Serais-tu pour que les films sortent à la fois au cinéma, en DVD/Blu-ray, en VOD, sur les sites de streaming et à la télévision le même jour ? Vive la concurrence libérale et que le meilleur gagne ? Est-ce que tu ne vas pas ruiner le milieu de la distribution du cinéma et de la vidéo en faisant ainsi ?
En même temps sur plusieurs médias ça semble pas trop possible, par contre pourquoi imposer une certaine chronologie "rigide" avec plusieurs étapes (ciné, VOD, Blu-ray, TV payante, TV "gratuite", SVOD) et aucun moyen d'en zapper certaines, au final tu te retrouves avec un délais de 3 ans entre une sortie ciné et SVOD, pour un Netflix (et même Disney avec Mulan) il y a aucun intérêt à sortir un film au cinéma alors qu'ils le font dans certains pays! On pourrait avoir un système un peu plus souple avec quelques mois d'exclus pour les cinés et quelque-chose de plus flexible ensuite.
Jimbo
Âge : 43 Messages : 3194 Localisation : La 2ème étoile sur la gauche Inscription : 05/10/2008
et aucun moyen d'en zapper certaines, au final tu te retrouves avec un délais de 3 ans entre une sortie ciné et SVOD, pour un Netflix (et même Disney avec Mulan)
En France, il y aurait un moyen pour Amazon, Netflix et Disney + d'écourter cette fenêtre de 3 ans jusqu'à seulement quelques mois, en respectant une série d'engagements juridiques et financiers dits vertueux, qui consistent en gros à respecter les lois françaises et à contribuer financièrement au cinéma français.
I won't be silenced You can't keep me quiet Won't tremble when you try it All I know is I won't go speechless.
ViacomCBS suit les traces de Disney. Après avoir annoncé la transformation de CBS All Access en Paramount+, le groupe se réorganise pour faire la part belle au streaming. https://www.theverge.com/2020/10/20/21524771/viacomcbs-all-access-paramount-plus-reorganization-disney-netflix
Hollywood s'attend à des annonces du même ordre chez les autres majors (AT&T/Warner, Comcast/Universal, Sony/Columbia).
Disneyland Paris : déc. 1997/avr. 1998/juil. 1999/avr. 2005/aoû. 2005/oct. 2005/fév. 2006/avr. 2006 - Cast Member 2006-2011 - visites régulières jusqu'à aujourd'hui Walt Disney World Resort : nov. 2008/mai 2011/fév.-mars 2018/sep. 2019/oct. 2022 Disneyland Resort : sep. 2009/mai 2013/nov. 2015/août 2019/déc. 2023 Tokyo Disney Resort : juin 2015/avr. 2016 Hong Kong Disneyland Resort : mars 2016 Shanghai Disney Resort : mai 2016 / juin 2016 / juil. 2016 Disney Cruise Line : mars 2018 (Disney Dream) / sep. 2019 (Disney Fantasy) / oct. 2022 (Disney Wish) / nov. 2023 (Disney Magic) / sep. 2024 (Disney Wonder)
Jimbo
Âge : 43 Messages : 3194 Localisation : La 2ème étoile sur la gauche Inscription : 05/10/2008
Un rêve se réalise pour les majors ! La distribution cinéma prend en moyenne 40% des recettes des films et voilà l'occasion pour les studios de récupérer la main sur la distribution et une manne financière en or ! Bien sûr qu'ils vont tous se précipiter pour sacrifier ce secteur sur l'autel des salles de cinéma. C'est un bras de fer entre les salles et les majors qui se déroule ici. Et on ne demande l'avis du public que par l'abonnement ou non à ces plateformes. En gros, si les gens s'abonnent aux plateformes, pour les majors, c'est qu'ils sont pour la disparition du cinéma ! Consommer, c'est voter.
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La crise actuelle accélère et légitime une stratégie Disney certainement bien antérieure à elle. La crise sanitaire, les enjeux écologiques, et la numérisation des interactions entre individus va emmener une plus large sédentarité dans nos modes de vie (a commencer par le trafic aérien)...
Généralisation du télétravail, moins de transports, internet largement plus performant et plus largement déployé.... Le post de dépense des classes moyennes qu’est le divertissement de salon devrai considérablement augmenter (consoles nextgen, téléviseurs dont l’offre est pléthorique avec des écrans toujours plus grands, maison intelligente...) Disney rentre encore plus dans nos foyers, là où nous consommerons plus demain. Deux axes se dessinent:
Comment Disney vient à nous dans l’établissement d’une relation BtoC qu’il veut TRÈS forte, et comment le consommateur sort pour consommer du Disney via de l’experience.
Streaming versus Cinéma, non. Streaming complété par l’expérience cinéma: Oui!
Le cinéma s’inscrira comme une expérience au meme titre que les parcs, avec une offre moins nombreuse, des productions moins fréquentes mais de très grosses (événements du type Avengers Endgame) nécessitant des setup (IMAX, 4DX....) que seul le cinéma est en mesure d’offrir. Disney dans ce virage refait son retard sur Netflix, prend de l’avance sur les éventuels poursuivants (Amazon, Warner, Apple) et calibre son modèle sur nos modes de consommation à venir au regard des changements societaux qui s’imposent a nous.
Si Disney n’est pas en avance, les autres lui emboîteront le pas. Personnellement je trouve cela comme étant une révolution intelligente et nécessaire et assumée en évoquant l’objectif de rentabilité.
Ton commentaire est loin d’être un hors sujet. De surcroît, il est riche en pertinence.
L’indignation sélective est une spécialité de beaucoup ici.
On ne peut pas mener tous les combats cher monsieur. Celui du cinéma me tient à coeur, j'en assume complètement la sélection. Cela dit, mon indignation s'étend à bien d'autres choses qui ne sont pas le sujet ici
LaMiche a écrit:
Pardonnez moi de partir hors sujet, mais pleurez vous aussi le petit commerce balayé par la grande distribution? ou la camif, la redoute et les 3 suisses balayés par amazon? Ou les stations services qui seront balayées par les bornes électrique? et on peut en citer beaucoup comme çà...
Les évolutions techniques engendrent des évolutions de consommation. C'est du Darwin bête et méchant.
Mais en France, au lieu de surfer sur l'évolution, ou se glorifie de notre "spécificité" et notre passé. Bref, on se plaint que c'était mieux avant sans agir. Continuons comme ça, à rater tout les trains, et à se plaindre de ceux qui les prennent.
Et à la fin, le cinéma fermeront ,et ce qui les remplacera ne sera pas français...
Et on peut étendre ça à l'idéologie aussi. Internet aide bien à faire changer les mentalités aussi... ou pas.
Moi, j'ai ma télé 4K, ma fibre, et mon abonnement disney+, et ça me convient très bien. Et quand un truc m'attire au cinéma, j'y vais.
Et qui sait ce que nous aurons demain?
C'est fous de critiquer une entreprise pour sa stratégie, et de s'estimer avoir des droits sur elle sans être actionnaire! Quelle naïveté!
Fin du hors sujet.
Je te trouve complètement à côté de la plaque, mais ce n'est que mon humble avis Ce n'est pas parce que quelque chose remplace quelque chose d'autre qu'il est forcément mieux ou que c'est une évolution positive. Cela dépend fortement de qu'est-ce qui remplace quoi et si ça va dans le sens de tes valeurs. Si les éoliennes remplacent les centrales à charbon, non je ne vais pas pleurer l'industrie du charbon car selon mes valeurs, c'est mieux pour l'environnement. Par contre là, on remplace quelque chose qui pousse au partage d'émotions entre de parfaits inconnus (ce qui stimule le tolérance et l'ouverture d'esprit), enseigne aux gens la patience et entraîne la concentration (les enfants qui découvrent très jeunes le cinéma y apprennent à rester concentré et silencieux). A la maison, on a tous tendance à multitasker, à mettre sur pause le film, à parfois zapper, etc. Pour moi, la maladie des nouvelles générations, en grande partie à cause du monde hyper connecté dans lequel nous vivons, est le trouble de l'attention. Et donc pour moi c'est pas une évolution qui va dans le bon sens. Cela dit, j'utilise aussi Disney +. C'est juste que je voudrais que les gens soient juste plus équilibrés dans tout ce qu'ils font. Cette logique de faire du fric, poussée à l'extrême fait que finalement, Disney va aller chercher ceux qui vont rarement au cinéma et préfèrent rester chez eux, car c'est une niche où il y a de l'argent à se faire + convertir ceux qui ont de plus en plus la flemme de sortir de chez eux pour aller au cinéma créant ainsi une génération de fainéant casaniers avec une connaissance limité du monde extérieur (ou croyant le connaître au travers de leur télé). Le cinéma réunit des gens qui ont en apparence tout pour être différents : de différentes religions, origines, classes autour d'une passion commune et développe la tolérance. Si tu enlèves ça, tu as des petits nombrilistes renfermés sur eux, protectionnistes et pour ne pas dire racistes. Des petits Trumps en puissance quoi Je schématise, c'est une extrême évidemment, tout le monde n'est pas comme ça et heureusement beaucoup de gens savent faire la part des choses, mais je trouve ça dommage que pour se faire + de fric, on choisisse spécifiquement d'enfoncer les gens qui ne sortent déjà pas beaucoup dans cette direction alors qu'on pourrait justement les entraîner dehors et les pousser à découvrir la culture qui les entoure... en sortant de leur zone de confort un peu.
Ensuite, tu parles de Darwin sur des évolutions techniques, je t'invite à regarder cette vidéo, tu verras que c'est pas toujours la solution optimale qui perdure dans ce domaine (en gros, le darwinisme n'est pas une hypothèse viable si on veut la transposer du vivant au domaine des évolutions techniques)
Enfin dernière chose : oui je suis actionnaire Disney, de 2 actions seulement, mais actionnaire quand même
On ne peut pas mener tous les combats cher monsieur. Celui du cinéma me tient à coeur, j'en assume complètement la sélection. Cela dit, mon indignation s'étend à bien d'autres choses qui ne sont pas le sujet ici:)
Et cela est tout à ton honneur. Je suis plutôt du genre à hiérarchiser les combats selon leur degré d'urgence et de vitalité. Soyons clairs, je ne force personne à adopter ce comportement . Et please, call me Southside .
Citation :
Par contre là, on remplace quelque chose qui pousse au partage d'émotions entre de parfaits inconnus (ce qui stimule le tolérance et l'ouverture d'esprit), enseigne aux gens la patience et entraîne la concentration (les enfants qui découvrent très jeunes le cinéma y apprennent à rester concentré et silencieux).
Citation :
Le cinéma réunit des gens qui ont en apparence tout pour être différents : de différentes religions, origines, classes autour d'une passion commune et développe la tolérance. Si tu enlèves ça, tu as des petits nombrilistes renfermés sur eux, protectionnistes et pour ne pas dire racistes. Des petits Trumps en puissance quoi
J'aimerais être aussi sur que toi sur ce point. Si le cinéma était réellement un vecteur stimulant la tolérance et l'ouverture d'esprit, il devrait être obligatoire d'y aller . Je ne pense pas qu'il y ait un lien de cause à effet. Il suffit de constater que même des personnes bêtes et méchantes, éprouvent du plaisir quant à l'expérience que propose le cinéma, mais ils n'en ressortent pas moins stupides pour autant (petite dédicace à certains membres). S'il existe des études sur ce sujet, je suis preneur . Quant à la concentration des enfants,il existe d'autres outils pour la stimuler, et crois moi ils sont nombreux.
Citation :
Je schématise, c'est une extrême évidemment, tout le monde n'est pas comme ça et heureusement beaucoup de gens savent faire la part des choses, mais je trouve ça dommage que pour se faire + de fric, on choisisse spécifiquement d'enfoncer les gens qui ne sortent déjà pas beaucoup dans cette direction alors qu'on pourrait justement les entraîner dehors et les pousser à découvrir la culture qui les entoure... en sortant de leur zone de confort un peu.
Découvrir la culture qui les entoure ? Le cinéma américain ainsi toutes les valeurs propres au pays qui en découlent, est celui qui connait le plus de succès. Ce n'est pas dans un soucis d'apprentissage et d'exploration d'autres cultures que la plupart des consommateurs va au cinéma. Je pense qu'en matière de culture, il est plus primordial d'inciter nos jeunes à lire et aller au musée .
Cela étant dit, l'expérience que le cinéma propose reste ineffable et source d'immersion, c'est indéniable.
Le cinéma a tenté de se moderniser par plusieurs étapes au cours de son histoire. Une des plus révolutionnaires étant la 3D, mise en avant avec notamment la sortie d'Avatar pour la sublimer. Mais il faut avouer que cette technologie est tombée en désuétude, mis à part pour ses aficionados.
Exemple concret: avant, certains films ne sortaient qu'en 3D et ne pouvaient être vus qu'en l'état (pour les cinémas autour de chez moi type CGR), alors que depuis plusieurs années, maintenant le client a le choix de choisir sa séance (2 ou 3D) avec beaucoup moins de créneaux pour la 3D (peut être que la donne est différente dans les grandes villes).
Le streaming (ou plutôt Netflix) a complètement changé les habitudes télévisuelles, et la façon de "consommer la télé", et il est logique que toutes ces plateformes changent leur politique compte tenu de la crise sanitaire.
Il n'empêche qu'à mon avis, le cinéma devrait effectivement à terme (covid mis à part), penser à se renouveler, apporter un plus que le spectateur ne peut pas retrouver chez lui (certains cinémas de petites villes sont moins dotés que quelqu'un avec blu ray home cinéma et tv 4k par exemple).
Perso, le CGR près de chez moi a tout misé sur ses nouvelles salles ICE immersives (son, image, confort, contours lumineux...). C'est déjà un plus, mais je continue de rêver à une salle de ciné qui à terme, pourra me proposer une immersion davantage poussée, comme par exemple l'apparition d'odeurs ou autre en lien avec le moment du film présenté (sans que ce ne soit non plus cheap).
Après, reste à savoir comment Disney va réagir lorsque la pandémie mondiale sera terminée, et si leur logique de prioriser le streaming sera toujours d'actualité.
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Jimbo
Âge : 43 Messages : 3194 Localisation : La 2ème étoile sur la gauche Inscription : 05/10/2008
Il n'empêche qu'à mon avis, le cinéma devrait effectivement à terme (covid mis à part), penser à se renouveler, apporter un plus que le spectateur ne peut pas retrouver chez lui (certains cinémas de petites villes sont moins dotés que quelqu'un avec blu ray home cinéma et tv 4k par exemple).
Perso, le CGR près de chez moi a tout misé sur ses nouvelles salles ICE immersives (son, image, confort, contours lumineux...). C'est déjà un plus, mais je continue de rêver à une salle de ciné qui à terme, pourra me proposer une immersion davantage poussée, comme par exemple l'apparition d'odeurs ou autre en lien avec le moment du film présenté (sans que ce ne soit non plus cheap).
Il y a déjà les salles 4DX qui proposent des sièges mobiles, vibrants, des jets d'eau, etc.
I won't be silenced You can't keep me quiet Won't tremble when you try it All I know is I won't go speechless.
Vue la tendance et le coût que j'imagine faramineux de toutes ces nouvelles salles et technologies, je doute qu'on continue de les développer... A carré Sénart où je vais, les choses ont bien évolué depuis le début et il y a le choix en programmation (17 salles je crois) et en technologies mais ce n'est pas le cas partout. Le petit "+" n'a peut être pas encore été inventé. On peut imaginer (ça existe déjà je crois) un son ultra immersif diffusé par un casque, mais est-ce viable, est-ce ce que le public veut ?
Personnellement j'ai horreur des salles 4DX. L'idée était intéressante, mais quand tu entends plus la mise en route des effets que le film, l'expérience ne cesse d'être gâchée... A mon grand désespoir, ce sont désormais quasiment les seuls séances pour voir le film en 3D désormais... A coté de ça, certaines salles mériterais un bon rafraichissement. Quel dommage de ne pas avoir plus de salles en IMAX ou Dolby Cinema, qui elles apportent de vraies expériences d'immersions et de plus value, et pour lesquelles je suis content de payer un plus. Après si c'est pour aller en salles de cinéma et porter un casque... autant rester "isolé" chez soit sur son écran de télévision. Trop de cinémas proposent de plus en plus d'options gadgets pour faire grimper les prix, et à coté certaines salles restent dans un état franchement pas terrible (et le prix ne change pas entre une séance "simple" dans une chouette salle ou une petite à rafraichir)...
Vers un changement dans la chronologie des médias, qu'il devient urgent de modifier ?
Citation :
Combien Netflix, Amazon Prime Video et Disney verseront-ils à la création française ? Ces dernières semaines, le gouvernement a mené des discussions intenses, parfois tendues, avec les plates-formes américaines et les producteurs français. Lundi 26 octobre, les pouvoirs publics devraient soumettre à la consultation publique le projet de décret fixant les obligations des services de vidéo à la demande par abonnement (SVOD). L’adoption définitive est prévue en février ou mars 2021 si le calendrier n’est pas bouleversé par l’échec en commission mixte paritaire, le 22 octobre, de la loi Ddadue (loi sur diverses dispositions d’adaptation du droit national au droit de l’Union européenne), qui doit permettre de transposer la directive « services de médias audiovisuels » (SMA), et dont une nouvelle lecture doit intervenir la semaine du 16 novembre.
L’enjeu est crucial pour l’Etat, tant les Américains ont négocié chèrement leur entrée dans l’exception culturelle française. Selon nos informations, et sous réserve de derniers arbitrages, le projet de décret prévoit que les plates-formes investissent entre 20 % et 25 % de leur chiffre d’affaires dans la création. Le taux évoluera en fonction de la place qu’elles souhaiteront occuper dans la chronologie des médias, qui fixe le délai de diffusion des films après leur sortie en salle. Ainsi, pour avoir le droit de programmer les films moins d’un an après leur sortie au cinéma, Amazon ou Netflix devront investir 25 % de leurs recettes. Pour un délai moins favorable, entre treize et vingt-quatre mois, le taux sera de 22,5 %. Enfin, à 20 % de leur chiffre d’affaires, elles devront attendre au moins vingt-cinq mois.
La manne pourrait représenter autour de 300 millions d’euros par an pour la production tricolore, avec une mise en place progressive sur deux ans. Netflix, qui réaliserait un chiffre d’affaires autour de 1 milliard d’euros, devrait accroître sensiblement le montant de ses investissements et modifier ses méthodes de travail.
Il y a déjà les salles 4DX qui proposent des sièges mobiles, vibrants, des jets d'eau, etc.
Oui mais pas partout. Dans mon département par exemple (voir même région?) le IMAX est absent alors les jets d'eau... les grandes enseignes (PATHE, CGR et consorts) devraient plancher sur le petit plus qui peut faire la différence. Car pour toutes c'est l'escalade de la qualité d'image et du son (en grande majorité), mais 90% des clients s'en fichent.
Je reste persuadé que la dimension olfactive rajouterait un vrai plus à une immersion ciné (pas tout le film, sur certaines scènes).
Le gros point faible de Disney+ aujourd'hui c'est le manque de contenu original et pour adulte. Avec suffisamment d'investissements, ils pourraient vraiment concurrencer Netflix.
Mais le streaming Disney, ce n'est pas que Disney+. C'est aussi Hulu (US et Japon), ESPN+ (US), Hotstar (Inde et Indonésie) et bientôt Star (monde entier hors US - lancement en 2021). On en saura plus sur le lancement de cette dernière le 10 décembre, ce sera un équivalent à Disney+ avec les contenus jugés pas suffisamment familiaux pour Disney+
Si le but est de multiplier les abonnements je ne vois pas en quoi c'est intéressant. J'avais imaginé un Disney+ regroupant les films Disney et toutes ses filiales, ce n'est juste qu'une plate-forme pour enfants.
C'est comme si Netflix avait un abonnement 1 pour les films d'animations, un abonnement 2 pour le contenu originale, un abonnement 3 pour les films conseillé au plus de 12ans, etc... zéro intérêt.
Non mais c'est pas peut-être, c'est sûr et certain !
Je ne vois pas bien le problème, c'est le consommateur qui est gagnant, il suffit de voir l'exemple américain.
Netflix : 16$ Disney+ + Hulu + ESPN+ : 13$ Mais avec la possibilité aussi d'économiser en ne s'abonnant qu'à ce qui nous intéresse là où Netflix fait payer le tarif plein pot à tout le monde. Disney+ seul : 7$ Hulu seul : 6$ ESPN+ seul : 6$
Si Netflix faisait la même chose, je suis persuadé que ça arrangerait des gens de payer 7€ pour juste ce qui les intéresse. D'autant qu'on peut changer de formule tous les mois. Perso, je ne regarde que des films originaux sur Netflix (les films cinéma, je les ai généralement déjà tous vus) et une série ou deux par an donc si je pouvais ne payer que pour les films par exemple, je le ferais, j'économiserais de l'argent et prendrais l'abonnement complet avec les séries un mois dans l'année.
Disneyland Paris : déc. 1997/avr. 1998/juil. 1999/avr. 2005/aoû. 2005/oct. 2005/fév. 2006/avr. 2006 - Cast Member 2006-2011 - visites régulières jusqu'à aujourd'hui Walt Disney World Resort : nov. 2008/mai 2011/fév.-mars 2018/sep. 2019/oct. 2022 Disneyland Resort : sep. 2009/mai 2013/nov. 2015/août 2019/déc. 2023 Tokyo Disney Resort : juin 2015/avr. 2016 Hong Kong Disneyland Resort : mars 2016 Shanghai Disney Resort : mai 2016 / juin 2016 / juil. 2016 Disney Cruise Line : mars 2018 (Disney Dream) / sep. 2019 (Disney Fantasy) / oct. 2022 (Disney Wish) / nov. 2023 (Disney Magic) / sep. 2024 (Disney Wonder)
Le Bretagne à Monparnasse a fait une super programmation ces dernières semaines, en ressortant les classiques. Il y avait aussi Blanche Neige juste avant.
I won't be silenced You can't keep me quiet Won't tremble when you try it All I know is I won't go speechless.
Voilà une bonne idée pour laisser le choix au spectateurs.
Wonder Woman 1984 lancé simultanémentau cinéma et sur HBO Max à Noël https://www.clubic.com/television-tv/video-et-streaming/vod/actualite-21540-wonder-woman-1984-lance-simultanement-au-cinema-et-sur-hbo-max-a-noel.html
3 X Anaheim(2014-2018-2022) 1 X Hong Kong(2019) 1 X Shanghai(2019) 1 X Tokyo(2016) 6 X Walt Disney World(2013-2015-2016-2020-2022-2024-2025)
Voilà une bonne idée pour laisser le choix au spectateurs.
Wonder Woman 1984 lancé simultanémentau cinéma et sur HBO Max à Noël https://www.clubic.com/television-tv/video-et-streaming/vod/actualite-21540-wonder-woman-1984-lance-simultanement-au-cinema-et-sur-hbo-max-a-noel.html
Mais impossible à faire en France malheureusement.
The former head of casting for ABC and Disney+ has been promoted and will now report to Gary Marsh, who this week expanded his purview as part of Peter Rice's reorganization.
Ayo Davis is changing gears at Disney.
The longtime casting executive has been promoted to the newly created position of exec vp creative development and strategy at the recently launched Disney Branded Television department. Most recently exec vp talent and casting at ABC and Disney+ Davis will now report to Gary Marsh, who was promoted this week to serve as chief creative officer and president of Disney Branded Television.
In her new role, Davis will now have oversight of scripted and unscripted series, movies and specials and will manage the teams for original development, current programming, original movies, unscripted content, casting and talent relations, integrated content strategy and the educational resource group.
Davis will be charged with leading a division that supplies Disney-branded content geared toward kids, tweens, teens and families for the Mouse House's vast portfolio, including Disney+, ABC, Freeform, Disney Channel, Disney XD and more.
"Ayo's sophistication and taste elevate every project she touches — and her impact on the television landscape is beyond measure," Marsh said. "As we embark on the mission of bringing more world-class content to Disney-branded platforms, I could not imagine a more perfect executive with whom to partner."
The new gig arrives as Davis, an 18-year Disney casting veteran, had been fielding multiple offers outside of Disney. Sources say she was being eyed for a role leading casting at Warner Bros. TV, where she would have reunited with former ABC entertainment president Channing Dungey. Disney fought to keep her in the fold.
"This is an exciting and incredible time of growth for Disney Branded Television," Davis said. "I am honored to work with Gary and his exceptional team in leveraging a strong legacy of storytelling to create engaging programming for generations of viewers to come."
Reporting to Davis in her new role are Disney Channel's Jonas Agin, vp original series; Kory Lunsford, vp current; Lauren Kisilevsky, vp original movies; Judy Taylor, senior vp casting and talent relations; Theresa Helmer, executive director integrated content strategy; Vicki Ariyasu, senior vp Educational Resource Group; and Disney+'s Dan Silver, vp originals unscripted.
Davis is a proven star-maker, having launched the ABC Discovers initiative that helped launch the careers of Lupita Nyong'o, Gina Rodriguez and Pedro Pascal. She helped to cast shows including The Good Doctor, American Crime, How to Get Away With Murder and Black-ish, among others, while serving as a champion for the likes of Viola Davis, Jesse Williams and Eva Longoria.
For his part, Marsh was promoted earlier this week as part of the latest wave of restructuring at Disney. The veteran Disney exec, who also renewed his deal with the company, expanded his duties from kids programming to all non-theatrical Disney-branded TV content made for tweens, teens and families, including live-action and animation. He will also oversee the Disney+ unscripted content and production teams. Marsh continues to report to Rice, chairman of Disney's General Entertainment Content unit.
It's unclear who will replace Davis, who previously reported to ABC entertainment president Karey Burke and oversaw casting and talent relations for both the broadcast network and streamer Disney+. That role is likely to be addressed as part of the next wave of Disney's executive realignment.
The reorganization started Oct. 12 when new CEO Bob Chapek shifted the company's priority to streaming. As part of the changes, Chapek tapped former consumer products president Kareem Daniel to oversee a new Media and Entertainment Distribution Group. That gave greater content control to studio leaders including Peter Rice while handing Daniel oversight of distribution, ad sales and such other business functions as budgets. The changes created what one top literary agent dubbed a "content czar and Supreme Court of buyers" at Disney. Other divisions within the Disney TV fold are expected to announce restructurings and layoffs as part of the larger moves at the company. The restructuring is part of a companywide effort to prioritize streaming while also consolidating staff in bid to both better position the company for the future and trim costs. Layoffs are expected to come as the consolidation efforts are expected to continue throughout the TV division.
The Hollywood Reporter - 13 novembre 2020.
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