Wild West Fun juin 2015 [Vegas + parcs nationaux + Hollywood + Disneyland]

Oui il fait beaucoup plus sec en Californie qu'en Floride du coup ça sèche plus vite

Oui, on sèche plus facilement dans l'air sec de Californie que dans l'humidité de Floride où on a tendance à rester moite longtemps

Nous étions donc en route vers le...

… Studio Tour ! On se laisse porter par le Star Way jusqu’au Upper Lot, ou plutôt jusqu’à Springfield, la ville des Simpsons ! En grand fan de la série, je suis super content de découvrir cette 2e Springfield, après celle de Floride. On n’est toujours pas au niveau de Harry Potter (dommage, il y aurait tant à faire) mais c’est déjà nettement plus immersif : on reconnaît les façades du Krusty Burger, de l’école primaire, du marchand de BD, du bar de Moe et bien d’autres, et au loin les tours de la centrale nucléaire qui fument.

Juste en face se trouve le Simpsons Ride, dont l’extérieur est très similaire à celui de Floride, et le Kwik-E-Mart, la boutique d’Apu, devant laquelle on croise Homer. J’adore les characters des Simpsons, ils sont très très funs  

Et nous voilà devant notre destination : le Studio Tour ! Et on y accède en redescendant un escalator qui offre une vue panoramique sur le Backlot d’Universal, mais aussi sur… Hogwarts et le showbuilding de Harry Potter & the Forbidden Journey. Ah pour ça Universal restera Universal, ça casse un peu tout de voir ainsi les coulisses (même si là, la configuration du parc laisse peu d’options pour le camoufler).





Mais Harry Potter n’ouvrira pas encore avant une bonne année de travaux, alors revenons-en à notre Studio Tour ! Après une file d’attente toute simple on embarque dans un tram… On a beau ne pas être à Disney, tout cela nous semble étrangement familier    Mais la musique du logo Universal nous rappelle vite où l’on est, et ainsi on se met en route pour une heure de voyage dans les coulisses du cinéma !

On commence par longer la colline en contrebas du Simpsons Ride, en passant devant des dizaines d’affiches de films Universal, pendant que notre guide Liz se présente, puis on longe les backstages de Jurassic Park, et on arrive au milieu d’une forêt de soundstages, ces immenses hangars où l’on tourne les films et séries. Liz nous indique ceux où tournent en ce moment The Voice ou CSI (« what happens in Vegas stays… here, in Universal Studios Hollywood ! ») Moment d’émotion lorsqu’elle nous indique un soundstage qui a longtemps servi au tournage de Sabrina The Teenage Witch… Toute mon enfance  

On passe devant plusieurs lieux de vie des équipes de tournage, Liz nous indique notamment le bureau d’Alfred Hitchcock, puis on arrive à New York... ou n’importe quelle autre ville, puisque ces street sets peuvent être modifiés selon les tournages. Si les façades sont incroyablement réalistes, on découvre en passant de l’autre côté que ce ne sont bien que des façades sur une structure métallique. Au loin on aperçoit le Courthouse Square où se trouve la mairie de Hill Valley, célèbre set de Back To The Future… où une équipe de tournage s’affaire, on ne pourra donc pas s’en approcher…





On quitte maintenant New York pour Skull Island, avec King Kong 360 3D : une attraction dans l’attraction dont j’ai beaucoup entendu parler et que j’ai hâte de découvrir, d’autant plus qu’Universal le vend comme le plus grand écran 3D du monde ! Finalement j’en sors un peu déçu : je m’attendais à quelque chose de super immersif, et finalement… Syndrôme Ratatouille : on voit les bords de l’écran. Le spectacle reste sympa, le sentiment de profondeur exceptionnel, le visuel très réussi, mais pas le waow attendu.

Retour à la lumière du jour pour admirer quelques véhicules de films… Comme aux WDS à Paris, sauf qu’ici on connaît les films d’où ils viennent   , et pas des moindres : Back To The Future, Fast & Furious ou encore des tous récents de Jurassic World   , qui est sorti ce weekend et qu’on a hâte de voir. D’ailleurs on découvre ensuite quelques props de Jurassic Park (essentiellement du Monde Perdu) avec la musique à bord et quelques… surprises.







On arrive ensuite dans une zone où Lise nous montre comment on imite la pluie au cinéma, avant qu’une immense vague se dirige droit sur nous : une fois encore difficile de ne pas penser aux WDS ou aux DHS, mais c’est bien l’attraction d’Universal qui était la première : elle date de 1964 !



On continue en traversant des décors Far West qui ont récemment servi au tournage de Saving Mr Banks de Disney, pour les scènes en Australie.



On continue d’enchaîner les décors et les anecdotes, comme ce passage bluffant où le lac se retire pour laisser passer le tram, et on découvre une nouvelle attraction dans l’attraction où l’on va vivre un tremblement de terre de magnitude 8.3 dans une station de métro. Je ne rentre pas dans les détails, mais c’était une super surprise : une avalanche d’effets spéciaux en tous genres concentrée en très peu de temps et totalement inattendue, du grand spectacle    ! Et ça ne s’arrête pas là puisque l’on ressort en plein cœur de Amity Island, théâtre de Jaws où de nouvelles surprises nous attendent ! On prend ensuite une route moins mouvementée : celle de Colonial Street « but you probably know it better as Wisteria Lane » nous indique Liz !





Je ne connais la série que par les bribes que j’en ai aperçus quand Marianne regarde, mais ça reste un très beau set à voir, une rue typique Américain, qui existait bien avant Desperate Housewives (Ronald Reagan « habitait » ici dans Bedtime For Bonzo) et qui sert encore régulièrement aujourd’hui pour des pubs, séries (Parenthood) et films (Ted & Ted 2).

On verra encore plusieurs décors comme ceux du Grinch, la maison de Psycho (apparemment une réplique, mais ça je l’ai appris sur le TR de fgth, Liz s’est bien gardée de nous le dire !) ou un immense terrain vierge face à un mur bleu qui a servi pour de nombreux films comme Truman Show ou Pirates of the Caribbean, avant d’arriver au final : le spectaculaire set du crash de War of the Worlds.







Et une heure après avoir embarqué, nous voilà de retour, quel voyage ! Entre le backlot, les street sets, les décors et props authentiques et les attractions, ce Studio Tour est l’une des meilleures attractions du monde    ! Depuis, je m’amuse à reconnaître les lieux dans les making of de film, comme dans celui de POTC où l’on voit l’équipe en repérage dans les ruelles Européennes (que je n’ai pas évoquées, mais que l’on a également traversées). Et puis quel plaisir, aussi, d’avoir enfin découvert le seul et unique vrai studio tour, après la blague que Disney nous a pondue à Paris

Alalalala que de bons souvenirs. J'ai beaucoup aimé Universal Studios. Se retrouver dans un parc d'attraction (chose que Mikael et moi adorons) après toutes ces aventures (Las Vegas, les cailloux, le désert, les sites naturels exceptionnels, le sandwich géant, Los Angeles...), c'était vraiment une nouvelle partie du voyage qui commençait. Et le meilleur reste à venir ^^.

Grâce à ton TR je peux enfin voir la différence entre la visite normale et la visite VIP. La durée déjà (plus de 2h pour nous) et les nombreux arrêts en mode VIP quand on descend (4-5 fois de mémoire) de notre petit tram privé pour faire des endroits que ne fait pas la visite habituelle (dont la promenade de 10 bonnes minutes dans le décors de War of the Worlds, juste géniale, ou les props). Sans compter Fast & Furious Supercharged qui était ouvert (et qui est fait en mode normal évidemment). C'est clair que pour moi les deux visites n'ont en effet rien à voir, ce qui justifie en partie le surcoût phénoménal du VIP tour. Merci pour cette partie de TR dont j'attends la suite évidemment :-)

On sort du Studio Tour et on se retrouve à nouveau dans Springfield, d’ailleurs on croise Bart Simpson, puis direction Krustyland avec le Simpsons Ride qui affiche 20 minutes.



Avec les temps d’attente inexistants de ce matin, ça nous semblerait presque beaucoup, mais de nombreuses vidéos –certaines inédites- des Simpsons nous occupent jusqu’à la première salle d’attente, puis dans la 2e où nous attend la plus drôle des vidéos de sécurité de parcs ! A part la disposition des deux salles, le ride est en tous points identique à celui de Floride, et j’y retrouve avec beaucoup de plaisir l’humour des Simpsons, dont je suis fan, adapté à l’univers des parcs, dont je suis aussi fan !

On embarque, et c’est parti pour une course-poursuite complètement délirante. J’adore autant le ride-system qui est vraiment unique, sorte d’hybride entre Star Tours et Soarin, que l’humour des Simpsons que l’on retrouve tout au long de l’attraction. Certaines répliques sont aussi cultes que celles de la série : « fools ! Don’t you know that all rides must end at the gift shop ?! » (alors qu'en fait ce ride n’a pas de gift shop.)

Après cette aventure on voit que Bart n’est plus seul à la photolocation, mais avec ses parents, alors on refait quelques minutes de file pour une nouvelle photo.

On prend ensuite le temps de découvrir Springfield, en commençant par la boutique d’Apu (malheureusement –ou heureusement pour mon porte monnaie- je ne trouve pas le merchandising terrible), puis les façades pleines d’humour du bureau des permis de conduire et de Disco Stu. Comme en Floride, Springfield n’est pas très grande, en fait il s’agit globalement d’un seul bâtiment qui « isole » The Simpsons Ride de Hogsmeade. En revanche la thématisation est nettement plus réussie et immersive, puisqu’en plus des restaurants (Kletus Chicken Shak, Moe’s, Krusty Burger) on retrouve la centrale nucléaire, le commissariat, la prison avec Tahiti Bob qui s’évade, le marchand de BD, le glacier, l’école primaire… Au final on s’y croirait !





On jette un œil dans le bar de Moe pour le fun, il est identique à celui de Floride, et surtout à celui de la série, puis comme l’heure tourne, direction le Krusty Burger ! Là par contre, c’est nettement plus convaincant qu’en Floride, puisque chaque restaurant est aménagé dans une pièce différente, on a donc réellement l’impression de rentrer dans le Krusty Burger, alors qu’en Floride ce n’est qu’un comptoir. Cerise sur le gâteau : les boissons sont en free refill pendant 1h sur les machines Coca-Cola Freestyle (qui permettent près de 100 combinaisons différentes). Aurélien prend un Krusty Burger, pour moi ça sera le Super Clogger : le burger du film : « si vous trouvez plus gras, c’est que vous êtes à Mexico ! » Franchement, je crois bien que c’est le meilleur burger du séjour, il était extrêmement généreux, et la viande super bonne, totalement fan !  





Avant de partir on jette un œil aux temps d’attente grâce au wifi gratuit du parc et au site mobile et on voit que tous les rides atteignent 30 à 40 minutes d’attente… C’est le moment idéal pour aller voir Water World, le stunt show du parc dont on a entendu tellement de bien. La prochaine séance n’étant que dans une heure, ça nous laisse le temps de faire un petit aller-retour au Lower Lot pour la 4e attraction que l’on a zappée ce matin.

Avant de partir on prend le temps de faire le tour du restaurant et de l’étage, et si vous y passez je vous le conseille fortement, car c’est bourré de références à la série (on y trouve carrément le bureau de Krusty !) le tout avec un soucis du détail à la Disney.

On reprend donc le Star Way, d’où on prend le temps d’admirer la vue panoramique sur les Warner Bros Studios voisins. D’ailleurs en regardant les photos je me suis rendu compte qu’on pouvait même apercevoir quelques bâtiments des Walt Disney Studios !


(La concentration de soundstages, c'est Warner, et un peu derrière, pile au milieu de la photo, le bâtiment blanc qui dépasse des arbres, c'est celui d'ABC qui se trouve sur la Walt Disney Studios !)

Et arrivés au Lower Lot on se dirige vers The NBC Universal Experience, une sorte de petit (mais vraiment tout petit) « One Man’s Dream » version Universal. On y découvrira de nombreux props et costumes du parc et des films, notamment l’une des trois DeLorean originales de Back To The Future !





Puis retour au Upper Lot et direction Water World qui commence dans 20 minutes ! Sans le savoir, c’était le bon délai pour arriver au show, puisqu’on sera placé au centre de l’arène, juste derrière la Splash Zone par sécurité. On se rendra vite compte que l’on a bien fait : les éclaboussures du show sont une chose, les performers qui renversent littéralement des seaux d’eau sur le public en sont une autre !

Quant au show, je n’ai jamais été un grand fan des stunt shows, j’aime mieux les spectacles musicaux à la Broadway, mais j’ai largement préféré Water World à Indiana Jones en Floride ou Moteur Action à Paris. Ici on n’est pas sur un vrai-faux plateau de tournage avec le blablabla du "réalisateur" et la recherche de "figurants", on est devant un vrai show qui va à 100 à l’heure, bourré de surprises et de cascades spectaculaires, j’ai passé un excellent moment ! Je n’ai pas de photos par contre, et comme Fgth en a mis de superbes dans son TR, je ne m’embête pas à faire de captures d’écrans des quelques extraits que j’ai filmés    A la fin du show on ressort le téléphone pour trouver notre prochaine destination…

merci pour le petit clin d'oeil concernant les photos de Waterworld (il y a aussi une vidéo).

Comme on devait partir assez tôt d'Universal et que le Backlot tour nous avait déjà pris plus de 2h (et 1h pour le repas), nous n'avons pas eu le temps de visiter le land Simpson (on est juste passé devant 2-3 fois), à mon grand regret. Une autre fois peut-être (avec le land HP du coup :-D)

Les temps d’attente continuent de stagner autour de 40-50 minutes par attraction, sauf Despicable Me Minion Mayhem qui affiche 20 minutes. Ce n’était pas prévu au programme, enfin disons que ce n’était pas du tout indispensable, car je n’aime pas trop cette franchise, mais un ride récent avec si peu d’attente… (il y avait une heure ce matin, et je me souviens qu’à Orlando il y a un an, il culminait à 120 min   )

Sur la route on croise Woody et Winnie Woodpecker, les « Mickey et Minnie » locaux. C’est aussi l’occasion de visiter un peu le Upper Lot, plus grand que le Lower Lot on en fait vite le tour aussi, vraiment étonnant ce tout petit parc, même si ça s’explique par son historique et son implantation. C’est presque frustrant d’arriver si vite au bout du parc, surtout que Despicable Me est au-dessus d’un parking à étages adossé à la colline, donc au-delà, c’est le vide ! Avant d’y arriver on passe par « l’Angleterre », je ne comprends pas bien ce que viennent faire ces ruelles ici, ça sort un peu de nulle part, peut-être pour évoquer des décors de cinéma ?

Sans plus de cohérence on arrive devant la façade de Despicable Me qui représente la maison de Gru. Derrière, en revanche, c’est une banale file d’attente, mais comme au Simpsons Ride les vidéos aident à patienter… Bon j’accroche nettement moins à l’humour des Minions qu’à Celui des Simpsons, mais le petit quizz nous arrachera quand même quelques sourires.



20 minutes plus tard nous voici dans le pré-show, où Gru nous explique qu’il va nous transformer en minions (ce qui, franchement, ne m’emballe pas.) Puis on passe dans la salle principale et c’est parti pour une aventure… assez idiote sur le fond, et banale sur la forme, puisqu’il s’agit ni plus ni moins que d’un cinéma 4D. Bon, certes c’est un cinéma de nouvelle génération avec image HD, 3D numérique super agréable et immersive, mouvements fluides et plein de surprises… Mais pour un ride qui arrive après Transformers ou Forbidden Journey, ça reste banal. Je sors néanmoins content de l’avoir essayé une fois.

On sort au cœur du Super Silly Fun Land, une kids zone plutôt bien foutue sur un bout de terrain restant au-dessus du parking sur lequel est le ride. Rien d’intéressant pour nous, mais l’air de rien, c’est le seul endroit du parc réellement accessible aux jeunes enfants.

On jette un coup d’œil sur le site mobile pour voir que les temps d’attente ne diminuent pas, et aussi qu’un show de Special Effects Stage va commencer dans quelques minutes. On traverse donc cette fois-ci la « France » (qui me semble également un peu hors sujet, mais bon) et on entre parmi les derniers dans le théâtre qui est bien plus grand qu’on ne l’imagine ! Heureusement une team member nous trouvera deux places pas trop mal. Le show en lui-même était sympa, mais rien de transcendant : on y apprend quelques trucages classiques comme l’écran vert, des spectateurs sont recrutés en guise de figurants… C’est dans l’esprit studios et ça se laisse regarder une fois.

L’air de rien l’heure tourne, et on se dit que si on veut refaire Jurassic Park, c’est maintenant, tant que le soleil tape, alors on descend le Star Way jusqu’au Lower Lot, et direction Isla Nublar ! Enfin… Après 30 minutes d’attente. Evidemment, à ce moment là je n’aurais rien contre un front of line pass, d’un autre côté c’est quand même la 3e fois qu’on ride… Et avec toujours autant de plaisir ! Et on ressort toujours autant trempé  





Tant qu’on est dans le coin, et même si là aussi il y a 30 minutes d’attente, on ne résiste pas au plaisir de se refaire un Transformers, tellement c’est une attraction unique et bluffante ! Par contre, n’étant pas un grand fan de la franchise, je crois que je finirais vite par m’en lasser, enfin pas plus que Ratatouille hein  

En sortant on a encore largement le temps pour un ride, se pose un dilemme : tenter Shrek, que l’on n’a pas fait, ou se refaire les Simpsons ? Finalement on se dit qu’un seul cinéma 4D nous a largement suffit, les Simpsons nous semblent plus funs, tant sur le fond que sur la forme (pas plus fan de Shrek que des Minions !) Alors direction le Upper Lot pour une nouvelle visite complètement délirante de Krustyland, avec une attente presque nulle  

Du coup, en sortant on a encore le temps pour un ride, qui cette fois-ci sera bien le dernier. Je pense que dans l’idéal on aurait tous les deux adoré se refaire un ultime Jurassic Park, mais avec le soleil qui se couche et la température qui passe tout doucement sous les 25°C, on s’abstient et on opte pour la Momie que l’on a fait qu’une fois, et qu’on a trouvé sympa malgré tout.

On échappe une 2e fois à la malédiction, et cette fois-ci c’est bien fini : il est 20h passé, le parc est fermé. On fait un crochet par la boutique de Jurassic Park pour acheter les t-shirts repérés ce matin, puis on se laisse porter, un peu tristes et déjà nostalgiques, par le Star Way, laissant derrière nous ces rides que l’on a adorés.

On se promène encore un peu autour du Upper Lot, qui continue de tourner pour les invités d’une soirée privée, alors que la nuit tombe. Dommage que l’on ne puisse pas plus profiter du parc de nuit, certains endroits sont vraiment sublimés par l’éclairage. On ira encore faire quelques courses au Universal Studios Store, puis pour le plaisir un petit tour de la boutique Harry Potter, et déjà il est l’heure de quitter le parc…


*frustration*  







… Mais la journée n’est pas finie ! On va maintenant profiter un peu du City Walk, qui est bien plus vivant que ce matin, et qui prend aussi une autre dimension avec ses éclairages d’ambiance. Peu de boutiques nous intéressent, et puis on a faim, alors on ne fera surtout que se promener le long de la rue, étroite mais vraiment belle et agréable. Et ainsi on arrive au Panda Express. Je n’aurais rien eu contre un Hard Rock Café, mais on voulait faire un break des burgers, et tester ce fast-food asiatique recommandé par ma Chérie. Au menu ce soir : poulet aux champignons, poulet « sweetfire » et assortiment de légumes : pas très photogénique, mais délicieux !









On traîne un peu en terrasse au 1er étage, on voit le City Walk se vider peu à peu, et à 22h on se bouge : il est temps de retourner à Isla Nublar : cet après-midi c’était par le ride, ce soir c’est par le grand écran, et même le très grand écran avec Jurassic World en IMAX 3D ! Le film vient de sortir et on l’attendait tous les deux depuis longtemps, alors quelle meilleure façon de terminer une journée qui avait commencé au Jurassic Parking ?

Avec le supplément IMAX 3D la séance nous coûte 20$ chacun, mais on peut déduire 10$ grâce à notre ticket du parking (bon à savoir !) et on doit ensuite choisir nos places comme à un spectacle (on laissera le caissier choisir pour nous), puis direction la salle IMAX. Ce n’est pas ma première (je suis déjà allé 2-3 fois à celle de Disney Village), mais c’est quand même pas tous les jours : c’est immense et l’écran est super proche. C’est parti pour 2h de grand spectacle en immersion totale !



Il est 00h30 lorsque l’on sort, bien fatigués mais ravis de cette journée, du parc, des rides, et de cette fin particulièrement savoureuse. Petit bonus : dans le hall sont exposés les costumes que portent Chris Pratt et Bryce Dallas Howard dans le film.

Il est temps de retourner au Jurassic Parking et de quitter Universal Studios Hollywood, heureusement il ne nous faut que 5 minutes pour regagner notre hôtel et surtout notre lit, malgré la petitesse du parc, on a quand même parcouru 20km à pieds !


Sur ce je vous souhaite un bon weekend d'halloween, pour nous direction Disneyland Paris pour 2 jours de folie et surtout la fameuse soirée

Vous avez bien profitez du parc !
Je crois que je me serai endormie si j'avais fait un ciné après une journée pareil ^^

Bon séjour à DLP !

Ola oui j'imagine la frustration devant Harry Potter

sacrée journée, un peu comme nous sauf qu'on l'a terminée à Disneyland

shambles-x a écrit:

Je crois que je me serai endormie si j'avais fait un ciné après une journée pareil ^^

C'était soft ça comme journée, 9h-20h de parc seulement, attends qu'on arrive à Disney

Angechrys a écrit:

Ola oui j'imagine la frustration devant Harry Potter

Et encore, c'est pas comme si je l'avais fait, donc bon j'ai relativisé, mais quand même, j'aurais rien eu contre une petite Butterbeer et un tour de Forbidden Journey

Fgth a écrit:

sacrée journée, un peu comme nous sauf qu'on l'a terminée à Disneyland

Oui, je pense qu'on l'a joué "sportif" chacun dans notre genre !

C'est vrai que tu es un pro des très longues journées à WDW, j'attend de voir ça !

Encore un peu de patience avant Disney, en attendant voici la suite

Jeudi 18 juin, le réveil… ne sonne pas ! Aujourd’hui c’est grasse mat’ et journée cool, on reprend des forces car si vous pensiez que jusqu’ici nos vacances étaient sportives et nos journées longues… vous n’avez encore rien vu ! La partie la plus intense, mais aussi la plus attendue de ce voyage va bientôt commencer, et il va falloir être en forme

C’est donc vers 9h qu’on émerge tranquillement et qu’on va vite petit déjeuner à la House Of Tacos car il ne reste qu’une demi-heure de service. Sur place on prend notre temps, on profite de la machine à gaufre à disposition et on se fait des assiettes généreuses de toasts, eggs & bacon (ça y est, j’ai faim…)

Puis retour à la chambre pour se doucher et préparer nos affaires du jour, avant de se mettre en route direction Santa Monica ! Aujourd’hui, c’est détente à la plage Partis vers 11h20 de Hollywood sous le soleil et la chaleur, on arrive vers 12h à Santa Monica sous… la grisaille et la fraicheur brrr… moi qui étais déjà venu ici sous un grand soleil et 30°C en novembre (!) je suis un peu dégoûté, j’avais proposé cette étape à Aurélien avec l’idée fixe de, cette fois-ci, me baigner dans l’Océan Pacifique…



Enfin bon, puisqu’on est là on va tenter quand même. On s’aventure dans le sable sur l’immense et déserte plage, jusqu’au bord de l’eau où on trempe au moins les pieds. A notre grande surprise elle n’est pas froide, plutôt tiède et même agréable, je reprends un peu espoir pour de la baignade cet après-midi.

On se dirige vers la Pier, cette grande jetée qui accueille des attractions, boutiques et restaurants, et sur laquelle se termine la fameuse route 66. Alors qu’on y arrive un groupe de jeunes bouscule tout le monde en courant à toute vitesse, suivis de policiers qui les pourchassent… en fait un tournage de série TV est en cours. Même si le paysage a bien changé, Hollywood n’est pas très loin



Puis, alors que l’on arpente la Pier, le soleil pointe le bout de son nez et le brouillard se lève. Rapidement il n’y aura plus aucun nuage et le soleil brille à nouveau au milieu d’un ciel parfaitement bleu Autant vous dire que je retrouve vite le sourire. Surtout qu’il est temps de manger : au menu burger bien gras (et un peu overpriced, mais bon) sur la Pier



On longera ensuite un peu la plage de l’autre côté de la Pier le temps de digérer, et puis c’est l’occasion de poster nos cartes, enfin… si on trouve une boite aux lettres. Finalement on les donnera à un facteur qui passait par là !



Et enfin retour à la plage pour passer aux choses sérieuses : première baignade dans l’Océan Pacifique On restera un bon moment sur la plage, alternant bronzage et baignade, profitant de l’ambiance exotique des lieux, qui nous change des déserts secs que l’on a traversés ces derniers jours. On peut même faire coucou aux amis car la ville propose un wifi gratuit que l’on capte même sur la plage ! (« Salut, je suis à Santa Monica, et toi, tu fais quoi ? »)



On ne repart qu’à 17h, bien content de ce petit après-midi à la mer, et surtout soulagés que le soleil se soit finalement joint à nous ! Il nous faudra deux fois plus de temps pour regagner Hollywood puisque l’on expérimente les fameux embouteillages de LA.







Une fois arrivé on s’accorde une petite pause piscine (certes on revenait de la mer, mais bon, il fallait bien tester cette piscine avant de partir, non ? ) avant d’aller chercher à manger. Pour ce soir on a repéré un Papa John’s pas très loin de l’hôtel, ça me rappelle mes quelques mois passés à Milwaukee où on allait chercher les pizzas là-bas tous les mardis soirs parce que c’était pas cher et trop bon !

On n’avait rien prévu pour ce soir, on avait pensé aller voir Vice-Versa, mais comme c’est notre dernier soir à Hollywood et que le ciel est bien plus clair qu’avant-hier, on décide finalement de retourner au Griffith Observatory un peu plus tôt que la dernière fois. On n’est pas les seuls puisque ça sera bien galère pour trouver une place, et on devra marcher un bon 20 minutes pour rejoindre l’observatoire, mais le ciel est clair, l’air est doux, c’est super agréable, et à l’arrivée la vue est à couper le souffle…





On trainera là, à admirer Los Angeles qui s’étend à perte de vue, jusqu’à ce que l’on invite à quitter les lieux vers 22h30. Retour à l’hôtel où l’on commence déjà à ranger nos affaires : demain bye-bye Hollywood…

Wow quelle vue!

Oui impressionnant !

Magnifique la vue !

Sublime vue ! Sublimes photos !! Tu m'as donné envie d'aller faire un tour à l'observatoire si le temps s'y prête durant mon séjour !

je découvre ton tr que je viens de découvrir et ouaw ca fait rêver (du coup je plante ma tente pour pas rater la suite)

Kti a écrit:

Sublime vue ! Sublimes photos !!  Tu m'as donné envie d'aller faire un tour à l'observatoire si le temps s'y prête durant mon séjour !

Si tu es sur LA et que tu as un peu de temps, je te le conseille : en vrai c'est encore plus spectaculaire ! Si ça t'intéresse l'observatoire se visite gratuitement également, avec une large exposition permanente sur l'astronomie.

Comme cette photo semble faire l'unanimité, la voici en plus grand : https://www.flickr.com/gp/134820646@N03/R4t68Y

someone a écrit:

je découvre ton tr que je viens de découvrir et ouaw ca fait rêver (du coup je plante ma tente pour pas rater la suite)

Bienvenue

Effectivement quel sacré différence entre tes photos du matin et celle de l'après midi.
Celles de l'après midi donne déjà plus envie de s'y baigner .
Et la vue le soir juste WOUAH

Angechrys a écrit:

Celles de l'après midi donne déjà plus envie de s'y baigner

Ahah, c'est sûr !

Continuons avec une 2e journée "tranquille" :

Vendredi 19 juin, 8h : On se réveille après une bonne nuit de sommeil, la dernière car les prochaines seront sérieusement raccourcies ! Breakfast à la House Of Tacos (et double ration de gaufres au sirop d’érable), rangement de la chambre et des affaires, check-out et on est parti...

On ne va pas très loin puisque l’on retourne se garer au Hollywood & Highland pour faire un petit tour sur le Hollywood Boulevard, que l’on avait le sentiment d’avoir un peu trop vite fait le premier soir. On pensait être plus tranquille le matin, mais en fait non : Spiderman et ses amis les vendeurs de tours guidés sont déjà là    On profite quand même d’être là, on se promène jusqu’au début du Walk Of Fame, et on trouve enfin l’étoile de Walt Disney    ! (L’une des deux, en fait)

On croisera aussi beaucoup d’étoiles de nos stars préférées, ainsi qu’un vendeur de tours guidés particulièrement… entreprenant. Je ne résiste pas à vous mettre mes passages préférés en retirant toutefois les nombreuses insultes, en français dans le texte et avec un bon accent bien wesh-wesh  

« Vous êtes tous des radins vous les français de toute façon, vous lachez rien ! »
« Les allemands eux ils sont cools, c’est pas par hasard qu’ils sont meilleurs que vous. »
« Vous avez plus d’argent en France, plus rien ! Sarkozy vous a tout pris ! »

Il finira par se lasser et nous laisser tranquille (maintenant on en rit en reprenant ses meilleures citations   ) et finir notre petite promenade en repassant devant les grands cinémas du boulevard et visitant les étages du Hollywood & Highland (d’où l’on aperçoit le panneau Hollywood.) On pensait manger au fameux In’n’Out Burger, mais il est encore tôt, et puis on a trouvé un plan à touristes qui nous indique un autre In’n’Out tout proche de notre prochaine destination : Burbank !









Sur la route on longe Universal Studios puis Warner Bros Studios avant de se garer dans une ruelle proche de Buena Vista Street. Autant vous le dire tout de suite : non, les Walt Disney Studios ne se visitent pas (sauf événements spéciaux) et non, nous n’avons (malheureusement) pas nos entrées. Mais ce « pèlerinage » nous tenait particulièrement à cœur en étant si proche de là où tout a commencé… Enfin pas vraiment, car les studios de Burbank sont les 3e studios, mais c’est ici que Disney est devenu l’empire du divertissement que l’on connaît aujourd’hui.

Symbole de cette « métamorphose », c’est le Team Disney Building que l’on aperçoit en premier. Construit en 1991, il abrite le siège de la Walt Disney Company. La guérite de sécurité nous sépare bien évidemment du bâtiment, mais de la rue on peut tout de même voir sa façade iconique, soutenue par les 7 nains, et l’arche d’entrée avec son enseigne « The Walt Disney Co »  





On longe le bâtiment pour faire le tour des studios, on remarque au passage les imposantes grilles qui délimitent la propriété, coiffées de têtes de Mickey, dont sont inspirées les grilles du Parc Walt Disney Studios à Paris. On arrive ainsi à l’entrée historique des studios, celle que l’on voit dans « Dans  l’ombre de Mary », et dans de nombreux documentaires, quelques frissons en pensant que Walt lui-même passait par là tous les jours… D’ailleurs l’entrée fait face à l’hôpital St Joseph où Walt a passé ses derniers jours en 1966…





On arrive ensuite devant le ABC Building (celui que l’on voyait très bien depuis Universal Studios) qui, comme son nom l’indique, abrite les équipes de la chaine TV ABC, puis, un peu plus loin, devant le magnifique Roy E Disney Animation Building. C’est sûrement le plus beau bâtiment des Walt Disney Studios, et aussi le seul que l’on voit parfaitement depuis la rue. C’est ici que sont créés les films d’animation depuis 1994, un bâtiment que l’on voit dans des tas de making-of et documentaires, et ça fait quelque chose de se retrouver devant    !



Comme une rue coupe les studios en 2 (la parcelle au Sud a été acquise plus tard pour l’extension), de l’autre côté on voit quelques soundstages, je ne saurais pas dire lesquels avec certitude, mais c’est ici qu’ont été tournés beaucoup de films et séries TV Disney à partir des années 50. On voit aussi le célèbre château d’eau à l’effigie des studios (et qui, contrairement à ceux des parcs, n’est pas coiffé d’oreilles de Mickey), malheureusement il était en réhabilitation et couvert d’échafaudages.



Notre petit tour des Walt Disney Studios se termine, mais pas notre « pèlerinage », on reprend la route direction… In’n’Out    (non, ça ne fait pas partie du pèlerinage, mais il faut bien manger   ), chaîne Californienne réputée pour ses produits frais. A l’intérieur, on comprend vite que c’était effectivement une très bonne idée : derrière le comptoir la cuisine est grande ouverte et on voit, entre autre, des équipiers en train d’éplucher les pommes de terre, ou de couper les tomates. En plus la caissière est super sympa, me demande si je vais à Disneyland et me dit qu’il faut absolument faire la TOT parce que c’est génial (je sais, on a la même à Paris   ) Et une fois assis c’est l’extase : le meilleur burger et les meilleures frites de fast-food ! C’est frais et ça se sent, on est bien content d’être passé par ici, en plus il y a de la limonade Minute Maid (en free refill évidemment)  



C’est donc bien rassasié que l’on reprend notre pèlerinage, et la prochaine étape est Glendale. Le GPS nous amènera sans encombre jusqu’à Flower Street et on trouvera une place dans une ruelle derrière. On longe alors des bâtiments sobres mais élégants, entourés de hautes palissades, avec à chaque entrée les même lecteurs de bande magnétique et les mêmes consignes : accès réservés aux Cast-Members, pas de visiteurs, pas d’appareils photo… On comprend vite que Disney est un peu partout, mais qu’ici on se montre moins qu’à Burbank.

Et on arrive devant le bâtiment historique, le premier, très sobre et simple, mais reconnaissable à sa façade et à son name-tag géant qui indique l’adresse 1401 Flower Street : Walt Disney Imagineering. Evidemment on n’entre pas (mais si on aurait bien aimé leur dire que Transformers c’est quand même mieux que Ratatouille   ), mais comme à Burbank, c’est un lieu si mythique de par son histoire (construit en 1961 pour abriter les équipes de WED, créé 9 ans plus tôt par Walt Disney pour concevoir Disneyland) et sa fonction : c’est ici que sont imaginées et conçues toutes les attractions des parcs Disney du monde, mais aussi les shows, parades, tout ce qui concerne la Disney Cruise Line… C’est peut-être même derrière ces murs que se trouvent les idées pour un 3e parc Parisien, ou les plans d’un nouveau land pour la Floride… Qui sait ?



On profite d’être là pour avancer un peu sur Flower Street et on passe le long les immenses et superbes bâtiments du Grand Central Creative Campus qui abrite notamment Walt Disney Imagineering, Disney Interactive, Disney Toon Studios, Walt Disney Television Animation, Disney Consumer Product et bien d’autres entités. D’ailleurs aux fenêtres on voit des peluches de Mickey et Minnie ou des figurines de Baymax et Cars… Ce sont les seuls signes de la présence de Disney, avec les panneaux marquants les arrêts de la navette réservée aux Cast-Members, qui relie le site de Glendale à celui de Burbank (et peut-être d’autres que l’on ne connaît pas ?)



De l’autre côté de la route toujours des bâtiments superbes, mais changement de propriétaire : on est chez Dreamworks Animation, là où ont été créés Dragons, les Croods, Madagascar, Shrek et les autres.



Quant à nous, il nous reste encore 2 arrêts, et pas des moindres… en voiture !

Sympa cette visite! Mais combien d hamburger as tu mangé durant ton voyage lol?

Sympa la visite en effet
ça dois être impressionnant à voir en vrai même de l'extérieur

arwen2407 a écrit:

Mais combien d hamburger as tu mangé durant ton voyage lol?

Oh le pire c'est que je dois bien pouvoir trouver la réponse en parcourant les notes prises chaque jour, mais je ne suis pas sûr d'avoir envie de savoir ce que je sais, par contre, c'est qu'un français consomme en moyenne 14 burgers par an, mais que sans Aurélien et moi, ça serait beaucoup moins

Un petit bout de TR ce soir pour finir ce "pélerinage" à Glendale et LA :

On reprend la voiture mais on reste à Glendale, et c’est donc après un rapide trajet que l’on passe les grilles dorées de Forest Lawn pour entrer dans un magnifique parc. Par respect je ne ferai aucune photo, car Forest Lawn c’est en fait un cimetière, mais qui ne ressemble en rien à nos cimetières gris, tristes et géométriques. Ici on entre en voiture et on traverse les collines en longeant arbres, fleurs, fontaines, chapelles…

Comme j’avais fait quelques recherches en amont, on trouve facilement notre destination pour aller rendre visite à quelqu’un de très spécial, sans qui on ne serait pas là (notez que le personnel de Forest Lawn n’est pas autorisé à révéler l’emplacement des gens qui y reposent.) On se gare sur le bord de la route et on se dirige tranquillement vers la Court Of Freedom.

C’est à ce moment là que l’on réalise à quel point l’endroit est calme et apaisant, davantage consacré au recueillement et à la méditation, qu’à la tristesse. La ville est toute proche et pourtant on ne ressent plus aucune effervescence, juste le calme des arbres et fleurs sous le soleil, le chant des oiseaux et une musique d’ambiance douce et discrète. Au milieu de la Court Of Freedom se dresse un monument en hommage à George Washington, que l’on contourne en direction d’un petit jardin isolé tout au fond. C’est ici que repose Walt Disney, en compagnie de sa femme Lillian, de sa fille Sharon et de son gendre Robert Brown.


(bon en fait si, j'ai pris une photo, mais juste une seule)

On restera un petit moment ici, en hommage à un homme qui nous a apporté tant de chose, et dont l’œuvre et la philosophie continuent de divertir et d’enchanter tant de monde aujourd’hui. Walt Disney est certainement la personnalité que j’admire le plus, ça me tenait très à cœur depuis des années.

Et on repart en direction de notre ultime étape : Griffith Park. On est dans les collines derrière Los Angeles, de l’autre côté du Griffith Observatory, et on y est pour son fameux Merry-Go-Round.



En plus d’être une véritable pièce de musée de 1926 (installé ici en 1937), ce carrousel est aussi celui où Walt emmenait Diane et Sharon le samedi, d’ailleurs aujourd’hui encore une photo des filles de Walt reste accrochée devant le manège, et un banc leur rend hommage (on a juste dû attendre 10 minutes que la famille qui était vautrée dessus se bouge )





Walt raconte que c’est assis sur un banc ici, pendant que ses filles s’amusaient et qu’il s’ennuyait, qu’il a imaginé un endroit où parents et enfants pourraient s’amuser ensemble.



D’ailleurs, cet endroit est notre prochaine –et dernière – destination, en route !

yaehhhhhhhhhhhhhhhh!!!!