Ce n'est pas forcément le nombre de jours pour se rendre à DLP qui compte, mais peut être plus la capacité financière des ménages et l'envie d'y aller (rapport qualité/prix, adhésion au concept...) et d'y retourner (satisfaction, nouveautés, opportunités...).
Cela renvoie à la qualité de l'offre et à la politique tarifaire de DLP.
Mais ce n'est pas l'unique cause puisque le déficit paraît structurel : taille critique des parcs, hôtels, services de restauration.../nombre d'employés, charges diverses, factures énergétiques...