ah ben c'est un peu nul, ca rend de suite ce coffret collector comment dit moins collector lool.
Mais bonne nouvelle pour ceux qui n'ont pas put se procurer le coffret - de plus qu'il est magnifique (l'ai recu la semaine derniere, j'étais comme un dingue lol)
Nan, il y a le BRD 2D, le BRD 3D et la copie digitale, par contre aux USA ils ont les 4...perso la copie digitale je m'en tape, je préfèrerais encore le DVD à la place...
Parce-qu'on mérite d'avoir de beaux Blu-ray Disney : Rejoignez la page Facebook !"
Djidane
Âge : 34 Messages : 2380 Localisation : La Ville du Nouveau York Inscription : 15/07/2007
Enfin, j'ai vu Tron Legacy! Après cette bande-annonce qui m'avait intrigué ; après avoir regardé et adoré le Tron de 1982 après des années où ce film culte m'intriguait ; après avoir pu jouer dans le monde de Tron dans Kingdom Hearts II l'autre jour et enfin, après avoir été séduit par le Score d'un groupe dont je déteste pourtant les compositions habituelles, j'étais sur-motivé pour voir ce film. Hélas, je repars fort vexé de ma séance de cinéma.
ATTENTION : Comme je suis très déçu et vexé, je suis assez virulent sur le film. Comme je pars du principe comme ce n'est que mon avis, je n'hésite pas à foncer dans le tas. J'espère que chacun sur ce topic a assez d'estime et de confiance en son propre avis pour ne pas se sentir offensé par le mien.
Pour (5%) - Le logo Disney customisé façon Tron ! Vraiment beau et classe ! De l’entrée en matière comme j’aime ! Et de plus étant très fan de l’univers visuel de Tron, j’étais conquis. - Justement, l’univers visuel. Rien d’original ; je m’inscris dans la continuité de nombreux posts, mais en plus d’être bien conçu, cet univers me plait beaucoup à la base. J’ai déjà bien aimé dans Tron (1982), mais je trouve que Tron (2010) a su en tirer quelque chose de très beau. J’aime cette ambiance obscure, cette base de noir, ces nuages menaçants, ce tonnerre permanent, ces lignes luminescentes sous forme de circuits imprimés. Tout cela forme un univers singulier, sombre, tourmenté avec un grand potentiel visuel et une ambiance saisissante. - Les quelques références ou les éléments réutilisés du Tron (1982) (Les Recognizers, les disques, la salle d’arcade de Flynn, le souffle des années 80 au début…) - Une prouesse avec le visage de CLU. Je m’attendais à un truc raté et j’ai trouvé ça assez impressionnant. - Je pense que j’aurais adoré ce film à 14 ans, quand je situe mes goûts de l’époque, mes tendances. J’aurais été fou de l’univers mais même de son traitement. Mais j’ai changé depuis, et ce genre de grosses ficelles ne fonctionnent plus sur moi. J’attends mieux.
Pour la Musique… - Encore un aspect où je rejoins la majorité, du moins en partie : la musique. Le choix de Daft Punk sent le marketing à plein nez, et pourtant, il se justifie bien ; le groupe n’a jamais caché son admiration et son inspiration sur Tron et déjà, dans le premier film, la compositrice Wendy Carlos avait fait usage de son au synthé devenus aussi inaudibles aujourd’hui que ceux de Brad Fiedel dans le premier Terminator. Bref, toute une époque ! Mais forcément, avec un film basé sur un monde informatique, comment éviter des sons électroniques ? Don Davis lui-même, pour Matrix, avait composé une belle musique orchestrale mais avait dû pactisé avec le diable de l’électro pour s’adapter au sujet ! Normal ! Je suis assez impressionné par le travail de Daft Punk. Et pour cause ! Je déteste leur musique habituelle et elle ne me dégage aucune émotion. Sûrement pas fait pour d’ailleurs. Je salue leur effort d’avoir fait de la musique de film orchestrale, de jouer sur divers instruments, de savoir mettre en retrait, parfois, les sons électro pour laisser place à quelque chose de plus dense qu’une touche de synthé ! Des pistes comme « Recognizer » ou « Outland » sont vraiment belles, avec une vraie intensité, une orchestration minimaliste mais qui prend d’autant plus en grandiloquence paradoxalement. Un bon usage des violons. Le thème principal est très sympa, mais c’est curieusement hors de ce thème, dans ce concert de cordes tout en retenu sans sacrifier l’émotion que les deux compères se débrouillent le mieux. De plus, le niveau de la musique était fort au cinéma, ce qui permettait de bien l’apprécier, chose rare au ciné, à part chez Nolan. Bref, pour moi qui consomme de la Score à longueur de journée et vénère Hans Zimmer et bien d’autres forts méconnus, hélas, je dois dire que j’écoute cela avec plaisir. Il y a clairement mieux, mais bon, c’est pas leur rayon habituel, alors pour des débutants dans la musique de film, vraiment bel effort.
Contre (95%) - A peine le magnifique logo customisé disparu, l’introduction du film a commencé à m’énerver. Les intentions scénaristiques étaient tellement flagrantes que c’était vraiment lourd, pesant et ça m’a empêché de rentrer tout de suite dans le film. Les premières minutes ne sont qu’un prétexte mal déguisé pour faire un cours de rattrapage à ceux qui n’ont pas grandi avec Tron (1982) ou n’ont pas fait l’effort, ou n’ont pas eu la curiosité de le regarder avant d’aller voir la version 2010. On essaie de nous faire croire à une scène hyper importante entre père et fils, mais en fait, on parlotte pour rattraper l’ignorance du spectateur. Louable au fond, mais tellement maladroitement fait et pas subtile qu’un texte défilant façon Star Wars aurait fait l'affaire, comme ça, au moins, ça assume de résumer bêtement. - Comme l’a brillament formulé Bidouche64, c’est « un film de producteur à défaut d’un film de réalisateur ». En gros, exit la création, le scénario avant tout, l’univers novateur et bonjour les clichés. Ce film est conçu pour vous plaire. Contrairement à des films dont le projet précède le public, et donc se définissent d’abord par rapport à une idée en sursit qui attend le verdict du spectateur, bon ou mauvais, ici, on a affaire à un film de commande, un film conçu autour d’une table de réunion, par des personnes spécialisées qui visaient une tranche d’âge, un public et qui était prêtes à tout pour conquérir ce public ; ça passe par une purge (justement !) des éléments trop marginaux, par une musique d’un groupe dans le vent, par une expérience visuelle la plus assommante possible pour empêcher le spectateur de réfléchir à ce qu’il regarde. C’est un film d’avantage par des spécialistes en marketing que par des auteurs. Résultats, le scénario est au raz-des-pâquerettes et ne fait que rebondir de lieu commun en lieu commun pour trouver un semblant d’existence ; relation père/fils contrariée puis fusionnelle, quête d’un être cher disparu, la famille sacrifiée pour un rêve vain, la famille ramenée en tant que valeur primordiale finalement, des histoires de purge, de résistance, d’armée, d’être unique, de sacrifice… c’est un véritable patchwork de plein de films que j’ai vu, certains que j’adore, mais que je déteste voir pillés de la sorte et compilés par ce compacteur d’ordure que représente le scénario de Tron Legacy. Tel le robot nettoyeur Wall-E, le film ramasse les clichés, les idées surexploitées, les phrases faciles et les vannes de circonstances sur son passage et les avale dans son ventre pour les broyer et les recracher en un joli petit cube de m*** prête à servir à un public étourdit par des néons et une musique de discothèque. Seulement Wall-E, lui, au moins, est mignon, touchant et joue dans un film vraiment bon (je trouve). - Dans la continuité de ce scénario, de ce semblant de trame esquissé sur un set de table en papier dans je ne sais quelle brasserie où les producteurs bouffaient un steak frites, les dialogues sont affligeants. J’étais crispé dans mon fauteuil. Ca m’a rappelé George Lucas dans ses pires moments, quand il écrit les dialogues des derniers épisodes de Star Wars. Un déluge de phrases à la solennité exagérée : « Il est différent. » mais surtout, des vannes, des phrases de Mitch pour rendre Sam dans le vent, cooooool : « Alors, tu veux jouer à ça ? » « Oh, je le sens pas ça ! » « Je sens que je vais adorer ça ! ». Il faut l’entendre pour le croire, avec l’intonation et le visage de beau gosse. Presque chacune des répliques de ce film m’était familière ! A presque chaque réplique, je me disais que j’avais déjà entendu ça quelque part, et plusieurs fois même ! - Sam est le personnage qui m’a gâché le film en grande partie. J’ai rarement vu une telle fadeur, une telle pauvreté dans les expressions ; sans doute pas depuis Sam Worthington dans Avatar. Il n’a rien, et je pense que c’est pour ça qu’il a été choisi. Parce que son physique de beau gosse très commun, stéréotypé, qui ne fait pas de vagues, qui ne sort pas trop du lot, qui rentre dans le moule et qui joue sur une palette de jeu assez étroite pour ne pas faire naître une seule émotion permet aux scénaristes d’en faire non pas un personnage de cinéma, mais plutôt un « témoin », une marionnette qu’on trimballe à travers différents décors, un prétexte, la vague incarnation d’un scénario quasi inexistant. La platitude de Sam est commode pour un auteur, car c’est le genre de personnage qui permet de laisser en avant l’action et le décor et de laisser la psychologie et les dialogues derrière. Pour moi, le vrai personnage principal de Tron Legacy, c’est la grille, c’est le décor ! - Castor. Déjà, quand j’ai lu (avant de voir le film) que c’était « le propriétaire de la discothèque », je me suis alarmé. Y’a une discothèque dans Tron ? « What the fuck ? ». Et là, devant le film… je n’avais même pas de mot. J’ai cru voir ressuscité devant moi l’Homme Mystère de Jim Carrey dans Batman Forever de Joel Schumacher. Oui, vous avez bien lu ; cette espèce d’horreur kitch, cette parodie de personnage loufoque, armé de sa canne, avec ses mimiques grotesques, son air goguenard et son look improbable. Pour peu, ce serait du plagiat. Copier une bonne idée, c’est nul, mais copier une mauvaise, c’est pire encore ! - Les persos en général m’ont énormément déçu et aucun ne m’a semblé attachant. J’attendais avec impatience de revoir Tron/Alan Bradley. Déjà, le premier passe presque complètement à la trappe, évincé du quasi-scénar et le second, il est là pour la forme, il joue les bouche trou, il joue les clins d’œil. Que serait-ce si le film ne portait pas son nom ? Vraiment déçu que ce film n’ait pas réservé un rôle déterminant et classe à ce personnage. Mais évidemment, les publicitaires qui ont géré le scénar se sont dits que l’acteur qui avait joué Tron n’était pas connu, pas bankable, et donc fallait jouer sur le vénérable Jeff Bridges et le petit jeunot. Dans le premier film, le trio de tête était super attachant ; déjà à l’époque, il n’était pas sans rappeler le trio de Star Wars Luke/Han Solo/Leïa. Tron était comme Luke, le héros du film, l’élu en quelque sorte, à la fois puissant et doux, effacé ; Kevin Flynn était le Bad Guy plaisantin à la Han Solo ; Lora/Yori fait penser à Leïa. Ce trio est très attachant, drôle et dynamique. Il fonctionne à merveille. On passe un bon moment avec eux. Ils sont simples, comme des gens du quotidien. Ils n’ont pas ce côté ultra-parfait, esthétisé à l’excès, dénaturé par les chorégraphies des nouveaux personnages. - La scène de la discothèque restera une des pires scènes de ma vie. Déjà, je suis scandalisé par l’idée qu’il y ait une discothèque dans ce monde. Je me suis cru revenu aux traumatisantes scènes les plus ratées des suites de Matrix, comme dans Matrix Revolutions, avec la boîte de nuit du Mérovingien et sa pouffe « Perséphone ». Daft Punk en profite pour lâcher l’orchestre et revenir à leurs sons habituels dont tout le monde raffole et qui moi me font gerber ; de l’électro abrutissant qui doit être idéal, je suppose, sous exta ! Des programmes se roulent des pelles, normal ! (idée que je n’aimais déjà pas dans Tron 1, des programmes qui peuvent s’aimer !). Bref, une scène idéale en tout cas pour capter l’attention du public car on joue sur ses repères (la fête, la boite de nuit, la musique de danse, le libertinage, bref, une pub pour Axe, une pub je vous dis !). - L’univers étendu, je trouve que c’est vraiment dommage. La grille est un univers informatique, un monde à part qui n’est pas le monde humain ; y voir une ville, un stade, une population avec ses mœurs, ses loisirs, sa campagne, son night club, c'est déconcertant ! C’est vraiment une grosse bourde et une preuve de lâcheté et de manque d’imagination qui témoigne du fait que les mecs aux commandes de ce films n’étaient pas capables de bouleverser les repères des gens comme l’avait fait le premier film ! Même le diner, qui bien sûr est un beau porc grillé et son accompagnement d’haricots verts ! C’est insensé ! Où est la limite avec le monde humain ? - Une mise en scène frimeuse, mais bon, ça, je m’en doutais, et je l’avais pardonné à certains films. Disons qu’ici, je ne trouve pas assez de qualités au film pour lui pardonner cet ultime excès d’orgueil.
Contre la Musique… - La musique ; oui, je l’ai aimée en partie. J’ai trouvé les pistes orchestrales vraiment intéressantes, mais il m’a fallu éliminer toutes les pistes éléctro du Score. Y’a des moments où j’ai trouvé ça inaudible au cinéma et j’ai vraiment eu du mal. Dans la discothèque en numéro 1. De plus, malgré les qualités que je reconnais aux pistes orchestrales, elles restent en deçà de bien des Score du même genre qui mériteraient tout autant l’attention du public. Mais évidemment, si ce n’est pas un groupe connu comme Daft Punk, on ne prend pas la peine de faire attention. Personne fait jamais gaffe aux musiques de film et soudain, c’est la révélation ! Je trouve ça cool, car ça fait des années que je fais les louanges de la musique de film, pour moi (c’est mon avis personnel), c’est ce qu’on fait de mieux aujourd’hui. Mais il y a quelque chose de vexant de voir que juste parce c’est Daft Punk, le Score est remarqué alors qu’il n’égale pas le travail de bien des compositeurs que tout le monde ignore avec un souverain mépris ! Encore un coup de marketing rondement mené. Nombreux sont ceux qui remarquent la musique et la vantent alors que c’est l'élément toujours ignoré s’il ne s’agit pas de chansons. Tout le monde est devenu complètement imperméable à la musique orchestrale, instrumentale. La musique est réduite à son état fonctionnel ; si elle ne parle pas en chanson avec un message explicite ou si elle ne sert pas à danser, elle n’a aucun intérêt. Mais la musique de film offre une alternative, celle de l’imagination, de l’évasion et de l’émotion. Daft Punk a réussi à merveille à en jouer à certains moments. Les mecs qui ont fait le mixage sonore sont rusés ; comme c’est Daft Punk, la partie musique du son, d’habitude en retrait, a été rehaussée à fond et occupe une place centrale ; résultat, tout le monde dit « La musique était cool ». Normale, on la remarque, et ils ont tout fait pour ! Vous la remarquez car ils voulaient que vous la remarquiez. Il faut vraiment s’intéresser à la musique de film pour choper les morceaux durant les films parfois, tellement cet aspect là est méprisé ; du coup, tout le monde passe à côté, même si c’est dix fois mieux que Daft Punk. On peut dire que je ne suis pas objectif. En effet, je suis 100% subjectif dans ma critique et je ne prétends pas mieux savoir que tout le monde. Je donne juste mon avis. Mais en revanche, pour la valeur musicale de cette BO, je peux vous dire que vous pouvez trouver mille fois mieux en matière de Score et si vous êtes curieux, je suis ok pour vous conseiller. Daft Punk n’a pas d’expérience dans le domaine, ils ont galéré pour mettre au point ce Score et ils ne se sont pas beaucoup éloignés des sentiers battus, même pas du tout. Ils ont enfoncé des portes ouvertes, mais heureusement, c’était les bonnes portes ! Evidemment, ils ont été aidés par des vrais pros. Bruce Broughton apparemment. On peut dire que la réception de ce Score est exaspérante ; déjà le triomphe qui prouve 1) soit que la musique peut très bien plaire, mais il faut un groupe dans le vent pour qu’on s’y intéresse 2) soit que la musique de film ne peut pas plaire, mais on réussit à s’en convaincre quand c’est Daft Punk qui s’en occupe. Ensuite, certaines critiques professionnelles vraiment à côté de la plaque du genre « Daft Punk nous a habitué à mieux » « Daft Punk sombre dans l’orchestral » « Aucun morceau n’est dansant ». Je n’en reviens pas ! C’est un Score, pardi ! Pas un album parmi d’autres ! Ils bossaient pour un film, ils se devaient de coller à ce filme, de respecter sa respiration, son rythme, son ambiance ; c’est Daft Punk qui bosse pour le film, pas le film qui sert de clip à Daft Punk !
Bref, pour montrer que même Daft Punk (dont les membres m’ont l’air sympathiques toutefois !) a lui-même compris ce que ce Score impliquait et les enjeux de la musique de film, voici un extrait d’interview des membres du groupe :
Guy-Man espère pour sa part que les arrangements de cette B.O. orchestrale encourageront les fans à se plonger dans la musique classique. "L'âme et l'émotion de la musique classique sont tellement puissantes que c'est très facile de l'aimer - c'est juste que les gens pensent qu'il faut y être éduqué. J'ai moi-même pensé ça pendant longtemps, jusqu'à ce que je finisse par essayer", dit-il.
Thomas enfonce le clou en soulignant la longévité des instruments classiques comme le Stradivarius, comparée à celle des outils électroniques. "Le violon était là il y a 400 ans et le sera encore dans 400 ans. Mais les synthétiseurs qui ont été inventés il y a 20 ans auront probablement disparu dans 20 ans."
Je dois avouer que je suis assez halluciné car, en dehors de l'OST que j'ai adoré (et parce que j'adore Daft Punk à la base) ta critique reprend point par point ce que j'ai pensé du film ! Alors je précise que je n'ai pas vu Tron 2010 dans des conditions optimales (je l'ai quand même vu au ciné hein, ne me prêtez pas des actions illégales que je n'ai pas faites !) et que j'ai quand même été assez bluffé par l'ambiance graphique du film. Certainement qu'en le revoyant en BR ou mieux, en Imax (on peu rêver d'une ressortie), je serai à même de mieux apprécier le film. Y n'empêche, je ne pense pas que ça atténuera les défauts du film, à commencer par la scène en boite où j'avais envie de me cacher sous mon siège tellement j'avais honte pour ce bon Michael Sheen que j'avais adoré dans The Queen et Frost/Nixon.
J'ai vraiment hâte redonner une chance à ce film car j'ai très envie de l'aimer. Mais pour l'instant, sans être aussi sévère que Eael dans mon verdict final, je n'ai pas trouvé Tron Legacy à la hauteur de mes attentes.
Actuellement, le film (en 16e position au box-office français) totalise 1 131 663 entrées après 4 semaines d'exploitation...
Voyage à New York en famille en février 2012 !!! Tellement hâte !! Mon blog : http://disneyland-music.skyrock.com/ "Comme Alice passe à travers le miroir, franchir la porte de Disneyland sera comme pénétrer dans un autre monde !", W. Disney (été 1954)
Djidane --> Les grands esprits se rencontrent? "Content" qu'on tombe d'accord, enfin, que quelqu'un arrive à ressentir la même chose que moi ; je suis ravi de la façon dont mon avis a été respecté sur ce topic (G-Force : royal!) mais c'est cool aussi de se sentir moins seul en trouvant un membre qui partage mes impressions.
Je comprends ce que tu veux dire quand tu confies que tu aurais voulu aimer ce film, car moi aussi! Hélas, je pense que pour moi, c'est "fou'pou'd'av" comme disent les soldats dans Il faut sauver le soldat Ryan! Heureusement, en ce qui te concerne, tu sens que tu as peut-être une chance d'aimer ce film. C'est tout le mal que je te souhaite!
C'est frustrant de sentir qu'on aurait pu adorer un film à quelques éléments près. Je déteste cette sensation et il me faut plusieurs visionnages pour savoir de quel côté je vais pencher. Cela me l'a fait pour plusieurs films que, depuis, j'adore! Gladiator, Seigneur des Anneaux ou dernièrement 500 Days of Summer. Mais là, là, je sais qu'il n'y a rien à faire pour moi!
J'ai pu surmonter mon allergie à l'héroïc Fantasy pour le "SDA", car j'y ai trouvé d'autres choses géniales. J'ai pu surmonter mon aversion pour Russel Crowe quand il fait son bourru pour apprécier Gladiator et j'ai même pu outrepasser mon dégoût pour les moeurs contemporaines en matière d'amour et de sexualité pour apprécier 500 jours ensembles car le sujet de l'amour non réciproque est enfin exploité avec "courage" et aussi pour l'humour, la dérision, la fantaisie... bref, un charme rafraichissant qui ont fait passer la pillule de la façon d'aborder les relations "très moderne" que je ne supporte pas, très personnellement.
Bref, bonne chance à toi pour un prochaine visionnage!
Cassiopeeh ---> Ca y est! Tu as enfin pu voir le film! C'est chiant ces cinémas à la traine! Mais ça valait le coup pour toi puisque tu as aimé! Tant mieux! Tu devais être dans le bon état d'esprit! Content pour toi!
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Le million vient d'être dépassé en France avec un cumul de 1 047 010 entrées. Le film a chuté à la 12ème position au box office français cette semaine avec 203 230 nouvelles entrées.
Avec la poursuite des vacances de février dans certaines zones, le film peut espérer atteindre les 1 300 000 entrées mais guère plus...
Effectivement, il ne faut guère s'attendre à plus d'entrées : pour sa 5e semaine, UGC a tout simplement évincé le film (à part à l'UGC de Strasbourg) ! Et son partenaire à Paris (cinémas MK2) ne le projette plus non plus. Pour les détenteurs d'une carte UGC illimitée qui ont un peu tardé à le voir (comme moi), c'est rapé...
Un nouveau visionnage est, en général, l'occasion de confirmer les qualités et défauts du film.
Pour ma part, cela m'a conforté dans l'idée que Tron est une réussite absolue. Je craignais que mon enthousiasme, immense lors de la première séance, se dissipe, une fois l'effet de découverte disparu. Et finalement, la deuxième séance (je dis 2° et non 2nd car je compte évidemment le revoir) m'a fait envisager le film avec plus de recul, mais tout autant de plaisir.
Le fait d'avoir encore davantage envie de connaître la suite et de retrouver les héros (en BD, en jeu, en série télé, sur grand écran) est à mes yeux le signe que les bases de cet univers ont été posées avec beaucoup de force et d'inventivité. Je n'ai pas eu le même attachement pour les 1° volets de Star Wars, The Matrix, Le Seigneur des Anneaux ou même Harry Potter, et force est de constater - qu'on aime ces films ou pas - que leurs créateurs ont réussi à établir une mythologie assez riche.
Je précise qu'à l'origine, je ne suis pas fan de ce type-là de science-fiction, dit "de réalité virtuelle", et sans réelle ambition dans le propos, préférant les films d'anticipation (Blindness, Gattaca, I am Legend, Equilibrium, Sunshine) qui donnent davantage à réfléchir sur notre monde. Mais ici, j'ai envisagé Tron comme une oeuvre sensorielle avant tout (des images d'une beauté absolue, une bande-son électrisante) au même titre qu'un Kubrick (je vais faire crisser des dents, mais 2001, Odyssée de l'Espace, ce n'est pas non plus d'une inventivité absolue sur le plan scénaristique - pourtant, quelle splendeur !!!!)
Merci pour ces visuels. J'adore celui du Blu-Ray 3D, il est magnifique ! Par contre celui du film original est un peu basique. On peut aussi remarquer que le titre du programme est encore Disney Privilèges (comme sur les visuels de Raiponce).
Lucky
Âge : 34 Messages : 2806 Localisation : île de france Inscription : 04/07/2007
Dire que c'est le trailer de TRON 3 c'est vraiment extrapoler... C'est plutôt un méga bonus tourné pour le DVD, un peu comme une énorme scène coupée, mais ça n'annonce pas à première vue la venue d'un troisième opus, même s'il pourrait prendre les évènements décris dans la vidéo comme base de départ.