria : tout ça à cause de lui…

Maria hurle de rage.

Maria : non !!!

Elle envoie Mickey balader.  

Maria : laisse moi et meurs !

Mickey part vers le manoir, et voit que Phantom a attraper Mélanie par la tête.  

Elisabeth : laisse-la !!

Mickey voit que Phantom prend possession du corps de Mélanie, qui gesticule de moins en moins.

Mickey : non…

Il regarde Phantom 1er, et soupire.

Phantom 1er : Mickey…

Mickey fonce vers Phantom, et l’envoie balader.

Mickey : toi contre moi ce coup ci !

Phantom sourit, et essaye d’attaquer Mickey, qui l’esquive et le plaque au sol.  

Mickey : contrairement à toi Phantom, je ne peux pas mourir.

Mickey entend un cri, Maria menace la petite Laura.

Phantom : à toi de choisir Mickey, prefers-tu sacrifier cette petite, ou ton parc chéri ?

Mickey se fatigue de plus en plus, mais finalement fonce vers Maria, et s’interpose entre elle et Laura.

Phantom 1er : Mickey !

Il se retourne, Phantom commence à disparaitre, laissant place à une entité plus grande.

Maria fonce vers Elisabeth, et tend sa lame avec un regard effrayant.

Maria : j’aurais dû le faire il y a longtemps !

Elle s’apprête à abaisser sa lame, Phantom s’interpose avec son bras qui brille d’un violet fantomatique.

Phantom 1er : sauve-toi Elisabeth :

Elisabeth court plus loin, et voit que Phantom faiblit.

Phantom 1er : que comptes-tu faire partenaire ?

Henry : je ne sais plus…

Phantom soupire.

Phantom 1er : tu ne me connais pas visiblement.

L’aura violette s’intensifie.

Henry : que fais-tu ?!

Phantom 1er : tu veux les sauver ou pas ?!

Henry reste muet, puis soupire.

Henry : j’ai été honoré de faire cette aventura avec toi.

Phantom 1er : moi aussi partenaire.

Elisabeth arrive, et voit Henry en train de disparaitre.

Elisabeth : Henry !!

Henry : merci les enfants, vous m’avez redonné l’espoir d’une belle famille Ravenswood.

Henry disparait en éclat, avec Maria qui disparait à son tour.

Elisabeth : non Henry, pas lui, non !

Mickey arrive et attrape Elisabeth.

Mickey : Lizzie, ne regarde que mes yeux, seulement ça.

Elisabeth : mais Mickey, pourquoi… ?

Elisabeth écarquille les yeux, un cristal d’émeraude est planté dans le cœur de Mickey, une partie de son cœur a disparue en éclat argentés.  

Elisabeth : Mickey, non, surtout pas, impossible…

Mickey : l’Ours de vie, il prend la vie, et la donne, et malheureusement il la prend aussi aux immortels.

Il commence à perdre des couleurs.

Mickey : prenez soin de Pluto, et surtout de Minnie…

Tigron : Mickey !!!

Mickey lève la main, Tigron se stoppe.

Tigron : d’accord.

Mickey regarde Elisabeth.

Mickey : tu étais comme ma fille...

Elisabeth sanglote.

Elisabeth : et toi comme mon père...

John s’est détacher de Phantom, il le cherche du regard.

John² : Phantom, où es-tu ?!

Des flammes s’allument devant le portail du manoir.

Phantom : rejoint moi !

Elisabeth : non John !

Elisabeth le rattrape in extremis.

John : mère…. Lâche-moi !

John saute dans les flammes, qui se referment sur lui.

Mickey continue de disparaitre.

Mélanie : Mickey….

Mickey : surtout, veillez sur votre famille…

Mickey disparait, ne laissant que des particules argentées dans l’air.

Tigron ramasse les particules, et les stocke dans son masque.

Tout le monde rentre chez soi, Tigron repart vers Mickeyville.

Il arrive chez Minnie.

Minnie : Mickey ?

Tigron fait non de la tête.

Minnie : Non, non !!

Elle s’adosse sur Tigron, et pleure.

Pluto sort dehors et hurle, la pluie tombe.

Tous les personnages Disney arrivent de tous les coins de rue.

Ils restent devant la maison, et forment une ronde.

Chez les Ravenswood, Mélanie est allongée dans sa chambre.

Mélanie : tous ces sacrifices…

Elle pose une peluche de Mickey sur sa table de nuit.

Elle sort de sa chambre, part dans le manoir, trouve un coin sombre, et s’adosse assis contre le mur, elle prend ces genoux dans ces bras.

A l’extérieur, le parc est fermé, les bâtiments sont ternes et sans couleurs, une personne apparait en rigolant.

Tumnisius : hé ho, ho, me voilà aux fourneaux.

Il lance sa lance dans le vitrail principal du château, et fait chuter une des tours en rigolant.

Tumnisius : prenons nos quartiers.

Il fonce vers le manoir, et ouvre les portes, les Ravenswood le regarde avec terreur.

Tumnisius : je vais être honnête avec vous, on va s’amuser, mes règles, mes lois, ma direction !!!

Il rigole de plus en plus, à l’extérieur, les démons apparaissent, et sont plus nombreux que la dernière fois, ils remplissent le parc.

Tumnisius : c’est l’âge des démons.

A suivre : Mickey et les Ravenswood partie 4 : Renaissance

Et oui vous avez bien lu, Mickey et les Ravenswood n'est pas fini, la Renaissance est proche... Bonne fin de journée !

John ! Ce mec est vraiment increvable !
Et tu as encore tué Henry... Mais qu'a-t-il fait pour mériter ça ? xD