Les vacances de Mister Wolfi et Matttthieu : Walt Disney World Tour 2008

Juin 2008 : ce mois arrive enfin, je vais faire le grand saut au dessus de l'Atlantique vers le pays au millions de rêves : Walt Disney World. J'y retrouverai Matttthieu qui est depuis le début d'année en terre yankee.

Mardi 17 : Je me lève vers 6h30 comme d’hab. Mes valises sont déjà prêtes, enfin ma valise plutôt : j’emporte une grosse valise avec à l’intérieur une plus petite. Elle contient le minimum : ma trousse de toilette, mon chargeur de portable et d’appareil photo, une serviette de bain, deux pantalons et du linge (slips, pyjama, chaussettes), j’achèterai le reste sur place.
Vite un petit tour sur dcp avant de partir faire le grand saut.
Il est 8h00 lorsque je prends le train pour l’aéroport. J’arrive à l’aéroport vers 9h00. Mon vol décolle à 12h45. Je me dirige vers le guichet d’US Airways, dans le hall réservé aux compagnies américaines. Je fais la file pour y faire enregistrer ma valise à double fond. Un employer de la sécurité m’interpelle et me demande qui a fait ma valise, si quelqu’un d’autre l’a touchée depuis mon départ, si elle contient des aliments, drogues, armes (euh oui bien sûr mais j’avais plus de munitions, j’en achèterai sur place ) Je dépose ma valise donc et récupère mes billets pour Philadelphie et pour Orlando.
L’embarquement est à midi. J’ai donc tout mon temps. Je reçois un sms de Stitchflorida me souhaitant un bon voyage (ça fait plaisir ).
Je me dirige vers la douane que je passe sans problème et la zone free tax. J’ai un peu faim. J’ai emporté avec moi un peu de saveur de la vieille Europe pour Matthieu : une boite de financiers : bah tant pis pour Matthieu , de toute façon, comme on ne peut pas importer de nourriture, faut que je les mange avant de passer l’immigration. J’en profite pour remplir mon formulaire vert pour l’immigration et blanc pour la douane. Euh non, je n’ai pas été condamné, non je ne suis pas drogué, non je ne suis pas un ancien nazi en fuite. Le free tax est assez décevant : des alcools, du tabac, du parfum et des vêtements de luxe. Mat444 m’a demandé de regarder le prix des caméscopes. Il y a une seule boutique vendant des articles électroniques : téléphones portables, ordinateurs, appareils photos et donc caméras vidéos. Royalement 5 modèles exposés et de tout les prix. Désolé mat, mais comme je ne m’y connais pas du tout je ne sais pas du tout ce que ça vaut. Enfin si : le prix de vente est celui du commerce moins la TVA, c’est donc facile à calculer.
Suite au free tax, je me dirige vers les portiques de sécurités, j’y dépose mon bagage à main, et ma banane, je passe sans problème. Un long couloir de tapis roulants mène vers les portes d’embarquement : les « gates ». J’arrive sans problème à la mienne (et passe de nouveau devant un magasin d’électronique pour Mat444). J’ai encore une heure d’attente. Mon portable sonne : c’est ma mère, elle me dit au revoir et me demande de rapporter « une cloche » pour sa femme de ménage qui en fait collection. ( Où vais-je trouver une cloche ? ) . Notre avion est déjà là : il est assez petit un Boeing 757.


Devant moi, un jeune couple de flamands a un bébé sur les bras. Ils vont à Las Vegas en voyage. Le petit est posé par terre et rampe dans ma direction. Une odeur fétide me chatouille les narines. Je pleins sincèrement les voisins de siège de ce petit bout !
12h00 l’embarquement commence. D’abord les parents ayant de jeunes enfants, et les premières classes. Puis le fond de l’appareil en remontant vers le devant de la cabine. J’ai la place 14F : côté hublot et comme toujours, juste au dessus du réacteur (pratique pour voir si il tombe ou si il prend feu ) L’avion est donc un Boeing 757, assez petit : 3 sièges de chaque côté du couloir central. Une couverture et un oreiller sont posés sur le siège. L’avion n’est pas tout neuf visiblement et euh les hôtesses apparemment ont de très nombreuses heures de vols . Pas d’écran dans les dossiers des fauteuils mais tout les 5 m à peut près, un téléviseur descend du plafond, un peu comme dans les autocars. Je suis très mal placé et je ne vois pas grand-chose du ce qui se passe sur l’écran.
Le message de bienvenue et les consignes de sécurités apparaissent à l’écran. C’est dommage, je préfère quand c’est le steward qui fait les gestes. Je ne sais pas pourquoi j’ai toujours aimé lorsqu’il met son gilet de sauvetage et prend les deux pipettes en mains pour mimer la façon de le gonfler à la bouche . A ben flûte, avec ce fichu écran, je n’ai pas vu comment on l’attachait. Heureusement, le coussin du siège, visiblement d’après ce que j’ai compris, fait également flotteur . Je sais pas pourquoi, mais j’ai pensé à Titanic à ce moment là, c’est dommage que leurs coussins de faisaient pas la même chose.
A côté de moi au 14 E je n’ai royalement personne, chouette ! Je pourrai étendre mes jambes ! Le 14D est occupé par un américain, qui dormira une bonne partie du voyage.
Avec un peu de retard, nous décollons. Le décollage est assez mouvementé : à côté de ça Space Mountain c’est de la petite bière.


La ville de Bruxelles disparaît très vite, bientôt la côte belge se dessine puis l’océan à perte de vue. Très vite on passe au dessus des nuages blancs ressemblant à des immenses barbes à papa. La vue est splendide, par contre je peux confirmer l’âge certain de l’avion : la paroi visiblement est décelée côté hublot, en posant la main dessus je sens le givre qui se forme de l’autre côté. J’ai passé tout le voyage avec la couverture autour de l’épaule droite.
Ah ! Le film commence ! Les écouteurs se vendent 5 dollars ou 5 euros. Je suis désolé mais je trouve ça cher et puis comme je suis très mal placé, je ne vois quasi rien sur ce petit écran. Heureusement, j’ai pris avec moi mon Mickey parade géant ! Les hôtesses arrivent avec les boissons : j’ai faim : vite un coke avec de la glace ! Après près de 10 ans je retrouve ce coca-cola classic, au goût légèrement différent du nôtre que seuls les connaisseurs peuvent distinguer .
Le déjeuner arrive également : on a le choix entre lasagna et chicken. Bon ben allons-y pour chicken : des morceaux de poulets dans une sauce barbecue, avec des brocoli et du maïs accompagnés de pomme de terre, une salade verte (pas trop fraîche), 1 petit pain et une tranche de fromage bien emballé dans un film plastique (pas facile d’ouvrir avec un couteau en plastique), deux biscuits et 1 mini gâteau au cerise. Je garde précieusement les biscuits et le gâteau : le voyage sera encore long et dans l’avion pour Orlando, les lunches boxes sont payantes.
Les toilettes se trouvent 3 rangs devant moi, c’est facile pour voir quand elles sont libres . Justement, je dérange mon dormeur. Je me retrouve dans un local exigu, pris dans les turbulences. J’ai beau chercher je ne trouve pas la chasse d’eau où est cette fichue chasse ! Décidément, je ne comprendrai jamais ceux qui trouvent grisant de s’envoyer en l’air dans un tel endroit si peu confortable !

Nous atterrissons à Philadelphie à 15h30 mais avant nous avons droit à une autre collation : une chose indescriptible mais quand on a faim : un petit pain type hot-dog avec à l’intérieur du fromage fondu chaud.
8h40 et 6029 km plus tard, la belle ville de Philadelphie est en vue. C’est fou, le nombre de piscines qu’il y a, plus qu’à Orlando ! L’aéroport est situé près d’un port où se trouvent des gros bateaux de la navy.


L’atterrissage est aussi mouvementé que l’allé.
Nous montons dans une sorte de camion géant qui vient s’amarrer à notre boeing. Tout le monde est à bord, passagers et membres d’équipage. Une longue attente commence, pour une raison inexpliquée. Enfin après une demi-heure, nous nous dirigeons vers le terminal A où nous récupérons nos bagages. Nous suivons d’interminables couloirs avec des tapis roulants. C’est assez bien indiqué. J’arrive donc à l’immigration : comme un péage d’autoroute, une foule de guichets barre la route. Ils sont divisés entre passeports électroniques et passeports avec visa. Je me dirige vers une file qui n’est pas trop pleine, vers un beau douanier, pas de chance, celui d’à côté est libre et me fais signe d’avancer . Il vérifie mon passeport, récupère ma carte verte et ma carte blanche. Il prend mes empreintes digitales et ma photo avec une webcam . C’est déjà fini. Ensuite on se dirige vers la douane, ai-je bien fini les financiers ? Oui ^^. Là deux guichets seulement. Un pauvre type se fait ouvrir sa valise. Moi je passe à côté d’une fonctionnaire exemplaire qui me regarde à peine et prend juste ma carte blanche sans dire un mot.
Nous nous dirigeons ensuite vers la zone de transit. Nos passeports et nos billets sont visés par un employer avant de redéposer nos bagages qui vont regagner nos avions respectifs. Avant d’atteindre le terminal B, nous repassons au portique de sécurité : c’est plus stricte que Bruxelles : les chaussures sont déposées dans une caissette comme les bagages à mains et ma banane, avant de passer pieds nus le portique.
Je me retrouve dans la zone de transit de l’aéroport. Je me dépêche car je suis dans le terminal A et mon vol m’attend dans le terminal C. En passant, je jette un coup d’œil rapide aux boutiques. Désolé Evy pas de boutique swarosky. Par contre je trouve un magasin de souvenir. Tien pour une fois j’ai de la chance : des dizaines de cloches de toutes tailles ! Et oui ! Nous sommes à Philadelphie : la ville ou se trouve là Liberty Bell : la cloche qui sonna en 1776 pour proclamer la déclaration d’indépendance des futurs Etats-Unis. La réplique de cette cloche se trouve à Liberty square du Magic Kingdom. J’achète donc la cloche la plus petite : 2 dollars.
J’arrive enfin à ma porte d’embarquement. J’ai faim et soif. Je passe devant un petit magasin et achète une bouteille de coca. Punaise : le coca coûte 1.65 dollars alors que la bouteille d’eau minérale coûte 2,25 dollars ! Décidément ce pays m’étonnera toujours ! Il me reste une demi-heure avant mon embarquement. J’allume mon portable et oh surprise ! J’ai du réseau ! J’appelle mon lion pour lui dire que tout va bien et que je suis arrivé à Philadelphie.
L’embarquement commence, un steward beau comme un dieu commence à faire embarquer les passagers, par zone et non plus par rangée Tout le monde a sur son billet une zone (zone 1, 2, 3,4, 5…) mais moi, je n’ai que le siège indiqué. Heureusement le charmant jeune homme m’indiquera gentiment ma zone. Zone 3 : je suis à la tête de l’avion, côté couloir. De ma place, je vois les première classes et plus loin la porte du coque pite ouverte (hum et si je détournais l’avion pour partir à Disneyworld ? suis-je con ! mais je vais à Disneyworld ! Une jolie hôtesse rousse s’affaire avec un jeune couple. Elle est charmante et beaucoup plus jeune que celle du premier vol ! Ah non, visiblement elle est passée entre les mains du docteur McNamara ou du Docteur Troy : si on donne à peine 30 ans à son joli minois, ses bras et ses mains témoignent de sa cinquantaine bien entamée . Tien, un steward, bronzé, bodybuildé, il me fait penser à James Bond (Roger Moore lorsqu’il avait 45 ans.) Dommage qu’il ait un œil de verre ! Il vient me trouver et me demande si je ne veux pas changer de place pour permettre à une maman d’être avec ses enfants. Non pas de problème, si ce n’est que lorsqu’on cherchera mon corps après le crash, on trouvera un corps de femme.
Je suis placé à côté d’une issue de secours, face à la place du steward à l’œil de verre. Que ce passe-t-il ? Notre avion aurait du décoller à 18h15 et il presque 19h00. Comme je suis à côté de la porte, j’observe attentivement. Un gars de la maintenance va de la queue de l’appareil à l’avant, il prend des notes, un second arrive avec une valise. Ce n’est pas très rassurant tout ça. Mon Roger Moore s’installe et s’attache en face de moi. Visiblement la journée a été longue : il n’arrête pas de bailler. Comme tous les américains que je croiserai, il baille la bouche grande ouverte sans mettre sa main, j’en arrive presque à voir son colon:eek: . Je suis à la place 12 C. A la place 12D, une grosse dame est assise. Elle n’entre pas dans son siège et a du remonté son accoudoir pour pouvoir entrer dans son siège. Elle sort son portable de son sac et téléphone à sa fille pour lui dire qu’elle sera en retard à Orlando. Ah la porte se ferme enfin. Et le message veillez éteindre vos appareils électroniques et vos téléphones portables. La grosse dame raccroche et le glisse dans son sac. Put**n mais elle l’a pas éteint ! Rooh si on se crache cela sera sa faute !
Après une dernière inspection et plus d’une heure de retard, mon avion décolle enfin. Tout en douceur cette fois.
Le menu du soir est léger : un coca et les deux biscuits que j’ai sauvé du vol précédent. Pendant ce vol, pas de film mais un quizz sur un écran d’autocar sur Paris et le jardin du Luxembourg, sur Londres et son quartier du millenium et bien sûr Orlando.
1379 km et 2h40 plus tard, j’arrive enfin à Orlando, avec une grosse heure de retard. L’aéroport d’Orlando est assez petit mais très agréable, moderne et chaleureux comme le climat de Floride.
J’emprunte le tramway, navette, train bref le truc qui conduit au hall d’entrée. En passant, j’aperçois ma première boutique Disney, non, Matthieu m’attend, cela sera pour une prochaine fois .
Les carrousels aux bagages sont situés au – 1. Nous marchons, marchons, cela semble immense, enfin on arrive au carrousel de US Airways. Ma valise arrive intacte y compris le double fond.
Etape suivant : la navette. J’ai réservé par internet le trajet avec la célèbre société de transport jaune, noire et blanche Mairs. Le comptoir se trouve dans le hall au rez de chaussée. Là, il y a un petit vieux qui est au comptoir. A côté se trouve une machine pour les réservations par internet : on présente le code barre qui se trouve sur la feuille de réservation et la machine crache trois tickets jaunes. Enfin dans mon cas elle en crache 6. Les explications sont simples et clairs : « tournez vous et sortez de l’aéroport. Adressez vous à l’employer maers et montrer lui vos ticket. Il vous conduira à votre navette ». En sortant de l’aéroport, j’ai presqu’eu un malaise ! 10 degrés de plus d’un coup et un fort taux d’humidité. Mes lunettes sont pleines de buée. Il est 22h00 et je rentre dans le sauna floridien tout habillé ! L’employé est là en effet. Il s’agit d’un immigré de fraîche date car son anglais est à peine mieux que le mien . Il ne comprend pas pourquoi j’ai deux tickets et pas un. Où est l’autre personne ? Pourquoi ai-je payé deux fois ? Il appelle sa supérieure. A ben gros bêta, il suffisait de lire correctement le ticket : un des deux est pour le transfert pour le parc universal.
L’employer me donne un disque en plastique avec des lampes rouges, lorsqu’une navette arrive et qu’il s’agit bien de la votre les lampes rouges s’allument. Waah c’est beau le progrès ! 3 navettes plus tard, arrive enfin la mienne. Je monte à l’arrière d’une de ces camionnettes caractéristiques de ce transporteur. Nous faisons un détour vers le terminal A prendre deux autres personnes. Je croise pour la première fois deux vieilles dames toute vêtue de violet et ayant des plumes d’autruche rouges dans les cheveux : bienvenue en Amérique !
Notre navette file sur l’autoroute vers notre destination : Lake Buena Vista ! De chaque côté de la route, d’immenses panneaux publicitaires font la promotion des dernières attractions des parcs floridiens. Mes compagnons de voyages sont déposés à leur hôtel en premier. Mon téléphone portable sonne : c’est Matthieu qui s’inquiète, je lui dis que j’ai « un peu » de retard et que l’on quitte la palm parkway et que normalement dans deux minutes, je serai là. J’ai à peine raccroché que mon chauffeur me dit en français : c’est plutôt deux secondes que deux minutes ! Et oui, il parlait français, j’avais bien remarqué qu’il portait un nom francophone (Saint Amand). Sur le tableau de bord est affiché une plaquette : votre chauffeur est B. Saint Amand, "gratuity is appreciated" (ah ben si c’est gratuit c’est parfait !) En effet ! Quelques dizaines de mètres plus loin, j’aperçois notre hôtel : l’Orlando Vista Hotel. Devant l’entrée, il y a un petit banc et Matthieu m’y attend avec impatience.
Mon chauffeur me demande :
- c’est lui qui vous a téléphoné ?
- oui c’est lui.
– C’est votre fils ?
Punaise, le voyage fut si éprouvant que j’ai l’air si vieux ?
Non banane ! C’est mon amant !







Notre chambre est située au 7ème étage. La vue donne sur l’avenue et au loin on aperçoit Dowtown Disney, notre hôtel est en effet de tous les nombreux hôtels non associés, le plus près du resort.
La chambre est propre et lumineuse.










Assez spacieuse : beaucoup plus grande qu’une chambre au santa Fe. Il y fait frais car Matthieu a branché l’air conditionné. La salle de bain est confortable : une baignoire, un WC et un lavabo. Il y a largement assez de serviette pour toute une famille nombreuse. La fatou locale (qui est plutôt une Conchita ici) a une façon très particulière de les plier, elle forme une poche avec un éventail qui s’en échappe.






Il est pratiquement une heure du matin, il est largement temps d’aller dormir car la nuit sera courte et mouvementée (n’est ce pas Matthieu ? )

Mouvementée... j'aurais du te droguer aux somnifères....

Ah je veux y retourner, j'avais pris le même vol et tout (en passant par CDG) de US Airways, Philadelphie, tellement de souvenirs que j'ai envie d'en pleurer !!!

Loïc Potter a écrit:

Ah je veux y retourner, j'avais pris le même vol et tout (en passant par CDG) de US Airways, Philadelphie, tellement de souvenirs que j'ai envie d'en pleurer !!!

Attennd avant de pleurer t'as pas lu la suite!!! Là c'est juste un petit apéro!!

Eh ben, ça c'est un TR détaillé, vivement la suite pour qu'on passe aux choses sérieuses (les parcs ehehe)!

Effectivement, super Trip Report. .

Juste pour vous dire que je lis ce TR attentivement... Donc, si j'ai bien compris Matttthieu est l'amant de Wolfi ? Comment ça : là n'est pas l'essentiel ? Ah, bon ?! Je m'en vais donc relire le tout...

Ahhhhhhhhhhhh ! Je viens de comprendre, Matttthieu est, en fait, le fils caché de Wolfi... Mais il a quel age Wolfi ?

Vite la suite...

Ah le bon Trip Report de Wolfi!!
Je crois qu'il va battre le nombre de pages d'écriture! lol

Vivement la suite! bref, le début du séjour...

Vu comment le voyage en avion est détaillé, on saura tout sur tout à propos des parcs dans les posts suivants !

Merci pour le TR ! Au fait Timauvais, Wolfi n'est pas ton frère jumeau ?

G-force a écrit:

Merci pour le TR ! Au fait Timauvais, Wolfi n'est pas ton frère jumeau ?

Quoi??? Ca veut dire que Timon est mon tonton l:lol:

Matttthieu a écrit:

G-force a écrit:

Merci pour le TR ! Au fait Timauvais, Wolfi n'est pas ton frère jumeau ?

Quoi??? Ca veut dire que Timon est mon tonton l:lol:

Ou ton beau frère!

A la lecture des deux premiers chapitres, je sens que je vais me régaler !! Vivement la suite !!

Bah dis donc Matttthieu... Tu m'en avais cachées de ces choses...

J'ai également hâte de lire la suite! Préparant notre voyage aux USA, ça m'aide...La suite, la suite, la suite!!!

Mais purée, nous aussi on va prendre exactement le même vol ! Départ de Zaventem à 12h45 avec US Airways, escale à Philadelphie puis Orlando aux mêmes heures que toi ! C'est pas tès rassurant ce que tu racontes sur l'état de l'avion...

Enfin, du coup, je te remercie de faire un TR aussi détaillé. Grâce à toi, j'ai l'impression de mieux savoir à quoi m'attendre à la minute près.

Je piaffe d'impatience en attendant la suite (surtout que je connais en avant-première quelques tribulations du voyage retour qui valent le détour ! ). Tu as intérêt à avoir fini ton TR avant octobre, je compte sur toi !

Evy a écrit:

Je piaffe d'impatience en attendant la suite (surtout que je connais en avant-première quelques tribulations du voyage retour qui valent le détour ! ). Tu as intérêt à avoir fini ton TR avant octobre, je compte sur toi !

En fait c'est plutot de ma faute si les TR ont du mal à venir, pas la sienne lol. Je mets beaucoup de temps a les relire et préciser d'autres détails lol. Mais promis tout sera posté d'ici la fin de l'été.

et tu me disais que tt hetero..... ouais ouais!

Ils ont même pas pensé à moi pour le voyage... il est où mon cadeau ? lol
M'en fiche, j'irais à Disneyland tout seul pour la peine lol

exellent debut.... me rejoui de lire la suite

Timon Timauvais a écrit:

Juste pour vous dire que je lis ce TR attentivement... Donc, si j'ai bien compris Matttthieu est l'amant de Wolfi ? Comment ça : là n'est pas l'essentiel ? Ah, bon ?! Je m'en vais donc relire le tout...

Ahhhhhhhhhhhh ! Je viens de comprendre, Matttthieu est, en fait, le fils caché de Wolfi... Mais il a quel age Wolfi ?

Vite la suite...

non je crois que c'est ta premiere proposition qui est la bonne et c'est d'ailleur l'info principal de cette introduction, je crois que l'on va apprendre pas mal de chose dans ce TR

Timon Timauvais a écrit:

Juste pour vous dire que je lis ce TR attentivement... Donc, si j'ai bien compris Matttthieu est l'amant de Wolfi ?

Hum, je suis désolé de te contredire Timon mais mon radar à folle n'est pas défaillant moi, et je peux te garantir que Matthieu est garanti 100 % hétéro !

Bon elle arrive quand la suite ?!






Bon j'avoue c'est Timauvais qui m'a demandé car il est friand des éventuels ragots qui pourraient se trouver dans ce TR...

Eh, ho ! G Force, assume ton impatience tout seul, plize...

Ouép Wolfi, je sais que Matttthieu est du mauvais côté de la barrière, mais, avoue qu'il mériterait d'être gay, non ? (attention, lis bien, j'ai pas dit qu'il mériterait d'être gérontophile...)

Bon allez, j'implore la suite, la suite !!!