concours d'écriture: semaine 10: bal de printemps

bonjour à tous!!!
je vous propose un concours où le but sera d'écrire une petite histoire sur un thème disney
qui sera proposé tous les dimanche soir ou les lundi
Le thème sera proposé, vous aurez jusqu'au vendredi pour publié votre texte (minuit)
et le week-end c'est le vote.
Vous m'envoyer un top 3 par MP (à super-sugar) et le thème que vous proposez au cas où vous gagneriez.
si vous avez des questions n'hésitez pas!!! scratch
ATTENTION!!!!! IL EST INTERDIT DE COPIER/COLLER UN TEXTE D'INTERNET. Evil or Very Mad
limite de mots: 600-700
Si vous avez écrit un texte vous pouvez le re-modifier ou le changer avant le week-end mais veulliez bien me revalider quel texte je garde pour le récap'

THEME DE LA SEMAINE: en attente

Récap' de la semaine: (bonne lecture study)

Bon, eh bien plus qu'a attendre le théme !

Si j'ai bien compris, il faudra faire un message entre 600 et 700 mots ? Ou c'est le max ? ^^

Non, 700 mots, c'est le max, tu peux bien sûr faire plus court, ce n'est pas un problème !

Ah ouf xD J'attends le thème et je verrais si je m'y mettrais étant donné que je n'ai pas beaucoup de temps à passer sur le PC... Je bosserai en Perm xD

Bon est-ce que je peux donner le thème "une journée à Disneyland"?

Laisser libre court à votre imagination

Cool si c'est ça ! Je vais m'éclatouiller moi xD

Génial RaiponceClochette!

Bienvenue Oxyde!

Oki c'est cool
Je poste mon texte demain soir

Je propose ma contribution très rapide, il y aurait encore beaucoup à dire sur la forme et le fond mais je n'ai pas trop le temps d'écrire en ce moment.

13h24. C'est ce qu'il avait cru voir en consultant sa montre à la clarté vacillante d'une torche factice. Treize heures passées de vingt-quatre ou vingt-cinq minutes, il ne saurait dire les secondes. Dans le silence, on pouvait entendre seulement le son que produisaient les chuchotements de son angoisse. Et lui tentait désespérément de les couvrir en proférant à haute voix des encouragements moralement satisfaisants, devenus par usage répété, secours illusoire : « Allez, courage ! Tu vas t'en sortir, mon bon Fred ! ». Il avançait à tâtons dans la pénombre, le pied peu sûr mais le coeur enhardi. Pourtant, cette anfractuosité de rochers lui était cruellement familière et pour cause, il se rappelait en avoir apprécié la fine pellicule mordorée qui mimait avec une ressemblance fort acceptable les filons du précieux métal qu'on ne trouvait malheureusement plus ici. Trépignant un instant, il refusa de céder à la panique et comprit qu'il n'obtiendrait pas davantage en appelant à sa rescousse. Car c'était vrai : posté dans le recoin lugubre d'une cavité exceptionnellement sèche, il n'avait vu personne. L'endroit lui paraissait déserté depuis des lunes et il éluda rapidement l'hypothèse qu'on lui vienne en aide pour le tirer de ce chaos minéral. Assis sur un roc lisse, le sac à dos abandonné et les genoux enlacés dans ses bras, il détricotait la marche du temps ; il cherchait son erreur : cette erreur qui avait précipité la succession des événements qui le conduisirent à se rendre prisonnier des entrailles du monde. Il ne comprenait pas, pour raisonnable qu'il soit, quelle obscure raison l'avait poussé à jouer les spéléologues amateurs. Ou plutôt si, le savait-il ! Tout juste préférait-il se mentir à lui-même et épater en besogneux matador ! C'est l'esprit embrumé qu'il décida de reprendre son errance, glissant par moments sur des flaques douteuses, contournant des piliers monumentaux, formé de stalactites et de stalagmites, que l'éternité avait unies. Les minutes passaient, émiettant sa patience, raréfiant toujours plus ses espoirs d'évasion. Le couloir qu'il emprunta le mena dans une salle plus spacieuse et lumineuse que les autres et il manqua de défaillir devant une vision d'horreur. Il y avait bien, ça et là, de nombreuses richesses pour réjouir l'oeil : des stèles marmoréennes, des parois scintillantes de pierreries, un trésor que renfermait un coffre à la serrure sertie d'or massif... Mais gardé jalousement par la dépouille du capitaine de vaisseau à qui il avait appartenu ! Le squelette semblait sans âge, les mâchoires ouvertes affichant un abominable rictus d'où avait dû émaner de gutturaux ricanements. Epouvanté, Fred décampa tous azimuts par l'unique sortie possible située à droite en contrebas. Il dévala quatre à quatre les marches qui suivirent, s'agrippant de justesse à une rampe d'escalier ingénieusement placée et dont il jugea curieuse l'existence dans l'antre qui lui servait de geôle. Arrivé à un croisement, il reprit son souffle et observa le couloir sur sa gauche. Brusquement, il saisit son visage dans ses mains de douleur. Une lueur inhabituelle vint le priver quelques secondes de sa vue et son intensité fut si puissante qu'il dut protéger ses yeux de l'agression. Intrigué, il s'avança lentement d'abord, puis en prenant de plus de confiance, son sourire s'élargit et il se mit à courir. Au bout du tunnel, la lumière d'un astre réconfortant et la chaleur de l'été caniculaire l'attendait. Revenu des Enfers où il avait séjourné, Fred se retourna et songea, en scrutant la grotte qui n'avait plus rien d'effrayant, que la peur pouvait être un étonnant stimulant. Alors, l'ayant reconnu immédiatement, il s'avança vers une jeune femme au sourire franc, bombant légèrement le torse, le ton de voix aromatisé à l'enjôleur :
« Tu vois, Candice. Ne t'avais-je pas dit que mon sens de l'orientation était infaillible ?
Les traits de la demoiselle s'accentuèrent en une moue bizarre, entre rieuse et moqueuse.
- Oui, que tu es courageux ! Cela ne fait pas l'ombre d'un doute ! Tu as trouvé des choses intéressantes dans le Ventre de la Terre ? On en toucherait deux mots à un brocanteur...
- Tu vois, tu te moques, lui rétorqua-t-il. J'ai malgré tout remporté mon pari, ajouta-t-il avec un clin d'oeil.
La jeune femme haussa les sourcils, désabusée. Elle s'approcha de lui, s'éleva sur la pointe des pieds et lui donna un baiser sur le front. Décontenancé, Fred s'emporta :
- Eh ! Mais ce n'est pas ce qui avait été convenu !
Elle ne put réprimer un petit rire, amusée par son objection. Elle se contenta alors d'ajouter :
- L'après-midi est encore long... »

Sur le thème Une journée à Disneyland, texte de 759 mots.

DisneyFanatic, tu n'as jamais pensé à devenir écrivain ?!! Sérieux ton texte est super génial !
Je posterais mon texte demain je pense.

DisneyFanatic, ton texte est vraiment super !!!

Oui je trouve aussi, en plus tu écris d'une manière tellement.... bah je sais pas, tu es fais pour être écrivain!

Je crois qu'il faut avoir des épaules bien plus robustes que les miennes pour se lancer dans l'aventure de l'écriture. Il faut être né avec le talent d'écriture, c'est un don et les mauvais écrivains ont trop de difficultés à vivre le ventre creux pour que je me rende compte moi-même que mes divagations n'intéressent vraiment personne !  
Quel intérêt de publier si l'on n'est pas la nouvelle J. K. Rowling ou le nouveau Sacha Guitry ? En plus, être écrivain, c'est choisir d'être contesté et pour mon équilibre mental, je dois écarter cette vocation !  

C'est bien dommage car tu as un vrai talent !

Merci malgré tout : un compliment apporte toujours satisfaction !  

Tu le mérite !
Et même si tu ne veux pas en faire ton métier, ça restera une distraction et au moins nous on pourra profiter de ton talent ici, sur DCP !
(les autres ne savent pas ce qu'ils perdent ! :/)

Oh c'est dommage :/
Tu es vraiment doué
J'ai pensé aussi non (si ce n'est pas déjà fait) tu pourrais créer un site avec tout tes textes

Bon, sincèrement merci mais on va peut-être passer à autre chose, non ? Nous ne sommes pas ici pour encenser ce que je raconte !  
Publiez donc vos textes au lieu de m'inonder de compliments !  

Bah oui mais comment tu veux qu'on rivalise avec toi ! :/

Bon voici mon histoire:

Il était 12h, c’est-à-dire que la journée était déjà bien entamée, pourtant Jack Sparrow se réveillait seulement maintenant…
« Aïe » fit celui-ci en se relevant tout en tenant sa tête
« Mais où suis-je ? » se demanda-t-il
En fait, ce brave capitaine se retrouvait au bord de l’eau, juste en face de l’Hakuna Matata, avec… des centaines de personnes agglutinées autour de lui.
« Et, regarde maman, c’est Jack  Sparrow» hurla un petit garçon à sa maman.
« Capitaine Jack Sparrow, cria Jack, et d’où me connais-tu, microbe ?
- Oh vous jouez super bien votre rôle, chuchota la mère de l’enfant à Jack
- De quoi parlez-vous, madame ? » se demanda Sparrow
Mais la dame était partie avec son fils, des étoiles plein les yeux.
« Mmmm, étrange cette dame, pensa Jack, bon quelqu’un peut me dire dans quel endroit je me trouve ?
- Bah, dans Adventureland, lui répondit un ado maigrelet.
- Adventureland ??? Et où se trouve le Black Pearl ?
- T’es tombé sur la tête ou quoi ? » lui demanda l’ado
Une petite fille d’origine anglaise s’approcha alors et demanda avec un petit accent tout mignon
« Puis-je moi avoir autographe please ?
- Non, mais, hé, tu m’as bien regardé petite limace ? »
Il sauta le pont, attrapa une corde et cria :
« Souvenez-vous de ce jour comme le jour où vous avez rencontré le capitaine Jack Sparrow
- Oh mais il est trop fort celui-là, je crois que c’est le meilleur Jack qu’ils ont ! » dit soudain l’ado.
Jack s’enfonça dans Adventureland, près du Chalet de la Marionnette, et croisa….
« Non, ce n’est pas possible » se dit-il
En approchant, il vit quelqu’un déguisé en lui.
« Pas encore, Angelica, tu as remis ça ? lui demanda-t-il
- Hé, c’était à mon tour de faire Jack aujourd’hui, lui murmura Jack numéro 2, tu as dû mal lire le papier.
- Bon, tu ne me laisse pas le choix, je vais récupérer mon moi ! »
Et là, Jack sortit son épée et commença à essayer d’embrocher le pauvre cast ! L’OAA, a réussi à le faire partir, sous les cris des fans, heureux du spectacle !
Jack se promena donc du côté de l’attraction pirates des Caraïbes.
« Tiens, ça me dit quelque chose »
Il rentra, fit la queue, et s’installa dans le bâteau. Lors de la descente, Jack se prit les flash de la photo dans les yeux et se réveilla soudainement.
« Quel drôle de rêve, je crois que je vais arrêter le rhum ! »

Fin !

438 mots ^^

Princess Meg a écrit:

Bah oui mais comment tu veux qu'on rivalise avec toi ! :/

Le verbe rivaliser suppose qu'il existe un enjeu pour lequel on cherche à rafler la mise ; je crois que je ne m'avance pas trop en affirmant que personne ici n'a convoqué le jury du Goncourt.
Tu crois vraiment que Dumas fils serait devenu quelqu'un s'il n'avait pas voulu ternir la réputation de son père, qu'il détestait d'ailleurs ?

La chute est extra, Raiponceclochette !  

Merci DisneyFanatic

DisneyFanatic : en fait c'était surtout un prétexte car je n'ai pas trop d'idées pour ce thème !

Princess Meg a écrit:

DisneyFanatic : en fait c'était surtout un prétexte car je n'ai pas trop d'idées pour ce thème !

Je préfère entendre cela !