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 La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990]

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Matheus

Matheus

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MessageSujet: Re: La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 Horlog11Mar 24 Juin 2008 - 10:05

Ptitmath a écrit:
C'est clair que ces films sont absolument géniaux, et je suis étonné qu'on n'ait pas vu ailleurs ces acteurs, qui je trouve sont particulièrement bons.

C'est vrai que Nathalie Roussel n'a pas joué dans des films très connus, mais on pouvait la voir dans beaucoup de TVfilms, notamment Les Coeurs brûlés avec Mireille Darc ou Le Grand Batre avec M.C. Barrault et Jean-Claude Drouot, mais surtout elle fut la femme de Seznec dans le superbe L'Affaire Seznec avec Christophe Malavoy. Et si vous aimez Les Inconnus, elle a joué dans Les Rois Mages.

Quant à Philippe Caubère et Didier Pain , je ne suis pas d'accord avec toi Ptitmath. Pour Caubère, en plus de ce qui a été dit, on peut ajouter le superbe Molière d'Ariane Mnouchkine.

Didier Pain et sa fameuse "barrrrrrrrrrtavelle", il était Louis VI le Gros dans Les Visiteurs, le mec qui se fait prendre pour un homo par Piccoli au marché dans Le bal des casse-pieds (encore un film d'Yves Robert) et plein de seconds rôles dans des films connus : Marche à l'ombre, Nuit d'ivresse, Jean de Florette/Manon des Sources (encore Pagnol), Les fugitifs, Le Bossu avec D. Auteuil...


En revanche, je suis d'accord avec toi, les acteurs qui jouent le rôle des enfants (Marcel, Paul, Lili...) n'ont pas une grande carrière au cinéma.



En plus de Carmet et Rochefort, vous oubliez Patrick Préjean, notre Tigrou préféré, qui joue le rôle du jardinier d'un des châtelains dont les Pagnol doivent traverser la propriété. Et une pensée également pour Ticky Holgado.
Ce qui était bien avec Yves Robert, c'est qu'il faisait des films avec sa bande de copains, et du coup on sent la bonne humeur et la sympathie des acteurs dans chaque film.
Regardez La Guerre des boutons, Le grand blond avec une chaussure noire, Un éléphant ça trompe énormément/Nous irons tous au paradis, Le bal des casse-pieds. On se sent bien quand on les voit.
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Dash
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MessageSujet: La Gloire de Mon Père/Le Château de Ma Mère (1990) La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 Horlog11Mer 13 Jan 2010 - 20:47

Étant tombé sur l'édition DVD de ces deux films d'Yves Robert au prix dérisoire de 10€, je n'ai pas hésité à me les prendre afin de me remémorer quelques souvenirs d'enfance (mon grand-père avait les films à la maison quand j'étais plus petit).
Ces films ont été distribués en France par Buena Vista International (à l'époque de son association avec Gaumont), aujourd'hui renommée en Walt Disney Studios Motion Pictures.

La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 A0001609La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 Affiche-Le-Chateau-de-ma-mere-1990-1
J'aime beaucoup ces films qui imagent d'une très belle façon les souvenirs d'un enfant heureux vivant dans le Sud de la France au début du XXème siècle. Les films sont inspirés des livres autobiographiques de Marcel Pagnol.
Les films existent en DVD et en Blu-ray Disc.

La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 Gloire_de_mon_pere_chateau_de_ma_mere_2
Citation :
Ces bribes de mémoire, florilège mousseux et empathique, sont étrangement dépourvues d’âge et ne se voient jamais engluées dans une époque bénie ou honnie, sûrement ce qui instille leur farouche et indéniable fraîcheur, joliesse ronde idoine à rassembler toute la cellule familiale autour d’un divertissement revigorant à l’interprétation jubilatoire. Ces deux longs métrages naturalistes peuvent en effet se targuer d’appartenir au cercle restreint de ces rares œuvres fédératrices et soignées – la croyance indéfectible à une narration attentive capte immédiatement, avec humilité, la sympathie – exemptes d’un racolage lénifiant grâce à un dosage de bénédictin entre sincérité, authenticité désuète et ingénieuse épure.
La mise en scène privilégie ainsi l’essentiel aride et prosaïque des coteaux – exception faite d’un mouvement de caméra, pendulaire et caressant, qui introduit le personnage d’Augustine au faîte de sa féminité, en plein accouchement, épandant le souffle épique de l’œuvre, son historien omniscient – en s’émancipant de sa vocation d’enluminure ou d’écrin pour les envolées du célèbre conteur – qui hante ici les scories de ses textes sous les inflexions chantantes de Jean-Pierre Darras – pour se focaliser, au gré de la valse composée par Vladimir Cosma, sur des fragments tangibles d’un inventaire à la simplicité enfantine. Les joutes ludiques sur une conception démiurgique du monde sont ainsi contrebalancées par une propension compulsive et factuelle à entreposer les reliques étiolées (microbes, insectes, outils, végétaux hétéroclites linceul d’un «dormeur du val» fauché dans ses jeunes années…) dans un suaire joyeusement naphtaliné – ces lieux vides qui ouvrent le second opus et dont le
s césures sont peuplées de phrases et d’anecdotes. Par une concentration alerte sur les manifestations minimes, les ébréchures du mobilier ou les petits miracles quotidiens, se déploie sous nos yeux une topologie de l’innocence, de vallées studieuses en collines sublimes. Une sensation spatiale bourdonnante qui s’abat comme une vague picaresque et inendiguable sur la personnalité de chacun, jusqu’à emporter l’adulte (celui de La Gloire De Mon Père) dans l’enfance (qui s’approprie incidemment Le Château De Ma Mère) pour un ennoblissement étincelant – le soleil qui irradie la garrigue émouvante, la lumière d’une vie équivalant à l’aura maternelle réduite après sa disparition au crépitement incertain d’une ampoule frissonnante –, qui trouve son apothéose dans les maternelles roses du Roi et les paternelles perdrix, tout aussi royales.
La clé des champs. C’est que l’intégralité des deux opus se fonde sur l’écho (Lili hélant son «collègue» Marcel sur une barre rocheuse voisine et réciproquement), entre les joies insouciantes de l’âge tendre et les drames subséquents autant qu’inconsolables de la maturité – ou un spectateur retrouvant sur deux segments l’intimité d’une terre glabre et d’êtres attachants. Déjà, le petit narrateur noyait son premier chagrin lucide dans les gouttes mouillant les carreaux de son salon après qu’il ait compris que les adultes pouvaient mentir autant sinon mieux que lui.
L’élément liquide, d’ailleurs, par le truchement de la pluie ou du canal serpentant les riches domaines agit comme un filtre d’apothicaire pour contrer la dessiccation progressive de l’être humain depuis
sa naissance – rappelant l’amnios originel à n’en pas douter. Le reste est à l’avenant, explorant le dilemme intrigant de ce que l’individu doit accepter de perdre ou dénier pour évoluer en essaimant langoureusement dans son propos et sa forme les résidus poreux, aux effluves âcres et épicés, de cette âpre mue. La formalité de ces chairs et pelures abandonnées est suffisamment lâche pour éconduire toute pusillanimité désenchantée ou pathos lénifiant et, à contrario, glorifier le périple initiatique d’un homme portant en bandoulière les encoches fugaces, dévastatrices et exotiques du destin – les bardas, babioles et paquets encombrants traînés sur des kilomètres. Le cinéaste inocule, malgré quelques longueurs (le final du premier long métrage et l’histoire d’avec Isabelle trop précoce par rapport à la chronologie adoptée par l’écrivain), une véritable nostalgie palpable et cohérente où prévaut la jonction plus que l’achoppement des mémoires. Partant d’un axiome résolument responsable, l’histoire avance à reculons, s’enfonçant, en un processus de régression charmant, dans les arcanes grotesques, introspectives et mirifiques des chimères et de la perception d’une conscience candide et ébahie.
Alors que La Gloire De Mon Père faisait la part belle à la vie de la famille, certes par les yeux du petit Marcel, mais en privilégiant une problématique encore rétive, guindée et définitivement marquée par l’âge avancé de l’auteur, Le Château De Ma Mère s’octroie lui des métaphores dignes de contes – le cruel hibou et le rapace sinistre fondant inexorablement sur leur proie fébrile, symboles du destin implacable et tournoyant, ont préalablement été chassés et l’œil ébahi préservé –,
où les personnages se transfigurent en caricatures éphémères et outrancières (la cicatrice, le garde et son chien Mastoc, les tics de langage de Bouzigue, les envolées lyriques et guignolesques d’un Jean Rochefort imbibé d’absinthe…) par le regard écarquillé et l’imaginaire prolifique d’un chérubin. La redondance s’efface et le temps se retrouve aplani, poli comme la surface de cet amène miroir tendu vers les replis tiédis du coeur. La phrase qui clôt le voyage résonne alors d’une tonalité nouvelle, cette mère blême et inconsolable ne savait pas qu’elle était chez son fils, pas dans sa demeure, non, mais dans son âme. Habitant pour l’éternité les souvenirs d’un être – tiraillé entre attrait de la modernité et regrets lumineux – qui transporte toute sa vie de bohème sur son dos voûté et qui ne vise qu’à les transmettre, à les léguer dans un amour absolu et incommensurable. La légèreté du fardeau ainsi partagé nous propulse vigoureusement dans un espace incertain et unique : l’envers du souvenir, amorphe et ondoyant (l’intérieur de la bastide désertée lorsque le père verrouille le loquet après les vacances), possédant la particularité de survivre à ses initiateurs (par les manifestations gravées dans la pellicule ou les pages) mais iniquement réduit à la subsistance amère sans le comburant.
Source : F. Flament
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MessageSujet: Re: La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 Horlog11Jeu 14 Jan 2010 - 22:14

Ce n'est qu'une production Gaumont, je ne vois pas ce qu'elle vient faire là, rappelons qu'un accord a été passé par Buena vista avec Gaumont pour distribuer ses productions sur le territoire français d'où le sigle GBVI Une production française n'est pas disney sauf si elle est produite par Buena vista france ou que autre société de production s'associe à buena vista pour sa commercialisation ici ce n' est pas le cas. Une production Gaumont reste une production Gaumont


Dernière édition par VOLTH le Ven 15 Jan 2010 - 13:34, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 Horlog11Ven 15 Jan 2010 - 13:05

Je suis plutot d'accord avec VOLTH, si on commence comme ça il va falloir en rajouter des pelletés de films dans cette section, je pense qu'on devrait vraiment la laisser dédier aux productions maisons... (Tout comme les Ghiblis niveau animation)


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MessageSujet: Re: La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 Horlog11Ven 15 Jan 2010 - 13:07

Je suis également d'accord avec VOLTH.


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MessageSujet: Re: La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 Horlog11Dim 17 Jan 2010 - 11:10

100% d'accord. GBVI était une entité sous forme de partenariat, un label commun qui distribuait les films produits par les deux studios qui restaient indépendants.

Ces films sont produits par Gaumont et n'ont absolument rien à voir avec Disney. Ce qui ne les empêche pas d'être magnifiques!!! Pour ceux qui ne les ont pas vu, je recommande, les deux vont ensemble, c'est du divertissement familial par excellence, qui ramène à une vie plus simple et aux joies de l'enfance.



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MessageSujet: Re: La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 Horlog11Dim 17 Jan 2010 - 17:20

A lire également, Pagnol est un auteur accessible à tous Smile
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Elessar

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MessageSujet: Re: La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] La Gloire de Mon Père/Le Château de ma Mère [Gaumont - 1990] - Page 2 Horlog11Lun 18 Jan 2010 - 9:33

En plus, le sujet existait déjà Dash, et tu y avais même posté. Razz


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