Tout à fait, mais si un job ne me convient plus (quel qu'en soit la raison - nature du travail, position, conditions salariales, horaires, distance, environnement et a fortiori pour raisons de santé, de maltraitance ou de harcèlement), ben je change de boulot ! Dans une société patriarcale comme le Japon, son initiative a été très mal perçue (et pas que par le patronat pour lequel elle crée un précédent).
Elle risque d'être bien accueillie à son retour (si elle en a l'occasion), autant par ses supérieurs que par ses collègues (et pas uniquement masculins). Elle pourra bientôt se plaindre d'être ignorée, rejetée, réprimandée, brimée...
Si elle a la possibilité de retravailler chez OLC, cela ne sera de toute façon plus dans le même rôle pour des raisons évidentes (elle le savait déjà avant de se présenter au tribunal).
Par chance, son nom n'a pas été divulgué donc si elle change d'employeur et que l'on ne l'associe pas ce procès, cela se passera sans doute mieux.