Jour 2 : 18/10/2013 – Le Voyage, partie 2
Petit oubli au chapitre precedent, le plan de vol avec les horaires, pour reference
---
Direction le Baggage Claim pour prendre les valises, elles ont déjà été retirées du Carousel, et sont rangées sur le sol de chaque côté du convoyeur.
Heureusement qu’on a mis le petit bout de tissus jaune sur les poignées, on les repère de l’autre côté du convoyeur.
La douane est passée sans s’arrêter, on remet juste le petit formulaire à l’agent des douanes qui nous souhaite une bonne journée.
- Le petit Tarf illustré a écrit:
- Faites très attention à une chose. Lorsque vous débarquez aux USA pour la première fois (escale, ou destination pour un vol direct). Il vous est STRICTEMENT interdit d’utiliser un téléphone portable ou un appareil photo tant que vous n’êtes pas sortis de la zone de douane.
C’est-à-dire pratiquement qu’à partir du moment où vous quittez l’avion, jusqu’au moment où vous êtes sortis de la zone de douane, vous n’avez pas le droit d’utiliser un portable (pour téléphoner, regarder vos mail ou prendre des photos) ou un appareil photo. Des messages vous le rappelleront (en anglais bien sûr) ainsi que des panneaux d’interdiction sur les murs. Vous verrez que dans la pratique, beaucoup de voyageurs étrangers n’en tiennent pas compte, et beaucoup d’entre eux sont sèchement rappelés à l’ordre par la police ou les agents fédéraux/immigration. Sachez que cela peut aller jusqu’à la confiscation pure et simple et définitive de votre appareil. (Voire un « interrogatoire » si vous prenez des photos.)
Si vous pensez que ça ferait bien dans un TR, réfléchissez à deux fois.
La restriction est la même des que vous approchez de la zone « TSA » (checkpoint sécurité » jusqu’à ce que vous quittiez cette zone.
Juste après le bureau (sorte de podium comme pour les discours politique) du douanier, on passe une double porte, et dans la salle derrière, juste à droite il y a le guichet de recheck des bagages.
Là se trouvent des employés de l’aéroport. Celle devant laquelle on se présente nous demande si on a déjà nos boarding pass pour le second vol, et comme nous répondons oui, elle se contente de prendre nos deux valises et de les déposer sur le tapis roulant derrière elle.
Contrairement à d’autres aéroports, comme Newark (EWR) cette zone de recheck est vraiment dans la continuité de la zone de douane, et on ne risque pas de la rater, puisqu’on est obligé de passer dedans (a EWR on est dans un hall, avec le recheck a gauche, et la sortie tout droit, et si on sort, bah faut se retaper le réenregistrement normal …).
Franchement, j’ai été très agréablement surpris par l’aéroport de Charlotte. Très sympa, pas trop moche, et surtout vachement bien foutu.
Nous voilà libérés de nos valoches et des formalités, on va pouvoir se détendre jusqu’à Orlando.
Ah … si …il reste quand même la TSA à passer.
On arrive dans le hall ou se trouve la sécurité (TSA) et un agent nous dirige automatiquement vers la file « famille » qui est déserte. C’est super bien fait, et beaucoup mieux qu’a PHL, EWR ou JFK, les aéroports US qu’on a utilisé récemment.
La TSA est passée en 5 minutes chrono.
Taylor est « pre-check », c’est-à-dire qu’il peut bénéficier d’un passage rapide à la sécurité, mais ça ne nous sert pas à grand-chose, puisqu’il doit passer la sécu avec nous qui ne sommes pas pre-check … donc ça sert pas à grand-chose. Ce statut pre-check lui a été attribué sans qu’on ne demande rien. Un officier de la TSA avec qui on en a discuté nous a dit que c’était sans doute parce qu’il voyageait fréquemment aux USA et qu’il n’était pas considéré comme une menace potentielle … lol … on a un peu rigolé parce que, regardez les photos de mon gamin … v’la la tronche de la menace potentielle
Nous sommes au Terminal D, nous devons aller au Terminal B, porte 11. On a juste le temps de s’arrêter au Burger King.
Je prends un double whopper, Myriam ne veut qu’une boisson fraiche, et prendra un Sprite sans glace, et Taylor prend un menu enfant avec un hamburger et un jus de pomme. Le jouet est un petit personnage de l’app « cut the rope » ou il faut faire bouffer des bonbons à un petit personnage vert.
Tous les fast food aux USA sont différents, ils ont tous leur fonctionnement diffèrent, donc bien sur quand j’arrive à la table, pas de jus de pomme dans le menu enfant … bien sûr, quel boulet je fais, il faut le prendre dans le frigo qui se trouve à l’autre bout du comptoir … bon bah voilà, j’aurais dû le savoir, ca, c’est fait …
Nous arrivons ensuite à notre porte d’embarquement qui est blindée. Des gens assis par terre en train de bouffer des hamburgers, ou de surfer sur le net, branchés sur une des nombreuses prises de courant disponibles dans les terminaux US.
20 minutes après, on appelle le pre-embarquement. Comme vous pouvez vous en douter, je me présente pour l’embarquement prioritaire, et nous avançons sur le jetway avant tout le monde, tout juste derrière une dame avec une canne avec qui je plaisante un petit peu juste avant de rentrer dans l’avion.
Bagages installés, assis confortablement (je déconne bien sûr, on est en classe éco) voilà le grand manège des sardines qui recommence.
Le vol se déroule sans encombre, a part qu’on est numéro 21 au décollage. A titre indicatif, il faut environ 1minute 30 à 2min pour qu’un avion décolle, et que les turbulences de son sillage disparaisse pour que l’avion suivant puisse décoller (enfin ca dépend des avions), donc en gros, nous voilà reparti pour 40 minutes d’opération escargot sur le taxiway.
Je râle, je râle, mais bien sûr que je râle, on est à 1h à vol d’oiseau d’Orlando, vous râleriez pas à ma place ?
Taylor s’endort pendant l’attente au décollage. Il nous demande de le réveiller pour le décollage, mais en fait impossible, et on aura même du mal à le réveiller au moment de débarquer.
Vol sans histoire, à peine le temps de monter, se faire servir à boire, voilà qu’on redescend vers The Promised Land.
Nous voici à MCO. On sort relativement vite, on est au rang 16 dans ce 757-200. Et on se dirige vers la zone centrale du terminal B, avant de prendre le petit métro automatique qui nous amène vers la sortie.
On sort de la zone airside, on tourne à droite au Disney Store, et on descend l’escalator vers le baggage claim. (ca fait râleur si j’vous dit que c’est le carrousel le plus au fond de la salle ? lol)
Et nous voilà devant le carrousel. Bon, y’a un avantage à sortir dans les premiers d’un avion, mais y’a aussi un inconvénient. On attend sa valise. Il faudra 15 minutes pour que les valises sortent et s’explosent, une par une, sur les parois du carrousel. Heureusement qu'on a des valises pas cher.
On récupère nos deux valises et on file vers l’ascenseur pour descendre à l’étage inférieur récupérer le contrat de location de la voiture chez Alamo.
Je veux retenir l’ascenseur pour laisser monter un couple de personnes âgées, et là je fais le gros boulet, le méga boulet … THE boulette … je me trompe de bouton … au lieu d’appuyer sur le bouton pour maintenir les portes ouvertes, j’appuie sur le bouton avec la petite cloche, vous savez, celle qu’on utilise en cas de problème … oooops … il se passe rien … ouf …
Ouais, mais quand on sort de l’ascenseur à l’étage du dessous, y’a des sirènes qui hurlent à tue-tête, et un message en boucle qui dit « une alarme a été déclenchée dans le terminal, nos équipes sont en route, veuillez ne pas utiliser les ascenseurs » en anglais, puis en espagnol … on entendra ce truc qui déchire les oreilles jusqu’à ce qu’ils le coupent … 10 minutes plus tard … bien sur j’ai fait semblant de rien … c’est pas moi, j’vous jure … d'ailleurs c'est même pas moi
J’entre dans la file d’Alamo, il y a une dizaine de personnes devant moi. Ma femme est restée avec Taylor et les valises à l’extérieur de la file. Bizarrement, la sirène qui hurle n'a l'air d’inquiéter personne ... l'habitude surement, mdr, j'dois pas être le premier boulet à traverser le terminal ...
Finalement, la file avance très vite, car une dizaine d’agents d’Alamo sont au guichet. 10 minutes plus tard je suis devant le gars d’Alamo, qui commence par me sortir ses plaquettes avec les modèles de voiture. Je le coupe avant qu’il ait le temps de me dire quoi que ce soit, et je lui dit « c’est pas ma première location, on m’a déjà vendu CE modèle, c’est ça que j’ai réservé et que je veux, rien d’autre, à part le plein de carburant ».
Le gars me regarde une demie seconde avec la bouche ouverte, puis il tape deux trois trucs, me tend le contrat à signer (au moins 5 fois les initiales et 6 signatures … , lol, on dirait un sketch quand il me pointe du doigt tous les endroits que j'ai oublié.)
Je récupère Madame et Junior, et on traverse la rue pour aller au garage.
Que ça fait du bien, en passant ces portes automatiques à la sortie du terminal, que ça fait du bien de sentir la chaleur et l’air, reconnaissable entre mille, de la Floride.
On est à la maison, enfin.
J’entre dans le garage et je me dirige vers l’allée des fullsize. Et là je repère MA voiture, la Chevrolet Impala Ltd. Cette année elles sont en majorité noires, l’année dernière grise/argent, et celle d’avant elles étaient blanches …
Je rentre dans la première, il y a encore un bout de plastic blanc de protection sur la carrosserie …. Elle ne doit pas être bien vieille celle la … bingo, en ouvrant la porte le compteur s’allume : 145 miles au compteur, autant dire « brand new ».
Je regarde autour de moi, personne … j’ai le siège auto gonflable dans la valise, mais franchement, on va faire au moins 1000 bornes, y’a pas de dossier, ça m’embête un peu car le gamin a le cou cassé quand il dort avec ce siège … y’a personne j’ai dit ? ...
… le local avec les sièges auto est exactement à deux longueurs de voiture de là ou je me trouve et de mon Impala … non, ne fait pas ça me crie une conscience que j’ai vite fait d’ignorer, et je me sers dans le local, un superbe siège auto gracco, avec dossier et deux porte gobelets intégrés.
Vla la bete.
Oui je sais ce n’est pas bien, mais si vous l’dites à personne j’vous en voudrais pas
(pour me donner bonne conscience, je me dis que l'année dernière je l'avais demandé, mais que le type au guichet avait oublié de me le facturer et qu'un employé dans le garage m'avait dit "just take one over there" en pointant le local du doigt, limite sans me regarder ...)
Le gamin s’installe donc dans le siège auto qui aurait dû nous couter $70, et nous voilà parti vers la sortie du garage ou on scanne notre voiture, on vérifie mon permis, et nous voilà partis sur les routes de Floride.
Nous prenons la sortie Nord, par la 528, pour rejoindre la I4. Nous passons les deux péages sur la 528 en cassant un billet de $20 à chaque fois pour se faire de la monnaie
- Le petit Tarf illustré a écrit:
- Récupérez le plus rapidement possible des quarters (pièces de 25 cents) et laissez en une quantité dans la voiture, elles vous seront utiles si vous passez des péage à « panier » ou on doit jeter les pièces dedans.
Vous savez quoi le plus beau ? … c’est la première fois que je me paume pas sur la route pour aller a WDW … oui, je connais comme ma poche, mais en octobre 2012 ca m’a pas empêché de faire demi-tour a 50 mètres de mon hôtel parce que j’étais persuadé de m’être trompé de route, alors que j’avais tout bon au départ … (oui, je suis un boulet, et je cumule les boulettes, que voulez-vous, le mythe tombe :)mais avec la fatigue, on fait des choses bizarres ... )
Pour la toute première fois également, nous arrivons pour notre première nuit dans un hôtel Disney. Pour nos autres voyages, nous passions toujours une nuit dans un hôtel pas cher comme le Clarion Inn Lake Buena Vista, histoire de pouvoir casser un peu le jet lag.
Là on arrive direct chez Disney, et franchement, passer la Magical Gate sur Osceola Parkway c’était déjà quelque chose.
Ensuite, c’est le virage à droite sur Victory Way. Victory Way c’est un peu comme notre rue à la maison. C’est cette rue qui dessert le POP Century qui était (et qui est toujours) notre « home away from home »).
Tourner sur Victory Way, pour moi, c’est un peu comme tourner le coin de sa rue après une longue absence et voir les amis attendre sur le bord du trottoir.
Nous n’irons pas jusqu’à l’entrée du POP. Nous tournerons la rue d’avant, sur Animation, pour entrer dans le Art of Animation.
On se gare, et on entre dans Animation Hall. On se dirige vers la file « online check in », et un CM nous prend en charge tout de suite. Il est dans les 20h30 il y a peu de monde.
Le CM nous remet nos Magic Band, dans une boite « indestructibles », et il nous assigne notre chambre. Il nous indique qu’il a également du « courrier » pour nous … et nous remet une enveloppe.
Intrigué, j’ouvre l’enveloppe, et dedans il y a 3 billets d’entrée pour le Wide World of Sports, le complexe sportif qui se trouve tout au bout de Victory Way, la ou on a tourné avec émotion tout à l’heure.
Bon, les billets ne nous serons pas d’un grand secours, puisque nous avons déjà ces entrées incluses dans nos billets Ultimate, mais c’est la première douche de « pixie dust » du voyage. On est vraiment à la maison.
Nous reprenons la voiture, direction la chambre dans la section Petite Sirène. Nous sommes dans le bâtiment 9 (Triton), Rez-de-Chaussée, face à la piscine, chambre 9505. Exactement ce qu’on avait demandé. Parfait.
- Le petit Tarf illustré a écrit:
Notre chambre est la 9505. Le premier chiffre représente le bâtiment, le second représente l’étage, et les deux derniers le numéro de la chambre.
Alors pourquoi sommes-nous à la 9505 au lieu d’être à la 9105 puisque nous sommes au rez-de-chaussée (étage 1) ?
La réponse est liée aux attentats du 11 septembre 2001 et à une Pizza.
Le Art of Animation ne devait pas exister. Les bâtiments qui le composent devaient faire partie de la seconde tranche du POP Century qui se trouve sur le même emplacement que le Art Of Animation.
Mais les attentats du 11/09 ont retardé son ouverture, et ont également causé une baisse de fréquentation. La plupart des murs des bâtiments qui composent aujourd’hui le Art of Animation étaient déjà construits, mais n’ont jamais été inaugurés, car seul le POP a été fini et inauguré en 2003.
Lorsque le projet d’ouvrir la seconde tranche du POP Century a été finalisé, c’est sous la forme d’un nouvel hôtel, le Art of Animation. Mais voilà, les numéros des bâtiments étaient déjà pris, et les deux hôtels, POP et AoA devaient partager le même service de livraison de pizza.
Pour plus de simplicité, le système de notation des chambres est resté identique des deux côté du pont qui sépare les hôtels. Et les étages 1 à 4 se trouvent au POP Century, tandis que les étages 5 à 8 se trouvent au Art Of Animation.
Voilà pourquoi le Rez-de-Chaussée du Art of Animation est l’étage numéro 5.
La chambre est sympa. Un peu trop flashy pour nous qui sommes habitués aux couleurs pastel des chambres 50s du POP ou à celles du CBR, mais c’est joli, et puis surtout CA Y’EST ON EST CHEZ MICKEY.
On décharge très vite les valises
Et qu’est-ce qu’on fait quand on arrive dans un hôtel Disney, qu’il est 21h, qu’il fait 28 degrés dehors, et qu’on a passé un loooong voyage ? … et bien on fout le bazar dans les valises pour trouver le maillot de bain, on se met en maillot de bain, on choppe une serviette, et on fooooooonce dans la pistoche
Dans la piscine on m’interpelle … tiens, c’est floflo et ses gamins qui font trempette. Coucou, ça fait plaisir de voir des DCPistes.
A 22h30 nous sortons de l’eau et après une douche salvatrice nous faisons un tour par Animation Hall ou nous allons au food court, le Landscape of Flavors.
Myriam et moi prenons un Salmon BLT avec des chips, et Taylor un Drumstick de poulet et des chips. Total du repas : $30.85
- Les acronymes sont nos amis a écrit:
- Vous verrez souvent l’acronyme BLT derriere le nom d’un sandwich. C’est tres courant aux USA, et ca veut dire : « Bacon, Lettuce, Tomato » ou bacon, laitue et tomate.
Le sandwich au saumon est bizarre, c’est un filet de saumon frais, cuit rosé, dans un bun à burger, c’est bon, mais c’est bizarre, faut aimer, moi j’aime, ma femme un peu moins. Par contre, pas de photo, et je n’arrive pas à retrouver d’image sur le net. Je ne retrouve même pas ce sandwich dans les menus. Pourtant je n’ai pas rêvé, j’ai même le ticket de caisse qui prouve que ce n’est pas le jet-lag qui me joue des tours.
Les chips sont hyper dures, et hyper bourratifs, on en jettera la moitié.
Taylor galère avec son drumstick (pilon de poulet), il n’a jamais mangé ca et ne sait pas par quel bout le prendre. En toute logique, il essaye de le manger comme on mange une banane, par les bouts, au lieu de croquer au milieu. On lui explique, mais finalement ça le gave, il mangera des chips … bon après tout on est tous crevés.
A part ça, on a pris un gobelet pour la boisson, un pour 3, car je savais que ces gobelets étaient remplissables pour un nombre de fois et une durée limitée. Donc une boisson pour trois, quand on paye de sa poche, y’a pas de petites économies.
Sauf que la CM à la caisse, elle était pas au courant et a pédalé dans la semoule quand je lui ai demandé de me reconfirmer les « conditions d’utilisation ». Donc en fait, les gobelets sont valables pour 4 remplissages sur une durée d’une heure, et expirent à la première limite atteinte (soit au bout d’une heure, soit au bout du 4eme remplissage). (On parle la des gobelets en carton)
Nous passons ensuite au baggage service pour récupérer la poussette que nous avions réservé il y a quelques mois. Nous avons pris, cette fois encore, une Baby Jogger, City Elite. Une petite glacière souple nous est offerte avec la location (de quoi mettre deux ou trois canettes).
A titre d’information, nous avons également pris l’option assurance, pour être tranquille, et nous avons loués par Orlando Strollers Rentals, qui est un des trois loueurs agrées de WDW et qui permet de vous faire livrer la poussette à l’hôtel directement.
Nous finissons notre soirée par un petit détour par la boutique de l’hôtel.
Pour ne pas trop nous charger, nous n’avions pris aucun « gros » doudou pour notre fils, mais pour faire passer la pilule, cela faisait plusieurs semaines que nous lui promettions de lui en acheter un des qu’on arriverait. Il avait tout de suite réclamé un Duffy Dingo en disant qu’il l’avait voulu l’année dernière mais qu’il avait oublié de demander.
Voilà qui est fait, nous achetons « doufdouf dingo » ainsi qu’un carnet d’autographe avec un emplacement pour mettre les photos à chaque page. Plus quelques trucs dont je me souviens plus vraiment.
Total de nos achats dans la boutique « Ink and Paint Shop » du AoA : $71.25
Nous retournons dans la chambre, vidés, et nous nous endormons vers minuit.