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| Nouvelles et fanfics en tout genre ! | |
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Jack-skellington
Âge : 26 Messages : 13 Localisation : Picardie 02 Inscription : 12/10/2012
| Sujet: Nouvelles et fanfics en tout genre ! Dim 21 Oct 2012 - 3:40 | |
| Bonsoir à tous, j'ai créé ce sujet pour que les écrivains en herbes puissent partager les récit et recoltent des conseils ou compliments. Je commence donc par une fan-fiction que j'ai faite sur Raiponce pour Halloween. Alors, deux choses : - J'ai écris ce texte pour halloween. Raiponce est donc déchaînée et effrayante ! J'avertis donc que cette nouvelle contient quelques scènes assez violentes. De plus, vous pourrez être surpris de voir votre princesse aux longs cheveux sous cette forme. - Je n'ai pas écris ce texte sur word. Je vais donc être obliger de le mettre en spoiler. Je suis désolé si des personne auront des problèmes pour lire. Voici donc ma nouvelle, "Cheveux mortels..." : - Spoiler:
Un hululement retentit. Il ouvrit les yeux et constata qu'il faisait encore nuit. Il bailla silencieusement puis fronça les sourcils. Il fallait qu'il le fasse. C'était LE prince charmant après tout, et cette liaison ne pouvait plus durer. Il se retourna dans le grand lit. Elle n'était pas à côté de lui. Il lâcha un soupir. C'était triste, ça allait lui faire un choc ! La pauvre ! Il balaya la pièce des yeux. Elle était spacieuse. Ils avaient trouvé cette maisonnette en chemin. La chambre était somptueusement décorée pour un habita comme celui-ci. C'était surement une maison de campagne de bourgeois : des chandeliers étaient posés sur des meubles de luxe. Il se retourna et la trouva. Elle était assise devant la coiffeuse, en train de brosser ses beau et très longs cheveux d'ors. Ceux-ci fesaient le tour de la pièce en spirale. Le prince contempla le visage de son amante dans le miroir. Elle était magnifique. Il plongea ses yeux dans les yeux de la princesse. Celle-ci sourit et posa la brosse. Toujours en le ragardant dans le miroir, elle lui demanda : "- Oh, mon amour ! J'espère que c'est pas moi qui t'ais reveillé ! - Oh non Raiponce, ne t'inquiéte pas, c'est pas toi. Tu n'arrives pas à dormir ? - Non pas vraiment ! - Pourquoi ?" Raiponce se leva. Des cheveux tombèrent, exibant le corp sublime de la princesse en habit d'Eden. Le prince rougit alors que la princesse se raprochait du lit en répondant : "- À ton avis ? - Écoute Raiponce, je ne pense pas que... - Chut, laisse moi faire !" La belle commenca à grimper sur le lit alors que le prince essayait de lui faire comprendre : "- Non, franchement Rai... - Tais toi ! Abandonne toi dans mes bras ! - Raiponce ! Ce que je veux dire c'est que nous... - Tss tss tss, détend toi ! - Raiponce ! Je te quitte !" La princesse se stoppa vivement. Elle recula de son bien aimé alors que des méches de cheveux rampaient sur son corp pour cacher les parties les plus intimes de celui-ci. Elle parut tout d'abord ahuri. Les yeux rond et la bouche à moitié ouverte, elle fixait son homme en s'appuyant sur la commode : "- Co.. Comment.. Comment ça ?" Le prince descendit sur lit et alla se tenir près de Raiponce pour se justifier : "- Écoute, je suis Le Prince Charmant ! Je vais secourir des dames comme toit dans l'avenir ! Je ne peux pas avoir une vraie relation ! Ce n'est pas ta faute, c'est à cause de ma fonction !" Raiponce resta debout comme morte pendant plusieurs secondes et s'affaissa devant la coiffeuse en se tenant le visage dans les mains et en éclatant en sanglot. Le prince essaya de la consoler mais le jeune femme le repoussa en pleurant. Elle expliqua entre deux sanglot : "- Et moi qui croyais que tout allais si bien !" Le prince, d'un air triste, insista : "- Je te l'ai dit, ce n'est pas ta faute !" D'un seul coup, la belle leva la tête et se regarda dans le miroir. Ses cheveux grouillaient parterre comme des asticots. Son regard se fit de plus en plus sombre alors que le prince reculait. La princesse cria : "- Comment tu peux me faire ça ? Moi qui ais tout fait pour toi par amours ! Je pensais que c'était réciproque ! J'ai souffert ! J'ai vécu exclu du monde dans une tour pendant 20 ans ! 20 ans à attendre l'amour ! Tu te rend compte ? Tu viens me délivrer et puis tu me dit que c'est pas possible ! Alors, je te préviens, soit tu reste avec moi et pour moi, soit tu en paye les conséquences !" La princesse au regard terrifiant avança alors que ses cheveux rampaient en direction du prince. Celui-ci recula en disant : "- Je suis désolé mais je peux pas ! - Très bien mon amour !" Des cheveux poussèrent une chaise dans le dos de la victime ce qui l'obligea à s'assoir. Des cheveux ne tardèrent pas à s'enrouler autour de lui, lui confisquant ainsi tout mouvement. Le prince commenca à montrer des mouvements de panique. Raiponce continua son discour sur un ton amoureux : "- Ça y est ! Maintenant, on va pouvoir vivre tout les deux : toi et moi... POUR LA VIE !" Elle laissa échaper un rire alors que ses cheveux flottaient en l'air. Des mêches noirs apparurent alors que la pièce tremblait. Le coeur du prince accéléra. Raiponce ne bougeait pas d'un cheveux alors que les livres de la bibliothèque dégringolaient et que les bouteilles de parfum tombaient en se cassant en milles morceaux. Et puis, le prince sentit comme une montée. Il écarquilla les yeux en regardant par la fenêtre : la pièce montait, Raiponce allait l'enfermer dans une tour !
Au bout d'un moment, la pièce ne bougea plus. Le prince fronça les sourcils alors que Raiponce ricana : "- Voilà, on est rien que tout les deux dans une tour ! Je t'ai enfin rien que pour moi mon ange, n'est-ce pas heureux ?" L'homme essaya de crier mais une mèche de cheveux s'enroula autour de sa gorge, l'empêchant ainsi de produire le mindre son. Et puis, il avoua dans son fort intérieur ce qu'il n'aurait jamais avoué : il était perdu ! Raiponce s'approcha de son prisonier. Ses cheveux rampaient dans toutes la pièce, glissants sur le murs, les sols ou même le plafond. Elle souria à sa victime. C'était un sourire satisfait, un sourire rassurant et surtout un sourire cachant bien son jeu. Le prince essaya de se défaire des mèches mais celles-ci le serrait continuellement, sans défaillir. Le prince voulu parler mais juste quelques sons étouffé sortirent du plus profond de sa gorge. Raiponce lui demanda alors qu'elle avait son visage à trentes centimètre de celui de son otage : "- Que veux tu dire mon coeur ?" La mèche serant le cou du malheureux se desserra et rampa pour aller se réfugier dans l'ombre. Le prince toussa et reprit son souffle alors que la jeune folle attachait mystérieusement des mêches de cheveux vers le plafond de la salle. Le prince la provoqua : "- Tu es une malade ! Pourquoi fais-tu cela ?" Raiponce se retourna vers lui : "- Mon amour, c'est par ce que je t'aime ! Je ne peux même pas imaginer une vie sans toi ! De plus, je suis sûre que c'est réciproque ! - Non, je ne crois pas que.. - Telle est notre devise : Toi..." La belle tira sur une mèche qui ferma les rideaux d'une des fenêtre de la chambre : "- Et moi..." Elle tira de nouveaux sur une autre mèche alors qu'un volet se fermait : "-Pour la vie !" Elle tira sur une plus grosse mèche qui fit se fermer tout les volets restant, créant ainsi le noir complet. Puis le prince devint ébahi. Il regardan autour de lui, les yeux écarquillés. Sur toute la surface des quatres murs était écris en peinture phosphorécente "toi + moi pour toujours". L'écriture était déchainée, comme possédée. Et pour la première fois, le prince eut peur. Il n'était pas seulement devant une femme jalouse. Il était devant une malade !
Raiponce lâcha un petit rire. Le prince plissa les yeux. Il put remarquer une ombre bouger dans la pièce. La forme ne changeait pas de place. Puis, une légère lueur apparut. La princesse avait allumé une bougie. Elle la tenait dans sa main, la cire coulant sur sa paume. Le prince grimaça de douleur pour elle mais celle-ci lui fit remarquer avec une pointe de colére : "- Quand le coeur souffre, plus rien ne vous fait mal !" La flamme s'intensifit, éclairant mieux l'entourage. Le prince put ainsi constater avec effroi que les mèches de la belles n'étaient plus que des serpents de chevelure tantôt sec, tantôt gras. Tous les "serpents" grouillaient à différents endroit de la pièce comme des vers de terre sur un cadavre. Le prisonnier releva un détail effrayant : les objets sur lequels passaient les mèches les plus fonçés disparaisaient, rongés la cette dangereuse chevelure. La mèche qui le retenait assis leva son extrémité vers le visage de prince et siffla tel un serpent-à-sonnette. L'homme prit du recule. Raiponce se dirigea vers le prince, toujours la bougie dans la main. Une mèche de cheveux passa près du pied de l'otage qui en profita pour marcher dessus. La princesse s'arrêta net et fut entrainée vers l'arrière. La bougie lui échapa des mains et tomba. Une mèche prit feux alors que Raiponce hurlait de douleur comme ci c'était une partie de son corp que l'on brûlait. Les liens qui serraient le prince tombèrent. Celui-ci, bien que fatigué, se leva. Il regarda autour de lui, agrippa un chandelier et mit un énorme coup à la princesse. Des petites tâches de sang recouvrirent la peinture fluorescente. Le prince assema un nouveux coup à Raiponce. Celle-ci recula, à moitié sonnée. Le prince prit de l'élan et assema un fort coup de pied dans le ventre de la princesse qui passa à travers une des fenêtre. Celle-ci se brisa en mille morceaux. Raiponce fit une chute impressionnante, à moitié envellopé par les rideaux. La prince se pencha au dessus du vide. Le corp de la belle était face contre terre, sa jambe droite et son bras gauche formant un angle inhabituelle. Elle ne bougeait plus, elle semblait être morte. Le prince poussa un soupir de soulagement. Il ferma les yeux pendant un instant et les ouvrit pour voir une dernière fois le cadavre de son ancienne bien-aimée. Il sursauta, les yeux écarquillés. Elle était là, à quelques mètres, le front en sang. Elle grimpait à la seul force de son bras droite, l'autre pendant lamentablement. Un rictus effroyable la défigurait alors qu'elle fixait le prince d'un regard assassin et amoureux à la fois. Elle agripait la pierre de ses ongles rougis jusqu'au sang et criait tout au long de sa montée : "- Comment tu as put me faire ça ? Tu es à moi ! Tu entend ? L'amour fait que tu m'appartient !" Ses cheveux grimpaient en rampant sur le flan de la tour. Le prince charmant couru jusqu'à l'armoire où il avair mit toute ses affaires. Il fouilla dans son sac. Il osa jeter un regard en arrière quand une main ensanglantée agrippa le bord de la fenêtre. Il retourna le contenu de son sac à bandoulière. Raiponce, pleurant toutes les larmes de son corps, avanca, son pied droite trainant sur le parquet. Ses cheveux étaient de plus en plus dangereux et terrifiants. Elle cria : "- Tu n'as pas honte ? Je suis une dame, tu n'as pas le droit de me briser le coeur ! Je..." Le prince se retourna, l'air menaçant et exibant un fusils qu'il chargea aussitôt : "- Sors de cette tour !" Raiponce éclata de rire alors que ses cheveux rampaient en direction du prince : "- Notre amour est bien plus fort que les balles !" Le prince fronça les sourcils : "- Très bien !" Il appuya sur la détente. La balle partie et frappa Raiponce dans son épaule qui fut entraînée vers l'arrière. Le prince tira une nouvelle fois. Le plomb atteind la cuisse de son adversaire qui ne monttra aucune faiblesse. Une autre balle partie et atteigni le front de la belle. Une goutte de sang tomba sur sa joue alors que la princesse continuait d'avancer, abordant un sourire sadique : "- Tu vois ? Je te l'avait dit ! Mon amour envers toi, mon coeur, est plus fort que toutes les armes du monde ! Viens te perdre dans mes cheveux. J'ai trouvé un moyen de te guarder avec moi pour toute la vie !" Elle plissa les yeux : "- Et même au delà !" Le prince lâcha son arme impuissante. Les yeux de la belle devinrent rouge sang. Elle hurla quand ses cheveux mortels se précipitèrent sur la victime. Celui-ci fit un geste rapide. Les cheveux se stoppèrent en plein vole vers leur proie et tombèrent sur le parquet. Raiponce regarda l'épée qui la transpercait de part en part et aborda un nouveaux sourire narquois : "- Tu crois vraiment qu'une simple épée pourrais le tuer ? - Non, pas l'épée !" La princesse fronça les sourcils alors que le prince précipitait l'épée contre un mur pour l'enfoncer, bloquant ainsi Raiponce. Celle-ci regarda l'épée et écarquilla les yeux. Elle essaya de la defaire du mur mais faute de force, elle dut vite laisser tomber. Elle cria : "- NON !" Elle se redressa et vit que le prince se dirigeait vers la fenêtre et s'apprétait à partir. Elle hurla : "- NON ! TU NE PEUX PAS PARTIR COMME ÇA ! TU M'APPARTIENS, TU ES À MOI ! J'AI TOUJOURS ÉTÉ LA POUR TOI, JE T'AI TOUJOURS AIMÉ !" Le prince s'arrêta séchement et se retourna aussitôt : "- Tu m'a toujours aimé ? C'est faux ! Ce que tu voulais, c'est juste une homme à toi ! M'as-tu déjà offert ton coeur ?" La princesse ferma ses yeux perlés de larmes et chuchota : "Attend !" Une mèche de cheveux rempa jusqu'à la figure de Raiponce et entra dans sa bouche. La princesse eu quelque geste de vomissement avant que la mèche sorte une chose du corps de sa maitresse. C'était une chose rouge sang qui battait de moins en moins régulièrement. La mèche tendit l'objet au prince. Raiponce, le souffle de plus en plus court, expliqua : "- Prend le... Je te l'offre..l" Les battements du coeur que le prince n'avait pas osé prendre dans sa main, ralentissaient alors que des larmes de sang coulaient sur le joues de la princesse. Ses cheveux devenirent progressivement rouge sang. La princesse caressa une dernière fois la joue du prince de sa main droite mais celle-ci tomba en cendre. Les battements s'arrêtèrent complétement et Raiponce ferma définitivement les yeux. Le prince decida de regarder une dernière fois le coeur de feu Raiponce. Mais celui-ci était déjà partie en fumée. Vous ne savez pas d'où proviennent les fête ? Suivez moi, voici l'entrée secrète ! |
| | | Jack-skellington
Âge : 26 Messages : 13 Localisation : Picardie 02 Inscription : 12/10/2012
| Sujet: Re: Nouvelles et fanfics en tout genre ! Dim 21 Oct 2012 - 3:42 | |
| J'attend vos avis, qu'ils soient mélioratifs ou péjoratifs. Ça fait toujours chaud au coeur à un écrivain amateur de se savoir lu ! Vous ne savez pas d'où proviennent les fête ? Suivez moi, voici l'entrée secrète ! |
| | | Clemsou
Âge : 24 Messages : 1109 Localisation : Le palais de glace en train de prendre le thé avec Elsa et Belle Inscription : 06/09/2012
| Sujet: Re: Nouvelles et fanfics en tout genre ! Dim 21 Oct 2012 - 10:40 | |
| Raiponce... Je la reconnais plus... En tout cas très bonne histoire je l au lu jusqu'au bout et je t ai vraiment senti très inspiré |
| | | Jack-skellington
Âge : 26 Messages : 13 Localisation : Picardie 02 Inscription : 12/10/2012
| | | | Jack-skellington
Âge : 26 Messages : 13 Localisation : Picardie 02 Inscription : 12/10/2012
| Sujet: Re: Nouvelles et fanfics en tout genre ! Sam 27 Oct 2012 - 11:06 | |
| Bonjour, voici une nouvelle histoire détournant cette fois le petit chaperon rouge toujours dans une ambiance glauque et macabre. Malheureusement, je vais encore la mettre sous spoiler ! Au plaisir d'être lu, voici "Le petit chaperon noir" : - Spoiler:
Il faisait froid. La lumière brillait au dela des arbres. Une branche craqua au loin. La jeune fille ne sursauta pas et continua sa marche. Elle était trop déterminée pour sursauter. Il faisait sombre, très sombre. Quelle idée de faire ça en pleine nuit ! Les feuilles tombait une par une mais quoi de plus normal en automne ? Un grognement retentit. La jeune fille accéléra en recouvrant ses cheveux de sa capuche en velour rouge. Elle fronça les sourcils, sûre d'elle. Elle le sentait, il approchait ! Elle était proche du but, il ne fallait pas qu'elle s'arrête. Un nouveau grognement se fit entendre. Elle serra le panier en osier qu'elle tenait dans sa main droite contre elle. Il était là, derrière un arbre. Lequel ? La jeune fille habillée d'un chaperon rouge l'ignorait mais elle en était sûre, il était present. Un hurlement à la mort retentit. Une goutte de sueur dégoulina de son front. Elle marcha toujours plus vite, à la limite de ma course. Puis elle s'arrêta. Elle senti un air chaud lui carresser les mollets. Elle se retourna doucement et écarquilla les yeux. Il était là, devant elle. Il était immense, les yeux rouges scintillants. Ses babines étants retroussés, la jeune fille pouvait voir les dents de la bêtes. Elles étaient pointus et tachés d'un liquide rouge. Hirsute, l'animal grogna. Les oreilles dressés, ses poils ébouriffés, il était prêt à sauter à tout moment pour dévorer sa proid et la déchiqueter. La jeune fille s'avait que ça allait arriver : la voilà devant le grand méchant loup ! Elle fixa les yeux de la bête qui grogna de plus belle. L'enfant glissa une main sous le tissu recouvrant son panier alors que de la bave coulait des babines du gigantesque loup. Elle sortit doucement une pierre et la jeta derrière l'animal. Alors qu'il se retournait, la jeune fille tourna les talons et couru. Elle couru comme elle ne l'avait jamais fait. Les arbres défilaient, la lune rayonnait, projetant ainsi des ombres inquiétantes. La cape rouge de l'enfant claquait au vent. Le panier bien en main elle courait, elle courait le plus vite possible. Elle ralentit et tendit l'oreille. Elle écarquilla les yeux. Il la suivait, elle entendait les bruit de sa course. Elle couru de plus belle alors que la bête se raprochait en grognant. La jeune fille commencait à être essoufflée. Le loup lança un terrible rugissement alors que la fille ralentissait. Il était plus qu'à une vingtaine de mètre de sa proid. Finalement, l'enfant s'arrêta et se retourna pour faire fasse à la bête qui fonçait vers elle. La fille ferma les yeux. Le loup qui était maintenant à moins de cinq mètres d'elle ouvrir son immense gueule, prêt à dévorer l'enfant. Mais celle-ci ouvrit les yeux, retirat rapidement un objet de son panier qu'elle fit tomber par terre et fronça les sourcils. Le loup se jeta sur la jeune fille qui hurla et qui lui enfonça profondément sa hache dans la boite crânienne. Elle répéta les coups, les deux mains agripant le manche de l'arme luisante à la lumière de la lune, hurlant à chaque nouvel impact. Le sang tachait les arbres alentour. Une fois le loup gisant par terre, l'enfant retira la hache tachée de liquide rouge, de la tête de la bête et la rangea dans son panier qu'elle récupéra. Elle regarda une nouvelle fois le cadavre de son ennemis d'un air satisfait. Elle était enfin arrivée à la maisonette de sa grand mère. Le chemin avait était dangereux et long mais ses parents lui avait dicté un ordre, il fallait qu'elle leurs obéissent. Elle poussa le petit portail en bois pourri et traversa le potager envahit d'herbe folle. L'enfant retira le tissu de son panier et prit une boite dans celui-ci. Elle regarda les recommandation inscrites dessus. Elle hocha la tête. C'était du poison à base de cyanure. Elle n'en avait jamais utilisé et elle devait s'asurer que la mort de la vieille se fasse avant minuit ce soir.. Il y avait une grande somme à la clef. L'héritage n'était pas des plus léger et de plus, la grand-mère avair perdu la tête depuis longtemps donc cet argent ne lui servait à rien ! Ses parents c'étaient mit d'accord qu'il fallait éliminer la vieille une bonne fois pour toute ! Et quoi de mieux qu'une petite fille innocente pour faire le boulot ? Normalement, elle touchera un tiers de la somme, ce qui est déjà beaucoup. Elle arriva devant la porte et toqua. Elle savait que sa grand-mère ne dormait pas à cette heure ci ! Une voix lui demanda : "- Qui est-ce ? - C'est votre petite fille, le petit chaperon rouge, qui vient vous rendre visite ! - Très bien, tires la bobinette et la chevillette cherra !" Le jeune fille qui ressemblait maintenant à une adolescente (le crime faisant vieillirent et rendant plus mûre) tira la chevillette. La porte s'ouvrir lentemant sur un salon. Dans un coin se tenait un vieux lit, les murs tachés de toute sorte de liquides étaient recouverts de tableaux de toutes dimensions et au milieu de la pièce se tenait une table à laquelle était assise une vieille dame qui tricotait. La jeune fille s'approcha et demanda de sa voix la plus mielleuse : "- Bonjour, que faites vous ? - Je te tricote un chaperon rouge ! - Vous m'en avez déjà fait cinquante ! - Oui mais comme ça tu en aura un pour chaque jour !" L'enfant demanda tout sourire : "- Voulez-vous une tasse de thé ? - Oui, je veux bien ! - Comme vous voudriez mère grand !" La jeune fille se dirigea vers la cheminée et fit chauffer de l'eau jusqu'à ébullition. Elle prit une tasse et déposa discrétement du poison dans celle-ci. Son plan était parfait ! Il ne manquait plus que la gâteuse boive la tasse ! Elle remplit le récipient d'eau brulante et alla se rasseoir : "- Tennez mère-grand, buvez le tout de suite ou il va refroidir..." La vieille fronça les sourcils : "- Pouah, du thé à la menthe ! Je déteste la menthe plus que tout ! Tu devrais pourtant le savoir !" La vieille fit tomber la tasse et son contenu par terre. La jeune fille fronça les sourcils. Aie, raté ! Bon, on va revenir au technique plus traditionels mais qui risques d'être plus violentes. Après tout, c'est efficaces (tout du moins, ça l'a été avec un loup alors ça va être un jeux d'enfant avec une vieille dame !). Elle posa le panier sur ses genoux et glissa la mains dedans. Sa grand-mère lui parla : "- Tiens j'ai pas vu Médor aujourd'hui. - Je l'ai croisé sur la route, il est en pleine forme !" La jeune fille se retint de rire à son mensonge mais reprit son sérieux alors que sa grand-mère lui déclara : "- Tu sais, c'est bizarre j'ai l'impression que tu est plus vieille que la dernère fois ! - C'est normal, c'était il y a au moins un an ! - Par exemple, que tu a de grand cheveux ! - C'est pour mieux avoir chaud mère-grand ! - Et que tu as une belle poitrine ! - C'est pour mieux attirer les garçons mère-grand ! - Et aussi, qu'est ce que tu a grandit ! - C'est pour mieux voir autour de moi mère-grand ! - Oh mais quel audace et quel courage tu as !" La jeune fille leva la hache au dessus de ça tête : "- C'EST POUR MIEUX TE TUER MÈRE-GRAND !" La vieilla hurla alors que la jeune fille prit de l'élan pour donner à sa grand-mère un puissant coup. La vieille dame cria : "MÉDOR !" La jeune fille ria : "Il risque pas de venir ta peluche, j'ai laissé son cadavre au milieu du bois !" La jeune fille aller faire partir son geste quand un bruit de porte arraché retentit. La jeune fille se retourna, tenant toujours la hache au dessus de sa tête. Elle n'eut juste le temps d'apercevoir une gueule de loup ensanglantée lui sauter à la figure. Elle commença à crier mais il était trop tard. Déjà la hache tombait des mains de l'enfant sans vie et alla se planter dans les plaintes du parquet. Et elle mourut heureuse jusqu'à la fin des temps !
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