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 Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)

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moiraclaire

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Sam 2 Oct 2010 - 16:25

Oui je vais suivre ton conseil Very Happy. J'ai été touvé ma promotrice hier mais malheureusement elle n'a pas encore coté mon travail mais elle en est très contente. J'aurai ma première cote vendredi prochain !
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moiraclaire

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Sam 9 Oct 2010 - 12:57

Je viens de recevoir la première cotation de mon travail 10/10 !! Mais bon c est juste la première étape Lol maintenant je dois faire des fiches de lectures de deux livres et un documentaire pour le 18 Octobre ! Gros bisous à tous
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jenny054

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Sam 9 Oct 2010 - 17:25

wahou!!! quel travail!!!!
J'espère pourvoir un beau tfe aussi!!!
Contrairement à toi mes prots ont accepté le sujet de suite en me disant que c'était une bonne et originale idée!!!!!!

Je crois que je vais aller visiter quelqu'un de ses sites pour le mien!!!!

Merci pour tout ca!!!

Et bonne chance à toi pour la suite!!!!

Bisous
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moiraclaire

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Sam 9 Oct 2010 - 17:58

Merci et bonne chance à Toi aussi, heureusement la promotrice est super sympa, l' autre jour on a parle pendant une heure de Disneyland Paris LOL gros bisous
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lody40

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Sam 9 Oct 2010 - 19:44

Et bien 10/10 bravo moiraclaire Very Happy en tout cas il a l'air super ton projet. Courage pour la suite mais je suis sure que vu le début tu vas assurer


Walt Disney World : du 31 juillet au 7 août 2017 au Caribbean Beach Resort

Disneyland Resort : les 15 et 16 août 2019
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moiraclaire

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Sam 9 Oct 2010 - 21:15

lody40 a écrit:
Et bien 10/10 bravo moiraclaire Very Happy en tout cas il a l'air super ton projet. Courage pour la suite mais je suis sure que vu le début tu vas assurer
Merci beaucoup ton message me touche beaucoup ! Je vais tout faire pour assurer !! Gros bisous
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moiraclaire

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Dim 17 Oct 2010 - 19:36

Voilà mes fiches si il reste des fautes d'orthographes ou autres faite moi signe !! gros bisous






1ère fiche de lecture :



A.LITTAYE, D.GHEZ, Disneyland Paris, de l’esquisse à la création. Paris, Nouveau Millénaire Edition, Avril 2002, coll. Beaux livres.



Main Street USA, elle est l’introduction au parc Disneyland, elle permet au visiteur d’être plongé dans la magie petit à petit. Le premier élément que le visiteur trouve sur son passage est la gare.

Pourquoi mettre une gare ? Le train a une signification très importante dans l’esprit de l’Amérique. Les chemins de fer ont aidé au développement de l’Ouest Américain mais il a aussi une connotation de conquête.

Walt Disney était passionné par les trains, il était donc impossible pour lui d’imaginer son parc sans une voie ferrée. Chaque Magic Kingdom compte donc un rail faisant le tour du parc.

Pour renforcer l’aspect « vivant » de Main Street USA, les Imagénieurs décidèrent d’inclure des bruitages tels que des bruits d’un cabinet dentaire, les aboiements d’un chien…

Le Main Street USA français a une particularité que les autres n’ont pas : deux arcades.

Ce système fut mis en place pour palier aux intempéries de la région parisienne. A la place de recouvrir l’entièreté de Main street comme ce fut le cas à Tokyo Disneyland, les Imagénieurs créèrent la « Liberty Arcade » et la « Discovery Arcade ».

La première a pour thème l’histoire de la statue de la liberté et uni Main street à Frontierland.

La deuxième a une thématisassion axée sur les inventions du début du XXème Siècle, elle sert de transition entre le passé de Main Street et l’avenir de Discoveryland.

Main Street possède sa propre population, effectivement si on lève les yeux au niveau du deuxième étage des immeubles, on peut constater que certaines fenêtres portent le nom de ceux qui y habitent. Par exemple, Marty Sklar er Tony Baxter (numéro 1 et 2 du Walt Disney Imagineering) sont devenus éditeur en chef et directeur artistique du journal de Main Street.

Ce land est constitué principalement de boutiques qui elles aussi ont été pensées pour être les plus réalistes possibles. En effet 10000 objets d’époque ont été chinés pour décorer les magasins de Main Street. Chaque magasin ou restaurant a un thème particulier par exemple :

Le Casey’s Corner, a pour thème le base-ball son nom est tiré d’un poème « Casey at the Bat » ; l’année sur la devanture est celle de la publication du poème.

Le Boardwalk Candy Palace, lui est inspiré par Atlantic city et ses « salt water taffies » une spécialité sucrée. Les colonnes de ce magasin sont remplies par des bonbons de verre placés un par un à la main.

L’Emporium est le plus grand magasin du parc, à l’intérieur on y trouve des fresques qui représentent les deux plus vieux magasins de la chaîne, celui ouvert le 17 Juillet1855 (100 ans jour pour jour avant l’ouverture du premier Emporium en Californie) et dont le directeur était Walter Disney et celui de Floride ouvert en 1871 (100 ans avant celui de Disney World).

Il y a tellement d’autres choses à dire sur Main Street USA mais je dois malheureusement m’arrêter là aujourd’hui.



Frontierland :

Un des symboles les plus représentatifs de l’Amérique pour les Français est la conquête de l’Ouest, la ruée vers l’or. Il était donc important de construire le land autour de cet or, symbolisé par l’attraction Big Thunder Mountain. La mythologie indienne et le Dieu tonnerre sont très importants dans l’attraction. L’oiseau tonnerre a pour but de protéger l’or contenu dans la montagne. Dans l’histoire de l’attraction, nous sommes les miniers venus prendre cet or, il protège donc sa montagne en la faisant trembler.

Le Big Thunder Mountain français a une particularité l’attraction débute et fini dans un tunnel sous l’eau.

Un des symboles forts de Frontierland est Phantom Manor.

Ce manoir est complètement intégré dans l’histoire de Thunder Mesa la ville où se situe Big Thunder Mountain. Voici légende qui accompagne ce manoir, « Le très riche propriétaire de la Thunder Mesa Mining Co (la société qui selon la légende, exploite la mine de Big Thunder) est un certain Mr. Ravenswood. Comme la plupart des personnes qui faisaient fortune à l’Ouest, à cette époque, il décida de se faire construire un grand manoir, dont l’architecture s’inspirait du style que l’on pouvait contempler à San Francisco à l’époque qui et, en outre, ne passait pas vraiment inaperçu dans cette petite ville minière. Phantom Manoir se trouve à la sortie de Thunder Mesa, l’endroit le plus riche de la ville. A l’époque de sa splendeur, le Manoir était une demeure superbe. Dans la salle de bal se trouve une peinture de Julie Svendsen, l’une des artistes de Walt Disney Imagineering, qui montre le Manoir tel qu’il fut construit, selon la légende, avant de tomber en ruine lorsque la mine s’épuisa. »

En France, la Walt Disney Imagineering n’a pas respecté la volonté de Walt Disney en créant une maison en ruine dans l’un des parcs. Walt Disney disait « Nous devons nous occuper de l’aspect extérieur du bâtiment. Les fantômes, eux, auront toute liberté de s’occuper de l’intérieur. » Cette décision fut prise car les européens ont besoin de symboles clairs entre autre à cause de la barrière de la langue.

« Le faste, la splendeur intérieure de Phantom Manor montrent que le propriétaire était au fait de sa gloire. La mine d’or était florissante et sa fille splendide. Très amoureuse, elle s’apprêtait à se marier. Son fiancé ayant prévu de l’emmener dans une autre ville que Thunder Mesa, le père devint furieux. Ce qui se passa ensuite, personne ne le sait très bien. Je vous laisse imaginer. Les portraits qui s’étirent dans la pièce sans portes ni fenêtres représentent la jeune fiancée. Comme vous pouvez le constater, de nombreux signes prémonitoires jouent contre elle. Le jeune homme vous le découvrez, dans cette même pièce…pendu » La scène suivante est celle de Mme Leota, la tête emprisonnée dans sa boule de cristal. Le visage de Mme leota est celui de l’Imagénieur Oona Lind. « Après nous sommes face à face avec la jeune mariée et le propriétaire du Manoir (le Fantôme) dont la rage ne fait que croître au fur et à mesure ». Nous sortons de l’attraction par Boot Hill, le cimetière de Thunder Mesa.

Thunder Mesa possède une rivière appelée « Rivers of the Far West », elle est souvent parcourue par le Mark Twain et le Molly Brown. Ce sont deux bateaux à vapeur avec une roue à aubes.



Adventureland :

Au Etats-Unis, Adventureland se limitait à un thème centré sur la jungle. A Disneyland Paris,

les Imagénieurs décidèrent d’agrandir ce thème à l’Afrique, aux îles tropicales des Caraïbes et au Moyen-Orient. Lorsque l’on rentre dans ce land, nous sommes transportés dans le monde des milles et une nuit. De nombreux détails y font référence par exemple, un œuf géant posé sur le toit du bazar fait référence à la légende de Rokh, chaque boutique du bazar comporte une peinture murale représentant une histoire des mille et une nuit.

Une autre partie du land est consacré à la jungle. Mais comment créer une jungle en pleine région parisienne ? Pour les Imagénieurs, le mot impossible n’existe pas, ils ont donc demandé à Bill Evans, 80 ans avec une très grande expérience des parcs Disney derrière lui, de résoudre ce problème. La solution fut vite trouvée, les bambous ! Pour bon nombre d’entre nous les bambous représentent les tropiques alors qu’ils sont originaires des montagnes enneigées de Chine. Le concept consiste à créer un écran de bambous pour après créer un microclimat qui permet de planter des palmiers par exemple. En s’enfonçant dans la jungle, nous tombons nez à nez avec Indiana Jones et le temple du péril. Cette attraction est la première des parcs Disney à contenir un looping. Son architecture s’inspire des temples hindous du sud de l’Inde. En continuant notre chemin, notre regard est attiré par un arbre géant contenant La Cabane des Robinsons. Ce Disneyodendron semperflorens grandis comme l’on baptisé les Imagénieurs mesure 21 mètres et comporte 300000 feuilles posées à la main ! Cet arbre se situe au milieu d’Adventure Isle composée de cavernes, de bateaux échoués, de ponts de cordes à traverser… Ils décidèrent de remettre un bateau de pirates et un rocher en forme de tête de mort, deux attractions qui étaient présentes en Californie jusqu’en 1983.

« La nouvelle version du galion des pirates se trouve à deux pas de Skull Rock, le rocher en forme de tête de mort de 12 mètres de haut, plus effrayant qu’il n’a jamais été. Tous deux comportent d’ailleurs plus de détails que n’en eurent les attractions d’origine qui se trouvaient à Disneyland dans les années 50. Il est difficile de ne pas trembler en s’approchant du rocher en forme de crânes : les deux lanternes qui servent d’yeux vous suivent du regard. Elles ont, en effet, été positionnées de manière très précise pour vous donner l’impression d’être espionné par le rocher. Mais c’est sans aucun doute le réalisme des lieux qui donnent le plus froid dans le dos. » Les rochers présents dans Adventrure Isle ont été choisis un par un dans les carrières par les Imagénieurs.

Pirates of the Caribbean, c’est l’attraction la plus connue et la plus célèbre des parcs Disney.

Ouverte en 1967, un an après la mort de Walt Disney ce fut la dernière attraction qu’il supervisa. Le concept de la file d’attente est que le visiteur entre dans le fort par une porte dérobée qui mène à l’arsenal c’est pourquoi certaines portes sont détruites ou que des traces de poudre salissent le sol. Dans la première scène, nous sommes plongés en pleine attaque du fort par les pirates venus libérer leurs camarades. Après nous confronter à un incendie spectaculaire qui en a bluffé plus d’un !



La scène du trésor est un exemple en terme de minutie, elle contient 30000 petits détails, les pièces furent placées une par une à la main en piles tel que l’aurait fait les pirates. Elles sont faites d’un métal précieux insensible à la rouille. A l’intérieur de l’attraction se trouve le restaurant Blue Lagoon, une première dans un parc Disney. En quittant ce lieu nous nous dirigeons vers Fantasyland.



Fantasyland :

La définition de Fantasyland selon Tom Morris son directeur artistique « Dans ce land, les personnages de Walt Disney et leurs univers prennent vie. » Ce lieu féerique est rempli de chemins et de ruisseaux qui serpentent à travers le land, d’arbres en forme d’animaux. L’Europe est le thème central de ce land car la plupart des contes de fée en sont originaires. De nombreux pays y sont représentés tel que l’Allemagne, l’Italie, l’Angleterre, la France, la Hollande et la Belgique. L’attraction It’s a small World les réunis tous pour conclure ce magnifique lieu. A l’entrée de Fantasyland se trouve le superbe château de la Belle au Bois Dormant. La conception du symbole du parc Disneyland fut quelque chose de très compliqué. Pendant près d’un an les Imagénieurs se sont demandés quel en serait son aspect. Recopier un de ceux existant n’aurait pas convenu car les châteaux américains sont inspirés de ceux de la Loire et donc était trop familier pour les Européens. Tom Morris explique « L’inspiration première venait du Mont Saint-Michel et de sa manière de grimper vers le ciel en s’enroulant sur lui-même. Cette forme singulière nous servit de point de départ. En guise d’inspiration, mais aussi pour savoir ce que nous devions éviter de recopier à la lettre, nous avons visité plus d’une vingtaine de châteaux. Nous avons choisi certains éléments des châteaux les plus remarquables, en nous en inspirant, mais sans jamais copier. Ces fenêtres de Chaumont étaient intéressantes, ces douves étaient superbes, cette coupole en vitrail à Chambord, ces colonnes en spirale s’élevant comme des arbres dans l’Eglise Saint-Severin à Paris, étaient passionnantes. Enfin ces fines tours d’Azay-le-Rideau nous plaisaient beaucoup. L’inspiration était partout, mais nous avons toujours transformé chaque élément pour lui donner une touche Disney. Quant aux très riches heures du Duc de Berry célèbre livre d’enluminures médiévales auquel l’architecte de la Pyramide du Louvres, I.M Pei suggéra que nous nous référions, elles nous ont aussi beaucoup impressionnés. C’est en étudiant les illustrations que cet ouvrage renferme que nous avons eu l’idée des tours dorées à la feuille qui surplombent aujourd’hui le château » Beaucoup d’artisans européens ont contribués à sa construction car de nombreuses techniques n’existaient plus aux Etats-Unis comme la fabrication de girouettes, la création de toits de briques,… Les vitraux furent supervisés par Paul Chapman, 80 ans, spécialiste qui travailla pour la reine d’Angleterre. Tony Baxter explique pourquoi il fut choisi « Toute sa vie il avait créé des motifs sérieux et solennels pour les églises. Il m’a avoué qu’il ressentait le désir de faire rire et sourire, pour une fois, grâce à ses œuvres. »

La couleur du Château fut aussi un paramètre compliqué, le 2 Août 1991 il fut posé mais les Imagénieurs réalisèrent que sa couleur ne convenait pas. Elle fut donc repeinte. « Ron Esposito, l’Imagénieur responsable de la création des couleurs de toutes les façades et de tous les rochers du parc, s’est embarqué dans une sorte d’ascenseur attelé à une grue de 90 mètres en décembre et janvier, sous la pluie, dans le froid, afin de repeindre le château. Il faisait tellement froid, certains jours, que la peinture s’écaillait et tombait comme du sable sur le flanc du château. Il est clair que Ron n’oubliera jamais cette expérience. ! » Plusieurs clins d’œil sont dissimulés à l’intérieur et à l’extérieur de ce splendide édifice. Des têtes de Mickey sur certaines briques de la paroi, les blasons de ceux qui ont travaillé sur Fantasyland. Tony Baxter, directeur artistique est désigné comme « seigneur de royaume » et Tom Morris comme « seigneur du land ».



Les « Dark Rides » :

Fantasyland est le roi des dark rides avec trois attractions de ce type à son actif, Les voyages de Pinocchio, Blanche neige et les sept nains et Peter Pan’s Flight.

Qu’est ce qu’un Dark ride ?

Ce nom fut donné par les Imagénieurs, il désigne un parcourt scénique éclairé par une lumière noire. Cette technique consiste à utiliser une peinture violette pour faire ressortir les personnages et les accessoires. Avec l’aide de la lumière noire, le visiteur ne voit ce que lui autorise de voir. Le visiteur est transporté à toute allure sans savoir où il va et devient véritable héros du film.

It’s a Small World :

« Cette attraction fut crée en 1964 pour l’Exposition Universelle de New-York par Walt Disney à la demande de l’UNICEF. Elle est probablement l’attraction la plus marquée par l’esprit et l’œuvre de Walt ». Son incontournable musique fut composée par Richard et Robert Sherman qui avaient déjà composé les musiques de Mary Poppins, du livre de la jungle

En France, le concept original de ne pas mettre de murs intérieurs de Walt fut repris pour mettre en évidence le coté sans frontières de ce monde parfait.



Discoveryland :

Ce land est une nouveauté car aux Etats-Unis Tomorrowland, n’a jamais été un succès car il avait tendance à passer rapidement de mode. Ce concept fut donc changé pour créer un lieu où le temps n’a pas d’emprise, Discoveryland. Ce land réuni la vision du futur de plusieurs grands personnages : Jules Vernes, H.G. Wells, Leonard de Vinci et George Lucas par exemple.

Vidéopolis et le café hypérion, le ballon dirigeable qui triomphe à l’entrée du bâtiment est inspiré du film de Disney : L’île sur le toit du monde. Le nom Hypérion vient de la rue où se situait le premier studio d’animation de Walt Disney à Hollywood.

Space Mountain, de la terre à la lune (1er version avant Space Mountain mission 2) :

Cette attraction est inspirée du livre de Jules Verne, de la terre à la lune publié en 1865.

En 1995, lors de son ouverture, ce genre d’attraction était complètement révolutionnaire aussi bien que même Jules Verne n’aurait pu l’inventer. Le compositeur de la musique, Steve Bramson fut un passager à qui Space Mountain rendit la vie dure. « Il devait synchroniser la musique avec le parcourt du véhicule. Mais il n’aimait pas vraiment les montagnes russes. Il a dû tester l’attraction et s’est vite aperçu que la vitesse du train variait selon le nombre de personnes qui se trouvaient à bord. Il a donc fallu concevoir la musique comme une série de sections musicales qui pouvaient être déclenchées au fur et à mesure du parcours tout en s’enchaînant parfaitement. C’était très complexe. Afin de trouver le bon timing, Steve a dû refaire le trajet encore…et encore…et encore… ! »

Sur la file d’attente se trouve parfois les initiales DM car jusqu’aux derniers jours avant l’ouverture Space Mountain s’appelait Discovery Mountain !

Star tours :

Cette attraction est un gros succès à travers le monde, elle emmène le visiteur dans l’univers de Star Wars. George Lucas a offert de nombreux objets qui la décorent aujourd’hui. Par exemple, des Speeder Bikes en pièces détachées. Un hommage à Walt Disney Imagineering fût fait car les anciens ordinateurs gigantesques utilisés pour contrôler les audios-animatronics du temps de Walt Disney on été récupérés pour décorer la file d’attente.







Les audios-animatronics :

L’audio-animatronics une technologie créée par les Imagénieurs. « Cette technologie combine et synchronise électroniquement les voix, la musique, les effets sonores et les mouvements des personnages. » Leur création débuta il y a une cinquantaine d’année lorsque Walt Disney décida de créer personnages animés en trois dimensions. Au départ ces personnages étaient animés de façon très simple grâce à des mouvements mécaniques. Ensuite ils utilisèrent une technique « électro-hydraulico-pneumatique » mais elle ne fut utilisée que pour animer des animaux. Pour faire vivre des audio-animatronics plus réalistes, la solution suivante fut de créer un système à base de casettes électromagnétiques et de solénoïdes. Cette version fut sa première apparition durant l’été 1963. En 1969, l’informatique prenant de plus en plus d’ampleur, les Imagénieurs utilisèrent alors la technologie DACS qui consiste à enregistrer les mouvements sur des disques informatiques. « L’animateur manipule ensuite les mouvements du personnage grâce à des boutons, ce qui permet d’insérer, de modifier ou de supprimer rapidement les différentes actions. La sophistication de plus en plus importante des ordinateurs a permis aux animateurs de créer des expressions faciales et corporelles de plus en plus subtiles. » Puis enfin, la nouvelle génération arriva, l’audio-animatronic A-100. C’est dans les années 80 que ces fleurons technologiques débarquèrent dans les parcs Disney. Ils peuvent faire plus de 40 actions et sont de loin les plus réalistes.





2ème fiche de lecture :



S.ROFFAT, Disney et la France: les vingt ans d’Eurodisneyland. Paris, L’Harmattan, Avril 2007, coll. Questions contemporaines.



Résumé du chapitre : Dernière ligne droite p.181 à 194.

Les travaux d’Eurodisney ont commencés en 1988, l’ouverture était prévue pour le 12 avril 1992. Il fallait donc prévoir une énorme campagne de publicité pour créer le besoin d’aller à Eurodisney. Pour cela, 77 Disney store ont ouverts en 3 ans, Un bâtiment de 206 m² a ouvert à Serris pour montrer au public, dessins, maquettes, représentant le futur parc. En un an, près d’un million de personnes ont visités ce lieu. Une publicité de 5 min fut ajoutée à toutes les cassettes vidéo Disney pour montrer aux enfants à quel point le parc serait génial. Cette campagne de pub couta entre 220 et 230 millions de francs et a touché environs 162 millions de personnes. Disney envahit aussi la télévision avec chaque semaine des programmes diffusés avec des images du parc. Il fallait aussi sponsoriser le rêve. Il y a toujours eu des « participants » comme on les appelle chez Disney. Ils sont au nombre de 12 : Renault, la Banque nationale de Paris, Europcar, Kodak, Nestlé, Coca-Cola, Philips, Esso, France Telecom, American Express, IBM et Mattel. Ces entreprises acceptent de faire de la publicité en échange ils profitent du prestige Disney alors que le parc lui reçoit des fonds.

En mars 1991 ouvre le centre de réservation pour les six hôtels, le camping-caravaning et le diner-spectacle proposé au Disney Village. En septembre 18500 demandes ont déjà été traitées. La vente de billet marche très fort, selon un journaliste « Mickey peut dormir sur ces deux oreilles ».

Le 12 Octobre 1991, la campagne marketing « Le Rendez-vous au château » est lancée. Deux milles journalistes ont été invités pour découvrir le fameux château de la Belle au Bois Dormant. Elle eut pour effet d’encourager les entreprises à faire affaires avec Euro Disney. P&O European Ferries, SAS Leisure Group, Société Nationale des chemins de Fer Belges, McDonald’s, Travel Europe, ils ont tous signé avec Disney !

En Septembre 1991, débute la grande opération de recrutement dans le monde entier, 45 % de Français, 30% d’autres Européens et 15 % en dehors de l’Europe. 3800 personnes sont recrutées pour faire vivre la magie Disney. Chacun d’entre eux suivra une formation de deux jours pour les introduire à la culture Disney. Le guide du cast member explique l’importance du rôle de chaque personne dans le spectacle « la magie c’est vous ! ». « La courtoisie selon Disney » expose comment communiquer verbalement ou non pour fournir un bon niveau de service au guest. « Mais c’est The Euro Disney Look qui provoque des remous dans la presse et au sein des syndicats français : anglais indispensable et look aseptisé. Il concerne les apparences physiques dont la tenue. Pour les hommes, pas de cheveux longs, pas de boucles d’oreilles, pas de tatouages visibles, pas de jeans. Pour les femmes, pas de maquillage trop voyant, pas de longs ongles, etc. Extrait du film diffusé aux candidats : « … Les cheveux devront être d’une seule couleur, pas de balayage ou de mèches… les boucles d’oreilles ne doivent pas excéder deux centimètres… les hommes doivent avoir les cheveux coupés… le col de chemise et les oreilles dégagés…Tout comme les femmes, les hommes devront limiter les bijoux à une bague par main…barbes et moustaches ne font pas partie du look Disney. » Thorolf Degelmann, vice-président du personnel, martèle : « Nous voulons un look professionnel ». De plus les candidats sont prévenus avant de signer le contrat et Air France fait la même chose. Les syndicats attaquent Disney. En France, Disney apparaît comme un lieu oppressif alors qu’aux Etats-Unis ou au Japon ce genre de choses passe très bien. Le look est fait ainsi car le cast member est « acteur » dans le parc et tout doit être coordonné dans le but que tout soit parfait pour le visiteur.

A quelques jours de l’ouverture, le problème de la circulation se fait sentir, on attend presque 500000 visiteurs et 300000 devraient venir en voiture. De plus la ligne A du RER est inaccessible car une grève est prévue. Pierre Berbrugghe, Préfet de police de Paris déclare que si les Parisiens et les franciliens veulent bien être raisonnables, c'est-à-dire ne pas se précipiter tous le même jour, jour d’ouverture à Eurodisneyland, ça ne devrait pas trop mal se passer…Je conseille d’attendre la fin du mois d’avril et puis les beaux mois de l’année qui vont venir…Eurodisneyland ne se déplacera pas… »

On martèle qu’il est inutile de prendre sa voiture après neuf heures le 12 avril.

Tout est enfin prêt pour l’inauguration du dimanche 12 avril 1992 à 9h01.

Une grande fête à lieu le 11 avril au soir. Ce sont près de deux heures de spectacle qui sont diffusées ce soir là. Dix mille invités sont présents : 2800 journalistes, agents de voyages, tour-opérateurs et tout ce qui pourrait jouer un rôle dans la publicité future du parc, 200 radios, 160 chaines de télévision. De nombreuses stars du monde entier sont invitées car Disney n’est pas seulement un produit américain mais transnational. Cette émission a pour but de faire découvrir le parc mais aussi ses sponsors car près de quatre pages de pub passeront durant la soirée. L’émission se termine à 23h, l’aventure Euro Disney commence…



Premiers jours p.197 à 220 :

Ce dimanche 12 avril 1992, il fait froid et la pluie menace de tomber. Une armée de policiers, gendarmes, et CRS est postée le long de la route et offre un drôle de sensation aux visiteurs. A huit heure dix, les premiers visiteurs entrent dans le parc. Ils doivent faire la file une heure aux guichets. Un journaliste interroge le directeur du parc : « Ce n’est pas un peu cher l’entrée ? « Fitzpatrick : » Cher ? Ca veut dire que c’est trop cher ? Par rapport aux valeurs ? Je crois que quand vous pensez que les gens vont passer huit, neuf heures dans le parc, c’est très bon marché. C’est moins cher que le cinéma ou les remonte-pentes de ski par exemple, par heure de plaisir. »

Et pour ce qui concerne les concurrents : « le parc Astérix n’a pas de soucis à se faire. Les bons parcs attirent les bons parcs. »

Le parc ouvre réellement aux visiteurs à 10 heures 15 après un discourt de près d’une heure. A treize heures, les 12000 places de parking sont presque toutes prises. La circulation est fluide, les embouteillages annoncés n’ont pas lieu. La majorité des visiteurs sont étrangers, les Français ont eu peur des bouchons. Le nombre de visiteurs présents sur le site ce jour là varie en entre 20 et 30000, trois fois moins que prévu. Le même jour la foire du trône a accueilli 100000 visiteurs. Ce soir là François Mitterrand, interrogé à la télévision déclare « Ce n’est pas ma tasse de thé ». Cette phrase va faire le tour du monde. Le soir la plupart des journaux parlent plus du prix des entrées que du parc en lui-même. Les premières déceptions arrivent, avec des prix aussi élevés, le parc commence à être montré du doigt. En juillet 1992, Airtours annonce qu’il va réduire le nombre de séjour qu’il propose à Euro Disney faute de demande suffisante. Les visiteurs américains se plaignent du comportement des personnes dans les files d’attente les scandinaves attendent sans problèmes alors que les gens du sud se précipitent dans les files comme des animaux. Le comportement des cast members est aussi critiqué, il semblerait que le service ne soit pas aussi bon qu’aux Etats-Unis et sans enthousiasme. La relation entre les cast members et la direction est très mauvaise, le management à l’américaine est très difficile à faire accepter aux Français. De plus, les rumeurs comme quoi la fréquentation est plus basse que prévue se fait de plus en plus présente. A partir du 27 mai 1992, l’action Euro Disney SCA commence sa descente aux enfers. Le parc a coûté la somme colossale de 22 milliards de francs soit en valeur constante, 45 fois plus que Disneyland en 1955 ! Au fil des mois d’autres problèmes font leur apparition, « Alors que Disney pense que les Français se contenteront d’un petit-déjeuner léger composé de café et de croissants, la grande majorité des clients réclament des plats copieux. Faute de pouvoir répondre favorablement, les plaintes s’accumulent. Alors que Disney refuse de servir de l’alcool dans les royaumes magiques, les études marketing évaluent une perte de 11 millions de dollars par an en servant ni bière ni vin. Mais ces petits ennuis ne sont rien face aux problèmes fondamentaux qui apparaissent dès l’ouverture. Si la fréquentation correspond, au départ, aux estimations, il n’en est pas de même des autres recettes. En se basant sur les chiffres de Walt Disney World, Disney avait estimé le taux d’occupation des chambres à 80 ou 85% alors qu’en réalité, il avoisine plutôt les 60% voire, pour les mois suivent, les 50%.

Les habitudes de vacances des Européens sont totalement différentes de celles des Américains. C’est quelque chose qui aurait du être anticipé. Disney a plaqué tels quels en Europe les chiffres de Walt Disney World. D’une part, la classe moyenne européenne a beaucoup plus de vacances que sa congénère américaine (cinq semaines au lieu de deux). Cela signifie aussi qu’elle dépense beaucoup moins par jour afin de joindre les deux bouts. Les européens n’ont donc aucune envie de rester dans les très chers hôtels que Disney a construits ni de manger, boire, assister aux spectacles ou acheter des souvenirs au même niveau que les américains. Les chambres ont été équipées pour quatre personnes et non pour deux comme la plupart des hôtes européens. Les hôtels sont tous de grand standing. Contrairement aux Américains, 75% des visiteurs d’Euro Disney réservent leurs visites au travers d’agence de voyages. La plupart des Américains appellent directement Disney pour effectuer leur réservation. Les frais de commissions des agences qu’Euro Disney est obligé de reverser grave un peu plus le budget. »Le projet d’un deuxième parc est gelé et les tarifs diminués.

Paribas Capital Markets Group estime que la fréquentation de 15% inférieure à ce qui était prévu et les dépenses 10% inférieures. Certains recommandent de vendre leurs actions Euro Disney. L’action perd 2.75%. Depuis l’ouverture l’action a déjà perdu 31% !

Les décisions drastiques sont prises, diminution des prix, diminution du personnel. L’action descend à 97 francs. On renforce le marketing. Les efforts payent, en août le taux d’occupation des hôtels est de 100%. En prévision de la chute de fréquentation des hôtels le mauvais temps arrivé, l’hôtel Newport Bay club est fermé d’octobre à mars. Philippe Bourguignon devient président car il était important qu’un français soit à la tête du parc. Des célébrations sont organisées dans le parc tels que le carnaval de printemps, Noël et les Lumières de l’hiver, pour amener le plus de monde possible. Le parc reprend du poil de la bête, décembre 1992 marche bien on rouvre même deux étages de l’hôtel fermé. Philippe Bourguignon annonce la démocratisation du prix du billet d’entrée aux franciliens ainsi que le lancement d’un spectacle promotionnel destiné aux membres de l’industrie du tourisme. Le billet « Star Nights » est lancé avec des prix réduits pour des arrivées entre 17 heures et 23 heures.



Il faut sauver Euro Disney p.241 à p.260.

La presse est en émoi et les rumeurs de fermeture vont bon train. En 1994 Euro Disney annonce une perte de 553 millions de francs. Le parc a besoin de 12 milliards de francs pour survivre. Un accord est trouvé, une augmentation de capital de 5.95 milliards de francs, des abandons d’intérêts par les prêteurs, l’abandon de redevances par la Walt Disney Company sur les cinq prochaines années (1994 à 1998) et un pourcentage d’entre eux sur les cinq années suivantes (de moitié entre 1999 et 2003), la réduction de la rémunération de base du gérant. La dette totale a été réduite d’environ 20.3 milliards de francs à environ 15.5 milliards.

« La direction décida de donner plus d’initiative et de responsabilité à son personnel sans se référer sans cesse à son superviseur comme c’était le cas jusqu’à maintenant. Les managers des boutiques connaitront leurs coûts de mains d’œuvre et leurs chiffres d’affaires. Les hôtels seront responsables des factures impayées… Pour un parc Disney, c’est un vrai changement de culture ! Et cela nécessite bien évidemment une formation des casts members et l’élaboration des outils de leurs responsabilités nouvelles. Et donc du temps…» Le prince Alweed investit dans le parc. En juillet 1994, George Bush venu faire une visite en Europe invite François Mitterrand à manger dans le parc, à l’auberge de cendrillon. Ce fut un événement très important car il a fait la une de la presse dès le lendemain. En septembre 1994, Philippe Bourguignon décide de changer le nom du complexe en Disneyland Paris. Ce nom étant une manière de lier la création de Walt Disney avec le romantisme de Paris.

Un changement radical dans la publicité est prise, depuis l’ouverture du parc ce sont les mêmes images (des parcs américains !) sont utilisés. Aucune dimension émotionnelle n’est donnée dans ces publicités. A l’été 1996, la campagne « Mon grand-père… et moi » est lancées ce genre de publicité basée sur les émotions qui marche beaucoup mieux que les précédentes.



Space Mountain, p.261 à p. 266.



En décembre 1994, les prix des entrées sont encore diminués. Le groupe annonce en janvier que les pertes ont diminué d’environ 80% par rapport au même trimestre l’année précédente.

Philippe Bourguignon, annonce lors du rapport annuel de la même année « Space Mountain, de la terre à la lune, notre prochaine attraction, ouvrira le 1er juin prochain. C’est une aventure fantastique, totalement inédite que nous proposerons à nos visiteurs. Vous pourrez en être fiers car elle constituera pour nous, non seulement une attraction de plus, mais aussi le symbole d’un nouveau départ. » Il eut aussi une autre idée, produire la nouvelle tournée d’Elton John qui s’appellera Space Mountain et qui débutera le jour de l’ouverture de l’attraction. La place pour Space Mountain était restée vide car les difficultés du parc avaient empêchés sa construction. L’ouverture de l’attraction a bénéficié d’une grande couverture médiatique. Le 31 mai, 6000 invités ont vu défiler de nombreuses stars, Elton John, Jean Reno, …Le 3 juin, Elton John donne un concert devant le Newport Bay Club devant 40000 personnes. Finalement la tournée aura rapporté de l’argent à Disneyland Paris. Des promotions spéciales Space Mountain furent créées. La publicité diffusée à la télévision change de style avec un registre plus mystérieux, plus silencieux, et plus sombre. Philippe Bourguignon déclara plus tard : « Lorsque Space Mountain a ouvert, le parc a été définitivement sauvé ! ». En septembre 1995 Euro Disney atteint un plus tôt que prévu, son premier résultat bénéficiaire depuis l’ouverture.





L.GILSON, Tout s’explique : Disneyland Paris, Belgique, France, RTL-TVI, 2007, 22 min

Reportage, Capital : Le business des parcs de loisirs « Mickey Business », France, M6, 1997, 25 min

Chaque nuit, la maintenance contrôle toutes les attractions surtout celle à sensations fortes pour Big Thunder Mountain par exemple, il faut 2 heures pour tout vérifier. Les audios-animatronics sont aussi entretenus et cela peut durer des heures ! Il faut beaucoup de technologies et de savoirs pour pouvoir réparer ce genre de choses. Ensuite ce sont les costumières qui font le tour de tous les costumes, ce travail commence dès l’aube pour se terminer juste avant l’ouverture. Pour nettoyer le parc, il faut à peu près toute la nuit .Enfin les horticulteurs tondent le jardin du château, évidemment pour ce genre de gazons, un équipement de sécurité est indispensable. Les arbres en forme d’animaux sont taillés chaque semaine. Le temps est très précieux chez Disney, si une parcelle de gazon est abimée, elle immédiatement remplacée !

La parade, est véritable fourmilière. Elle est composée de 8 chars et se déplace sur 1 km. La régie est toujours en contact avec le paradin (l’homme responsable sur le chemin de la parade). C’est la régie qui coordonne les chars. Le régisseur est aidé pas les caméras mais aussi pas des tags (des capteurs qui signalent la position des chars à la régie). Elle s’occupe aussi du lancement des différentes musiques qui composent la parade.

La danse est un point important, il est donc indispensable de répéter pendant de longues heures. Les personnages Disney doivent aussi suivre une formation pour apprendre la gestuelle de chaque personnage.

Pour créer les chars, il a fallut 2 ans de travail, tout a été étudié pour rendre la parade la plus magique possible, couleurs, parfums…

Tous les costumes sont confectionnés sur les parcs. Ils sont lavés tous les jours, donc il est indispensable d’utiliser des tissus extrêmement résistants. Il y a les costumes des parades mais pas seulement tous les employés Disney ont un, par jour 5000 costumes sont lavés.
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Jake Sully

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Dim 17 Oct 2010 - 23:43

Attention, les Disney Stores n'ont pas vraiment ouvert pour promouvoir le futur parc, mais bien pour vendre du produit Disney (la division "produit dérivé" ayant connu une assension flagrante au début des années 1990).
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house14

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Lun 18 Oct 2010 - 11:14

Excellent, belle synthèse vu que tu n'avais que 15 pages pour le faire, ce qui n'est pas rien du fait de l'étendue du dossier Disneyland.


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nicoetsab
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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Lun 18 Oct 2010 - 11:19

Une chance d'avoir pu choisir ce sujet!

Jake Sully a entièrement raison pour les Disney Store! Wink
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https://www.chroniquedisney.fr/
moiraclaire

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Mer 20 Oct 2010 - 18:19

Jake Sully a écrit:
Attention, les Disney Stores n'ont pas vraiment ouvert pour promouvoir le futur parc, mais bien pour vendre du produit Disney (la division "produit dérivé" ayant connu une assension flagrante au début des années 1990).
Je sais que ce n'est pas vraiment dans ce but mais dans le chapitre que j ai décidé de résumer on insiste sur le fait que Disney voulait s implanter encore plus en europe avant l ouverture du parc. C est comme une pub indirecte pour la marque donc pour le parc comme pour les émissions ... Merci d' avoir lu c est très gentil gros bisous
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moiraclaire

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Mer 20 Oct 2010 - 18:31

nicoetsab a écrit:
Une chance d'avoir pu choisir ce sujet!

Jake Sully a entièrement raison pour les Disney Store! Wink
c est une chance mais d' un autre cote j ai beaucoup plus de travail que les autres car mon sujet est très long. Par exemple j ai dix pages de fiches de lectures et encore j aurai pu faire le double alors qu en moyenne les autres en ont 2 max! Gros bisous et merci d' avoir lu
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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Mer 20 Oct 2010 - 18:51

C'est bizarre que tu puisses choisir ton sujet de TFE. Tant mieux pour toi en même temps.
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moiraclaire

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Mer 20 Oct 2010 - 19:52

Ben dans mon école ça fonctionne de cette façon mais bon aussi les profs m adorent donc ça a peut être aidé lool parce que beaucoup de sujet on du être changé. Mais je ne suis pas en université, je suis en terminale version belge Smile
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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Dim 7 Nov 2010 - 13:05

Vas tu aborder l'aspect urbain d 'un tel parc ? En effet, Marne la vallée a été conçu autour de ce parc.
Bon courage
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BlackPearl

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Dim 7 Nov 2010 - 13:33

Excellent boulot.J'ai tous lus, vraiment, bonne continuation !


Dernière édition par Retlaw le Dim 7 Nov 2010 - 16:29, édité 1 fois (Raison : Spression effets de texte)
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Christmas

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Dim 7 Nov 2010 - 14:31

beau sujet !! tiens-nous au courant de l'évolution de ce travail !!
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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Dim 7 Nov 2010 - 14:33

uncle scrooge a écrit:
Joli programme, j'attends la suite. Si ça peut t'aider, dans ta Bibliographie, essaie de retrouver le Livre "HOP!" de Philippe Bourguignon (incontestablement le meilleur patron que Disney a connu!) (2005) il est très riche d'enseignements........

Ah Bouguignon !! Toute une époque les debuts du Parc etc..... snif snif !!
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Max Fan

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Bourguignon notre sauveur ! cheers
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moiraclaire

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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Dim 7 Nov 2010 - 19:09

J aurai voulu mais je n ai déjà pas assez de pages pour pouvoir parler de tout ce que j ai prévu Sad gros bisous et rendez vous le week-end prochain pour la mise en ligne de mon premier véritable chapitre !!
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MessageSujet: Re: Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4) Travail de fin d'étude: Comment crée-t-on un parc un parc à thèmes? Le cas de Disneyland Paris ( partie 3 en ligne p.4)  - Page 2 Horlog11Dim 7 Nov 2010 - 19:34

Courage pour ton tfe !! et vive les liégeois Very Happy je suis liégeois aussi Very Happy
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Tigrou_Stephanois

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c'est vraiment du très joli travail...chapeau à toi!!
Pour mon BTS action commerciale j'avais choisi un thème plus large:"les parcs d'attractions en europe"
j'ai bien sûr fais une grande place à disneyland paris sur ce sujet!
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Camille83

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Bravo pour ton sujet ! C'est super intéressant !
Bon courage Smile


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moiraclaire

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Merci beaucoup pour votre soutient !!!!
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BlackPearl a écrit:
Excellent boulot.J'ai tous lus, vraiment, bonne continuation !
Merci beaucoup!!!!!
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