J'ai récemment interviewé Nicky Holloway, l'organisateur de la Rave Party d'Eurodisney en 1993, dont certains auront entendu parlé dû au fait que les Daft Punk aient été repérés à cette occasion. Je pense que ça pourrait intéresser quelques uns d'entre vous ! Des sous-titres en français sont disponibles dans les options en bas à droite.
J'allais justement posté la vidéo dans un sujet, et t'a été plus rapide que moi En meme temps tu es bien plus légitime que moi a le faire. En tout cas bonne vidéo ! Comme quoi Electroland n'était pas si innovant que ça Et je savais que Daft Punk avait signé avec un label écossais au début, mais pas que c'était a cette occasion là, merci pour toutes ces infos.
J’aime bien quand la personne dit « je m’amuse sans drogue ni alcool », voilà la différence entre la rave party et electroland.
Pour être assez coutumier des raves de banlieue parisiennes (les mêmes ou presque qu'il y a 20 ans a priori), la drogue y coule a flots il faut pas se mentir. Ca tape de la coke, de la kétamine et des ectazy dans tous les coins. C'était aussi le cas en 1993, et c'est pas parce que ce monsieur en particulier n'y touche pas que tout le monde était clean. Ceci dit une part de la population qui va en rave y va pour profiter de la musique et la drogue n'est pas une fin en soit, mais plus un moyen de profiter, tandis que le public plus classique de festival (celui d'elecroland donc), est vraiment la pour se mettre la tete à l'envers. M'enfin bon, la fete reste quand meme belle
ManuV
Âge : 59 Messages : 3076 Localisation : Près d'Amiens, 80, France Inscription : 18/10/2007
Ca me fait très bizarre de lire ce qui est écrit sur les raves.... Différencier ceux qui ne viennent pour se droguer avec de la musique de ceux qui écoutent de la musique en se droguant, désolé mais pour moi, c'est la même chose.... Sûrement de grosses modifications dans les générations difficiles à comprendre pour quelqu'un de mon âge !
Mon petit site d'informations générales et de conseils/avis personnels à Disneyland : http://www.world-of-manu.fr Ma page Facebook https://www.facebook.com/WOMDisneylandParis/
Ca me fait très bizarre de lire ce qui est écrit sur les raves.... Différencier ceux qui ne viennent pour se droguer avec de la musique de ceux qui écoutent de la musique en se droguant, désolé mais pour moi, c'est la même chose.... Sûrement de grosses modifications dans les générations difficiles à comprendre pour quelqu'un de mon âge !
Je ne dis pas qu'il faut de la drogue pour profiter hein. Pour le coup je différenciais ceux qui y vont pour écouter de la musique (et parfois se droguent), et ceux qui viennent juste pour la drogue (sans ecouter/apprecier la musique)... Ces attitudes ne sont pas nouvelles (les raves existent depuis la fin des années 80), mais il faut avouer que de plus en plus de jeunes prennent de la drogue sans forcément faire gaffe a ce qu'ils prennent et aux quantités qu'ils prennent...
ManuV
Âge : 59 Messages : 3076 Localisation : Près d'Amiens, 80, France Inscription : 18/10/2007
Oui, je préfère avec un "parfois" (quoi que "malheureusement" aurait été bien aussi !)
C'est vrai que ces rendez-vous "illicites" (si j'ai bien compris, les raves sont souvent organisées sans autorisation) ont donné lieu et riment avec pas mal d'actes "illicites" également. C'est sûrement une autre façon de "s'amuser" qui s'apparente plutôt à de l'évasion, et donc ces produits aident en effet (la musique ne servant que de support finalement) Et en même temps, alcool et drogues sont de plus en plus les invites permanents de toutes les sortes de fêtes maintenant (de mon temps, on avait juste l'alcool, et du coup, on avait "parcimonie" dans nos invité...
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C'est vrai que ces rendez-vous "illicites" (si j'ai bien compris, les raves sont souvent organisées sans autorisation) ont donné lieu et riment avec pas mal d'actes "illicites" également. C'est sûrement une autre façon de "s'amuser" qui s'apparente plutôt à de l'évasion, et donc ces produits aident en effet (la musique ne servant que de support finalement)
Je les vois plus comme un bon moyen de se retrouver autour de la musique qu'on aime. Effectivement le coté underground a du pas mal aider a la prolifération des drogues mais tu va dans n'importe quel club ou festival aujourd'hui, la drogue y circule autant (et souvent le motif est purement pour se retourner le crane). Assez loin du motif originel donc..