Star Wars: Galaxy's Edge [Disney's Hollywood Studios - 2019]

Je sais pas pourquoi tout le monde voit une connotation négative au mot "guest lambda". Je suis moi-même lambda sur tellement de sujet et ça me va très bien comme ça.

Sans la connotation péjorative de pigeon, la définition est simple :
Une personne lambda vis à vis d'un sujet, c'est une personne qui n'a pas particulièrement de connaissance sur ce sujet ou du moins, une connaissance dans la moyenne de ce que la majorité des gens ont sur ce sujet. Bref, ce n'est pas un expert ou un spécialiste.
Cela ne l'empêche pas de pouvoir porter un avis sur la prestation qu'on lui offre ou qu'il achète qui ne sera pas moins légitime par ailleurs que celui d'un expert. Autre chose qui caractérise le lambda : ses attentes ne sont pas disproportionnées, mais dans la moyenne de ce qu'on peut attendre pour une prestation de ce type lorsqu'on y connaît ce que le grand public connaît en moyenne de ce type de prestation.

Le gros problème de l'expert, c'est qu'il n'arrive pas à mettre en veille son "jugement" et juste apprécier l'instant. En méditation, on appelle ça "The beginner's mind", l'esprit du débutant. Quand on connaît trop de chose sur un sujet, on a tendance à trop penser, à trop analyser, à trop.... Et pour profiter de l'expérience telle qu'elle a été conçue, il faut simplement se laisser aller et essayer de voir tout avec le regard d'un nouveau né. C'est ça qui fait que beaucoup d'entre vous, j'imagine, aiment redécouvrir le parc avec des first-timers, pour voir le parc à travers leurs yeux.
Je suis loin de penser que le visiteur lambda, c'est le pigeon qui va payer cher une prestation de merde.
Le visiteur lambda, il sait quand même reconnaître quand la bouffe est mauvaise, qu'il a payé trop cher pour le service qu'on donne, etc.
Il va sûrement pas voir la fissure dans la fontaine de small world (d'où le fait qu'on s'en fou), par contre, indirectement, l'accumulation de petits défauts de ce genre qui pourrait donner un rendu général de parc délaissé sera quand même ressenti par ce visiteur, même s'il n'en est pas conscient. Ce qui compte, c'est l'expérience globale qu'il vit en venant chez Disney.

Au risque de perturber le débat sur le visiteur lambda, j'ai peur qu'il soit quelque peu hors de propos.
Le visiteur lambda c'est, il me semble, un groupe dans le cas des parcs Disney, tout particulièrement des familles (du moins ca reste leur cible principale). Le gest lambda qui va "payer la facture", c'est souvent un parent, et le guest lambda dont l'avis compte à ce moment là c'est bien souvent le/les enfant(s).
Du coup on parle de quel visiteur lambda ? Un parent de 40ans ? Son/sa partenaire ? Sa fille de 8ans ? Un ado venu avec des potes ? Mamie (oui elles viennent parfois) ? L'avis général du groupe ?

L'avis général je dirais.

Mais sinon effectivement lambda n'est en rien un terme péjoratif.
Ensuite il faut savoir qu'on est ici sur un forum, pas sur TripAdvisor. Donc je pense qu'il reste judicieux d'y apporter et d'y lire des avis plus ou moins éclairés sur des détails dont la majorité se fout peut-être.
Et je suis d'accord avec la toute fin de ton message Parkatm : si un lambda ne voit pas tel ou tel détail, il en ressent l'ensemble (c'était l'opinion de Walt également sur les détails "futiles" comme l'authenticité des matériaux).
Donc c'est le boulot des designers de faire attention à tous ces détails, et moi personnellement c'est à ça que je fais attention également parce que le métier de designer me fascine.

tarf a écrit:

polo85 a écrit:

, le but de Disney est surtout de se faire un max de fric et contenter un max les guests qui payent leur entrée pour qu'ils dépensent encore plus ou qu'ils reviennent

Tu viens de donner la ma définition du guest lambda
Le guest qui n'est qu'un portefeuille pour disney, qui paye son billet, profites de sa journée sans râler a tout bout de champ sur le nouveau système fp ou la restauration (lol), dépense son panier moyen voire plus, se casse et revient éventuellement pour recommencer le processus de consommation

Bref le cœur de cible. Le guest moyen, banal, le simple consommateur quoi. Et qui n'a d'attente que de passer une bonne journée.

Et bien mince, mais si DLP pense comme ça, on comprend mieux l'état du parc et le manque de volonté niveau maintenance et ambition.
Evidemment que le parc est une entreprise qui se doit de faire du chiffre. Mais un parc à thème est aussi une création artistique, donc on est en droit de la juger en tant que telle.

Cela fait plaisir à lire KingRCT3 parce que à entendre les autres, une entreprise ne comprend qu'une seule langue : "le pognon". C'est presque comme si Disney aurait perdu le sens de son métier. Si demain, d'un coup de baguette, ils se retrouvaient marchand de chou-fleur mais que ça rapporte autant, alors personne ne broncherait chez Disney.
Alors, je suis peut-être naïf, mais je pense qu'une entreprise, c'est aussi la somme d'un certains nombre de gens dont beaucoup (je parle principalement des gens qui designent), ont choisi cette voie et ne voit pas cela comme un job alimentaire.
Si les décisions d'entreprise sont majoritairement motivées par des aspects pécuniers, je pense que ce n'est pas non plus 100% le cas et qu'il y a sûrement des décisionnaires dans la boîte qui prennent en compte d'autres aspect que l'argent dans leurs décisions (l'humain et l'art notamment).

Il n'y a qu'à suivre les comptes Twitter de Joe Rohde, Tom Morris et Eddie Sotto (des Imagineers si la précision est nécessaire) pour s'en rendre compte. Surtout en ce moment avec la diffusion de The Imagineering Story.

Ou même la série Il était un fois à Disneyland Paris par Laurent Cayuela, parce que même si j'ai dû mal à vraiment juger le boulot de Laurent (son influence reste un peu floue pour moi), ça se sent qu'il est passionné.

Parkatm a écrit:

Cela fait plaisir à lire KingRCT3 parce que à entendre les autres, une entreprise ne comprend qu'une seule langue : "le pognon". C'est presque comme si Disney aurait perdu le sens de son métier. Si demain, d'un coup de baguette, ils se retrouvaient marchand de chou-fleur mais que ça rapporte autant, alors personne ne broncherait chez Disney.
Alors, je suis peut-être naïf, mais je pense qu'une entreprise, c'est aussi la somme d'un certains nombre de gens dont beaucoup (je parle principalement des gens qui designent), ont choisi cette voie et ne voit pas cela comme un job alimentaire.
Si les décisions d'entreprise sont majoritairement motivées par des aspects pécuniers, je pense que ce n'est pas non plus 100% le cas et qu'il y a sûrement des décisionnaires dans la boîte qui prennent en compte d'autres aspect que l'argent dans leurs décisions (l'humain et l'art notamment).

Oui enfin attention, parce que créer de l'entertainment, etre des faiseurs de magie, des artistes et tout ça ça les empeche pas non plus d'etre piloté par des marketteux chaque fois de plus en plus à la recherche de ce qu'ils peuvent vendre et taxer au maximum plus que ce qu'ils peuvent inventer et imaginer.

L'imagineering au sens le plus noble du terme clairement pour eux c'est dépassé, tout doit correspondre aux attentes du guest pour etre sur d'avoir du résultat et donc du chiffre. Ce qu'il faut c'est le dernier phénomène de mode le plus worlwide bankable pour le guest dans leurs parcs.

Epic-say a écrit:

Parkatm a écrit:

Cela fait plaisir à lire KingRCT3 parce que à entendre les autres, une entreprise ne comprend qu'une seule langue : "le pognon". C'est presque comme si Disney aurait perdu le sens de son métier. Si demain, d'un coup de baguette, ils se retrouvaient marchand de chou-fleur mais que ça rapporte autant, alors personne ne broncherait chez Disney.
Alors, je suis peut-être naïf, mais je pense qu'une entreprise, c'est aussi la somme d'un certains nombre de gens dont beaucoup (je parle principalement des gens qui designent), ont choisi cette voie et ne voit pas cela comme un job alimentaire.
Si les décisions d'entreprise sont majoritairement motivées par des aspects pécuniers, je pense que ce n'est pas non plus 100% le cas et qu'il y a sûrement des décisionnaires dans la boîte qui prennent en compte d'autres aspect que l'argent dans leurs décisions (l'humain et l'art notamment).

Oui enfin attention, parce que créer de l'entertainment, etre des faiseurs de magie, des artistes et tout ça ça les empeche pas non plus d'etre piloté par des marketteux chaque fois de plus en plus à la recherche de ce qu'ils peuvent vendre et taxer au maximum plus que ce qu'ils peuvent inventer et imaginer.

L'imagineering au sens le plus noble du terme clairement pour eux c'est dépassé, tout doit correspondre aux attentes du guest pour etre sur d'avoir du résultat et donc du chiffre. Ce qu'il faut c'est le dernier phénomène de mode le plus worlwide bankable pour le guest dans leurs parcs.

Exacte le Graal d'un Ima ,c'est une totale liberté sur la conception de son ride de A a Z sans se soucier du marketing et du fric .Quand je pense que ce qui était prévu pour la zone SM ,le CA était splendide .
Il me semble que le seul qui a eu ce privilège ,c'est Monsieur Walt Disney a l'époque pour certains rides du tout début.Et encore ,il a joué très gros personne ne croyant a son projet au début ,il a du le financer seul .

Mouais bah au vue de la video ça sent quand même la grosse douille ce "Rise of the Resistance".

Déja les incoherences le premier ordre avec des AT AT de l'empire oui on vas me dire que last jedi on en voit mais c'est pas leurs signatures , Kylo avec un sabre orange qui crépite pas et qui comme d'hab finit par ce faire bolosser alors que d'après Luke il avait jamais vu quelqu'un d'aussi puissant avant Rey mais oui bien sure on y croit si Luke voulais juste voir ne serait ce une seule personne de plus puissant que ces 2 noobs il avait juste à ce regarder dans un mirroir

Après je trouve que les effets spéciaux des images sur écran sont super fénéants on peut faire bien mieux aujourd'hui rien que comparer avec l'attraction avatar c'est le jour et la nuit , l'animatronique de Kylo vraiment pas ouf et qui commence déja à ce faire aspirer avant même que les vaisseaux tirent sur la porte en général un maque de grandeurs dans le salles et l'absence de la visibillitée des tirs lasers....

Après c'est qu'une video et j'ai l'impression que ce ride plus que tout autre prend une toute autre dimension quand on le vit vraiment mais voilà pour l'instant je suis déçu il a l'air bien cool mais loin de la révolution qu'on nous a vendu mais j'espère me tromper.

Pour les AT-AT, l'attraction a été conçu avant la sortie de TLJ.
Pour le sabre orange qui ne crépite pas... C'est logique vu que tu as regardé une vidéo, le rendu en vrai est bien meilleur.
Pour les projections, je ne vois vraiment pas comment on peut faire mieux. C'est des dômes, il y a du squinching, on ne voit pas les bordures... Et pour l'animation c'est pareil.

zelko a écrit:

Exacte le Graal d'un Ima ,c'est une totale liberté sur la conception de son ride de A a Z sans se soucier du marketing et du fric .Quand je pense que ce qui était prévu pour la zone  SM ,le CA était splendide .
Il me semble que le seul qui a eu ce privilège ,c'est Monsieur Walt Disney a l'époque pour certains rides du tout début.Et encore ,il a joué très gros personne ne croyant a son projet au début ,il a du le financer seul .

c'est surtout que Walt n'en avait rien à foutre du pognonn ni aucune idée du cout et des realités financieres. Heureusement que Roy (son frangin s'il etait utilie de le preciser, lol) s'est tapé tout le boulot de gestion et a été se foutre à quatre pattes devant les banquiers pour financer les "delires artistiques" de son frere. parce que sinon, il n'y aurait jamais rien eu

et serait-ce utile de rappeler aussi que walt n'avait aucune consideration pour l'humain ... par une exploitation sans vergogne de son personnel, et des techniques de management qu'aucun d'entre nous ici n'accepteraient


faudrait peut etre s'en rappeler avant de porter le debat sur l'aspect "humain"

Walt maltraitait ses employés comme toutes les entreprises pendant les années 30 et la Grande Dépression. C’était à peine le début du syndicalisme seulement pour quelques professions mais très vite balayés par la crise de 29.

Tous les chefs d’entreprises étaient autoritaires et sans pitié, le respect des classes populaires voir même de l’humain n’existait pas encore. Si un employé posait problème on le dégage et on en retrouve un autre dans la minute qui suit.

Respecter la chronologie, on ne compare pas un homme du début du XXème siècle avec nos standards d’aujourd’hui.
C’est comme ceux qui disent «  Oh mon Dieu il était sexiste raciste et homophobes » mais qui n’était pas sexiste raciste et homophone dans les années 30 ? Personne.

Salut, petite question au passage, cela a peu être été déjà abordé, mais je n'ai pas su le trouver.
je vais le 11 février prochain a disney studio, le land starwars sera en accès libre avec un billet standard?

freco9177 a écrit:

Salut, petite question au passage, cela a peu être été déjà abordé, mais je n'ai pas su le trouver.
je vais le 11 février prochain a disney studio, le land starwars sera en accès libre avec un billet standard?

Galaxy's Edge oui, sans souci normalement, avec accès à Smuggler's Run. Pour ROTR, c'est une autre histoire.

et pour rise of the resistance il faudrait faire quoi pour y avoir accès?

Si c'est encore le cas à cette période là, il faut s'inscrire dans un Boarding Group dès l'ouverture, via l'appli MyDisneyExperience. Tu recevras une notification qui t'indiqueras l'heure de passage dans l'attraction.

ok merci, je pense que d'ici là, ça se sera détendu, en plus le mardi 11 février sera une période censée être creuse!

freco9177 a écrit:

ok merci, je pense que d'ici là, ça se sera détendu, en plus le mardi 11 février sera une période censée être creuse!

Tu as dit ça sur plusieurs posts mais bon sans te casser le délire, c'est une semaine à affluence prévisionnel à 6/10 donc affluence relativement importante

Entre les fermetures, la météo, l'affluence etc le site yourfirstvisit a classé cette semaine 53eme meilleur semaine de 2020 pour visiter pour un first timer ... C'est à dire la moins intéressante de l'année

Après tout se passera bien t'inquiète pas

je connaissais pas ce site! je viens de jeter un oeil, il prend en compte des fermetures d'attractions et la météo qui m'ai un peu égale. sinon j'ai déjà regardé, il n'y aura pas grand chose de fermé a animal kingdom et studio (juste les rapides river). Et puis le président day va commencer a emmener du monder qu'a partir du vendredi 14 février.

je suis confiant!

en tous cas merci pour vos réponses, car je commence a être hors sujet désolé.

Les AT&T ne devaient nous tirer dessus avec leur laser ,je ne vois rien de tout ça sur les vidéo dans cette scène Alors si quelqu'un peut me dire ,c'est avec plaisir.On avait vu de court extrait diffusé par Disney avec les Ima sur cette scène dans le hangar .

zelko a écrit:

Les AT&T ne devaient nous tirer dessus avec leur laser ,je ne vois rien de tout ça sur les vidéo dans cette scène Alors si quelqu'un peut me dire  ,c'est avec plaisir.On avait vu de court extrait diffusé par Disney avec les Ima sur cette scène dans le hangar .

Il y'a un des deux qui tire, par contre en fonction du vehicule ou tu est placé, tu ne verra pas cet effet.

Tu pourra voir l'effet sur la video suivante : https://youtu.be/T9kzsGTlzKg?t=306

J'avais jamais fais gaffe à cette effet. C'est vraiment excellent avec les deux canons qui se baissent.

J’ai remarqué qu’ils ont réutilisé un effet de Mystic Manor (la scène ou une partie du mur s’envole ) pas vraiment réussi comme effet d’ailleurs ,on capte direct la technique ,ça fait trop mécanique. Il y a un autre effet récupéré d’un autre ride Disney mais je me souviens plus lesquels.

On se fait tirer dessus par les deux AT-AT, mais seul l'un baisse ses canons.
Et les tires à proprement parler, c'est des rubans LED et un effet de dégât sur le mur en face.

Citation :

Imagineers Talk Invitation to Play at ‘Star Wars: Galaxy’s Edge’

For Star Wars: Galaxy’s Edge, that strategy can be summed up in three words: invitation to play

“Scott Trowbridge talked about how it’s all got to be real first-person. When you go to the Pirates of the Caribbean, the pirates don’t know you’re there; they don’t acknowledge you, they don’t look at you. You go to some other big attractions, and the characters in it talk to you and say, ‘We’ve got to save the world! Quick, do the so-and-so and such-and-such.’ And they’re going to say that to the next boat that might be empty. They don’t know you’re there. But, there’s something about [Galaxy’s Edge] that truly is an engaging invitation to play where you’re a part of it.”

Anisha Deshmane, an assistant producer at Walt Disney Imagineering, remains vital in creating — and fulfilling — that invitation. She is behind the Datapad, an experience within an app that allows guests to engage in-story with the Galaxy’s Edge land and play as their own Star Wars character. As Deshmane said, “It’s not a character, it’s you. It’s you and the actions that you do and the things that you choose to spend your time doing in the land is what manifests as your Star Wars story.”

Throughout the creative process, Deshmane’s goal was to create something that would allow every guest to “live their own Star Wars story.” With the Datapad, users can hack stations, translate Aurebesh signs, scan crates and even accept jobs. Deshmane said, “There’s a lot of interesting things that you can find that are off the beaten path, that I think people don’t expect.”

Chris Beatty, executive creative director for Star Wars: Galaxy’s Edge, spoke to the process behind deciding on what Star Wars location Disney would bring to life. “It wasn’t where do we want to take our guests — what planet? — but what storyline. We actually started with, ‘Well, what do we want our guests to feel like when they walk in the land? What do we want their experience to be?’ Then, the location came out of that.”

Trowbridge added, “We very quickly decided that the right thing to do in the park was to not do the book report; to not retell someone else’s story, but to create a new expansive Star Wars universe that had lots of stories to tell.”

The choice to build a land that did preexist within the Star Wars lore as a remote outpost but had never before been represented in media gave the team enormous freedom to create a themed land with everything a fan could want.

“All of these different locations, all of these different characters, are unique. They all came from someone’s great passion of the Star Wars lore,” said Margaret Kerrison, the managing story editor of Star Wars: Galaxy’s Edge. “It all started with wish fulfillment. Of like, ‘Well, we all want to be able to taste blue milk. We all want to taste green milk.’ So how does that work in our land?”

Nerds and Beyond - 8 décembre 2019.

Citation :

When designing Galaxy’s Edge, Imagineers considered recreating one of the iconic settings established in the films, but instead, they decided to set the land on the planet Batuu — a land that’s always existed within the Star Wars universe but has never actually been shown in the films. According to Trowbridge, this setting allows guests to experience their own Star Wars adventure instead of trying to follow in the footsteps of their favorite characters.

There are several experiences every guest should have in Galaxy’s Edge, according to the Imagineers who created it. Of course, the rides are incredible (and they’re both “must-do’s” in our book), but Trowbridge recommends a few other can’t-miss experiences for guests visiting Galaxy’s Edge. He says everyone should try the themed food, interact with the cast members (who have their own backstories), and take time to simply wander the land for a truly immersive experience.

“Our hope for guests when they come into Galaxy’s Edge is to allow yourself to just explore, allow yourself to get lost in this beautiful outpost on the edge of wild space, allow yourself the opportunity to talk to the people who live and work here,” Trowbridge said.

The Imagineer advises guests to take their time exploring the land, saying, “that sense of exploration, curiosity, and not knowing what’s around every corner is what makes it more compelling and more immersive.”

When describing the process behind the creation of Galaxy’s Edge, Doug Chiang, the vice president and executive creative director of Lucasfilm, said, “Star Wars design is grounded in reality, and we’re creating a place that is believable, authentic, and real. Then we exaggerate that reality and add in a distinct visual vocabulary to turn the ordinary into something extraordinary.”

To create a land that combined this authenticity with Star Wars fantasy, Imagineers traveled to Morocco and Turkey to take inspiration from their markets and architecture, and they visited live Star Wars film sets and studied old movie props to make sure everything — down to the trees planted in the land — felt authentic and true to the films.

Imagineers also worked to combine different aspects of the Star Wars universe, incorporating details from the classic films, video games, animated series, and more, so that guests could bring their own knowledge to the experience and share it with their friends and family. As a result, Trowbridge says they’ve created an intergenerational connection that allows people to share the details that resonate with them, creating a rich and interactive experience.

Travel + Leisure - 16 décembre 2019.

Citation :

A visit to a galaxy far, far away is closer than ever now.

“Bright suns” is the locals’ greeting on the planet of Batuu. “Because of the multiple suns in the sky there,” explains Scott Trowbridge, the lead Imagineer on Walt Disney World’s Galaxy’s Edge, a few days before my trip to Orlando, Fla. to check out the sweeping Star Wars realm. “That’s just a pro tip from me to you.”

Remembering Towbridge’s advice, I float a “bright suns” out to the shopkeeper stationed in front of the Creature Stall, the intergalactic pet store at the Black Spire Outpost, a bustling bazaar crisscrossed with a constellation of scrap-metal lanterns.

“Bright suns, traveler,” he replies, his eyes trained on the loth-cat purring in the cage in the center of the room. I’m looking for a piece of cargo marked with a hexagonal sticker. According to the map on my Star Wars Data Pad, it should be here, among the tentacled rathtars and Kowakian monkey-lizards.

“I’m not sure what you’re talking about,” the shopkeeper says, not making eye contact but discreetly tapping the cargo container next to him. Members of the Resistance have to be cautious on Batuu. The First Order has just landed. Stormtroopers patrol the courtyards and catwalks, interrogating travelers about their allegiances. I don’t see Kylo Ren, but people tell me he’s here—and he’s very, very unhappy.

I fire up the Data Pad’s tools menu, open the scanner, and aim it at the sticker. The screen glows orange and reveals the container’s contents: loth-cat chow, “the highest quality food for domestic loth-cats,” the translator explains. I’m looking for something a little more useful, but I hit the STASH button to drop it in my virtual arsenal, and continue searching. Just across the marketplace is another cargo container with a sticker. I scan it and—jackpot! It’s a cache of Batuu villagers’ clothes, just the disguise I—I mean, my character—needs to help the Resistance.

At 14 acres, Galaxy’s Edge is the largest land expansion in Disney history, “with a higher degree of detail and immersion than we have done before,” Towbridge says. The striking depth of interactivity etched and wired into this sprawling “planet” draws in hardcore and casual fans, sure, but can also convert those who think Baby Yoda is just a cute new meme.

The Galaxy’s Edge cast members—rebels, imperial officers, Stormtroopers whose hard white exoskeletons glint in the Orlando sun—aren’t here to pose for selfies and wave from parade floats. They function as allies and agitators, moving guests along the invisible arc of a four-dimensional story. The Data Pad, which pops up when you open the Disney Play app, links travelers up with another (virtual) cast: Officer Anjay, a First Order member who wants you to infiltrate the Resistance recruitment center; Scrapjaw Motito, who offers a mission hacking data panels around the Outpost; and former Stormtrooper-turned-Resistance fighter Finn (John Boyega), who needs your help escaping from a Star Destroyer.

The app also lets you interact with the physical environment, hacking into droids, intercepting secret transmissions, translating Aurebesh signs, like the one outside the joyful reservations-only Oga’s Cantina. “No fighting, biting, or ripping off limbs,” it warns. Does the Sichuan peppercorn-infused meringue femur balanced atop my spicy Bloody Rancor cocktail count?

Each choice you make informs a virtual avatar, your very own character in the Star Wars universe. “Not everybody wants to go deep,” Stowbridge says. And wandering around Batuu, it seems there are plenty of guests who are here to mainline Galaxy’s Edge two attractions—Millennium Falcon: Smuggler’s Run and Rise of the Resistance—then split to Slinky Dog Dash and Tower of Terror. “But for those who do, there’s an invitation to engage at a deeper level. It’s about turning you from a spectator to a participant.”

Costing around $1 billion each to produce, Galaxy’s Edge opened first at Southern California’s Disneyland in May, followed by the launch at Walt Disney World in August. Each land debuted with Smuggler’s Run, a speedy simulator-style ride borrowing the interactive elements of Mission: Space. It’s very fun, but do it first, and then visit Rise of the Resistance. Because Rise makes Run look like Body Wars.

Welcome to the Resistance

Rise opened last week in Orlando (Anaheim gets its own in January), just ahead of the premiere of Star Wars: The Rise of Skywalker this week. And the responses have been effusive so far. A sample Twitter search produces comments like “absolutely breathtaking,” “nothing in the world like this attraction,” and “still speechless.” On the ParkStop podcast, guest Peter Tedone described Rise as “if Great Movie Ride was on cocaine, times a million.”

The ride has four parts, lasts 20 minutes cumulatively, and hot-wires your nervous system. A pre-show kicks off the attraction with hologram of Rey (Daisy Ridley) warning us Batuu is no longer safe, and we Resistance recruits have to hop a ship lickety-split to rendezvous with General Leia Organa at her secret base. During the following simulator experience, things don’t go according to plan, and we wind up captured by a Star Destroyer, with a dramatic reveal that literally makes people gasp. Animatronics and live actors flavor a pre-boarding area that feels like its own part of the ride; “Finish your holograph and get back in line,” barks a severe First Order officer, in character and clearly enjoying it, at a guest taking a photo.

We proceed into an interrogation room, featuring an apoplectic Kylo Ren (Adam Driver) and surprise jailbreak, followed by the meat of the attraction. This final portion runs on a trackless system, which sends our vehicles careening through the enemy ship like air hockey pucks, and incorporates lifts, drops, screens, and two towering AT-ATs. Coming out the other side, you have the same woozy high you feel after a powerful play or epic haunted house.

In scale and scope, Rise is an automatic bar-setter that says to its Orlando competition, “Harry Potter who?” It’s also something of a beta test for the long-format, deep-end storytelling that will anchor the Galactic Starcruiser, the hotel coming to Galaxy’s Edge, though Trowbridge prefers the term “multi-day experience.” When the Galactic Starcruiser opens in 2021, guests can eat and sleep there, in rooms with outer-space screens instead of windows, “but because it is a Star Wars experience, you know that story is going to break out, and adventure is going to break out.”

Since acquiring Lucasfilm in 2012, Disney has bet big on Star Wars, and the next few years will see the incorporation of more IP across the brand, which Trowbridge will oversee. “There are no two more vocal fan bases than Disney’s and Star Wars’,” he said. “We are not done innovating.”

Fortune  - 16 décembre 2019.

Citation :

References to ‘The Mandalorian’ are embedded in Star Wars : Galaxy’s Edge

“I’ve lived through BB-8 and porgs and I know that fun sidekick characters can break out into their own world,”  said Brad Schoeneberg of Disney Parks Merchandise. “But I’ve just never seen anything like the response to The Child, and we’re thrilled that people love the character as much as we do.”

“The Mandalorian” wraps its first season Dec. 27 and season two is already in production. So far in the series, the Mandalorian has visited many unnamed planets that look a lot like Black Spire Outpost and could easily be on the remote planet of Batuu. Might the Galaxy’s Edge planet get name-checked in the show’s second season?

“I will not comment on season two of ‘The Mandalorian’ at this time,” said Scott Trowbridge, portfolio creative executive for Walt Disney Imagineering. “But it’s a big universe and the Mandalorian tends to frequent those parts of the galaxy that are maybe a little bit more off the beaten path.”

The Mandalorian’s pulse rifle and helmet are on display in Dok-Ondar’s Den of Antiquities, a themed shop in Galaxy’s Edge.

“Dok’s got it right behind him on his wall,” Mr. Trowbridge teased, acknowledging a strong connection between the writers of “Star Wars” stories for film and TV and the designers of the Galaxy’s Edge story.

“We’ve very, very connected, which is why when Galaxy’s Edge opened six months ago, the ‘Mandalorian’ content was already there, and there are other things [in Galaxy’s Edge] that our guests have yet to discover about the ‘Star Wars’ story.”

Pittsburgh Post-Gazette - 11 décembre 2019.