[Fanfiction] ~ Les Chroniques du Roi Lion ~

Bonjour à tous !
Je me suis récemment mis à écrire une fanfiction sur Le Roi Lion car j'adore cet univers et les nombreux personnages sont tous intéressants ! ^^
Ma fanfic comprend tous les personnages officiels mais également ceux créés par les fans (j'en créérai peut-être moi-même également si nécessaire
Voici donc les première chapitres (qui ne sont pas très longs mais j'ai un peu perdu l'habitude d'écrire ^^) Si ça vous plaît J'essaierai de trouver le temps de poursuivre l'écriture (malgré mes nombreuses occupations ! ^^)
L'histoire commence entre le 1er et le 2ème film de la saga

Prologue : Le cycle de la vie continue

Le soleil se levait à peine sur la savane lorsque les animaux se rassemblèrent pour assister à une importante cérémonie. Dans une étrange atmosphère, presqu'irréelle, zèbres, éléphants, girafes et autres antilopes se réunirent autour du Rocher de la Fierté, tandis qu'une silhouette apparue à son sommet.
Rafiki, un babouin ami de la famille royale, loufoque mais également très sage, s'avança devant cette assemblée peu commune tandis que les premiers rayons de soleil éclairaient son visage. Il fut alors rejoint par le couple royal, le jeune Simba, récemment devenu le roi de la Terre des Lions, et sa compagne, la douce Nala. Elle tenait entre ses pattes un tout petit lionceau. Âgé de quelques semaines à peine, ses yeux virent la lumière pour la première fois ce matin-là, signe qu'il était temps pour lui de faire son baptême.
D'un geste très tendre, Rafiki prit le fragile lionceau dans ses bras. Il récita quelques anciennes incantations africaines tout en agitant son bâton. Après l'avoir saupoudré de sable et lui avoir peint le front avec du lait de noix de coco, il prit d'un geste tendre le fragile lionceau dans ses bras, se tourna vers l'assemblée d'animaux, et le leva vers les cieux.
Tous regardaient émerveillés le lionceau. Il représentait le renouveau du cycle de la vie, après la terreur qu'avait connu la Terre des Lions. Après avoir assisté à la défaite de Scar le tyran, tous étaient là pour contempler et rendre hommage au nouvel héritier et prince de la Terre des Lions : Kopa.






Quatre saisons s'étaient écoulées depuis la naissance de Kopa. Il était devenu un petit lionceau téméraire et impétueux, toujours prompt à faire des bêtises - au grand désespoir de son père.

Kopa : -Dis, papa, est-ce que je peux aller jouer près de la rivière ?

Simba : -Non Kopa, je t'es déjà dis cent fois que tu es encore trop jeune pour aller jouer là-bas. Et puis tu ne sais pas nager, il pourrait t'arriver malheur !

Kopa : -Mais papa, s'il te plaîîît ! Tous les autres y vont pour assister à la naissance du bébé zèbre !

Simba : -Bon, très bien. Mais alors Zazu t'accompagnera.

Kopa : Ooh... Bon d'accord.

Zazu était un calao très fidèle et serviable, bien que parfois un peu trop à cheval sur les principes. Malgré tout Kopa l'aimais bien, surtout quand il s'amusait à lui sauter dessus par derrière pour le surprendre.

Alors que Simba s'adonnait à sa patrouille quotidienne de la Terre des Lions, Kopa et Zazu s'en allèrent vers la rivière. Ils passèrent devant le lac des flamands roses. Il y en avait peu aujourd'hui car il faisait très chaud, aussi la plupart préféraient se réfugier sous la cascade des Temps Pluvieux, où ils pouvaient se rafraîchir et laver leur plumes tranquillement.
Puis, alors qu'il marchait au bord d'un précipice, Kopa trébucha sur une pierre et roula jusqu'au bord de la falaise. Il serait tombé dans le vide si Zazu ne l'avait pas rattrapé de justesse par la queue.

Zazu : -Oh mon dieu qu'elle frayeur ! Je n'ose imaginer ce qui serait arrivé sans ma présence d'esprit et mon agilité sans limite ! Tu devrais davantage écouter les conseils de ton père et faire plus attention. Le danger rôde à chaque détour !

Kopa : -Oh mais je n'ai pas peur du danger, moi ! D'ailleurs je n'ai peur de rien !

Zazu : -Écoutez-moi ça... Seigneur, quelle inconscience ! Tu sais Kopa, si j'avais suivi ton raisonnement quand j'avais ton âge, je serai un défunt calao à l'heure qu'il est ! Crois-moi, en cas de doute, mieux vaut la prudence...

Tout en écoutant d'une oreille distraite les bavardages incessants de son accompagnateur, Kopa ne pouvait quitter des yeux le paysage vaste et désert qui s'étendait de l'autre côté du précipice. Il se demandait bien ce qui pouvait s'y trouver.

Tous deux arrivèrent finalement au bord de la rivière, où plusieurs animaux était regroupés pour admirer le petit zèbre nouveau-né. Kopa retrouva ses deux amis, Tama et Malka, qui étaient déjà sur les lieux.

Kopa, en voyant le bébé zèbre : -Oh, il est mignon comme tout !

Tama : Comment allez-vous l'appeler ?

La maman zèbre : -Eh bien, je vais l'appeler... Zambi !

Malka : -C'est un drôle de nom ! Mais... ça lui va plutôt bien.

Kopa : -Regardez ! Il essaye déjà de se lever !

Le petit Zambi se leva sur ses pattes avant, puis ses pattes arrière qui avaient un peu du mal à suivre. Il s'avança sur ses jambes tremblottantes et scruta timidement du regard les animaux qui l'entouraient. Il s'arrêta devant Zazu et le senti du museau.

Zazu : -Bonjour mon petit !

Effrayé par cet étrange calao, le petit zèbre courra se réfugier derrière sa mère, devant l'hilarité de l'assemblée.

La maman zèbre : -Mon petit doit se reposer à présent. Merci à tous d'être venu lui dire bonjour.

Sur ces mots, Kopa, Tama et Malka repartirent ensemble, toujours sous le regard protecteur de Zazu.
Ils longèrent le précipice mais Kopa resta un peu à l'écart, suite à sa précédente mésaventure.

Kopa : -Dis, Zazu, sais-tu ce qu'il y a de l'autre côté du précipice ?

Zazu : -Oh, mes chers petits, surtout ne vous avisez jamais d'aller vous y aventurer ! Ce sont les Terres Interdites. Un endroit désolé où on été exilés tous les anciens partisans de Scar. Ils n'ont pas le droit de pénétrer sur la Terre des Lions, mais si par malheur vous en rencontriez un, surtout ne lui adressez pas la parole et rentrez directement chez vous, c'est compris ?

Alors que le ciel s'assombrissait que le soleil disparaissait lentement à l'horizon, Kopa rejoignit ses parents au Rocher de la Fierté. Il avait passé un merveilleuse journée mais également quelque peu effrayante. En se blotissant tendrement contre sa mère qui lui faisait sa toilette, il oublia finalement ses angoisses et s'endormit paisiblement.





Loin de là, au-delà du précipice et des marécages des alligators, les Terres Interdites étaient elles aussi plongées dans l'obscurité de la nuit. Pourtant, le silence ne régnait pas comme à son habitude sur ces terres désertes. Zira, la chef des exilés, avait réuni ses troupes dans son repère.

Zira : -Voilà un an jour pour jour que Scar a été défait et tué sans vergogne par Simba ! Et depuis nous sommes bannis dans ces horribles tanières tandis que lui se pavane et se prélasse dans sa pitoyable vie de souverain ! Ne régnait croyez-vous pas que ces à assez duré ? (les lionnes de l'assemblée acquiescèrent dans des rugissements de rage) Il a tué notre chef, et justice sera faite ! Mon fils Kovu saura nous venger lorsque l'heure sera venue. En attendant, je ne supporte plus de rester là sans rien faire et me complaire dans cette misérable existence. Voilà pourquoi je vous propose d'agir des à présent pour détruire à jamais la vie de Simba. Je veux qu'il souffre, et qu'il vive à jamais avec la peine que j'endure jour après jour !

Non loin de là, Vitani, la fille de Zira et sœur cadette de Nuka, ne parvenait pas à trouver le sommeil. Depuis sa naissance, elle baigne dans cet esprit de vengeance, mais elle rêve simplement d'une vie normale et de s'amuser avec d'autres lionceaux.

Vitani : -Si seulement j'avais le droit de sortir de cette vallée déserte... C'est pas drôle de chasser les termites à longueur de journée. J'aimerais tant trouver un compagnon de jeu...

Profitant du sommeil de ses frères et de l'agitation qui régnait dans le repère des exilés, Vitani se faufila dans une lézarde et s'en alla à l'extérieur.
Elle adore regarder le ciel étoilé et la lune étincelante. Les Terres Interdites paraissent moins lugubres les nuits de pleine lune.
Soudain, elle aperçu une luciole qui s'avança vers elle.

Vitani : -Wouah, je n'avait jamais rien vu d'aussi magnifique !!

Oubliant quelques temps sa solitude et sa morosité, Vitani se laissa emporter par la joie et l'émerveillement devant cette petite créature lumineuse de toute beauté. Elle se mit alors à la pourchasser et sautant et sautillant, en s'enfonçant toujours plus loin dans les profondeurs de la nuit.





Le lendemain matin, dans la Terre des Lions, Kopa s'était levé aux aurores. Son père lui avait donné la permission d'accompagner Mheetu à la chasse - sans trop s'éloigner, bien entendu.
Mheetu était un jeune lion très solitaire. Enfant ignoré de Sarafina et Scar durant le règne de ce dernier, il fut caché et élevé en secret par sa mère afin que Scar n'apprenne jamais son existence, auquel cas il l'aurait désigné pour le succéder sur le trône dans son règne de terreur. Après la mort de son père, il fut grâcié par Simba, alors nouveau roi de la Terre des Lions, et devint même le parrain de Kopa à la naissance de celui-ci. Mheetu et Kopa devinrent très proches et se considèrent désormais comme des frères, bien que Kopa soit finalement plus proche d'un neveu.

Kopa était tout excité à l'idée de partir en chasse pour la première fois. Il retrouva Mheetu sous le grand arbre à l'entrée du grand canyon.

Kopa : -Salut Mheetu !

Mheetu : -Salut Kopa ! Alors, prêt pour ta première chasse ?

Kopa : -Oh oui ! À 100% !

Mheetu, amusé : -Haha, tâche de me laisser un peu de gibier quand même d'accord ?

Les deux amis entrèrent dans le grand canyon et se mirent en quête des gazelles qui traînaient souvent par là.
En chemin, Meethu raconta à Kopa que lors de sa première chasse, il avait confondu un caméléon avec un bébé alligator, et que depuis il est traumatisé par ces créatures après avoir échappé de peu à la mère alligator, qui lui a d'ailleurs mordu le postérieur (d'où ces cicatrices).
Kopa se promit alors de ne jamais tenter de chasser les caméléons.

Au milieu du grand canyon, ils décidèrent de se séparer pour multiplier leurs chances de trouver des gazelles. Kopa s'aventura dans un sentier un peu plus étroit mais n'était pas très rassuré, suite à l'histoire que Mheetu venait de lui raconter.
Soudain, il entendit un bruit qui provenait d'un buisson. Effrayé, Kopa décida néanmoins de s'approcher, en priant pour qu'il ne s'agisse pas d'un caméléon. C'est alors qu'une jeune lionne sortit du buisson et lui sauta dessus et le renversa à terre.

Vitani : -Touché ! À toi de m'attraper maintenant !

Kopa, légèrement sonné et surpris : -M-M-Mais qui es-tu ?

Vitani : -Je m'appelle Vitani, mais tu peux m'appeler Vita !

Kopa : -Tu es toute seule par ici ?

Vitani : -Oui, je crois que je me suis trop aventurée loin de chez moi et je n'arrive plus à retrouver mon chemin. Tu veux m'accompagner ? Ensemble on trouvera peut-être plus facilement !

Kopa : -Euh, d'accord.

Vitani : -Au fait, tu ne m'as pas dit comment tu t'appelles !

Kopa : -Moi c'est Kopa !

Les deux lionceaux s'eloignèrent du grand canyon. Kopa savait qu'il ne devrait pas s'aventurer seul avec une invocationnue, mais elle lui paraissait totalement inoffensive.
Ils passèrent devant la mare des hippopotames, et Vitani fut émerveillée par ces créatures.

Vitani : -Qu'ils sont impressionnants ! Il n'y a pas ce genre d'animaux là où j'habite !

Kopa : -Ça te dis de jouer à "Saute-Hippo" ? Le premier qui tombe dans la boue à perdu !

Vitani : -Oh oui, ça va être amusant !

Tous deux s'amusèrent comme des fous, même si à la fin l'un comme l'autre étaient couverts de boue. Ils poursuivèrent leur expédition et arrivèrent devant le précipice.

Vitani : -Ah voilà nous sommes arrivé ! J'habite de l'autre côté de ce ravin !

Kopa : -Quoi ? Tu... Tu habites sur les Terres Interdites ?

Vitani : -Oui, d'ailleurs je n'aurais pas dû en sortir, mais avec l'obscurité de la nuit j'ai dû passer la frontière par mégarde.
Mais qu'y a-t-il ? Tu as l'air bizarre ?

Kopa : -C'est que... je... je ne suis pas autorisé à parler aux exilés.

Vitani, vexée : -Ah non ? Alors a-t'en, qu'est-ce que tu attends ? De toutes façons j'ai pas besoin de toi !

Devant sa colère, Kopa s'en alla en courant. Malgré son affection pour elle, il savait qu'il ne devrait jamais la revoir et ça l'affectait profondément.
Alors qu'il disparaissait au loin, Vitani ne put dissimuler sa tristesse et versa une larme.

CHAPITRE 4 : Un amour impossible

Ce soir-là, Kopa était bien triste. Il avait été consigné dans sa tanière par son père lorsque ce dernier apprit qu'il avait désobéi à Mheetu en s'aventurant seul. Mais ce n'était pas ça qui le rendait triste. Il ne pouvait s'empêcher de penser à Vitani.
Les jours et les semaines qui suivirent, sa tristesse ne le quittait pas et il refusait même d'aller s'amuser avec Tama et Malka. Timon et Pumbaa tentèrent également de le faire rire sans beaucoup de succès. Simba ne comprenait pas ce qu'avait son fils. Il demanda alors à Rafiki d'aller lui parler. Il est vrai que le babouin n'est jamais avare de conseils avisés, qui parviendraient à redonner confiance en la plus triste des créatures.

Alors que Kopa admirait tristement de loin le petit Zambi qui s'amusait avec ses amis, Rafiki arriva brusquement près de lui tout en chantant dans un charabia que lui seul peut comprendre.

Rafiki : -Eh bien, mon petit, tu as le cafard ?

Kopa : -Oui, un peu.

Devant le silence de Rafiki, le lionceau ne put s'empêcher de continuer :

Kopa : -Dis, Rafiki, que peut-on faire lorsqu'on n'a plus d'espoir ?

Rafiki : -Ah, mon petit, l'espoir ce n'est pas quelque chose que l'on peut obtenir et conserver, c'est quelque chose qu'il faut créer au plus profond de son être. Et si on réussi à le créer il ne doit plus nous quitter, quelque soient les obstacles qui viendront barrer notre route.

Kopa : -Ça veut dire que si je le voulais vraiment, les choses pourraient aller mieux ?

Mais l'énigmatique babouin avait déjà disparu.
Les mots qu'il lui avait dit restèrent gravés dans son esprit.
Le soir-même, il s'éloigna discrètement du Rocher de la Fierté et s'en alla vers le précipice. Après avoir trouvé un passage pour accéder de l'autre côté, il se dirigea, non sans une certaine angoisse, vers la tanière des exilés.
Vitani, qui dormait à la belle étoile depuis qu'elle avait rencontré Kopa, le vit rapidement et, surprise, s'approcha de lui, heureuse mais méfiante.

Vitani : -Qu'est-ce que tu veux ?

Kopa : -Vita, je... je voudrais m'excuser pour l'autre fois.

Vitani : -Ça ne te dérange pas de parler à une exilée ?

Kopa : -J'ai vraiment été stupide, je n'aurais jamais dû te dire ça, je m'en veux...

Vitani : -Ne sois pas désolé, après tout c'est vrai que je suis une exilée. Dans le fond tu ne devrais pas t'intéresser à moi, je n'en vaut pas la peine...

Kopa : -Oh mais si au contraire ! Pourquoi une stupide frontière devrait nous empêcher de nous voir ?

Vitani : -Si seulement c'était si simple...

Kopa : -Crois-moi, tant que nous aurons de l'espoir, personne ne pourra rien contre nous !

Vitani cessa de se montrer réticente en entendant ces mots. Elle laissa derrière elle ses craintes et sourit à celui qui n'avait jamais cessé de quitter ses pensées. Après un regard complice, ils s'enfuièrent loin de cette terre désolée et s'en allèrent près de la cascade des Temps Pluvieux. Blottis l'un contre l'autre, ils s'endormirent au milieu des flamands roses sous le ciel écoulé.




Les jours suivants furent les plus heureux pour Kopa. Chaque soir, il retrouvait Vitani à la frontière et chaque soir le monde lui paraissait moins injuste.
Vitani, de son côté, pouvait enfin se sortir de sa vie triste et morose, et chaque soir son cœur s'abandonnait à l'amour qu'elle ressentait pour Kopa.

Kopa : -Tu crois qu'un jour nous pourrons vivre notre amour au grand jour ?

Vitani : -Ce serait vraiment merveilleux... Mais c'est impossible. Nos deux familles se détestent. Ma mère ne laisserait jamais faire une chose pareille.

Kopa : -Alors on s'enfuira ! On ira là où personne ne pourra blâmer notre amour.

Vitani : -Tu ne perds jamais espoir pas vrai ?

Et elle acquiesca en blotissant sa tête contre la sienne. Malheureusement, elle ignorait que ce soir-la, elle avait été suivi par Nuka, qui n'avait rien raté de la scène.
À peine revenu sur les Terres Interdites, il en fit part à sa mère qui entra dans une colère noire.

Zira : -Comment a-t-elle pu me faire ça ? Comment a-t-elle put pactiser avec l'ennemi ?

Nuka : -Je sentais bien qu'elle était bizarre depuis quelques temps, la bougresse ! Quand je la verrai je lui dirais ce que j'en pense !

Zira : -Non ! Surtout n'en parle pas ! Tant qu'elle ignore que nous sommes au courant ça peut tourner à notre avantage. Continue de la surveiller et tiens-moi au courant de tous ses faits et gestes. C'est peut-être l'occasion rêvée pour détruire à jamais la vie de Simba et venger Scar.

J'ai bien aimé, hâte de voir la suite !

Merci beaucoup !
Je ferai la suite dès que possible !