1er problème, The Frog Prine (1er titre) pour lequel il a écrit la plupart des chansons, dans une époque 16e, 17e siècle, genre symphonie classique, se retrouve annulé quand les réalisateurs, ayant trop peur que leur projet aussi soit annulé (après Américan Dog et Glen Keane de Raiponce) ré-écrivent une histoire façon Pixar, uniquement pour faire plaisir à John Lasseter (body movie, sa ville préférée, son époque préférée et surtout : son compositeur préféré). Ils virent donc Menken.
The frog prine , c'est la princesse et la grenouille ? Et c'est quoi american dog ?
1er problème, The Frog Prine (1er titre) pour lequel il a écrit la plupart des chansons, dans une époque 16e, 17e siècle, genre symphonie classique, se retrouve annulé quand les réalisateurs, ayant trop peur que leur projet aussi soit annulé (après Américan Dog et Glen Keane de Raiponce) ré-écrivent une histoire façon Pixar, uniquement pour faire plaisir à John Lasseter (body movie, sa ville préférée, son époque préférée et surtout : son compositeur préféré). Ils virent donc Menken.
The frog prine , c'est la princesse et la grenouille ? Et c'est quoi american dog ?
En tout cas merci pour ses explications
The Frog Prince (j'avais fait une faute d'orthographe) c'est transformé en La Princesse et la Grenouille. American Dog, c'est l'histoire qu'avait écrit Chris Sanders, le réalisateur de Lilo et Sitch et qu'il devait réaliser. D'après les bruits de couloir du studio, l'histoire avait de sérieux défauts et trop de passages du scénar ne marchaient pas. John Lasseter a voulu lui faire comprendre qu'il fallait absolument les changer. Chris, qui commençait à prendre un certain melon avec le succès de Lilo et Sitch (même ses fidèles collaborateurs disaient qu'il n'écoutait plus aucun conseil, aucune critique )ne voulant rien changer s'est fait virer. Le titre a changé, c'est devenu Volt.
Ne faudrait-il pas distinguer le vrai du faux en ne gardant que ces informations factuelles tout en se méfiant des interprétations colportées sur les bases des confidences d'un artiste blessé ? Par exemple, je sais de source directe que les réalisateurs de Raiponce aiment les comédies musicales types Broadway et même que Byron Howard en est un grand fan et amateur. Même en étant au courant de certaines choses, nous ne sommes pas sur place et tout dépend de la perception de chacun, des égos de chacun et du contexte professionnel qu'implique une aussi grosse structure qu'est le studio d'animation Disney. Je ne considère pas que ce soit à moi d'interpréter des problèmes de production inhérents à chaque film dans lequel sont impliquées des centaines de personnes qui donnent toutes leurs forces pour que les spectateurs puissent rêver, rire et s'émouvoir. Ces films ne sont pas parfaits. Raiponce ne l'est pas. Des choix parfois durs sont faits, à tort ou à raison. Mais ce film en l'occurrence a su redorer le blason du studio Disney et a permis à la Reine des Neiges d'exister.
Des interprétations magiques par un orchestre viennois virtuose conduit par Michael Kosarin (chef d'orchestre de Menken depuis Hercule) et des chanteurs et chanteuses professionel(le)s de la scène et de renom comme Susan Egan (inoubliable Belle de La Belle et la Bête sur scène et Meg dans Hercule), Adam Jacobs (fabuleux Aladdin sur scène), Trevor Dion Nicholas (Le Génie dans Aladdin à Londres) et Drew Sarich (Quasimodo dans la production allemande du Bossu de Notre-Dame de 1999) ici dans une performance de drag-queen fidèle à la vision d'Howard Ashman, puisqu'il s'était inspiré de Divine pour écrire le rôle d'Ursula dans La Petite Sirène.
Un concert absolument fabuleux et émouvant jusqu'aux larmes, larmes qu'Alan Menken lui-même n'a pas pu cacher, car l'âme d'Howard planait assurément dans la salle et insufflait de la vie dans toutes ces chansons de légende. Un concert à regarder et à écouter sans se poser la question, pour passer un moment unique et inoubliable.
Je conseille cette version sur Youtube, d'un peu moins bonne qualité d'image que celle de Delight, mais avec une bien meilleure qualité de son (320k au lieu de 128k) et un son surround 5.1 pour ceux qui sont équipés pour l'écouter chez eux.
I won't be silenced You can't keep me quiet Won't tremble when you try it All I know is I won't go speechless.
Je suis tombé sur cette vidéo complètement par hasard car elle était dans mes recommandations Youtube, je pensais la survoler vite fait, et finalement je me suis complètement immergé pendant une heure et demie dans ce merveilleux spectacle. J'allais la partager ici si ce n'était pas déjà fait. J'ai eu des frisson tout du long, voire les larmes aux yeux à certains moments (souvent en fait). C'est fou le pouvoir de la musique combiné à la nostalgie haha ! J'imagine même pas mon état si j'avais été dans la salle lol
C'est un bonheur de voir tout un orchestre jouer ces musiques en live, coup de coeur en particulier pour les suites Le Bossu de Notre-Dame (dont les musiques sont trop rarement mises en avant) et La Petite Sirène (ma madeleine de Proust). L'interprète de Part of That World m'a vraiment bluffé, et j'ai vu que comme moi elle était très émue en écoutant l'orchestre jouer "Happy Ending"
Je le savais déjà mais ça confirme que Alan Menken est un génie Ce concert m'a donné envie de m'informer sur ses futurs projets, et j'ai été dégoûté de voir qu'il n'allait travailler que sur les futurs remakes "live" sans âme... Quel gâchis de talent ! J'aurais tellement aimé qu'il continue de créer de nouvelles musiques pour des films complètement originaux
Edit: je ne connaissais pas du tout cet évènement de "Hollywood in Vienna". Je vois qu'ils ont déjà fait Hans Zimmer, James Newton Howard, Randy Newman... Mais il faut absolument qu'ils fassent Giacchino !!