Star Wars - les six premiers films [Lucasfilm - 1977-2005]

tigroufan a écrit:

Star Wars Silver Screen Édition

Intéressant ça, je connaissais pas !

Bonjour,
Je me permets une petite question. Je viens de me procurer les versions double dvd des épisodes IV, V et VI.

J'ai repéré d'occasion cet autre dvd :


Est ce que c'est des nouveaux bonus ?  Ou ceux déjà présent dans les disque bonus des double dvd de la trilogie originale ?

Il s'agit tout simplement du disque Bonus qui etait inclu dans le premier coffret DVD de la trilogie originale.

Ça je sais. Je voudrais juste savoir si c'est des bonus non repris sur les éditions collector dont je parle

J'ai les 2 éditions.

Il n'y a absolument aucun bonus dans l'édition "doré spéciale" . Le 2e disque reprend tout simplement le film en version non remasterisé, ce qui est considéré comme le seul et unique bonus.
http://www.dvdfr.com/dvd/f25888-star-wars-episode-iv-un-nouvel-espoir.html

Par contre, le dernier DVD en photo, reprend effectivement les documentaires qui était offert dans le 1er coffret 4DVD (Les 3 films remastérisés + ce DVD)
http://www.dvdfr.com/dvd/f11095-star-wars-la-trilogie.html
En gros, à part "L’Empire des rêves", déjà multi-rediffusé à la TV, y'a rien de palpitant dans ce DVD.

Bref, pour avoir toutes les versions du film + le DVD bonus, fallait acheter le coffret 4 DVD et les 3 DVD unitaires, ce que j'ai fait...

Anthony Daniels, l'acteur derrière C-3PO, rend hommage à Roger Carel :

Apparemment, l'Empire contre-attaque va ressortir au cinéma aux Etats-Unis pour ses 40 ans. Sait-on si cette opération aura lieu en Europe ? Cela pourrait aider les cinémas en cette dure période, et ça permettrait à une nouvelle génération de le voir au cinéma, 23 ans après l'édition spéciale !

Témoignant dans le livre Star Wars Archives, George Lucas en a profité pour dévoiler à l'auteur ses plans initiaux pour ce qu'aurait pu être les Épisodes VII, VIII et IX avant qu'il ne vende son studio à Disney.

- L'histoire aurait repris quelques années après Le Retour du Jedi avec en toile de fond une galaxie divisée.
- Luke aurait entrepris de bâtir un nouvel Ordre avec l'aide d'une cinquantaine de rescapés de la Grande Purge. Il n'aurait pas atteint son but avant une vingtaine d'années, cherchant des enfants âgés de 3 ans pour former la nouvelle génération.
- Le parcours de Leia aurait été essentiellement politique. Nous l'aurions vue gravir les échelons du Sénat jusqu'à devenir Chancelière Suprême à la fin de la trilogie. Elle aurait réussi à rétablir l'équilibre par une autre voie que celle de la Force, faisant d'elle la véritable Élue.
- Dark Maul aurait été le grand méchant des suites (à l'époque, sa résurrection dans The Clone Wars faisait que son destin était inconnu dans la chronologie officielle), régnant sur les organisations criminelles et s'imposant comme un parrain galactique. Il aurait pris sous son aile une apprentie, Dark Talon (ancien personnage de l'UE Legends apparu dans la série de comics Legacy) qui aurait occupé la majorité des scènes d'action. Elle aurait été le Dark Vador au féminin des nouveaux films.
- La Nouvelle République, alors naissante, aurait été confrontée à des attaques récurrentes de Stormtroopers impériaux. Ces derniers auraient rassemblé leurs dernières forces pour établir leur propre planète et renverser le pouvoir.

Par la suite, Lucasfilm a été racheté et Lucas a commencé à travailler sur une nouvelle plotline pour la trilogie en préparation.
Plusieurs versions différentes ont été écrites (dont certaines gardant cette fameuse Dark Talon) jusqu'à ce que la dernière en date, avant mise à l'écart, imagine des concepts repris dans la Postlogie.
Parmi eux : Une orpheline vivant sur une planète désertique, le fils de Han Solo et de Leia tenté par le Côté Obscur, Luke se retirant sur une île lointaine et entraînant l'héroïne pour qu'elle devienne une Jedi etc...

Comme quoi, Disney aurait mieux fait de garder les idées de Lucas que de tout jeter pour faire du caca.
Lucas est peut-être pas un bon réalisateur, mais c'est un p*tain de conteur d'histoire (et on aurait enfin eu une dimension politique à cette suite, la chose qui manque terriblement à la trilogie originelle, pour faire une vraie passerelle entre les trois trilogies).

L'idée générale de Lucas tournait autour d'un monde micro-biotique qui continuait un peu plus la démystification complète de la Force. Outre l'aspect provocateur d'un tel concept, je vois mal qu'est-ce que ça aurait pu amener de bien dans cette trilogie. Même les midi-chloriens, il a fini par s'en détacher au cours de ses prequels (alors que La Revanche des Sith devait les réutiliser).

Lucas est plus un bon créateur d'histoires qu'un bon conteur d'histoires (dans le cas de Star Wars j'entends, THX 1138 et American Graffiti étant à part car réalisés avant que le cinéaste ne soit transformé par sa saga). Le miracle qu'est La Guerre des Étoiles est dû à un travail de groupe qui a permis une organisation des idées et une concentration scénaristique. La Prélogie a mis en évidence ses énormes lacunes sur ce point. À l'exception de l'Épisode III où il a été bien coaché, La Menace Fantôme et L'Attaque des Clones ont des tares de narration assez révélatrices.

George Lucas a toujours été un homme paradoxal et l'avis du public quant à sa personne au cours des décennies le montre bien. Il est à la fois ambitieux et frustré, visionnaire et douteux, novateur et incohérent. Et à l'image de ses films, tout le monde a trop essayé de le ranger dans une case extrême.

À l'époque de la Trilogie, il était un pionnier; Vingt ans après, un destructeur de mythe; À nouveau vingt ans plus tard, un génie incompris.

Chacun son avis. Perso je suis toujours aussi pantois devant les uniques adorateurs de la Trilogie, qui passent leur temps à cracher sur la Prélogie avec comme argument que "ça démystifie la saga" "c'est mal écrit", "c'est une bouilli numérique", alors que l'histoire de la Trilogie tient sur un post-it en comparaison de la richesse narrative de la Prélogie (juste que c'est mal mis en scène/mal joué en partie, ça je veux bien le concéder).
Pour ma part, si j'aime bien la Trilogie aujourd'hui, c'est aussi et surtout grâce à tout le background qu'a apporté la Prélogie, parce que sans ça, en dehors du "I am your father" qui est le twist ultime, ça vole quand même pas bien haut Star Wars.

En fait tu es pantois parce que tu es d'une génération "gâtée" niveau SFFF au cinéma comme en série.
Tu ne peux donc pas vraiment comprendre l'impact émotionnel qu'a été la première trilogie.
Je fais partie de ceux pour qui "I am your father" était vraiment un twist de folie et qui ont attendu 3 ans pour savoir si Han Solo survivrait à la carbonite et comment nos héros allaient sauvé la galaxie. Et quand tu es ado, c'est long 3 ans.^^
Entre temps j'étais passée du collège au lycée et on s'était juré avec mes meilleures copines qui n'allaient pas au même bahut que moi qu'on irait toutes ensemble voir le 3 (le 6, donc) à le première séance le jour de sa sortie, ce qu'on a réussi à faire.
Et après j'ai attendu plus de 15 ans pour voir la "suite", en lisant d'excellents romans de l'univers étendu, pour entendre raconter qu'Anakin avait construit un droïde protocolaire plutôt qu'une machine à laver pour sa mère esclave qu'il avait abandonné et que pour devenir Force sensitive il suffisait d'une injection en laboratoire. La déception a été à la hauteur de mes attentes.
(Ne parlons pas de la suite et d'Anakin qui vire du côté obscur parce qu'il n'y a pas de gynéco efficace et discret sur Coruscant )
Non, la prélogie n'a que peu de 'richesse narrative" vu la pauvreté psychologique de certains de ses acteurs majeurs et l'incohérence de leur comportement, et n'a en rien révolutionné le cinéma de SF sur la même échelle que la saga d'origine (le seul truc que j'ai trouvé cool dans la prélogie c'est l'ordre 66, parce que l'élimination des jedi était tricky à postjustifier)
Si tu veux de la richesse narrative, lis les trilogies de Zahn autour de Thrawn.

L'émission Good Morning America sur la chaîne de télévision ABC a présenté de rares images des coulisses de l'Empire contre-attaque à l'occasion du quarantième anniversaire de la sortie du film au cinéma :



Et une vidéo de Lucasfilm toujours à l'occasion du 40ème anniversaire de la sortie de l'Empire contre-attaque :

Un point de vue neuf et bien développé sur le défi technique représenté par les Éditions Spéciales.
Si tout a déjà été dit sur la vacuité de leurs ajouts, il reste encore des choses à apprendre quant à leur rôle dans l'évolution du numérique.

Nouvelle affiche, réalisée par Matt Ferguson, pour célébrer les 40 ans de Star Wars, épisode VI : Le Retour du Jedi :

starwars.com a écrit:

Star Wars: Return of the Jedi Will Be Back in Theaters for 40th Anniversary Celebration

Get all the details, and see Matt Ferguson's beautiful commemorative poster.


Jabba the Hutt. Speeder bikes. The Emperor and Ewoks. Star Wars: Return of the Jedi is turning 40, and will make its own triumphant return this month.

Today, fans attending Star Wars Celebration Europe 2023 were the first to learn that the beloved sixth chapter in the Skywalker saga, Return of the Jedi, is heading back to theaters — its first official release in 26 years. Starting April 28, Return of the Jedi will return to select theaters in the US, UK,  and other regions for a limited time, welcoming a whole new generation of fans to enjoy a full theatrical presentation of the iconic film for the very first time.

As with the 40th anniversary screenings of Star Wars: The Empire Strikes Back in 2020, a striking new poster commemorating Return of the Jedi’s theatrical return has been created, again by artist Matt Ferguson.

“I’m so happy and grateful to get to work on these movies again, even more so to be given the freedom to continue what I started with Empire,” says Ferguson. “For that poster, a cold mechanical vibe completely takes over the whole composition. But Return of the Jedi is very much the triumph of Luke and the Rebels, so I wanted to have more of the warmer colors coming back into the art, hence pivoting to green with red accents.”

With 40 years having passed since the original theatrical run of Return of the Jedi, and with the full Skywalker saga now in view, Ferguson decided to focus his composition on two of the saga’s most resonant and consequential figures – Luke and Vader.

“The artwork should tell a story, so for me it only made sense to give over the composition to those two characters,” he continues. “Will Luke be turned? Is Vader going to overcome the darkness? It’s all about the pull between good and evil.”

Screenings for Return of the Jedi in the US will take place April 28 – May 4, and April 28 – May 1 in the UK. Stay tuned to StarWars.com for updates on other regions and dates.

Empire Magazine célèbre les 25 ans des préquelles Star Wars.
Sortie le 15 février.

Empire Magazine a écrit:

Star Wars Prequel Cast Revisits The Trilogy 25 Years Later In Empire’s Anniversary Issue – Exclusive

Back in 1999, a brand new era in the galaxy far, far away came to life. George Lucas’ Star Wars prequels told an epic tale of fallen Jedi, forbidden romance, and the dismantling of democracy – assembling a whole new cast to inhabit his vast space-opera. The stars who entered that sandbox took a bold step, not only working at the frontier of digital filmmaking techniques, but conjuring a Star Wars saga that stood apart visually and tonally from the beloved originals. The likes of Hayden Christensen, Ewan McGregor, Natalie Portman, Liam Neeson and Ian McDiarmid became an entire generation’s set of Star Wars heroes (and villains) – and they all spoke to Empire for our epic new issue, celebrating 25 years of the trilogy.

For Ewan McGregor, the pressure of playing the young Obi-Wan Kenobi was eased by working alongside Liam Neeson – whose Jedi Master Qui-Gon Jinn suffers a noble end in the final act of Episode I – The Phantom Menace. “There are moments in any script that become like little pinnacles, that there’s an expectation that you hit emotionally. And that was one of them,” McGregor tells Empire now of the scene. “I was so fond of Liam [Neeson]. He’s such a generous and wonderful man — playing it was super-easy, because he was right in the moment with me, and I was in there with him.”

Revisiting his time on Episode I, Liam Neeson fondly remembered working not just with McGregor, but with Ahmed Best – the actor behind Jar Jar Binks. “Ahmed was so funny and inventive,” Neeson enthuses, remembering his dismay at the Binks backlash that lasted for years. “Myself and Ewan were personally hurt and offended by the critical reaction to the character.”

With Episode II – Attack Of The Clones, the time came to cast the 19-year-old Anakin Skywalker – requiring an actor who would have to, come the trilogy’s end, become Darth Vader. That task fell to Hayden Christensen, who took part in a major new interview and photo shoot with Empire for the issue. “The scope of the opportunity — the enormity of it all — was exciting to me. It was obviously a little daunting too, but there’s a saying: ‘Pressure is privilege’. I just felt very lucky to have it,” he says of becoming Anakin. And the films gave him one hell of an arc to play. “I was really thrilled that I was gonna get to express George’s mapping out of how someone goes from good to bad.”

Also daunted was Natalie Portman, who played formidable politician (and later Anakin’s secret wife) Padmé Amidala across all three films. “I was worried about doing it, that I wouldn’t be able to do anything else after, because the series carries such a mythology in American life. But that was precisely why it was such an incredible opportunity,” she tells Empire now. “It bridged my career from a child to an adult.”

Underlying the journey of the heroes and villains, stirring the pot across all three films, was Ian McDiarmid’s sinister Sith Lord, Sheev Palpatine. Having played the Emperor in Return Of The Jedi back in 1983, decked out in old-age makeup, the timing worked perfectly for McDiarmid to reprise the role of the younger Chancellor in the prequels. While the earlier prequels involved much politicking, he got to revel in all-out evil by Episode III – Revenge Of The Sith. “George [Lucas] kept hyping me up on that,” he remembers of the scene in which he attacks Samuel L. Jackson’s Mace Windu. “I was screaming, ‘ABSOLUTE POWER!’ I said, ‘Do you want me to do some quiet ones, because this is a bit much?’ George said, ‘No, go further, go further!’ So I did, and he seems to have kept most of it — there’s no holding back there.” It’s one of many lines that fans still request from the actor today. “The one that they like most of all is, ‘DO IT!’ People just love it,” he says. It’s official: the dark side has more fun.

Read Empire’s full interviews with Hayden Christensen, Ewan McGregor, Natalie Portman, Liam Neeson, and Ian McDiarmid – as well as Samuel L. Jackson, Brian Blessed, Matt Doran and more – in the Star Wars prequels 25th anniversary issue. Also inside the issue, we revisit iconic sequences with producer Rick McCallum, stunt co-ordinator Nick Gillard, and concept designer Iain McCaig, breaking down the Podrace, the Geonosis arena battle, and the Mustafar duel; we get a closer look at rarely-seen concept art from across the trilogy; we speak to designer Ellen Lee Moon on the story behind her legendary Phantom Menace poster, and much, much more. It’s the ultimate look back at the trilogy that changed everything.

Find the issue in all good newsagents – from the core worlds to the outer rim – from Thursday 15 February. Pre-order the issue online – find the light side cover here, and the dark side cover here.

Couverture exclusive pour les abonnés :

Nouvelle affiche, réalisée par Matt Ferguson, pour célébrer les 25 ans de Star Wars, épisode I : La Menace Fantôme :

starwars.com a écrit:

Star Wars: The Phantom Menace Celebrates 25 Years with Return to Theaters

This is so wizard.

Announced today by Empire magazine, Star Wars: The Phantom Menace will return to theaters for its 25th anniversary starting May 3. To coincide with the rerelease, artist Matt Ferguson has created a beautiful new poster.

The Phantom Menace, Episode I of the Star Wars saga and the first film in the prequel trilogy, originally arrived in cinemas on May 19, 1999, following tremendous hype. Written and directed by George Lucas, it introduced the world to young Anakin Skywalker, Padawan Obi-Wan Kenobi, Jedi Master Qui-Gon Jinn, Queen Padmé Amidala, and the evil Sith duo, Darth Sidious and Darth Maul. The Phantom Menace would be a landmark in the development of visual effects and become one of the highest grossing movies of all time. For more, check out StarWars.com’s in-depth oral history of the film, which features interviews with Lucas, John Knoll, Doug Chiang, Ahmed Best, and more.

Stay tuned to StarWars.com for more on The Phantom Menace’s 25th anniversary.

La ressortie de La Menace fantôme au cinéma a rapporté 14,5 millions de dollars au box-office mondial !
Le film est de retour dans le top 50 des films les plus rentables de tous les temps.

The Walt Disney Company a écrit:

‘Star Wars: The Phantom Menace’ is Still a Box Office Force Making $14.5 Million Globally This Weekend

After 25 years, the Force is still strong with The Phantom Menace.

Star Wars: Episode I – The Phantom Menace made an estimated $14.5 million at the global box office this weekend — an impressive total for a re-release of a film that is a quarter century old.

The film — which released on Friday in celebration of its 25th anniversary and timed to May the Fourth, also known as Star Wars Day — made $8.1 million domestically, which helped it take the No. 2 spot at the box office. It was shown in 2,700 domestic theaters, including 150 Premium Large Format screens and 130 specialty motion D-Box/4D auditoriums.

For comparison, the 40th anniversary re-release of Star Wars: Return of the Jedi opened to $5.1 million in April of last year.

The Phantom Menace opened in 1999 and was instantly a pop culture sensation.

The film — which was directed by Star Wars creator George Lucas and starred Liam Neeson, Ewan McGregor and Natalie Portman — broke box office records and has since found a new generation of fans, growing its popularity over the last two decades.

The film tells the origins of Anakin Skywalker who would eventually become the sinister Darth Vader. The science fiction fantasy classic is full of cinematic innovations, creative storytelling, and iconic moments, which are hallmarks of the Star Wars series.

The re-release of The Phantom Menace was paired with an exclusive sneak peek of the upcoming Disney+ series Star Wars: The Acolyte, which premieres June 4.

A significant number of international markets are also playing the film including the UK, Germany, France, Spain, Australia, Japan, Mexico and Brazil.

Star Wars: The Phantom Menace and the entire Star Wars saga is currently streaming on Disney+.